Changement à la tête de cinq ambassades et mouvement plus large en novembre prochain

ambassades corps diplomatique
Le chef de la diplomatie, Sabri Boukadoum. D. R.

Le président Tebboune a procédé à un mouvement partiel dans le corps diplomatique, en attendant de grands changements prévus en novembre prochain, a appris Algeriepatriotique de sources généralement bien informées. Cinq postes sont concernés, en Europe et en Afrique, alors qu’une quarantaine d’ambassadeurs seront touchés par le remaniement plus large qui aura lieu dans deux mois.

Ainsi, Lazhar Soualem, directeur général des relations multipartites au ministère des Affaires étrangères, est nommé ambassadeur, représentant permanent de l’Algérie auprès du bureau des Nations unies à Genève, demeuré vacant depuis le rappel de Rachid Belbaki, quatre mois à peine après sa nomination, pour des raisons qui demeurent inconnues.

Mohamed Hannache, directeur général Europe au ministère des Affaires étrangères, est désigné ambassadeur d’Algérie en Belgique et son représentant permanent auprès de l’Union européenne (UE), en remplacement d’Amar Belani, appelé à d’autres fonctions.

Salah Labdioui quitte Paris, après neuf mois seulement, pour Berne et sera remplacé par Antar Daoud, comme annoncé auparavant par Algeriepatriotique.

Abdelhak Aissaoui, chargé d’études et de synthèse auprès du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères est, lui, nommé ambassadeur d’Algérie au Gabon.

N. D.

Comment (17)

    BJ
    18 septembre 2020 - 19 h 26 min

    Il serait temps que le pouvoir algérien mette en place une politique claire et lisible afin que le pays puisse vivre avec le Covid-19, l’épidémie durera dans le temps mais elle ne doit pas être plus forte que la vie car lorsque celle-ci est bridée elle finit par reprendre ses droits comme l’eau qui briserait un barrage totalement étanche. Un plan véritable plan clair et précis doit être mis en place afin de vivre avec l’épidémie en faisant appel au civisme des gens(masque, interdiction des grands rassemblement, distanciation, conseil sur la périodicité du lavage des mains etc etc).

    L’ouverture des frontières est plus que nécessaire, avec toutes les mesures preventives qui l’accompagneraient. Les échanges humains de la diaspora sont sont très importants pour le pays et sa population, humainement mais aussi financièrement. L’ algérien se sent étouffé, les faits divers de délinquance sont quotidiens, le désespoir gangrène le moral du Peuple et il est très dangereux pour la stabilité d’un pays lorsqu’un Peuple se sent comme dans une prison à ciel ouvert.
    La violence est à craindre car elle est fille du désespoir.

    Il faut impérativement renforcer l’État de droit tout donnant l’impression d’un pays ouvert où les entreprises peuvent investir et se développer. L’économie algérienne a besoin d’un électrochoc financier et législatif afin de repartir en force pour créer richesses et emplois. La stabilité politique est pour cela indispensable. Nous n’avons pas le temps, il faut agir maintenant, covid ou pas.

    Par ailleurs il est toujours très dangereux d’enfermer des chefs d’entreprise de manière aussi brutale, une entreprise étant une entité économique faisant vivre des foyers. L’amende, la saisie administrative de certains biens ou sommes d’argent est préférable à une soudaineté judiciaire qui peut dissuader l’investisseur car donnant l’impression d’une justice aux ordres. Réussir honnêtement en Algérie ne doit pas paraître suspect. Il faut donner envie aux algerien de s’enrichir honnêtement par le travail.

    Tout ce qui tendra à renforcer chez l’algérien le sentiment de vivre dans un ÉTAT DE DROIT sera à même d’apaiser le Peuple et lui donnera confiance en son pays et ses institutions. La politique est une question de dosage. L’Algérie doit négocier ce virage avec subtilité et habileté, toute action grossière mènera à l’échec.

