Un médecin américain alerte : «Méfiez-vous du vaccin contre le Covid-19 !»
Par Mohamed K. – Un nouveau médecin sort de son silence pour dénoncer les plans secrets qui se trament dans les laboratoires calfeutrés du ministère américain de la Défense pour imposer au monde un vaccin qui n’en est pas un. Dr Carrie Madej alerte sur une opération secrète qui vise à «mélanger l’humain à l’intelligence artificielle» et qui porte le nom de «transhumanisme». «Cette idée se développe en ce moment-même», a-t-elle mis en garde dans un enregistrement vidéo posté sur les réseaux sociaux.
«En étudiant le projet de vaccin de Covid-19, j’ai découvert que nous devions prendre une décision sur ce sujet et c’est mon cri d’alarme au monde entier», a mis en garde le médecin américain qui donne ainsi un coup de pied dans la fourmilière du complexe militaro-technologique américain. «J’ai examiné les pour et les contre et ça me fait peur, je veux que vous le sachiez, vous devez être informés car ce nouveau vaccin n’est pas comme votre vaccin antigrippe habituel, c’est très différent, c’est complètement expérimental sur la race humaine», a-t-elle fait savoir, en expliquant que «ce n’est pas seulement un vaccin différent, mais il existe des technologies qui y sont introduites et qui peuvent changer très rapidement notre façon de vivre».
Dr Carrie Madej a révélé les noms des initiateurs de ce projet. «Je pense à certaines personnes dont vous connaissez peut-être les noms, Elon Musk, fondateur de Space X et de Tesla Automotive, ainsi que Ray Kurzweil, l’un des dirigeants de Google. Ce sont des transhumanistes autoproclamés. Ils pensent que nous devons aller ver l’humain 2.0, ce sont de très grands partisans de cette idée. Il y a beaucoup d’autres personnes qui sont impliqués dans ce projet», a-t-elle souligné. «La meilleure façon d’expliquer cela est de regarder l’un des principaux partisans du vaccin et de faire un peu d’histoire pour savoir comment [ils] veulent fabriquer le vaccin», a-t-elle encore dit.
«Je pense que ça en dira long», a relevé le médecin, qui a pris l’exemple de Moderna, un des principaux fabricants du vaccin contre le Covid-19. «Vous devez savoir que Moderna a été fondé par une personne de Harvard, Derek Rossi, et que ce chercheur a réussi à prendre de l’ARN (Acide ribonucléique, ndlr) modifié et à pouvoir programmer une cellule souche dans le corps pour en modifier la fonction. Il l’a génétiquement modifiée. Il a donc prouvé qu’on peut modifier génétiquement quelque chose en utilisant l’ARN modifiée. Ils ont fondé la société Moderna sur ce concept et elle n’a même pas encore fabriqué de vaccin et elle n’a jamais fabriqué de médicament. Ce sera son premier produit», a-t-elle averti.
«Vous devez savoir que Moderna a récemment fait la Une des journaux car elle a vraiment accéléré le processus comme les autres entreprises qui font de même. Elle passe de la phase 1 à la phase 2 très rapidement. En fait, elle est passée de la phase 1 à la phase 3 dans ses expériences, depuis mars de l’année en cours. C’est incroyable, car cela prend généralement entre 5 et 6 ans» en temps normal, a précisé la praticienne. «Dans l’étude test de Moderna, a-t-elle poursuivi, avec le groupe des vaccins à fortes doses, 100% des personnes à qui le vaccin a été inoculé ont développé des effets secondaires systémiques, en sachant qu’il s’agit uniquement des effets à court terme. Et pour le vaccin à faible dose, 80% ont eu des effets secondaires systémiques et nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme, il nous faudrait plus de temps, peut-être des années. Mais nous savons, selon des études sur des animaux, que, si on utilise cette technologie, on va constater une augmentation des taux de cancer, des mutations génétiques, de la mutagénèse et des réactions auto-immunes. Ce n’est donc pas sans risques.»
«Ils suggèrent d’utiliser une plateforme. Grâce à une technologie élaborée par MIT, le vaccin pourrait être produit en masse rapidement et pourrait être auto-administré via à un simple pansement livré à domicile et contenant des spicules minuscules», a encore fait savoir Dr Carrie Madej, selon laquelle «le problème est que les concepteurs de ce vaccin utilisent un procédé appelé transfection qui est un moyen de fabriquer des organismes génétiquement modifiés qui peuvent transformer notre génome». «Le vaccin contient l’enzyme de la luciférase qui sera une sorte de code numérique sous la peau, à travers lequel la personne vaccinée sera identifiée, alors elle devient un produit», a-t-elle confié.
Quant à l’hydrogel, un autre composant intégré au vaccin en cours d’élaboration aux Etats-Unis, il a été inventé par le département de recherches avancées du Pentagone. Il s’agit de robots microscopiques relevant de la nanotechnologie, grâce auxquels «un humain peut se connecter directement et recueillir des informations sur son corps et les connecter à son smartphone». «Où vont ces informations ? A quoi vont-elles servir ?» s’est-elle interrogée, en signalant que la Fondation Bill et Melinda Gates est également associée à ce projet. «Bill Gates est issu d’une famille d’eugéniques, qui signifie le contrôle de la population, ça signifie qu’il y a trop de gens sur la planète», a-t-elle rappelé, en indiquant que «les fabricants de vaccins sont couverts par la loi contre tout décès ou autre», alors que «certaines lois obligent même les citoyens à se faire inoculer ces vaccins».
«Il y a une autre motivation à vouloir nous imposer ce vaccin contre le Covid-19», a conclu le docteur Carrie Madej.
M. K.
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