Comment Algeriepatriotique a piégé l’escroc Aboud avec un pronom relatif
Par Abdelkader S. – Le hâbleur Hichem Aboud aime parler des autres, mais n’aime pas que les autres parlent de lui. C’est ainsi qu’il réagit au quart de tour dès que son nom est cité quelque part. Narcisse ne supporte pas qu’on révèle son passé, ni qu’on mette à nu son imposture. Escroc intellectuel, plagiaire récidiviste, n’ayant aucune source, l’ancien agent de la DGPS, les services qui ont torturé les jeunes manifestants en octobre 1988, a trouvé le filon. Après que ses bailleurs lui ont coupé les vivres en découvrant l’indigence intellectuelle du bonisseur, toutes les portes se sont fermées devant lui et il n’a trouvé que son Smartphone pour réapparaître par le vasistas après avoir été remballé par le porche avec un coup de pied au derrière.
Les causeries du cambrioleur Hichem Aboud ne sont rendues possibles que grâce aux sources d’information desquelles il chaparde l’essentiel de ses interventions qu’il présente comme le fruit de ses recherches propres et de ses contacts bien introduits. La majeure partie étant tirée de notre site qui, pour confirmer la forfaiture de celui qui aime à rappeler qu’il fut le rédacteur en chef de l’organe central de l’ANP, la revue El-Djeïch, lui a tendu un piège dans lequel il est tombé comme un bleu. Reprenant l’excellent réquisitoire de la brillante jeune militante Samira Messousi à Tizi Ouzou, voici quelques semaines, le phraseur a lu au mot près le texte transcrit par Algeriepatriotique qui a, cependant, changé un pronom relatif que l’oratrice avait utilisé par erreur – «que» en lieu et place de «dont».
Hichem Aboud a donc lu la version publiée par notre site ainsi rectifiée, se dénonçant lui-même et prouvant ainsi qu’il n’est qu’un misérable écumeur et usurpateur qui vit sur le dos de journalistes qui s’efforcent chaque jour d’apporter à leurs lecteurs une information crédible et, autant que faire se peut, vérifiée. Cette sangsue, qui fait honte à la corporation qu’il a infiltrée par effraction, allie vol et calomnie pour mieux gonfler ses chiffres et multiplie les apparitions pour mieux embobiner les gobe-mouches qui le suivent dans ses bourdonnements nuisibles à l’intelligence et à la réflexion.
Algeriepatriotique a définitivement confondu le fripon qui a fait du piratage un métier lucratif. Ceux qui le suivent dans ses errements statiques soit savent qu’il se sert d’eux pour assurer sa pitance dans son exil madrilène après avoir été jeté dehors à Lille comme un sagouin nauséabond, soit ils s’accrochent à son bavardage comme les membres d’une secte qui se laissent aller à la manipulation mentale du gourou. Dans les deux cas, ils sont victimes d’un délinquant relaps.
A. S.
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