Israël héritier du IIIe Reich et rentier du nazisme

Palestinien tué centre de guerre
Que vaut la vie d'un Palestinien tué pour la communauté internationale et Israël ? Rien. D. R.

Contribution de Mourad Benachenhou – «Le centre de la guerre est la Palestine, mais ses dimensions sont nettement plus larges (…). Le combat est seulement un aspect du conflit qui est dans son essence politique. Et, politiquement, nous sommes les agresseurs et ils se défendent (…). Politiquement, ils l’emportent sur nous. Le pays leur appartient parce qu’ils y habitent, alors que nous voulons venir et nous installer et, de leur point de vue, nous voulons leur confisquer leur pays, alors que nous sommes encore hors de lui.» (Ben Gourion, futur Premier ministre d’Israël : «Discours au Comité politique du Mapai», 7 juin 1938, Source: https://quotepark.com/fr/auteurs/david-ben-gourion/?o=new=)

«Nous affirmons que la lutte du peuple palestinien est un mouvement indigène de libération confronté à une colonie de peuplement… Israël a étendu et renforcé sa souveraineté de colonie de peuplement à travers la guerre, les expulsions, les restrictions dans le droit à la résidence des Palestiniens, et des politiques discriminatoires d’utilisation des terres (…). Ces politiques constituent l’apartheid, établi par l’usage de la force brute qui inclut le vol des terres et la suprématie raciale des habitants juifs sionistes. Et maintenant, comme depuis plus d’un siècle, les Palestiniens continuent à résister contre leur expulsion et leur élimination (…). Les morts palestiniens sont traités comme des sous-produits de la vulnérabilité d’Israël. Les tentatives de transformer la conversation sur la violence d’Etat d’Israël en une série de points de discussion sur les fusées de Hamas reflètent la totale déshumanisation des Palestiniens et l’abject refus de prendre en compte l’agression militaire israélienne. (Appel de chercheurs israéliens et internationaux pour une action en faveur du peuple palestinien, https://ghi2020.web.nctu.edu.tw/palestine-praxis-open-call-and-letter-to-action/)

L’holocauste, qui, faut-il encore le rappeler, s’est déroulé sur le territoire européen, et avec des acteurs exclusivement européens, a été un crime dirigé, non spécifiquement contre un groupe ethnique ou religieux particulier, mais contre tout un ensemble de membres de races qualifiées de «basses» par les penseurs et les dirigeants nazis, et à leur tête Adolph Hitler.

L’holocauste interpelle toute l’humanité

Ce crime constitue une tache indélébile sur la «civilisation occidentale» dont toutes les valeurs ont été violées. Il est d’autant plus impardonnable qu’il a été décidé, programmé et perpétré par des hommes et des femmes imbus de «valeurs chrétiennes», et qui ne pouvaient même pas invoquer l’ignorance des règles de l’amour de l’autre apportées au monde par les enseignements de Jésus Christ. Le souvenir de l’holocauste doit certainement être perpétué, dans l’intérêt même de l’humanité, et pour éviter qu’il se répète, quelles que soient ses futures victimes et quel que soit le lieu où elles vont être condamnées et frappées de mort pour la simple raison qu’elles ne ressemblent pas aux autres membres de leur société.

Nul n’a intérêt à oublier l’holocauste, ou à le nier, quelle que soit sa race, sa religion ou ses opinions politiques, car la haine et la peur de l’autre sont profondément ancrées dans la mentalité humaine, et les populistes ne manquent pas qui, pour accéder au pouvoir suprême, n’hésiteront pas à exploiter ce sentiment de peur de l’autre et à l’exacerber jusqu’à ce que la solution finale apparaisse comme la seule issue pour éliminer la peur de l’autre. On l’a vu encore récemment en ex-Yougoslavie, territoire européen, et le massacre des musulmans de Srebrenica, sous l’œil attentionné de soldats de la patrie d’Ann Frank, et au Myanmar où, comble du paradoxe, la dame Aung San Suu Kyi, titulaire du prix Nobel de la Paix, et maintenant emprisonnée par ses donneurs d’ordre (châtiment divin ou simple morale de criminels se débarrassant d’une complice devenue trop ambitieuse et encombrante ?) a été chargée de mettre en œuvre le génocide des Rohingya, ethnie birmane, dont le seul crime est d’être musulmans.

Les sionistes tirent une rente politique et économique du nazisme

L’holocauste, en tant que crime contre l’humanité, n’est la propriété de personne, ni d’un pays, ni d’un groupe humain, quelles que soient les souffrances que ses membres aient connues de son fait. Tout le monde doit s’en souvenir, et tout le monde doit en tirer la leçon. Tenter de réserver la perpétuation à un seul groupe humain est un acte de «captation d’héritage» dont l’objectif n’est pas d’éviter qu’il se reproduise, mais de l’exploiter à son avantage pour justifier ses propres crimes contre l’humanité. Comme l’a rappelé le chercheur israélien Shlomo Sand dans son livre intitulé Comment j’ai cessé d’être juif (Editions Flammarion, Café Voltaire, 2013).

