Il est temps de créer un mouvement de boycott des produits marocains !
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Trop, c’est trop. Toute patience à ses limites, et la nôtre est largement entamée depuis pas mal de temps. Nous l’avons dit à maintes reprises, le régime voyou du Maroc se livre à une guerre multiforme contre l’Algérie : au niveau des médias dont les divers mercenaires affidés du Makhzen déversent quotidiennement leurs mensonges et leurs insultes à l’égard de notre peuple, de nos autorités, de notre armée et de nos services de renseignement, au niveau d’un trafic de drogue débridé, en inondant notre société de toutes sortes de produits délétères qui ruinent la santé de nos jeunes, au niveau d’un soutien et d’un financement constants à différents groupes terroristes comme Rachad, le MAK, et autres traîtres algériens que nous avons déjà cités dans d’autres articles, et maintenant au niveau économique.
Il serait fastidieux de répondre à toutes les agressions de ces mercenaires de la plume mais, de temps en temps, il faut bien revenir taper sur le clou. Apparemment, ils aiment ça. Rien que ce 18 avril, trois «articles» d’insultes à l’encontre de l’Algérie figurent en Une d’un torchon lié au Makhzen. Nous aimerions d’ailleurs attirer l’attention du rédac’ chef sur le fait que son relecteur ne fait pas bien son boulot et laisse passer des fautes grosses comme le postérieur de vos matrones de Bousbir, célèbres virtuoses des oscillations du fondement ainsi que de la pratique de la magie noire et du maniement des grigris. On se demande encore ce que ferait le Makhzen si l’Algérie n’existait pas, mais il est certain que de tels comportements répétitifs ne sont pas du ressort de la politique et relèvent des compétences du professeur Laborit.
Bernard Lugan habille ses «vérités»
Avant d’en venir aux différents chapitres de cette guerre polymorphe que nous livre le Maroc, nous avons quelques comptes à régler avec certains individus dont les actions et les propos sont pour le moins malveillants à l’égard de l’Algérie. Tout d’abord, nous aimerions dire au sieur Bernard Lugan, qui est payé par le Makhzen pour colporter des mensonges grossiers sur l’Algérie, que son parcours dans le service d’ordre de l’Action française et ses opérations de commando contre les groupes d’extrême-gauche ont dû lui valoir quelques coups sur le crâne qui ont détérioré son cerveau pour sortir autant d’âneries chaque semaine. Même vos collègues universitaires se posent des questions sur vos «travaux» et vous accusent de privilégier les sources qui vous conviennent. Dites-nous donc, Monsieur l’admirateur de Philippe Pétain, quand vous prétendez qu’il n’y a pas eu de pillage de la part des Français en Afrique, comment allez-vous répondre à votre compatriote Pierre Péan, même s’il n’est plus là pour vous entendre, qui a écrit l’ouvrage Main basse sur Alger : enquête sur un pillage (juillet 1830) ? Allez-vous le traiter de menteur ? Soignez-vous, Monsieur Lugan. Le sosie du roitelet qui vous paie a inauguré des tas de centres de santé mentale, vous pouvez choisir celui qui vous convient le mieux. Votre Maroc, Monsieur Lugan, c’est Shutter Island.
Tartour un jour, tartour toujours
Un mot à présent au pantin tunisien déchu Moncef Marzouki, celui que l’on surnommait le «tartour de Carthage» et qui fait la Une d’une feuille de chou du Makhzen en accusant l’Algérie de créer la zizanie entre le Maroc et la Tunisie et qui conseille aux Sahraouis de se livrer au colonisateur marocain, soi-disant parce qu’ils seront citoyens d’un grand «Etat». Un «Etat», cette voyoucratie, ce royaume de Bousbir qui a supplanté la Thaïlande en matière de tourisme sexuel et qui attire tous les pédophiles de la planète ? Combien le Makhzen vous a-t-il payé pour chanter ses louanges et pour encore taper sur l’Algérie, Monsieur le Guignol ? Il faut être un Marocain ou un traître algérien pour donner la parole à un tel pitre. D’ailleurs, le Makhzen ne le sort de l’égout dans lequel il végète que quand il peut être utile en tapant sur l’Algérie et sur Kais Saied. Nous rappelons à ce renégat, ce vassal des Frères musulmans d’Ennahda et du Qatar que lui et ses amis terroristes islamistes ont le sang de Mohammed Brahmi et de Chokri Belaïd sur les mains, et nous répétons à ce larbin : tartour un jour, tartour toujours, Monsieur le laquais. Le peuple algérien n’a que faire de vos apparitions pour vanter le Hirak islamiste et les Sahraouis se fichent de vos conseils. Tout le monde a bien compris que l’on ne voit votre face de rat que quand vous avez besoin d’argent. Vous avez toujours été l’exécutant de l’agenda sioniste et vous ne sortez pas de votre trou par hasard. Vous êtes coupable du désastre du «printemps arabe» mais sachez que l’Algérie ne tombera pas et qu’elle est plus grande que vous et que vos maîtres marionnettistes.
