Hirak algérien : la filière tunisienne

Tunisie ressuscitation
Moncef Marzouki et Rached Ghannouchi, deux vassaux de Doha. D. R.

Par Ahmed Bensaada – La récente ressuscitation politique de l’ancien président tunisien en a surpris plus d’un, non seulement par la piètre teneur de son propos mais, surtout, par son insolente immixtion dans les affaires d’autrui. On a ainsi eu droit à Marzouki l’insipide écrivain collabo, Marzouki le pitoyable orateur et Marzouki le médiocre analyste, une triple punition pour les personnes qui ont suivi ses errances cogitatives.

Moncef Marzouki est, en effet, le préfacier du livre commandité par le mouvement Rachad en réponse au mien (Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien ?). Cette ostensible collaboration avec une organisation accusée d’avoir des liens avec la nébuleuse islamiste, et dont l’hyperactivité au sein du Hirak n’est plus à démontrer, met en lumière deux aspects importants. Primo, Marzouki étant lui-même un islamiste avéré, sa contribution à ce travail de pure propagande confirme la nature internationale de l’entité Rachad et du rôle nocif de son internationalisme dans le Hirak. Secundo, elle montre que la «printanisation» de l’Algérie est le but recherché par Rachad et son auteur fétiche. On peut s’en rendre compte en lisant la préface du livre de Rachad. Marzouki y écrit : «Après la première vague du Printemps arabe en Tunisie, en Libye, au Yémen, en Egypte et en Syrie, et malgré les revers et ce que certains ont pris pour des leçons, la deuxième vague est survenue au Soudan, en Algérie, en Irak et au Liban.»

Ainsi, selon Marzouki – et, bien entendu, Rachad –, l’Algérie vit actuellement une deuxième vague de printanisation touchant les pays arabes «rescapés» de la première. Une fatalité concoctée d’après les grimoires d’officines bien connues. Et quand on sait quelle a été la conséquence de cette saison funeste sur la plupart de ces pays, on imagine les images de chaos qui doivent faire saliver Marzouki et ses «rachadiens».

Des villes complètement détruites, des citoyens décimés par centaines de milliers, des réfugiés fuyant la terreur par millions et des rêves évaporés à jamais. Même dans le cas de la Tunisie, il est difficile de comprendre cette propension à idéaliser sa situation. Il est vrai que la condition des libertés démocratiques s’est nettement améliorée. Malgré cela, les observateurs (surtout occidentaux) sont unanimes sur son insuccès, dix ans après la disparition de feu Mohamed Bouazizi. Et les titres des journaux soulignant cet anniversaire sont éloquents : The Guardian (GB): «’He ruined us’: 10 years on, Tunisians curse man who sparked Arab spring» («Il nous a ruinés» : 10 ans plus tard, les Tunisiens maudissent l’homme qui a déclenché le printemps arabe) ; Le Temps (CH) : «Mohamed Bouazizi, le héros maudit de Sidi Bouzid» ; Le Figaro (FR) : «Dix ans après, le goût amer des Printemps arabes» ; Tunisie Numérique (TN) : «Le Monde : techniquement, la Tunisie est quasiment en faillite !», etc.

On constate que ceux-là mêmes qui soutenaient et applaudissaient les «printemps» arabes se rendent compte – un peu trop tard – de leur erreur. Et à quel prix ! Dans le cas tunisien, on peut y ajouter certaines particularités «post-révolution» : la sidérante participation au jihadisme international (premier pourvoyeur de terroristes dans le monde en 2015), l’odieux «jihad al-nikah», le phénomène des harragas , etc.

Alors, au lieu de s’occuper des affaires algériennes, Marzouki devrait plutôt s’intéresser à son pays et mettre ses «immenses» talents au service de son peuple. A moins que le surnom de «Tartour» (pantin) dont il a été affublé par les Tunisiens ne le disqualifie complètement.

Marzouki s’est aussi fait remarquer par sa position anti-algérienne dans le dossier du Sahara Occidental. Une attaque féroce et hostile qui corrobore son rôle collaborationniste dans le Hirak. Il est inutile de discuter plus longuement ce dernier point puisque le professeur Chitour s’en est chargé de manière académique en dressant un tableau peu reluisant du Tartour tuniso-rachadien.

Marzouki ennemi de l’Algérie ? Son rôle dans le Hirak et la virulence de ses récentes sorties médiatiques tendent à le confirmer.

Il est cependant intéressant de noter que cette rencontre, qui a permis à Marzouki de verser tout son venin sur l’Algérie, a été organisée par Shoaa for Human Rights Ltd. Cette ONG récemment incorporée à Londres est présidée par l’Algérien Rachid Aouine. D’après les journaux de l’époque, Ouine est un ancien douanier «abusivement licencié», qui s’est métamorphosé en militant des droits de l’Homme. Après avoir eu maille à partir avec la justice algérienne, il a été défendu par Al-Karama, fondation proche du mouvement Rachad. Il s’est exilé par la suite à Londres où il continue ses activités droit-de-l’hommistes par le biais de cette nouvelle ONG.

Cela explique pourquoi on retrouve Marzouki chez Rachad et chez Shoaa for Human Rights Ltd. Mais cela n’expliquera jamais pourquoi des Algériens qui prétendent défendre leur pays permettent à un étranger de cracher sur l’Algérie.