«A compter du dernier quart du XXe siècle, le souvenir de presque toutes les victimes qui n’avaient pas été marquées par les nazis comme sémites a disparu. Le crime industriel est devenu une tragédie exclusivement juive. La mémoire occidentale du phénomène concentrationnaire et de l’extermination nazis s’est peu ou prou vidée des autres victimes : tziganes, résistants et opposants, communistes et socialistes, témoins de Jéhovah, intellectuels polonais, commissaires et officiers soviétiques, etc. A l’exception relative des homosexuels, tous ceux qui ont été exterminés par les nazis, parallèlement à l’assassinat systématique des juifs et de leur descendance, ont aussi été effacés des réseaux hégémoniques de la mémoire.»

La place marginale que le judéocide avait occupée jusqu’alors dans le souvenir de la civilisation «judéo-chrétienne» était bien évidemment intolérable. Il importait, au plan moral, qu’il soit reconnu comme un élément central du rapport que l’Europe entretenait avec la Seconde Guerre mondiale. Cependant, il en fallait bien davantage pour la nouvelle politique sioniste et pseudo-juive : il ne lui suffisait pas que le souvenir des victimes fût gravé dans la conscience de l’Occident. Elle revendiquait la spécificité, l’exclusivité et la propriété nationale totale sur la souffrance. De là date ce qui est appelé opportunément «l’industrie de la Shoah», avec l’objectif de maximiser le passé douloureux afin d’accumuler un capital de prestige, mais aussi économique.

«Toutes les autres victimes furent donc écartées, et le génocide devint une exclusivité juive ; toute comparaison avec l’extermination d’un autre peuple fut désormais interdite.»

«Le camp des descendants des survivants de l’extermination n’a cessé de grandir à partir des années 1970 : depuis lors, tout le monde a voulu faire partie des rescapés. Nombre d’Américains d’origine juive qui n’ont pas vécu en Europe pendant la Seconde Guerre ni manifesté de solidarité effective avec les victimes au temps du massacre se sont déclarés héritiers directs des survivants de l’œuvre de mort. Des enfants de juifs d’Irak et d’Afrique du Nord en sont venus à se considérer comme partie intégrante du camp croissant des victimes du nazisme. En Israël sont apparus dans ces mêmes années la formule deuxième génération de la Shoah, puis troisième génération ; le capital symbolique de la souffrance passée se destine donc à être légué, comme tout capital.» (PP. 57-60.)

Un rapport de Human Right Watch accablant et reçu par un silence assourdissant de la «communauté internationale»

Le 27 avril de cette année, Human Right Watch a publié un long rapport de 224 pages, avec cartes et photos (voir: «https://www.hrw.org/report/2021/04/27/threshold-crossed/israeli-authorities-and-crimes-apartheid-and-persecutions») sur la politique d’apartheid menée délibérément par les autorités juives de la Palestine historique, rapport donnant des preuves concrètes de cette politique destinée essentiellement et avant tout à inscrire la judaïsation de l’ensemble du territoire palestinien, en y effaçant graduellement toute présence humaine autre que celle des juifs. Il faut souligner que ce rapport, préparé depuis des années, a été totalement ignoré par la «communauté internationale», qui se présente pourtant comme la conscience de l’humanité. Ce silence est d’autant plus incompréhensible que, de l’autre côté, cette même «communauté» ne manque pas, par leaders interposés et par une couverture médiatique intense, de couvrir le moindre abus et arbitraire même dirigé contre un seul individu, transformé en «héros de la démocratie», ou «victime d’autocrates».

Pourquoi la chape de plomb sioniste sur le peuple palestinien est-elle non seulement tolérée, mais même justifiée par cette «communauté internationale» au cœur si tendre quand il s’agit de pleurer sur le sort d’autres minorités opprimées que le peuple palestinien ? C’est là une question légitime et dont la réponse ne se trouve nullement dans le sort réservé aux victimes de l’holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale.

Voici, en résumé, ce que ce rapport, qui qualifie la politique des autorités juives de crimes contre l’humanité devant donner lieu à poursuite par la Cour internationale de justice et par un boycott international de l’Etat juif : «Les autorités israéliennes se sont livrées à une série d’abus à l’encontre des Palestiniens. Beaucoup de ceux perpétrés dans le Territoire palestinien occupé constituent de graves violations des droits fondamentaux et des actes inhumains, autre élément requis pour constituer le crime d’apartheid : restrictions de mouvement draconiennes, qu’il s’agisse du bouclage de Gaza et d’un régime de permis ; confiscation de plus d’un tiers des terres de Cisjordanie ; conditions de vie difficiles dans certaines parties de la Cisjordanie qui ont conduit au transfert forcé de milliers de Palestiniens hors de leurs foyers ; refus du droit de résidence à des centaines de milliers de Palestiniens et à leurs proches ; et suspension des droits civils fondamentaux de millions de Palestiniens.»

