Affaire Drareni : rassemblement devant le consulat général à New York

Comment (4)

    Anonyme
    17 août 2020 - 18 h 23 min

    Des clowns, qui veulent nous faire croire que ce sont des personnages sérieux. Qu’ils aillent libérer les détenus de Guantanamo, s’ils sont vraiment des défenseurs de la liberté.

      Merikh
      17 août 2020 - 19 h 14 min

      Parce que vous, en écrivant cela, vous n’êtes pas le 1er des clowns ?

      Merikh
      17 août 2020 - 19 h 29 min

      Les prisonniers de Guatanamo sont majoritairement coupables et méritent bien plus qu’ils ne subissent. Justement il ne faut pas « libérer » Guatanamo pour remettre les terroristes dehors. Maintenant pour ceux qui sont innocents (certains ont été libérés malgré tout) il faut les défendre y compris en Algérie (qui a aidé à la capture de certains d’entre-eux). Elle n’a jamais les innocents parmi eux, dont des algériens. Votre cécité est incompréhensible.

        abdou
        18 août 2020 - 11 h 19 min

        Pour le Merikh
        La condamnation du journaliste Khaled Drareni à 3 ans de prison ferme par le tribunal de Sidi M’hamed a suscité une cascade de réactions. Ce jeudi, c’est Ammar Belhimer, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement qui a régi réagi un communiqué, en affirmant que «Khaled Drareni n’a jamais été détenteur de la carte de presse professionnelle prévue par l’article 76 de la loi organique 12-05 relative à l’information, du 12 janvier 2012».
        Dans ce document publié par l’agence officielle, «aucune demande n’est parvenue, à cet effet, aux services compétents du ministère de la part de Khaled Drareni».
        De même, appuie le département de Belhimer, «aucun organe ni institution indépendante ayant diffusé ses couvertures et commentaires n’a sollicité des autorités compétentes la délivrance de l’accréditation préalable requise à l’effet de l’employer, en application de l’article 81 de la loi organique (12-05)». «Comme nous avons déjà eu l’occasion de le rappeler s’agissant de l’ambivalence de la relation de travail avec certains organes employeurs étrangers, certains journalistes s’installent comme correspondants de fait -non accrédités selon les procédures en vigueur -d’organes étrangers, et entretiennent une sorte de loi -de fait accompli- qui les expose à plusieurs risques dont le premier, et non des moindres, est qu’ils ne sont pas reconnus comme correspondants»

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