Intox contre le général Nezzar : un propagandiste d’Al-Jazeera actionné
Par Nabil D. – Le propagandiste algérien au service du régime de Doha, le dénommé Mohamed Dahou, a été actionné à son tour pour mener une campagne de désinformation en proférant de graves accusations contre l’ancien ministre de la Défense nationale, le général Khaled Nezzar, exilé en Espagne suite au complot fomenté contre lui par l’ancien chef d’état-major de l’armée et certains de ses fidèles toujours en poste. L’employé d’Al-Jazeera s’est rendu coupable d’une diffamation pour laquelle la victime de cette intox a décidé de recourir aux voies légales. Des avocats ont d’ores et déjà été constitués pour déposer plainte auprès des juridictions compétentes, a-t-on appris.
Une nouvelle campagne enragée cible le général Khaled Nezzar depuis une semaine pour des raisons qui demeurent inconnues pour l’instant. Cependant, la source de ces tirs croisés a été localisée à Alger, selon des informations sûres. Un probable retour de l’ancien ministre de la Défense nationale en Algérie semble effrayer les cercles occultes qui manigancent contre les intérêts de l’Etat et transgressent les lois de la République pour sauver leurs intérêts étroits.
Une plainte a été déposée contre un autre intrigant, Albert Farhat en l’occurrence, qui a commis un article calomnieux similaire publié dans les colonnes du site français Mediapart.
Une tribune mensongère commandée, elle aussi, par les mêmes officines malintentionnées qui tirent les ficelles dans l’ombre. Le Franco-libanais, installé en France, a affirmé que le général Khaled Nezzar «aurait mis à la disposition de la subversion et la déstabilisation en Algérie une très forte somme d’argent, dont trois millions d’euros comme première avance» et qu’il «aurait eu des garanties de la part des services français de bénéficier de faux documents d’identité lui permettant de s’installer incognito en France ou en Belgique».
Des accusations extravagantes pour lesquelles les deux auteurs ainsi que leurs deux supports médiatiques devront apporter les preuves devant les tribunaux, assure-t-on.
N. D.
Comment (21)