«Nombre des abus commis dans le cadre de ces crimes, tels que le refus quasi catégorique des permis de construire aux Palestiniens et la démolition de milliers d’habitats sous prétexte qu’un permis n’avait pas été délivré n’ont aucune justification sécuritaire. D’autres, comme le gel effectif par Israël du registre de la population qu’il contrôle dans le territoire occupé, lequel bloque concrètement le regroupement familial pour les Palestiniens qui y vivent et empêche les habitants de Gaza de vivre en Cisjordanie, utilise la sécurité comme un prétexte pour poursuivre de nouveaux objectifs démographiques. Même lorsque des motifs sécuritaires sont invoqués, ils ne justifient pas davantage l’apartheid et la persécution que ne le feraient le recours à la force excessive ou à la torture, a souligné Human Rights Watch.» (Dans https://www.hrw.org/fr/news/2021/04/27/des-politiques-israeliennes-abusives-constituent-des-crimes-dapartheid-et-)

Le lecteur est invité à lire tout le résumé de ce rapport qui constitue un acte d’accusation irréfutable et que les autorités juives de la Palestine historique ont accueilli avec les qualificatifs habituels de «document antisémitique d’inspiration nazie», recourant à la stratégie habituelle «d’empoisonnement du puits», qui répond par des attaques personnelles contre les dénonciateurs de ses crimes au lieu de présenter les preuves concrètes les réfutant. D’ailleurs, il faut souligner que le gouvernement juif de la Palestine officielle a été destinataire de ce rapport presqu’une année avant qu’il ait été rendu public ; ce gouvernement avait tout loisir d’y répondre en détail et de réfuter, par des preuves concrètes, chacune de ses affirmations. Qui ne dit mot consent ! Et on peut donc considérer ce rapport comme décrivant une réalité à la fois juridique, légale, politique et économique. Israël est exactement l’image que ce rapport donne.

En conclusion

Une autre citation qui vient à point pour compléter cette contribution, destinée à donner, de manière résumée, la preuve qu’Israël se considère comme l’héritière du IIIe Reich et exploite la rente du nazisme qu’est la perpétuation de son statut de victime, car abritant des juifs : «Pour qu’Israël continue à avancer dans les territoires disputés et à confisquer des terres sans être désapprouvé par les Etats-Unis et la grande communauté internationale, il doit construire une image qui assimile les Palestiniens, tous les Palestiniens, à des terroristes. C’est seulement en représentant les juifs comme des victimes perpétuelles, d’abord traumatisés par le génocide sponsorisé par l’Etat d’Adolph Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale, et maintenant en Israël par la violence sans limite des militants musulmans palestiniens, qu’Israël peut susciter le soutien inconditionnel à sa politique. La vie du Palestinien apparaîtrait de moindre valeur que celle du juif, et pourrait être plus facile à détruire.» (Dans : «Nathan Léan : l’industrie de l’islamophobie, comment la droite fabrique la haine des musulmans», Pluto Press, Londres, 2017.)

Dans le décompte des victimes du génocide perpétré par les nazis, seuls ont droit à la perpétuation de leur mémoire les membres d’une seule communauté, les quelque 6 autres millions d’êtres humains qui ont perdu leur vie dans les camps de la mort nazis n’auraient donc droit ni à rappel de leur sort ni à la commémoration de leur meurtre ! C’est là du racisme pur et simple qui devrait être condamné par cette fameuse «communauté internationale» se présentant comme la «conscience de l’humanité, et se donnant comme mission permanente de veiller à la défense des droits de l’Homme universel.

Mais si la vie d’un être humain est inférieure à celle d’un autre, sur la base de critères les différenciant l’un de l’autre, où est donc le «respect dû à la vie de l’homme», fondement même de ces droits ? En privilégiant seulement les victimes du génocide nazi provenant d’un seul groupe, ne contribue-t-il pas à perpétuer le racisme et le fanatisme religieux et ethnique qui a conduit et a justifié l’holocauste pour ses perpétrateurs ? Le temps n’est-il pas venu enfin de mettre un terme à la confiscation par une seul groupe de ce crime qui interpelle toute l’humanité ?

Car, dans le cas contraire, le génocide et la répétition de l’holocauste seraient acceptables s’ils touchent d’autres groupes humains que celui qui s’est emparé du génocide nazi et en fait un bouclier et une source de rente morale, politique et économique, et pour l’innocenter de ses propres crimes et même les justifier.

M. B.

Comment (26)

    Anonyme
    19 juin 2021 - 9 h 55 min

    Dommage que les Juifs ne veulent pas s’entendre avec les Arabes, ils ont des affinités , peut-être pas la même religion mais étrangement proche, en fait ils se font la guerre presque par plaisir, ils se chamaillent, on les poussent à s’haïr, comme si ils ne se connaissaient pas et pourtant ils ne sont pas à étranger l’un de l’autre, les Européens ont une part de responsabilité pour ce qui s’est passé au moment de l’effondrement de l’Empire Ottoman(1299-1922), et du début de « démembrement » sur les restes Moyen-Orient.

