comme tant d autres unités industrielles, celle de Tizi Ouzou a été réalisée sur fonds publics et depuis son inauguration elle a servi de garderie pour adultes largement rétribuées et récompensés chaque année par des primes alors que sa gestion de fuite en avant a été tout le temps déficitaire puisque la caisse du trésor lui est accessible en toute circonstance .trop c est trop le moment est venu de faire le bilan de cette unité pour déterminer si l investissement a été amorti ou non d une part et d autre part que sa gestion soit assaini sans aucun recours public si ce n est que des prêts bancaires et devra rouler avec ses fonds propres sinon la liquider , on en a marre de trainer des canards boiteux alors que les priorités pour améliorer les conditions de vie sont criardes.
L’Homme qu’il faut à la place qu’il faut = La seule solution…
Un avis: On veut vendre cette entreprise comme on a détruit toutes les autres qui étaient des exemples de réussites industrielles au niveau du continent. Il reste à savoir qui est l’acheteur ??
Le coup dur apporté à la Sonelec ensuite sa fille ENIEM, date des années Chadli où la quasi totalité de la production comme celle de la Sonitex de Draa Ben Khedda, deux fleurons de l’Industrie industrialisante, allait au remboursement de la dette algérienne envers l’URSS. L’ENIEM a toujours eu de bons dirigeants, mais de très mauvais vrais décideurs. On savait que cela viendrait un jour où ces usines que l’ont présentait comme les meilleurs ou les plus grandes d’Afrique allaient fermer boutique depuis l’instauration du 13 ème mois. Aucun pays au monde qui veut sortir du sous-développement donne des congés payés en plus d’un 13ème mois. Populisme du socialisme arabo-musulman quand tu nous tiens!
Quand j’ai lu l’information concernant la possible fermeture de L’Eniem, alors je me suis dit que l’Algérie n’est pas encore nouvelle. À ne rien comprendre.
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