On se serait contenté d’un seul tartour (fanfaron) produit par notre pays voisin, mais voilà qu’un second fait surface, comme par enchantement. Il s’agit d’Ahmed Ounaies, un ancien ministre des Affaires étrangères de la Tunisie, membre du gouvernement Ghannouchi II. Ce monsieur s’était fait remarquer par ses éloges à l’égard de Michèle Alliot-Marie, son homologue française, celle-là même qui avait proposé «le savoir-faire» des forces de sécurité françaises pour mater la «révolution du Jasmin». Ses propos avaient à l’époque soulevé l’ire des fonctionnaires de son ministère qui l’avaient chahutée et poussée à la démission. Il ne resta finalement à son poste que… 25 jours ! Et c’est ce «grand» diplomate qui vient donner des leçons à l’Algérie, on aura tout vu !

Regardons ça de près. Dans une virulente interview sur IFMTV, il accusa l’Algérie – qu’il désigne par «régime militaire algérien» – d’être la source de tous les maux de la région en plus de s’être accaparé frauduleusement plusieurs «centaines de kilomètres du Sahara tunisien» et d’avoir cassé l’Union du Maghreb arabe, contrairement au Maroc. Il ne se priva pas d’ajouter que la normalisation du Maroc avec l’Etat hébreu n’était pas négative et qu’elle avait été imposée par la position algérienne.

Epargnons-nous les autres inepties de cet acabit proférées par cet analyste digne du café du commerce. On doit se réjouir pour la Tunisie car c’est une chance pour elle que ce Monsieur n’ait pas fini le mois à la tête de sa diplomatie. Il aurait mené son pays dans un gouffre sans fond.

Il n’y a pas que ces deux vieux flibustiers qui ont mis leur nez dans les affaires algériennes. D’autres Tunisiens, plus jeunes et plus sournois, n’ont rien à leur envier. Et on doit encore ceci à Rachid Ouine et à sa fameuse ONG de Londres.

En effet, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme, le 10 décembre 2020, Shoaa for Human Rights Ltd organisa une rencontre en-ligne ayant pour thème «La situation des droits de l’Homme en Algérie». Sur la liste des participants, on pouvait lire, entre autres : Mme Nassera Dutour, Abdelghani Badi, Messaoud Romdhani, Samir Bouaziz et Mme Zouhour Ouamara. Ces invités représentaient respectivement les organisations suivantes : CFDA (Collectif des familles de disparus en Algérie), LADDH (Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme), EuroMed Droits, RSF (Reporters sans frontières) et Article 19.

Ça ne vous rappelle rien ? Bien sûr que oui : ce sont cinq des seize organismes qui ont appuyé, dans une déclaration commune, la résolution du Parlement européen contre l’Algérie en date du 25 novembre dernier. S’il y a une chose qu’on ne peut pas leur enlever, c’est leur persévérance acharnée contre l’Algérie. Deux semaines plus tard, ils étaient déjà au boulot. Quelle énergie !

Les connexions entre ces «ONG» et les Fondations Soros et/ou les organisations américaines d’«exportation» de la démocratie ont été récemment discutées dans un article détaillé.

Parmi ces cinq ONG, les deux premières sont algériennes (financées par la NED – National Endowment for Democracy) alors que les trois autres sont internationales, bénéficient d’un statut de lobbyiste auprès de l’Union européenne (UE) et reçoivent des subventions de l’Open Society Foundations (OSF) de George Soros.

Intéressons-nous maintenant aux représentants de ces trois ONG internationales.

De nationalité tunisienne, Messaoud Romdhani est membre du comité exécutif d’EuroMed Droits. Il est aussi membre fondateur du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH) et directeur de publication au Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT). Messaoud Romdhani œuvre aussi comme directeur pour la Tunisie de l’Institut du Caire pour l’étude des droits de l’Homme (CIHRS). Cet institut financé par la NED faisait partie, lui aussi, des seize organismes cités auparavant.

Accompagné d’une délégation de militants(es) tunisiens (nes), Romdhani s’est rendu à Alger le 29 mars 2019 pour participer au 6e vendredi du Hirak.

Le lendemain, la délégation s’est réunie avec le Collectif de la société civile algérienne dans les locaux du RAJ (Rassemblement actions jeunesse), une autre ONG algérienne financée par la NED. Sur certaines photos, on remarque la présence d’Abdelouahab Fersaoui et Hakim Addad.

Dans son intervention (53’10’’ @ 1h 10’ 05’’) lors de l’évènement organisé par Shoaa for Human Rights Ltd, on l’entend expliquer que le Hirak a été pacifique et n’a pas cédé aux provocations de «l’autorité» malgré le «harcèlement des activistes qui ont été arrêtés et des journalistes qui sont un moyen important pour diffuser les informations à l’extérieur de l’Algérie». Pour lui, le référendum a été «une farce à tous les points de vue» et que la condamnation du Parlement européen n’est pas une interférence dans les affaires algériennes puisque, d’après lui, «le système algérien» a accepté les conditions contenues dans les clauses de son partenariat avec l’UE.