    Hmed hamou
    18 juin 2021 - 11 h 56 min

    @Krimo
    Un autre article intéressant et récent . « Hocine Aït-Ahmed : itinéraire transnational d’un nationaliste algérien. »
    De Mélinda Seridj, Les Cahiers Sirice 2020/2 (N° 25), pages 21 à 30. Mis en ligne sur Cairn.info le 12/11/2020
    https://doi.org/10.3917/lcsi.025.0021

    Et comme c’est l’histoire, et non El boulitik, qui façonne ne nous en déplaise, vous y trouverez un passage particulièrement plaisant.
    D’abord le contexte: [« L’Égypte n’est pas une terra incognita pour les Algériens. Elle attire de nombreux étudiants maghrébins venus entamer ou perfectionner leur apprentissage spirituel à la prestigieuse université de sciences islamiques d’Al Azhar. Elle constitue, à la fin des années quarante, un refuge pour les nationalistes maghrébins qui tentent d’unifier la lutte pour leurs indépendances respectives. Le Caire devient le centre de fonctionnement du Bureau du Maghreb arabe. Fondé en février 1947, à l’issue d’une résolution du Congrès du Maghreb arabe au Caire, il est chargé de coordonner l’action nationaliste maghrébine. Il regroupe le Comité de défense du Maroc, la délégation marocaine auprès de la Ligue arabe, le bureau du MTLD et le bureau du Néo-Destour [10]. Ses objectifs sont multiples : revendiquer l’indépendance totale du Maghreb, l’établissement de contacts entre les nationalistes maghrébins afin d’informer la communauté internationale sur l’évolution de la situation coloniale de ces pays et entamer un travail diplomatique auprès des capitales arabes, asiatiques ainsi qu’aux États-Unis. Le Bureau du Maghreb arabe réclame également l’envoi, par la Ligue arabe, d’une commission d’enquête dans les trois pays et demande que cette dernière serve de tribune de la lutte indépendantiste auprès d’institutions internationales [11] »]
    Et puis le fameux passage :
    [ » En dépit de ces espoirs suscités par la perspective d’un appui de la Ligue (arabe) , les aspirations des nationalistes maghrébins se heurtant aux intérêts des États arabes et à leur volonté de conserver des liens amicaux avec la France [12], les désillusions seront nombreuses. Ainsi, dès la création du Bureau (du maghreb) , Azzam Pacha, Secrétaire général de la Ligue arabe, REFUSE d’aborder la question algérienne à l’ONU afin de ne pas FROISSER la France et avance l’argument qu’il faille se concentrer sur le dossier de la Palestine. « ]

    Vous voyez, Il existe des priorités donc, même dans les causes justes. Et des limites à ne pas franchir dans leurs soutiens pour préserver ses propres intérêts et ses intérêts propriétaires. Du moins chez nos frères arabes.
    Ps. Ah si c’était nous, on froisserait le monde entier et même les martiens pour défendre la cause de nos freres. Dixit le No1 du Hamas: » le peuple algérien est le seul peuple capable de soutenir et de défendre la cause palestinienne et ce même aux dépens de son propre pays »; autrement dit, même contre ses propres intérêts!
    Qui dit mieux ?
    Pourtant l’histoire, notre histoire, en est remplie , en est façonnée même , de trahisons comme ça de la part de nos frères ! Les ottomans (qui nous ont abondonné pour ne pas dire vendu en 1830), puis les turques (vote contre notre indépendance et sa non reconnaissance des années après), la Ligue arabe (comme on bien de le voir) … Et pourtant, nous, on en a jamais tiré de leçon, bien au contraire. Et si tu essai de dire ne serait-ce que la vérité, tu es aussitôt taxé d’ennemi de la oumma qui cherche la discorde (la fitna) . Nous, au contraire, on partage et on doit partager l’honneur de notre libération avec tous nos frères arabes et même qu’on leur attribue, à eux seul, l’honneur de son déclenchement , dixit notre historien national Dr mohamed amine Belghit, sur une chaîne TV algérienne: « c’est nasser qui avait donné le feu vert à Benbella pour déclencher la révolution algérienne « …
    Pour libérer l’Algérie (dans le but) :
     » bech (likay) takfihoum thouma takfina ».

    Hmed hamou
    17 juin 2021 - 17 h 11 min

    @Krimo

    Ps. D’après l’excellent article, « Houari Mouffok, Parcours d’un étudiant algérien : de l’UGEMA à l’UNEA », de Karim Lakjaa. Les Cahiers du Germe N° 26 1er trimestre 2006

      Krimo
      18 juin 2021 - 6 h 31 min

      Hmed Hamou,

      Merci pour le lien, je ne connaissais pas Mouffok ni son parcours ni aucun autre dirigeant de l’Unea de cette epoque, par contre beaucoup de simples etudiants en ce temps.

      J’ai ouvert le lien et je me suis arrete a cette fabulation : « Le rapprochement entre Ait Ahmed et Ben Bella conduit Boumediene au coup d’Etat du 19 juin 1965  » . Faux, l’auteur rapporte n’importe quoi a ce sujet. Le rapprochement entre Ait Ahmed et Ben Bella s’est fait plus tard dans les annees 80 a Londres, sinon une inimite tenace et reciproque entre eux depuis 1950 qui a duree plus de 30 ans.

