43 start-up prendront part samedi à la 2e édition «Algeria Start-up Challenge»

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La meilleure idée de startup représentera l’Algérie à la finale mondiale du Startup Weekend Women. D. R.

Plus d’une quarantaine de jeunes start-up porteuses de projets innovants vont participer, samedi prochain à Alger à la 2e édition «Algeria Start-up Challenge», a appris, l’APS auprès des organisateurs.

Organisé par l’incubateur de start-up Capcowork sous le parrainage du ministère délégué des Start-up et de l’Economie de la connaissance auprès du Premier ministre, cette 2e édition a pour ambition d’être le tremplin et l’accélérateur de projets innovants ainsi qu’un véritable «shaker» social et professionnel.

Ce parrainage offrira aux six start-up lauréates une garantie de signature des contrats dans chaque thématique avec les ministères et les administrations publiques concernés, a expliqué l’organisateur du programme, Abdelfatah Harizi.

«Ces six start-up auront également accès aux dispositifs de financements auprès de fonds d’investissement qui sera prochainement créé pour les start-up et elles seront accompagnées par une délégation ministérielle tout au long du programme».

Parmi les thématiques qui seront traitées lors de cette 2e édition, l’économie circulaire, l’entrepreneuriat social, le e-gouvernement, le tourisme, la télémédecine et le traitement des dossiers ainsi que la logistique, la distribution et le transport.

CapCowork est un incubateur de start-up dédié à la création d’un écosystème entrepreneurial innovant dont la dynamique repose sur la promotion et l’encadrement de la jeunesse algérienne avec le soutien des acteurs économiques locaux.

Quant à Algeria Start-up Challenge, c’est un programme qui a pour but de booster les porteurs de projets ayant des idées de start-up et autres solutions innovantes visant à améliorer le quotidien du consommateur algérien ainsi que le développement de l’économie collaborative.

R. E.

Comment (2)

    awres
    15 décembre 2020 - 9 h 50 min

    Je vais me faire l’avocat du diable. Je cite :
    « Parmi les thématiques qui seront traitées lors de cette 2e édition, l’économie circulaire, l’entrepreneuriat social, le e-gouvernement, le tourisme, la télémédecine et le traitement des dossiers ainsi que la logistique, la distribution et le transport. »
    L’économie circulaire ? C’est ce que pratiquaient nos anciens avant le pétrole !
    L’entrepreneuriat social ne vise pas le profit,dit-on. Alors comment développer des richesses ? Cela ressemble plus à du bénévolat, non ?
    Le e-gouvernement ? Suppression de milliers d’emploi, problèmes liés aux manques de moyens matériels (ordinateur, internet), de connaissances en informatique, etc. Quid des futurs chômeurs et de la perte de salariés-consommateurs ?
    La logistique, la distribution et le transport relèvent du tertiaire. Pour arriver là, il faut déjà développer le primaire et le secondaire !
    Je le dis et redis : l’avenir de l’Algérie ne viendra pas de jeunes diplômés sans le sou, ni des nouvelles orientations économiques empruntés au monde civilisé. Il nous faut un mode de production qui nourrisse le peuple avant tout et le guide en même temps vers l’autarcie. Ce mode est nécessairement collectiviste et s’appuie sur les ressources locales. L’Occident s’est développé en pillant le reste de la planète. Ce ne sont pas ses « intellectuels » qui l’ont développé mais ses canons. Nous n’avons pas eu ce loisir … Il nous faire comme Mao. C’est lui l’exemple : il n’a pillé personne, et aujourd’hui son peuple prête de l’argent au plus riche capitaliste ! Voilà l’exemple.

      Anonyme
      16 décembre 2020 - 19 h 38 min

      Il nous faire comme Mao…(!)

      L’Occident s’est développé en pillant le reste de la planète…Mais c’est ce que fait la Chine en ce moment depuis qu’à la mort de Mao, Deng Xiaoping a lancé la réforme économique chinoise en 1978, puis en 1980 les réformes politiques de ce pays en proposant une révision systématique de la Constitution chinoise qui a permis le développement en s’ouvrant sur le monde.

      Révise ton histoire de la Chine…

      Mao n’est absolument pas à l’origine de la situation actuelle de la Chine. Il a, par contre, quelques 20 à 30 millions de morts à son actif par suite de famine, à cause de sa politique.

      Il nous faut faire comme la Chine…C’est un peu tard, c’est en 1962 qu’il fallait prendre les bonnes décisions. En 1962, nous avions un PIB supérieur à celui de la Chine…2020, nous sommes dans la « main économique » de la Chine. Ainsi va la vie.

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