Il serait certainement utile de faire parvenir l’article de Boualem Snaoui à ce valeureux militant des droits de l’Homme, ça l’aidera certainement à mieux comprendre les attaques de son ONG contre l’Algérie, mises dans la bouche de l’UE.

Samir Bouaziz est un journaliste tunisien, responsable des projets et du plaidoyer pour l’Afrique du Nord à RSF. Son militantisme droit-de-l’hommiste lui a naturellement ouvert les portes des médias mainstream. C’est ainsi qu’on l’aperçoit souvent sur les plateaux de France 24, un média bien connu pour sa partialité dans le traitement du Hirak algérien. Rien d’étonnant, puisque sa lecture des évènements ne diffère nullement de celle du Quai d’Orsay. On l’a aussi vu sur Al-Magharibia (Awraas), la chaîne TV des militants de l’ex-FIS (Front islamique du salut), ce qui en dit long sur ses accointances politiques.

Le discours de Bouaziz (1h 16’ 48’’ @ 1h 33’ 34’’) lors de la rencontre organisée par Shoaa for Human Rights Ltd porta évidemment sur la liberté de la presse et le cas du journaliste Khaled Drareni. Selon lui, ce qui est publié par l’agence de presse nationale algérienne (APS, Agence presse service) est considéré comme une régression, une restriction. Il ajouta que Belhimer, ministre de la Communication, veut se faire une représentation du journaliste qui lui est propre et, concernant la presse écrite, il désire imposer des normes restrictives, selon sa propre perception.

Ses critiques ne diffèrent donc pas de la ligne que s’est fixée (ou s’est fait dicter ?) RSF dans le dossier «Algérie». Mais quand on connaît toutes les controverses qui entourent cet obscur organisme, on est en droit de douter de l’objectivité de Bouaziz. Tout d’abord, au sujet du financement de RSF, il est important de se référer au remarquable travail de Maxime Vivas, journaliste d’investigation, qui a méticuleusement étudié et démystifié RSF pour en écrire un livre intitulé La Face cachée de Reporters sans frontières. Vivas a bien voulu mettre à notre disposition, et à titre gracieux, un extrait de ce livre que nous publions ici.

Pas encore convaincu ? On recommande alors la lecture de la récente interview de mon ami Jacques-Marie Bourget, journaliste, écrivain et grand reporter de guerre. Elle est intitulée «RSF est un outil de propagande atlantiste».

Passons à la représentante de la troisième ONG, Mme Zouhour Ouamara. Sur son compte LinkedIn, cette dernière se présente comme «consultante régionale pour la zone Mena (Middle East and North Africa) de l’ONG Article 19» et c’est à ce titre qu’elle a été invitée au débat en-ligne organisé par Shoaa for Human Rights Ltd.

Article 19 est une ONG britannique qui se spécialise dans la défense de la liberté d’expression. Sur son site, on peut lire qu’elle «œuvre pour un monde où tous les peuples du monde entier peuvent s’exprimer librement».

Financée par un très grand nombre d’organisations occidentales, privées ou étatiques, elle l’est aussi par certaines, américaines, qui se sont spécialisées dans l’«exportation» de la démocratie telles que la National Endowment for Democracy (NED), la United States Agency for International Development (USAID), l’OSF ou Freedom House. Comme indiqué dans un article précédent, cette ONG est également subventionnée par le département d’Etat américain. Toutes ces informations peuvent être consultées sur une des pages du site officiel d’Article 19.

Qui finance l’Article 19 ?

Née d’un père algérien et d’une mère tunisienne, Mme Ouamara est une militante très active dans le Hirak, comme on peut s’en rendre compte lors de la manifestation du 11 décembre 2019 devant la porte du consulat général d’Algérie à Tunis. Pour rappel, cette date correspond à la veille de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019.

D’après la journaliste qui l’avait interviewée ce jour-là, elle portait une pancarte avec le slogan «Ulac l’vote ulac» (Pas de vote). A propos des élections, elle déclara que «cette élection ne répond pas aux volontés du peuple» et qu’elle dénonçait «les bureaux de vote ambulants mis en place sur tout le territoire tunisien pour augmenter illégalement la participation».

Il est difficile de comprendre la démarche de Mme Ouamara qui se dit «professeure de droit». Comment peut-elle convaincre ses étudiants qu’«empêcher de voter est un acte démocratique »? Comment s’y prend-elle pour leur définir la notion de «peuple» ? Sur quelle loi se base-t-elle pour affirmer l’illégalité de ces bureaux de vote?

Ce qui nous mène à une question primordiale : l’ONG Article 19 était-elle opposée à l’élection présidentielle ? Alors, quid de la liberté d’opinion et d’expression contenue dans l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme ?

Comme son collègue Samir Bouaziz, Mme Ouamara s’affiche ostensiblement sur la chaîne Al Magharibia (Awraas) où elle se présente comme «militante des droits de l’Homme et analyste politique».

Le plus intéressant dans le cas de cette militante, analyste, professeure, activiste et ONGiste, c’est sa déclaration lors de la conférence de Shoaa for Human Rights Ltd (1h 10’ 08’’ @ 1h 16’ 40’’).

Tout d’abord, elle nota que depuis le début du Hirak, il y a eu «le recul des droits de l’Homme en Algérie», «la politique répressive des autorités», «la politisation du pouvoir judiciaire», «la politisation de la pandémie du coronavirus», «l’amplification des pouvoirs du président de la République dans la nouvelle Constitution», etc.