      Krimo
      18 juin 2021 - 22 h 18 min

      Hmed Hamou,

      Je vous cite :  » Vous voyez, Il existe des priorités donc, même dans les causes justes ….  »
      Faudrait tout remettre dans le contexte de l’epoque 1947.

      Deja le parcours chaotique de Messali qui tend vers l’hyprbolique est assez edifiant. De la creation de l’Etoile Nord Africaine, aux circonstances qui l’ont amene a en etre le President jusqu’a la fatidique rencontre avec Chakib Areslane … puis le zaimisme qui amena « 22 fous » (avec toute consideration et egard) a decide ce qui frappe l’imagination.

      L’Unite Nord Africaine d’alors, notre cause (colonialisme et algerie partie integrante de Fafa telle que l’a decidee « douce france ») se distinguait de celles de « la grand maroc » et de « hep tounes » qui eux etaient sous protectorat. Quid des autres pays arabes?

      En 1956, au Congres de la Soummam, un extrait :  » La Revolution Algerienne n’est infeodee ni au CAIRE, ni a Washington, ni a Londres ni a Moscou « . 1962 la donne a change …. ce qui amena le Rais (Gamal) a l’exprimer a voix audible au Square, a sa premiere visite d’etat « Elgazair tekfina oua takfikoum  » la RAU en arriere pensee …..

      En 1955 a Bandoeng , deja le tout jeune Ait Ahmed voulut inscrire a l’ordre du jour de la Conference la question de la cause algerienne. A cet effet il sollicita le « grand frere Nasser » qui l’envoya ballader, il fallut toute une intelligence diplomatique peu commune pour convaincre Soekarno, hote de ladite conference. Tous nos supposes amis, sur le tard, y etaient presents et pas un n’a daigne y accorder le moindre interet.

      La Palestine …… je t’ai donne l’exemple de l’Unea seduite par Ben Bella ….. et pourtant en Juin 1967, elle mis a sac le Centre Culturel Americain sans aucune pression politique de la houkouma d’alors et bien avant le fameux  » Maak ya falastine, dhalma oualla madhlouma « . La cause palestienne a cette époque etait consideree par le quidam, voire le peuple, comme apparentee a sa propre revolution au dela de toute surenchere politique.

      L’Algerien est ainsi fait, consequemment a diverses circonstances qui lui sont propres.

    Hmed hamou
    17 juin 2021 - 10 h 40 min

    @Krimo

    [« ne t’en deplaise comme le furent tant d’autres causes. C’est l’Histoire qui faconne et non » El boulitik « . »]

    Certes c’est l’histoire qui façonne (c’est comme ça on y peut rien), c’est la chaîne de production qui ne tombe Jamais en panne ni à court de matière première (avec ou sans nous) , « El boulitik lui fait juste office de control de qualité: gardons ce produit là tel quel; retouchant celui ci; exit celui là…
    Nb. Évidemment ya autant de contrôle technique ou de qualité que de boulitik.
    Et chacun avec son cahier des charges propre qui peut évoluer dans l’espace et/ou dans le temps. Un produit non conforme pour certains ou à un moment donnée peut devenir au contraire parfait pour d’autre ou à un autre moment.

    Ps. Peux-tu me citer, parmis tant et tant de causes, deux ou trois en plus de celle dont il est question ici, juste pour voir.

      Krimo
      17 juin 2021 - 11 h 41 min

      Hmed Hamou,

      Dixit Amilcar Cabral « ….. les chrétiens vont au Vatican, les musulmans à la Mecque et les révolutionnaires à Alger. »

      Aurais-tu idee du panel qui composait l’UNEA dans les annees 60 (post 62) ? Bien avant sa mise en boite suite a sa premiere greve ……. et pourtant la mise a sac en 1967 du centre culturel americain lui (les etudiants) incombe sans aucune interference boulitik. Maurice du Cercle Taleb (ex Ottomatic) t’en dirait bien des choses et te ferait part des « grosse verites » d’un certain Kaid qui s’affirmerent au cours du temps.

      A verifier, si je ne m’abuse, ne manquaient que les Bretons et les Corses. Idem pour l’IRA et l’ETA.

      Tu n’y pourras rien c’est une consequence qui nous est propre.

        Hmed hamou
        17 juin 2021 - 12 h 30 min

        [« Aurais-tu idee du panel qui composait l’UNEA dans les annees 60 (post 62) ? « ]

        En 67, je n’étais pas encore de ce monde, mais je dirais : des Palestiniens, Sud-africains, Angolais, Cubains.
        C’est ça?

          Krimo
          17 juin 2021 - 16 h 32 min

          Hmed Hamou,

          « En 67, je n’étais pas encore de ce monde …… » alors ne me reste plus qu’a entonner Aznavour, Mc Cartney ou Guerrouabi.

