Election présidentielle : première grosse défection chez Tebboune

Tebboune présidentielle
Abdelmadjid Tebboune. PPAgency

Abdelmadjid Tebboune, candidat «privilégié» de l’élection présidentielle rejetée par le peuple, perd son directeur de campagne, le diplomate Abdellah Bali. Cette défection de taille est intervenue à la veille du lancement de la campagne électorale. On ne connaît pas encore les raisons ayant poussé le diplomate de carrière à quitter si tôt le «navire Tebboune». Mais cette défection a déjà impacté le commencement de la campagne du candidat, qui s’est «réfugié» à l’hôtel El-Riadh de Sidi Fredj, à Alger.

Le remplaçant d’Abdellah Bali est connu. Il s’agit de Mohamed Amine Messaïd, qui n’est autre que l’ex-directeur de cabinet de Tebboune, lorsqu’il était Premier ministre du président déchu Bouteflika en 2017.

Ce même Mohamed Amine Messaïd avait également été chef de cabinet de l’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal, qui croupit à la prison d’El-Harrach.

Ancien cadre au ministère des Finances, Mohamed Amine Messaïd a été également à la tête de la holding du Tourisme.

M. S.

 

Comment (15)

    Halloum
    19 novembre 2019 - 21 h 11 min

    Première grosse défection.
    Je ne sais pas pourquoi j’ai cru voir un  »a » entre c et t.
    Parions ça viendra.

    Halloum
    19 novembre 2019 - 20 h 57 min

    Tebboun se serait fait lâcher par son directeur de compagne pour cause de financement occulte de la compagne électorale.
    On a bien justifié l’incarcération de sponsors pour motif financement occulte.
    On a bien incarcéré un candidat et son sponsor.
    C’est donc bien un délit grave. Sauf qu’apparemment il n’est pas applicable aux (ex ou futurs) présidents de la république.

    EL FADHL
    18 novembre 2019 - 19 h 33 min

    PUISQUE LES OPPOSANTS A L’ELECTION ONT COMMENCE A HUER LES CANDIDATS , ILS DOIVENT POURSUIVRE LEUR CONVICTIONS.
    LES CANDIDATS SERONT DANS L’IMPASSE ET NOUS VOYONS AINSI LA PREFIGURATION DE L’AVORTEMENT DU VOTE DU 12 DECEMBRE .
    LE CHEF D’ETAT MAJOR N’OSERA PAS DANS LA SITUATION ACTUELLE DU PAYS UTILISER LES MOYENS DE LA FORCE A L’EGARD DES OPPOSANTS .
    ON CONSTATE BIEN UNE DECANTATION DE CHAQUE FORCE EN PRESENCE;

    Lghoul
    18 novembre 2019 - 10 h 07 min

    Vila apparemmnt pourquoi Baali a quitté le bateau qui coule. Une question de fric « sans origine » pour la compagne de tebboune. Comme d’habitude que savent ils faire en dehors de ruser, voler, détourner, manigancer et mentir ? Ils ont tous fait l’école bouteflika d’oujda ou seuls la ruse, la rapine, le vols et les détournements sont leur religion. Imaginez si ges gens pareils sont aux commandes pour 50 ans encore ! Un désastre total. « Abdellah Baali a été offusqué par l’ingérence du fils de Tebboune et cette orientation qu’il imposait à son père. Désapprouvant totalement cette stratégique qu’il jugeait dangereuse et immorale, l’ancien ambassadeur algérien aux Nations-Unies entre 1996 et 2005 a fini par déposer sa démission dans le souci de préserver son image et son intégrité morale, certifient nos sources. Abdellah Baali a préféré ainsi garder un minimum de crédibilité pour sauver sa carrière de diplomate pour le futur. »

    Vérité
    18 novembre 2019 - 6 h 00 min

    Première défection du directeur de campagne de Mr Tebboune;le candidat du système mafieux,si Monsieur Abdellah Baali à démissionné ils existent bien des raisons valable,Mr Baali est un honnète homme qui a fait carrière aux USA,quand a monsieur Tebboune et fils sont connus du grand publique,est dans un état de droit et de justice;ils seraient avec leurs amis a la prison d’el Harrach,mais comme notre caporal veille sur Eux plus besoins d’aller votez,il est désigner d’avance

      Anonyme
      18 novembre 2019 - 8 h 22 min

      En réalité c’est son fils Mohamed qui est son directeur de campagne, mais comme il est accusé de trafique de cocaïne, il se cache derrière des personnes intègres

