Le Lepéniste égyptien devenu français Jean Messiha nous traite de «racailles»
Par Karim B. – L’éternel perdant, rejeté par sa propre famille politique de l’extrême-droite, l’Egyptien Houssam Messiha, alias Jean depuis 1990, date de sa naturalisation, broie du noir. Le sectateur, aveuglé par sa phobie, fulmine contre Algeriepatriotique qui a rassemblé ses propos racistes comme les pièces d’un puzzle pour les lui jeter à la gueule tel un miroir face auquel il est tombé de haut en voyant sa vilenie et sa laideur. Il vient de réagir à notre article par une nouvelle ponte entre deux caquets : «Algeriepatriotique, un canard déplumé d’Alger, se félicite de mon bannissement de Facebook. J’ai une mauvaise nouvelle pour vous, les racailles, je suis de retour. Sheh (bien fait, en dialecte algérien, ndlr), comme vous dites !»
Le mot est lancé. Spontanément. Instinctivement. Racailles ! Notre article, qui a chatouillé l’égo du candidat aux législatives dont aucun électeur n’a jamais voulu, pas même la patronne du Rassemblement national sous les jupons de laquelle il a trouvé un parapluie pour rester à sec pendant qu’il pleut des crachats, a sorti le «chameau» – c’est ainsi qu’on le surnomme en France – de son désert politique où il se morfond, pleurnichant sur les plateaux de télévision qui lui offrent le gîte, en même temps qu’un tout-venant de nouveaux arrivants devenus plus autochtones que les Gaulois. Le Cairote, rebaptisé du nom d’un apôtre pour muer en Français de souche, a fait de la haine anti-Arabes et de l’animosité contre les musulmans son antidote contre ses affligeants fiascos.
Affichant un sourire diabolique, plein de vice et de licence, un regard méphistophélique étincelant de diablerie et de malignité, le sieur Messiha – serpillère, en arabe – s’essuie le front suant l’intrigue et la fourberie sur l’oriflamme du Front national qui l’a enveloppé de son lange maculé d’intolérance et de jingoïsme. Ce mot, «racailles», lui vaudra, qu’il le sache, des poursuites judiciaires. Algeriepatriotique saisira d’ores et déjà SOS Racisme et toutes les institutions françaises pour les informer des fariboles fétides de ce fier-à-bras en état de putréfaction morale avancé.
K. B.
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