          L’UNEA ( Union Nationale des Etudiants ALGERIENS digne héritière de l’Ugema ) Rien a voir avec celle phagocytée par le Parti suite a la grève de 1969. Les Cubains en tant qu’étudiant même pas une ombre a cette époque, ils avaient la leur d’université et les rapports entre Castro et Boumediene n’étaient pas au beau fixe a cause de Ben Bella et même le Che ne venait plus a Alger après 1965. Kif kif pour les Palestiniens, on ne les connaissait pas encore (je parle du grand public). Des Africains de tout bord y en avait a la pelle mais ils étaient pour ainsi dire reclus au CAHT (Centre Africain des Hydrocabures et Textiles).

          La Cite U de l’époque ce n’était ni un foutoir ni un dortoir c’était le « Carpe Diem » et au delà du Parti vint la notion de régionalisme qui a détruit aussi des pôles d’excellence. Autre chose propre a cette époque, le Darwinisme nous rattrapa, Pour sa forme d’évolution a travers les âges géologiques, pour l’Oursin il y a eu migration de l’anus ….. a nous autres ce fut le cerveau qui migra vers le bas-ventre et sus a ailleurs via les bourses des 1967.

          Cette génération post indépendance se plaisait dans le pré à regarder passer le Train et sans y croire pour le vouloir, elle fit le lit a l’absurde. Son implication, vaille que vaille, aurait au moins évité le ridicule, style ceux et celles qui cherchent les feux de la rampe quel qu’en soit le prix.

          Le Chat Botté
          17 juin 2021 - 22 h 40 min

          @ Krimo
          À l’époque du CAHT il y avait un certain Maître Chérifi qui dirigeait le centre d’une main de fer, avec ses 13 licences académiques n’en déplaise à certain et comme il le disait lui-même avec une certaine fierté. Il quittera le CAHT, pour les USA, après qu’il fut(Le CAHT) disloqué en 2 entités qui sont l’INIL (Institut National des Industries légères) et l’INH (institut National des Hydrocarbures) Ces 2 centres étaient la fierté des Algériens qui voulaient s’instruire aux frais de l’État. Malheureusement tout était parti en déconfiture dans les années 78 après la disparution de feu Houari Boumediene.
          Une petite anecdote en terminant; j’étais à New York dans les années 90 et j’ai rencontré un dissident Cubain, j’étais appelé à faire l’inventaire et l’estimation pour la réfection d’un immeuble et de fil en aiguille on commençait à jaser de tout et de rien, il me demandait alors d’où est-ce-que je viens vu que je n’avais pas l’apparence d’un New-Yorkais, je lui est dis que je suis Algérien débarqué aux USA et à ma grande stupéfaction il me serra dans ses bras comme s’il voulait pleurer en prononça le nom de H.B, je tombais des nus vu que je n’aurais jamais imaginer qu’il prononcer son nom, il me dit ensuite qu’à Cuba, notre El Présidenté, ne prononcerait pas le nom de l’Algérie sans faire allusion à votre grand homme qui est H.B.
          Malheureusement pour nous ils nous reste que les larmes pour pleurer sur ce qui nous arrive aujourd’hui.

    chaoui40
    17 juin 2021 - 8 h 48 min

    Cher Mourad Benachenhou, Israel est au-dessus des lois de l’homme et au-dessus de tous les peuples. Il est le « peuple élu ». Il faudrait bien sûr se pencher sur la définition de ce mot « élu », pour comprendre qu’il s’agit tout simplement d’un adjectif que les israélites ont mis dans la bouche de leur dieu (Yahve) et ont ensuite répandu. Un musulman ne dit-il pas aujourd’hui que l’islam est la « seule » religion qui mène au Paradis (alors que le Coran ouvre la voie à tous les croyants véridiques) ?
    Le meilleur moyen de combattre Israel et de parvenir à sa dissolution a été formulé par Kamal Salibi. Ce philologue libanais (décédé) s’est penché sur la traduction de la Bible juive (l(Ancien Testament), y a trouvé beaucoup d’erreurs et est parvenu à une conclusion qui nous a toujours paru évidente à nous les Musulmans : Israel et les Banou Israel sont originaires d’Arabie.
    Pour Salibi, la lutte contre le sionisme commence par faire accepter au monde entier que les Israélites ont émigré de l’Asir vers la « Palestine actuelle », qu’ils ne sont point les autochtones de cette région du monde et qu’ils n’ont donc aucun droit de la revendiquer comme leur …
    Je suis linguiste de formation et je dois dire que le travail de Salibi est conforme à toute recherche linguistique. Salibi, cependant, appuie également son analyse linguistique par la biologie (espèces d’arbres, d’oiseaux), la topologie, la toponymie et autres réalités de la vie.
    Si vous connaissez un homme riche qui souhaite aider le monde à se démystifier de ce mythe « Israel », demandez-lui de créer une maison d’édition et d’éditer dans plusieurs langues ce magnifique ouvrage de Vérité !
    Sachez que dans le chapitre Nombres de cette Bible juive, Yahvé demande à Moïse de choisir les princes israélites qui accompagneront Josué sa campagne militaires contre Canaan, laquelle se terminera par le génocide des Cananéens et la conquête de Canaan ! « Génocide » est un terme connu des Israélites depuis toujours : ils sont les premiers génocidaires de l’humanité abrahamique !