        Anonyme
        19 novembre 2019 - 8 h 53 min

        E S C O B A R Tebboune…

        Cette fois ci c’est en Algérie que
        l’on tourne…le film… mais ce n’est
        pas du cinéma

        Producteurs :
        La clique à Bouteflika

        Une présidentielle… et…700 kg
        de cocaïne… c’est le Titre…

      Omar Khayyam
      18 novembre 2019 - 10 h 14 min

      Mettons ces 5 coincés défroqués à coté de fringuants chefs politiques du G7 et vous verrez … que notre pays mériterait BEAUCOUP MIEUX et Dieu sait que l’Algerie a enfanté de la compétence et qui plus est ESTHÉTIQUE…des têtes bien faites et bien pleines
      El mejd au peuple libre et aux chouhadas

    Momo
    17 novembre 2019 - 22 h 49 min

    On connait les raisons de ce crépage de chignon entre le traitre de candidat et son directeur de campagne. Abdellah Baali, ex directeur de campagne de Tebboune, depuis quelques heures, a été pressenti comme ambassadeur d’Algérie en France, il y a 3 mois de cela. Il n’a pu obtenir son accreditation auprès du gouvernement Français pour des raisons qu’on ignore.
    À défaut de grives, Baali se contenta de merles et devint donc directeur de campagne du futur président, selon Gaid Salah. Tout baignait dans l’huile entre ces deux comparses, jusqu’au moment où fut publié le programme de Tebboune. Baali piqua une crise et refusa de cautionner la partie du programme ayant trait à la politique étrangère qui faisait la part belle à la France. Tout le monde, y compris Baali, sait que Tebboune est l’homme de la France et des Émirats et que de fait, il était normal qu’il soit très conciliant avec ses donneurs d’ordre. Mais Baali ne l’entendit pas de cette oreille. Lui qui en avait gros sur le cœur d’avoir été écarté du poste d’ambassadeur à Paris, voulait donc des rapports plus réservés avec la France. Il ne réussit pas à convaincre son mandant. d’où le clash qui s’ensuivit.
    Baali est un homme du sérail, il ne mérite aucun respect mais il a eu l’outrecuidance de mettre au clair le rapport de vassalité qu’entretient Tebboune avec la France. On le savait déjà depuis fort longtemps mais là, ce sont eux qui dévoilent des vérités qu’on voulait cacher au peuple.
    Maintenant, on ne sait pas si le système n’est pas derrière cette histoire. Ils nous ont habitués au pire. Peut être que Gaid Salah trouvant que Tebboune est très exposé et est mal aimé, il le lâcha pour donner plus de mou à son second joker qui, tout le monde l’aura constaté, se fait très discret, je veux nomme l’abominable Azzedine Mihoubi.

    Le Début de La Fin...
    17 novembre 2019 - 22 h 10 min

    Le début de la fin en direct…..

    Au suivant !!!

    Bbb
    17 novembre 2019 - 21 h 47 min

    À l’image des 5 postulants de GS .baali et massaid des usurpateurs de 1 degré. les voleurs une fois que leur Mission accomplie ils se disputent la marchandise

    Si el Wasir
    17 novembre 2019 - 18 h 17 min

    Tète de vautour;avec un regard d’arrières pensée a l’argent facile,et refaire le coup de la banque,Khalifa Bank,qui pourra vous faire confiance,a part les citoyens nourris avec les casses-croute merguez ou les gourmands payés avec les deux mille dinars,

    daro
    17 novembre 2019 - 18 h 12 min

    Le vendeur de cocaïne veut devenir président!!! quelle honte…!!!

    Lghoul
    17 novembre 2019 - 17 h 56 min

    La decantation doit se faire: On est pour ou contre le peuple. On soutient le mercenariat et la desintegration de notre pays ou le peuple pour un futur radieu et prospere. A vous de choisir. Le peuple notera.

    Soldat Schweik
    17 novembre 2019 - 17 h 52 min

    C’est bon signe si les rats, celui-ci n’est pas des moindres croyez moi! il avait renoncé a l’ambassade de Paris et 20.000 dollars/mois pour etre directeur de compagne du teboune, commencent déjà a quitter le navire « berzidentiel el issabate » c’est qu’il va pas tarder a couler.
    SILMIYOUNE SAMIDOUNE WAKIFOUNE JUSQU’AU BOUT DU BOUT !!!!

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