Toutes ces formulations, qui font partie du champ lexical spécifique au droit-de-l’hommisme, ne sont pas originales. Elles ont déjà été entendues dans les antichambres de la «printanisation». Mme Ouamara aborda par la suite le «passionnant» sujet de la solidarité internationale.

«[…] Le côté positif, c’est que nous observons qu’il y a une vague de solidarité de la société internationale avec la société civile algérienne et, malgré toutes les difficultés, les organisations internationales ont procédé à de multiples démarches. La dernière en date est la résolution du Parlement européen. Nous constatons aussi qu’il y a un élan qui montre la solidarité internationale avec le Hirak populaire malgré la diabolisation de cette solidarité […]» Tiens donc, Mme Ouamara reconnaît l’existence de l’effervescence «des organisations internationales» (et de la sienne, Article 19) contre l’Algérie ! Et elle est bien au courant de la levée de boucliers suscitée par cette fameuse résolution européenne. Est-elle si offusquée par les arguments de la critique qu’elle n’a plus aucune autre alternative que l’invocation des démons ? Mais, Madame, de quel côté se trouve le diable ? Du côté de ceux qui détruisent les pays ou de ceux qui veulent les préserver ? De ceux qui veulent massacrer des populations ou de ceux qui veulent protéger leur vie ?

Le diable, Madame, se trouve du côté de ceux, comme vous et vos organisations droit-de-l’hommistes, qui ont transformé des pays prospères en champs de ruines, qui ont provoqué des exodes et qui ont creusé des fosses communes.

Mme Ouamara termina son laïus en émettant la recommandation de la poursuite du Hirak et de sa structuration d’une manière orientée vers la garantie des droits et des libertés.

Ainsi, Mme Oumara confirme le travail synergique des ONG nationales et internationales dans l’affaire de la résolution du Parlement européen, comme expliqué dans une précédente analyse.

L’activisme politique des Tunisiens et leur collaboration avec les organisations américaines d’«exportation» de la démocratie n’est, lui non plus, plus à démontrer. Durant le «printemps arabe», cela a été rendu possible dans le cadre de ce que le journaliste Pierre Boisselet a nommé «la ligue arabe du Net». Citons, par exemple, le cas du cyberactiviste tunisien Slim Amamou qui a tout naturellement reconnu avoir collaboré avec la CIA, rien de moins.

Tous les éléments discutés dans cet article montrent l’existence d’une réelle ingérence dans les affaires algériennes par des politiciens et des activistes tunisiens. Peut-on leur rappeler la neutralité des Algériens lors de leur «révolution du Jasmin» ? Alors, de grâce, qu’ils nous laissent régler nos problèmes entre Algériens et qu’ils s’occupent des leurs, ils en ont tellement !

D’autre part, les activités subversives de ce type d’individus sont non seulement directement néfastes pour la Tunisie, mais affectent aussi la grande amitié et le respect entre les peuples algérien et tunisien.

Récemment, le politologue tunisien Riadh Sidaoui a émis le vœu de voir émerger, dans ces temps difficiles, une alliance entre la Tunisie et l’Algérie. Très bonne initiative, mais cela ne pourra jamais se faire tant que la Tunisie n’aura pas neutralisé ses activistes droit-de-l’hommistes et ses politicards qui nuisent aux relations entre les deux pays.

Car, qu’on se le dise, l’Algérie ne sera d’aucune façon indulgente envers tous ceux qui désirent y créer le chaos. C’est ce serment qui a été fait à nos valeureux martyrs.

A. B.

Comment (23)

    Il y a pas de Monopole
    23 décembre 2020 - 22 h 05 min

    Que l’Algérie Finance une Vraie Démocratie des Peuples, y-compris à l’Etranger.
    J’en ai Marre de lire de posts de Découvreurs de Complots.
    Quoi, Vous voulez vivre isolés du Monde ?
    Ça n’arrivera pas!
    Accepter les Combats, soyez Offensifs, protégez vos bases Arrières et faites Passer le Message et la Vision de l’Algérie sur la DÉMOCRATIE en AFRIQUE et dans le MONDE.
    Soyez OFFENSIFS…ayez de l’AUDACE !
    Sinon, Arrêtez de SUBIR, de Crier au Complot, même si c’est Vrai…. ça devient FATIGUANT !

    J'en étais sur !
    23 décembre 2020 - 18 h 14 min

    Voila que mes doutes ce dissipe comme neige au soleil !
    j’avais un doute concernant la tunisie et ses partit islamistes qui veulent engranger plus de moutons
    pour leur futur abattoir car je savais que le Makhzen sioniste avait une main mise sur le HIRAK
    mais pour avoir monter la tète avec l’islame radicale à autant de citoyens il a fallu l’aide du coté obscur
    de la tunisie et de ses terroristes islamistes pour mettre la main sur l’Algérie et se partager nos richesses
    marzouki ta oublier une chose dans ton travaille c’est que notre armée de libération nationale
    à mis tout les traitres en prison depuis que vous avez envoyer Nekkaz pour prendre la tète du HIRAK !
    Vous me faites rire monsieur car la tunisie on l’encercle en une demie heure alors tiens toi tranquille et melle toi de tes oignons,,

    Anonyme
    23 décembre 2020 - 13 h 05 min

    Peut-on connaître le montant du financement de la RAJ et les preuves de ce financement (comptes, virements etc…) merci

      Que cherches-tu ??
      23 décembre 2020 - 16 h 44 min

      @Anonyme 23 décembre 2020 – 13 h 05 min , waach tu veux te la jouer à la commissaire Colombo ou procureur de la république ou quoi ??