      Arezki lamrioui
      17 juin 2021 - 14 h 16 min

      Vous faites allusion au livre de Kamel Salibi, professeur à l université américaine de Beyrouth et mort en 2011, livre intitulé : “thé bible came from Arabia” publié en 1985. Ce livre n a pas eu de traduction française et donc n est pas accessible aux francophones. Il est bien documenté et convaincant car il sort du chemin tracé par les spécialistes de la Bible qui, même dans leurs critiques “scientifiques” ne sortent pas du schéma “ liaison directe entre la Bible, le peuple juif et la Palestine historique. Salibi rappelle ce que beaucoup de gens, si ce n est la majorité d entre eux, que la localisation du nom propre Sion se trouve en Arabie saoudite actuelle, sous le nom de djebel sahiuoun, à quelques Kms au nord de la Mecque ! Son livre fut à sa sortie violemment attaqué par les sionistes qui évidemment le qualifièrent d anti sémitique parceque niant la liaison “historique” entre le Judaisme et la Palestine, et donc delégitimant israel comme foyer juif promis par dieu, minant toute la narration biblique et l affirmation que les juifs seraient le peuple élu de Dieu, ruinant même la partie de l histoire juive relative à la captivité en Égypte .merci de l avoir rappelé à ma mémoire. Je vais le relire !

      Arezki lalloui
      17 juin 2021 - 14 h 34 min

      Titre du livre en anglais publié en 1985 “ the Bible came from Arabia” qualifié d anti sémitique avec comme seule preuve qu il refuse de prendre au mot pour mot la Bible juive et la liaison qu elle fait entre les juifs et la Palestine historique.Kamel salibi , un chrétien, était prof d histoire à l American university of beyrouth et est mort en 2011. Son livre a t il été traduit en arabe et en français? Je ne peux pas l affirmer. Le djebel sahiuoun, d ou vient le terme” sion” se trouve dans l Arabie saoudite actuelle , ce qui donne un certain élément d objectivité à la thèse de salibi, sans compter les autres preuves qu il fournit dans son livre. À réactualiser eta relire donc!

    Anonyme
    16 juin 2021 - 17 h 41 min

    Dans la citation de David Ben Gourian du debut de votre Article,il manque la premiere phrase tres importante de signification:
     » Si j atais un leader arabe je ne signerais jamais d accord avec Israel…. » ce sont bien les paroles de David Ben Gourion…..
    https://blogs.mediapart.fr/fxavier/blog/210110/israel-un-echantillon-de-citations-interessant-mediter

    Abou Stroff
    16 juin 2021 - 15 h 09 min

    « Israël héritier du IIIe Reich et rentier du nazisme » titre M. B..
    je pense que l’entité sioniste est un vestige colonial doublé d’une entité raciste basée sur la religion dont les les musulmans ‘M. B., entre autres) renforcent les bases objectives et subjectives en appréhendant ce « phénomène » à travers un prisme religieux et en continuant à raconter des histoires de juifs persécutés par des nazis ou par des extraterrestres.

    Elephant Man
    16 juin 2021 - 14 h 42 min

    Excellente contribution et conclusion.
    L’holocauste un business judéosioniste outre initialement pour usurper la Palestine très lucratif encore à ce jour.
    Pour reprendre @Sprinkler :
    Édifiante et glaçante « rétrospective » sur l’essence et l’acte de naissance de cet État délinquant, criminel, multirécidiviste, affranchi de toute humanité envers ceux qui ne sont pas du « peuple élu »…Ce « testament » et les « serments » des fondateurs de cette entité barbare ultra-raciste ne sont pas sans nous rappeler les « harangues » des BUGEAUD et autres salauds de PELISSIER et CAVAIGNAC ! Creuset de haine, nation hideuse, tueuse de femmes et d’enfants, peuple et gouvernement unis dans le génocide !

    Anonyme
    16 juin 2021 - 14 h 08 min

    Jeune afrique, ce journal qui fut à sa création propre est devenu sale comme un torchon de mauvaise cuisine. De quoi se préoccupe-t-il en distillant de fausses informations ou c’est encore sa cupidité qui se manifeste. C’et hors sujet mais une question tout de même.

    Hmed hamou
    16 juin 2021 - 13 h 50 min

    Merci mr Mourad Benachenhou pour vos contributions enrichissantes et pour tout l’intérêt que vous portiez à la situation chez nous frères Palestiniens qui nous préoccupe tous au plus haut point, cha3ben wa houkoumaten.

    Et peut-on faire quelque chose pour améliorer l’économie de notre pays, si le sujet vous inspire.