    Nous avons besoin d’un pays d’entrepreneurs et de travailleurs avec un système juridique moderne et une justice efficace.

    TAHYA EL DJAZAYER

    Algerien Pur Et Dur
    18 septembre 2020 - 14 h 03 min

    Pardon, je t’ai touche la ou ca fait mal. Laisses moi deviner. Ca doit surement etre la derniere partie de mon commentaire. Ah ya l’ecole de taleb el ibrahimi!

    Anonyme
    18 septembre 2020 - 13 h 50 min

    encore une fois, en s’en tape du « mouvement » de ces employés au service des citoyens (normalement). tout ce qui interesse ce sont les resultats, et point barre.

    SaidZ
    18 septembre 2020 - 11 h 31 min

    Dans une caisse de patates, une patate n’est qu’une patate qu’elle soit au fond de la caisse, au milieu ou au dessus elle reste que c’est une patate!
    ..il reste que le brassage de la caisse de patates peut toujours se faire et à force de le faire et avec la bénédiction des an3am sidi et des qafqaf..peut être ça va donner des bananes? allah 3allem!

    anonyme
    18 septembre 2020 - 7 h 50 min

    Les « diplomates » sont comme les cigognes : ils migrent. C’est dans leur contrat de travail … (…) Seule devrait nous intéresser l’économie politique. C’est elle qui nourrit ou affame !

    Changer, changer mais...
    17 septembre 2020 - 21 h 16 min

    Malheureusement le poisson pourrit toujours par la tête.
    Donc…..

    AU BOULOT
    17 septembre 2020 - 21 h 15 min

    Du bon boulot !
    Continuez l’optimisation de notre politique nouvelle.
    Les planqués basta !

      Anonyme
      17 septembre 2020 - 23 h 26 min

      S’ils sont si compétents que ça pourquoi leur changer de poste?

        Belveder
        18 septembre 2020 - 8 h 38 min

        Dis donc c est vrai on y avait pas pensé

    Algerien Pur Et Dur
    17 septembre 2020 - 19 h 42 min

    Ambassade au Gabon? Pourquoi faire? Des depenses en devises inutiles. On leur vend rien et ils ne nous achetent rien. 3 ou 4 ambassades en Afrique sub- saharienne y compris 2 en Afrique du Sud et Ethiopie, pays incontournables, suffiraient largement. Pour le reste, certaines devraient carrement etre fermees et vendues au plus offrant et le reste tranformees en petits consulats. Meme chose au moyen orient, y compris notre siege dans la ligue arabe.

      @pur et dur
      17 septembre 2020 - 22 h 30 min

      Sois déjà Algérien MÛR…

    Kasso
    17 septembre 2020 - 18 h 19 min

    Mon souhait et ma demande aux journalistes d’évoquer le problème d’ouverture des frontières en Algerie s’il y’a pas de repense a la demande en va boycotter les élections du mois de novembre,tous en semble …..

      Belveder
      17 septembre 2020 - 20 h 30 min

      Tu peux boycotter les frontières ne sont pas prêtes à être ouvertes du côté Algérien

      Lazizi
      17 septembre 2020 - 20 h 48 min

      De quelles frontières parles-tu ?

        Kasso
        18 septembre 2020 - 7 h 58 min

        @Lazizi,si les frontières entre l’Occident et l’Algérie pas les frontières avec le hachich et la prostitution.

      Anonyme
      18 septembre 2020 - 4 h 46 min

      Nous n’avons pas de frontières à ouvrir. Tu peux commencer à boycotter.

    Anonyme
    17 septembre 2020 - 18 h 17 min

    J’adore le terme « mouvement » on change de pays pour ne pas s’ennuyer?? et faire la maximum de continents??
    Pourquoi on entend très rarement que tel ambassadeur est rappelé et ne sera plus nommé nulle part, qu’une enquête est ouverte à son sujet et qu’il sera jugé??

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.