        Anonyme
        23 décembre 2020 - 17 h 41 min

        La question est claire…

    Karamazov
    23 décembre 2020 - 11 h 53 min

    Iben moua je pense que l’auteur ne nous rachètes pas de ces contributeurs légitimes qui ont la sachience infuse hors sol. De temps en temps ils nous agrémentent de quelques missiles sol-air en plein tarin pour nous éblouir de leur lumières.

    D’abord sans cet article je n’aurais rien su de la collaboration de Marzouki-rachad ni de toutes les organisations dont on fait état ici. Elle n’est ostentatoire que pour ceux qui veulent bien aller y voir . Car qui se soucie aujourd’hui du sort de Marzouki que faute de hbeb izourouh lekleb. Et réciproquement.

    Comme des diseuses de bonne aventure ils lisent dans le marc du café ou des entrailles de poulet ce qui adviendra de nos misérables conditions humaines. Le moindre soubresaut d’une grenouille dans une marre aux canards quelque part dans le paysage médiatique est un signe révélateur pour eux , un analyseur pertinent hors de portée des clics des cyber-amateurs que nous sommes qui n’est réservé qu’aux sommités qu’ils sont.

    Je ne dénigre pas je splique.

    Rappelons-nous que quelques secondes avant l’avènement du Hirak la populace biberonnée à la rente et à la religion végétait en pleine léthargie dans une mornitude totale qui ne le prédestinait à aucun soulèvement , malgré quelques spasmes systémiques. Rien de rien n’annonçait le moindre signe de changement . Aucun signe prédictif de transformation sociale , aucun bouleversement culturel, scientifique, social, géologique, économique, culturel ne présageait le moindre balbutiement d’une transformation sociale.

    C’est l’aberration du cinquième mandat qui a tout déclenché . Le Hirak n’est que la réaction impulsive à cette humiliation. Cette réaction impulsive à par la suite réveillé et charrié tout ce que la société contenait d’archaïsmes parmi lesquels tous les partis politiques clientélistes , la vermine islamiste, les berberistes convertis, les sans-âge-idiot, et quelques opportunistes.

    Le Hirak n’a été rien d’autre qu’un facteur déclenchant, un prétexte, pour ce qui suivit.

    Oui, il y eu les marches . Mais les marches ne sont que des processions incantatoires messianiques pour exorciser le sort d’une populace qui croit comme notre contributeur ici-même d’ailleurs que notre destin n’est pas de notre ressort mais se joue dans des clouds célestes ou hors de notre portée.

    La preuve : après quelques règlements de comptes dignes d’OK Corral : annulation du cinquième mandat, embastillement de quelques rivaux, il n’y a rien eu de nouveau. Bensallah est resté jusqu’au bout de sa mission, Bedoui aussi, on a eu un nouveau président issu du Système , une constitution adéquate et seule la biologie a empêché GS de finir son œuvre. Le Système s’est rétablit dans toute sa plénitude et tout est reparti comme avant.

    Delà à nous faire croire que Marzouki qui n’a fait que resquiller à la faveur de la branlade populacière de son pays et qui a fini par être éjecté sans qu’il ait fait quoi que ce soit , fasse parti du « complot » ou puisse nous nuire , je crois , qu’il ne s’agit-là que d’élucubrations fantasques pour nous sustenter.

    Mais libre à vous de croire que ce qui arrivera dans le futur ne sortira pas des cuisines du Système mais sera le résultat de ce que fait Marzouki , Rachad ou le Mak ou des déblatérations de contributeurs attitrés qui cherchent le buzz pour se faire remarquer.

    Algérie, plus forte encore avec un régime civil !
    23 décembre 2020 - 10 h 59 min

    Ok moi je partage l’analyse de Ahmed Bensaada. On doit effectivement rester en extrême vigilance pour défendre le pays, mais aussi en même temps, l’Algérie se doit de se départir de la désignation de «régime militaire algérien» qui lui colle à la peau et qui l’handicape sur certains plans. Aussi, il est temps que les hauts gradés militaires qui ont la décision pensent à mettre intelligemment et progressivement en place un régime civile et faire entrer le pays dans une transition démocratique concertée, sincère et apaisée !

    Les dangers sont de plus en plus évidents à nos frontières, à nos portes et donc l’Algérie a intérêt à aller dans la direction de la construction démocratique et du changement radical de de gouvernance, il n’y en a pas d’autres voies pour rendre encore plus fort le pays ! Le régime militaire se doit d’écouter son peuple sans lequel il ne pourra rien faire sans sa confiance ! Le haut commandement de l’armée peut encourager , aider à entreprendre ce chantier démocratique avec le peuple, qui se solidarisa encore plus avec son armée nationale populaire. Il faut de la volonté politique pour çà, je parle de volonté politique car l’armée fait malheureusement toujours de la politique et ce depuis l’indépendance.