    Ps. Naftali Bennett, qui a signé une coalition avec le parti arabe islamiste des frères musulmans sous la direction de mansour Abbas (qui détient déjà plusieurs sièges de députés à la knesset), a nommé un frère arabe dans le nouveau gouvernement; au poste de ministre de la coopération régionale (je crois). Il ya même un autre frère arabe, un druz, au ministère des finance (vice ministre ou quelque-chose du genre).
    Ps. 2. Je dis ça parce que, lors des derniers événements de ghaza, le témoignage d’une femme arabe israélienne ma boulversifié. Une mère, elle aussi très bouleversée, que son fils adolescent, n’a pas écouté ses conseils, et malgré les interdictions formelles et explicites, a eu la mauvaise idée de sortir (dans les rues d’un quartier arabe d’Israël) manifester par solidarité avec ses frères de ghaza. Sans doute sous de mauvaise influence du Hamas.
    La mère disait devant la camera : Vous voyez, je lui pourtant interdit de sortir, qu’il allait se faire arrêter. Voilà. Maintenant, il s’est fait arrêté ! Bon, Il a été vite libéré, le jour même. Mais, le bouleversement et là.
    Je vous raconte l’histoire de cette mère palestinienne, parce que je la trouvais bouleversifiante, dixit les inconnus.
    On apprend au notre de jeunes l’amour de la Palestine et de se préparer à aller au front pour libérer ghaza, pendant qu’eux, juste à côté, interdisent à leurs enfants juste de sortir manifester meme devant la porte avec un risque infime (quelques heures en cellule tout au plus) .
    Eux préfèrent les préserver, les voir grandir, les envoyer dans les meilleures l’universités pour former des médecins comme ceux qu’on a vu dans les médias combattre le covid dans les hôpitaux de Tel Aviv. Ou encore pour former de grands économistes ou de grands financiers pour gérer les fortunes privées du Hamas ou du fatah. Ou encore gérer les grands médias arabes, à l’instar de frère Bishara; ou juste venir chez nous diriger un de nos partis politiques à la victoire aumoins legislatives, comme vient de faire frère baadji.

      [email protected]
      16 juin 2021 - 16 h 07 min

      Vous êtes libre de vos opinions. Je n en débattrai pas avec vous, mes positions sur le sujet étant basées non sur des préjugés, mais sur des faits tirés de l histoire et de l actualité . Suivant de près les écrits de l auteur , je voudrai seulement souligner que sur les 11 livres que Benachenhou a écrits et qui ont été édités , à l’exception d un livre autobiographique , seulement un a été consacré à la Palestine et 9 aux problèmes économiques et politiques de l Algérie. Benachenhou a écrit au cours de ces douze derniers mois au moins 40 articles sur le Hirak publiés sur différents quotidiens algériens, Je ne compte pas ceux qui traitent directement de la crise économique parus également au cours de ces deux dernières années. Tous comptes faits, d après mes propres recherches, Benachenhou n a consacré que 10 pour cent de sa production a la Palestine. Est ce trop? Est ce pas assez? Ce n est pas à moi à en décider ! Dans ce siècle de Google la vérification des déclarations des uns et des autres est à portée de doigt .

        Hmed hamou
        16 juin 2021 - 20 h 10 min

        Ah parceque t’as compris ma position à moi sur le sujet, mais tu refuses de partager la tienne de position avec moi, avec nous?
        Soit. En tout cas je te remercie pour ta recherche bibliographique. C’est très intéressant.
        Et même que, contrairement à toi qui ne te prononce pas encore une fois, même si je devine un peu, moi je vais quand même te dire ce que j’en pense. Comme toi, je trouve que consacrer seulement un livre sur 10 à la cause de nos freres palestinienne est effectivement très peu, même dérisoire.
        Au plaisir de connaître tes positions et tes apports pour la cause qui se sent te tient vraiment comme nous tous évidemment cha3ben wa houkoumaten.

          Krimo
          17 juin 2021 - 6 h 44 min

          Hmed Hamou,
          Pince sans rire ou sur un air goguenard ……… comme tu la voules voules je la goule goule.

          Cause cha3ben wa houkoumaten ne t’en deplaise comme le furent tant d’autres causes. C’est l’Histoire qui faconne et non  » El boulitik « .

    Anonyme
    16 juin 2021 - 12 h 59 min

    Au fait c’est quoi le monde arabe réellement? Un arabe c’est l’habitant de l’arabie, comment un algérien un tunisien etc peut-il être un arabe? question de géographie ou de démographie?

      Belveder
      16 juin 2021 - 13 h 56 min

      Arrêtez votre propagande de MAKISTES
      L article parle de la la lutte d un peuple il s agit d un problème de décolonisation .
      Il ne s agit ni de religion ni d origine

      LoveDZ
      16 juin 2021 - 14 h 14 min

      ‘arabe’ car nous parlons tous arabe, c’est ce qui fait de nous des arabes tout simplement
      Cette langue n’empêche pas de parler d’autres langues ou dialectes mais elle sert à nous unir.
      C’est cette idée qui déplait à beaucoup de pays européens et autres et qui essaie de diviser notre pays d’abord mais aussi notre oumma à un niveau plus large.

      Belveder
      16 juin 2021 - 15 h 01 min

      L article parle d un Peuple en lutte pour sa survie
      Qu’ est ce qu’ Arabe a avoir la dedan
      Toujours votre propagande du MAK qui ressort

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