    Vive le peuple algérien, vive l’ANP !

    Salim Samai
    23 décembre 2020 - 10 h 58 min

    Si Bensaada, SIMPLIFIONS le Schema!
    Ce sont souvent USA, Franca et l`OTAN qui OUVRENT le Portail d´ou s´éngoufrent la Chine et Poutine!
    DZ est l´Amie de la Chine & l´URSS car elles l´ont aidee en 54! Assad l´est avec l´Iran & Poutine car ils l´ónt sauvé du DIKTAT de la Turquie, Israel & des USA qui servent la Strategie d´Israel dans la region.

    Le Parlement Europeen, c´est Timgad! Une Retraite de Vieux Soldats pour Services Rendus. Similaire aux ONGs et aux « Philosophes » qu´on commandite ou UTILISE telles nos Organisations de Masse & le FLN!
    N´en fasons PAS notre souci ou nos Faux Problemes, une specialite de la Maison!

    Le Hirak est une Revendication Nationale qui veut l´Etat de Droit dans l´Interet de la Nation. de l´État et de TOUTES les institutions de DZ!

    Ajustons nos tirs et reconnaissons nos ennemis! Tout ce qui est critique n´est pas destructif et tout « Madh » n´est pas Constructif! Le FFS et Ait Ahmed, Allah Yarhamou, ne sont nji moins ni plus nationalistes que ceux qui gerent NOTRE maison et qu´on DOIT CONTROLER et critiquer afin qu´ils ne derivent PAS Vers Pharaon!

    Belveder
    23 décembre 2020 - 8 h 18 min

    Monsieur il faut être juste la Défense de L Algérie est dans Nos tripes a nous Tous..Mais ce n est pas pour autant vrai de tout mettre dans le même sac et accuse l étranger de tous nos Maux les titres des journaux occidentaux ne sont pas parole sacré ce n est pas ce jeune tunisien qui et Maudit c est la gestion de «  »l après » » qui et catastrophique et dans tous les Pays où il y a eu soulèvement nottament L Algérie ..on arrive pas à s entendre les uns tirent sur les autres infiltrations manipulation ..Ce n est pas Les HIRAK qui sont la cause ..

    Anonyme
    23 décembre 2020 - 8 h 08 min

    Les Rashad et leurs petites mains veulent l’anéantissement de l’Algérie, il n’y a pas de doute la dessus. Il faut être vraiment malhonnête ou payé par le Qatar pour penser autre chose de ces terroristes à costume. Cela dit, se recroqueviller sur soi-même et utiliser cette menace pour empêcher toute ouverture n’est pas la meilleure réponse à apporter à cette secte. Je dirai même qu’on devrait accélérer le changement et les réformes en faisant le grand ménage au lieu du dépoussiérage actuel. Faire le grand ménage n’est possible qu’en s’appuyant sur une majorité du peuple. Les résultats du référendum montrent qu’on en est loin. Le temps joue en faveur des ennemis de l’Algérie. Après l’élection présidentielle beaucoup attendaient des gestes forts, mais après 1an c’est le désespoir qui gagne du terrain. Beaucoup de personnes se demandent si cette volonté de changement existe vraiment au sommet et si cette volonté existe vraiment, est-ce qu’elle n’est pas freinée par certains à l’intérieur même de notre état. Dans ce cas on a toutes les raisons d’être pessimistes

    Abou Stroff
    23 décembre 2020 - 7 h 52 min

    contrairement à A. B., je ne crois pas que l’introduction de la filière tunisienne ou de la filière du royaume des tongas ou de celles des ong à la solde de « l’impérialisme, du sionisme et de la réaction » puissent apporter le moindre éclairage, en vue de son dépassement, du hirak.
    en effet, si nous admettons que « La cause fondamentale du développement des choses et des phénomènes n’est pas externe, mais interne; elle se trouve dans les contradictions internes des choses et des phénomènes eux-mêmes. » alors il nous faut reconnaitre que les forces externes ne peuvent qu’exacerber des contradictions internes, déjà existantes et agissantes, au sein des choses et des phénomènes et qu’à ce titre, mettre l’accent sur les forces externes relève de la pure diversion dont l’objectif ultime est d' »absoudre » le pôle dominant (ce que je nomme « la marabunta qui nous gouverne » et dont A. B. semble être un fervent défenseur) de la contradiction principale du moment, de son rôle néfaste quant à notre arriération dans tous les domaines possibles et imaginables et à la crise permanente que nous vivons depuis des décennies.
    j’avance donc que le hirak est, d’abord et avant tout, la concentration et le produit du ras le bol qu’éprouvent tous ceux qui considèrent qu’ils ne reçoivent pas la part de rente qu’ils considèrent être leur dû et qui se défoulent une ou deux fois par semaine pour oublier le vide sidéral* qui enveloppe leur vécu quotidien.
    je pense que le hirak (et je m’excuse auprès des certains compatriotes naïfs qui croit au père Noël pour ne pas sombrer dans une profonde dépression) est, d’abord et avant tout, une remise en cause puérile (d’où les slogans « yaetnahaw ga3 » et « dawla madania machi 3askaria » qui sont aussi stériles qu’un caillou couvé par un coucou) du pouvoir incommensurable que se sont octroyées les couches (la marabunta qui nous gouverne) qui dominent le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui nous avilit et nous réduit à des moins que rien.
    cependant, contrairement aux attentes d’idéalistes qui ne savent guère analyser concrètement une situation concrète, cette remise en cause ne peut déboucher, dans les faits, que sur deux, et uniquement deux, voies.
    – un chaos généralisé qui aboutira au dépeçage par les puissances impérialistes, l’entité sioniste (voir le plan yinon de 1982 et les manoeuvres actuelles dans notre voisinage immédiat) et de certains cercles au service des premiers nommés de l’Algérie en tant qu’Etat et Nation.
    – un sursaut révolutionnaire de la part des cercles dirigeants actuels qui sont en majorité composés de militaires.
    car, je persiste et signe: dans un système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation, il n’y a ni société civile (au sens de Gramsci), ni citoyens pour la composer et encore moins de partis représentant des couches sociales au intérêts différenciés. il n’y a, en caricaturant un petit chwiya, que des prédateurs d’une part et des tubes digestifs ambulants, d’autre part. or, ni les prédateurs, ni les tubes digestifs (la composante majoritaire du hirak?) n’ont, dans les faits, intérêt à dépasser le système qui les gave et/ou les nourrit.
    par conséquent, il me semble que, contrairement aux idées farfelues, (du genre « dawla madania machi 3askaria » ou « yetnahaw ga3 » qui ne reflètent guère des contradictions historiquement datées), avancées par certains idéologues, notre seul espoir est que la haute hiérarchie militaire (et particulièrement, les jeunes officiers qui ne sont pas impliqués dans les « affaires ») prenne ses responsabilités historiques en se débarrassant, dans un premier temps, des officiers véreux qui la dévalorisent auprès des algériens lambda, et en prenant, dans un deuxième temps, le leadership d’une dynamique de dépassement du système rentier qui nous avilit et nous réduit à des moins que rien.
    en d’autres termes, je pense que, contrairement aux apparences et aux slogans creux avancés ici ou là notre salut viendra des militaires ou ne viendra pas du tout. quant aux forces externes, il suffit de neutraliser leurs alliés internes pour qu’elles soient, elles mêmes aussi inoffensives qu’un troupeau de gnou au milieu d’une troupe de lions.
    * chacun aura remarqué la liesse qui s’empare des hirakistes à chaque fois qu’il se mette en mouvement. en effet, le hirak permet à tous et à toutes de noyer la misère sociale ambiante et le vide sidéral du vécu quotidien (pas de cinéma, pas de concerts de musique, pas de théatre, pas de drague civilisée, etc.) dans une catharsis qui ne dit pas son nom. cette catharsis, elle même, me semble être une drogue nouvelle qui permet au hirakiste d’oublier qu’ils sont impuissants et qu’ils ne peuvent que constater l’existence d’un problème (leur marginalisation dans la distribution de la rente) dont la solution est hors de leur portée.

      Anonyme
      23 décembre 2020 - 9 h 03 min

      « Les forces externes ne peuvent qu’exacerber les contradictions internes » le Hirak est un « ras-le-bol » entièrement d’accord, comme je l’ai exprimé à plusieurs reprises. Par contre je n’adhère au ton toujours aussi condescendant et méprisant envers les pauvres citoyens qui n’ont trouvé que les manifestations pacifiques pour crier leur ras-le-bol.

        Hmed hamou
        23 décembre 2020 - 14 h 26 min

        Désolé, Anonyme, mai où voyez-vous de ton condescendant dans le propos de
        Abou Stroff. Autrement, on pourrait dire tout autant du votre; quand vous parlez de  »
        pauvres citoyens ». Pour vous peut être, parler de « pauvres citoyens », cela découle de bonnes intentions; de la compassion ou de la sympathie. Mais, certains y verront aussi de la condescendance envers ces citoyens dont vous parlez! En plus, de quelle pauvreté s’agit il, de pauvreté matérielle, de pauvreté d’esprit, de pauvreté de fortune ou de chance,…?
        Ps. Vous dites : [ » pauvres citoyens qui n’ont trouvé que les manifestations pacifiques pour crier leur ras-le-bol. »].
        Mais, il ne faut pas se voiler la face non plus. Il nous faut pas oublier que souvent ce « pauvre citoyen » se comporte en pauvre et pacifique qu’ envers plus fort que lui ; en revanche envers plus faible que lui ou quand il s’agit d’un autre pauvre citoyen comme lui, là il se métamorphose en un ogre sans pitié… vous n’allez nous dire, qu’il n’a pas le choix, ou qu’il n’est pas conscients, ou encore qu’il est obligé ?

        Aussi, pour se sucrer chacun à son niveau, le « pauvre citoyen » ne se gêne pas de prendre tout dont il est capable sans pense à autrui, comme on dit c’est baylek; là le « pauvre citoyenc ne se gêne pas ; il ne se dit pas que peut être que j’ai déjà pris ma part; peut être que c’est trop pour moi tout seul et je doit en laisser pour les autres; peut être que l’autre pauvre citoyen lui n’a rien encore eu et en plus il en a plus besoin que moi;… Non, chacun pour soi tous crocs dehors.
        Donc, vous voyez tout est relatif. Ya beaucoup de pauvres et de faibles qui se plaignent que les riches et les puissants du moment les méprisent, mais des qu’ils (ces pauvres) deviennent puissants à leurs tours, ou juste moins faible ou moins pauvres, ils deviennent encore plus méprisant (qu’il n’étaient méprisés) envers plus faible qu’eux…
        Moralité de cette pauvre histoire. Se comporter en pauvre citoyen en attendant de s’enrichir ou se comporter pacifiquement en attendant de devenir puissant pour pouvoir se venger et mordre tout ce qui passe à sa porter… C’est ça se comporter en tube digestif, en toute humilité. Du moins, de mon point de vue ; je ne parle pas au nom de Abou Stroff.

    Abdou mlt
    23 décembre 2020 - 0 h 18 min

    Quand il s’agit de garder le pays paisible, il ne faut ménager personne et ne pas trop rentrer dans des considérations qui peuvent être interprétées comme faiblesse. Il faut leur dire en personne de laisser l’Algérie en paix et de s’occuper après de ce qu’ils voudront.

    Anonyme
    23 décembre 2020 - 0 h 06 min

    Les tunisiens sont encore plus dangereux car ils sont hypocrites et se croient meilleurs que les algériens!!!
    Laissons les pleurer à la frontières qu on doit garder fermer pour leur montrer oh !!!combien l Algérie a été généreuse avec eux!!!
    Nos deux voisins ont montré leurs vraies visages,scellons dès alliances avec les États Unis et vous allez voir comment ils vont les laisser tomber comme des sacs de m,,,e car il n y a rien à tirer d eux,ils sont tout le temps entrain de quémander de l argent..

    Pour des militants Démocrates Algériens en Algérie
    22 décembre 2020 - 23 h 19 min

    Si vous ne voulez plus de Financements Etrangers, c’est simple.
    Que l’Etat Algérien Finance les mouvances des militants Démocratiques en Algérie.
    Cela permettra de suivre l’utilisation des Fonds verses et évitera les manipulations relles ou supposes et la promotion d’une Elite politique locale identifiable et identifiée avec des Débats publiques et agissant dans le cadre de la Loi.
    C’est Simple..
    Le préalable c’est la Volonté de s’engager sur la voie démocratique.

      Anonyme
      23 décembre 2020 - 8 h 50 min

      C’est juste un prétexte. Il n’y a jamais eu de financements au vrai sens du terme car cela est interdit par l’état Algérien. En tout cas l’Algérie n’a jamais révélé de virements au profit de partis politiques Ce qui les dérange ce n’est pas les financements des démocrates mais les démocrates eux-mêmes!!

    LotfiALN
    22 décembre 2020 - 21 h 09 min

    A voir leurs gueules c déjà la nausée !
    Ne leur donner plus de l’importance à les ressusciter !
    Ils ne sont même pas recyclables !
    Fonds de poubelles c tout !

    Kahina-DZ
    22 décembre 2020 - 20 h 34 min

    Le VRAI HIRAK DU PEUPLE a duré que quelques semaines. Les traitres internes avec leur collabo d’ailleurs ont sauté sur l’occasion, pour récupérer le Hirak.
    C’était évident et clair…Ces traitres ont voulu détourner les revendications du peuple, pour défendre le Grand Makhreb de la grande arnaque et l’ouverture des frontières…
    Le jeu malsain de la trahison était clair depuis le début…

      Anonyme
      23 décembre 2020 - 7 h 39 min

      Ah tiens!! vous avez changé d’avis? Le Hirak c’était des vendus et des traîtres, maintenant j’apprends qu’il y a un vrai Hirak!! Continues comme ça, tu es sur la bonne voie ????????

    Anonyme3
    22 décembre 2020 - 20 h 24 min

    Les surfeurs de Assoul et cie avec lès autres zitot et cie ont essayé de manipuler le peuple et lès forces de l’ordre avec leurs révolution du sourire distribution de chocolat et de bouteille d’eau et ils ont rendu le hirak authentique à saint valentin ils distribuaient aux forces de l’ordre même dès???? avec le slogan djeich chaab khawa khawa et comme ça na pas marché ils ont changé a ouleche el vote,gouvernement de transition et douwla madania metchi asskaria.le clown merzouki sa position envers nôtre pays est connue bien avant qu’il devenait le président le plus idiot de l’histoire des hommes et femmes qui ont dirigé leurs pays.heureusement que nos frères tunisiens sont intelligents et lui ont rendu son parachute.

    Elephant Man
    22 décembre 2020 - 20 h 22 min

    Excellente contribution.
    Je ne reviens pas sur ce que j’ai déjà écrit ONG qui n’ont de NON gouvernementales que le NOM.

    karimdz
    22 décembre 2020 - 19 h 22 min

    Le Hirak a été une bonne chose au début, mais il a vite été pollué par des islamistes étrangers, des laïcistes et des sionistes agissant via des traitres algériens.

    HamdoulilAh, l’armée a veillé à ce que notre pays ne bascule pas. Les algériens qui plus est, ont été également lucides, et ont dénoncé les immixtions étrangères, et les faux révolutionnaires mais vrais opportunistes qui ne cherchaient qu’à profiter de la situation pour s’ériger en leaders.

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