ONG en Algérie : sonnette d’alarme tirée !
Un autre torchon du Makhzen a publié un article sur la jeunesse algérienne en se servant de la publication d’une chercheuse algérienne, Khadidja Boussaïd, docteure en sociologie urbaine à l’Université d’Alger 2 et maître de recherche au CREAD, qui a réalisé une étude portant sur la jeunesse au Moyen-Orient et en Afrique du Nord intitulée «Les jeunes en Algérie» pour le compte de la Fondation Friedrich Ebert et qui a été publiée en mars 2023. Or, cette fondation n’est jamais qu’une vitrine allemande de la CIA. Que fait donc cette donzelle algérienne, qui a pu se former à l’Université algérienne, dans ce repaire impérialiste prêchant les «droits de l’Homme», la «démocratie», le «féminisme» et qui, bientôt, nous chantera les droits des LGBTQ etc. ? D’ailleurs, elle se présente elle-même en énumérant ses thématiques de recherche qui sont la sociologie du développement, le développement durable social et la gouvernance urbaine ; l’économie urbaine et la sociologie des inégalités ; le genre, les identités et les territoires ; les mobilités, la motilité en milieu urbain ; le genre, la famille et les identités sexuelles. Eh bien, tout est dit, n’est-ce pas ? Nous invitons notre lectorat à consulter le site de cette ONG installée à Alger et qui instille goutte à goutte le poison occidental : https://algeria.fes.de/ Il est grand temps de faire le ménage dans cette 5e colonne qui profite de l’enseignement dispensé dans nos universités pour s’empresser d’utiliser son savoir afin d’ouvrir la porte aux tentatives de déstabilisation des ONG impérialistes. Et nous recommandons à nos autorités d’interdire le territoire à ces organisations dont les objectifs n’ont rien de bienveillant à l’égard des pays dans lesquelles elles s’implantent.
Relevons l’effronterie de la voyoucratie marocaine qui entend forcer des organisations à accueillir ses représentants débarqués au mépris de toutes les traditions diplomatiques, adoptant de ce fait un comportement à la hussarde, alors que l’entité marocaine n’est composée que de palefreniers et certainement pas de hussards. Ainsi cette Amina Selmane, sujette du roi de la tomate et du cannabis, qui s’érige en «représentante permanente» de l’Union du Maghreb arabe (UMA) en présentant ses lettres de créance au président de la Commission de l’Union africaine, le Tchadien Mahamat Faki, lequel avait sans doute fumé un cadeau marocain à 50% au préalable. Les torchons du Makhzen vont-ils encore vouloir nous faire croire que l’UMA, qui n’existe plus depuis août 2022, va à nouveau se réunir pour faire une standing ovation à cette péronnelle marocaine désignée par le Makhzen pour représenter tous les pays du Maghreb, dont l’Algérie ? Allons, Messieurs, vous aussi, vous êtes en plein délire et devriez prendre du repos dans la clinique psychiatrique de votre choix, en compagnie de votre amuseur public M. Lugan. En tout cas, cette énième forfaiture est symptomatique de l’état de déliquescence de ce régime moyenâgeux marocain qui n’a aucun respect pour les us et coutumes diplomatiques.
Mohamed Fizazi : dattes de Chengriha versus dattes de Netanyahou
Commençons par le dernier point : la guerre économique. L’une des dernières diatribes délirantes cherchant à nuire à notre exportation des dattes émane du cheikh et porte-voix du roi de la tomate et du cannabis, Mohamed Fizazi, qui n’ouvre le bec que sur injonction du roitelet efféminé. Le vieil imam pédophile du palais, notoirement connu pour être le prédicateur des terroristes et qui a été condamné à 30 ans de prison après les attentats de Casablanca en 2003 mais gracié en 2011 par le roi de Bousbir, et qui se cache derrière la religion pour tripoter les petites filles, a lancé une fatwa sur les dattes algériennes et s’est fendu d’un appel au boycott, déclarant qu’il préférait manger les dattes de Netanyahou plutôt que celles de Chengriha. Nous répondons à ce pervers lubrique que, contrairement aux généraux marocains qui font tous des affaires et que l’on surnomme «le général du cannabis», «le général du couscous», «le général de la sardine», «le général de l’électroménager», «le général du tourisme sexuel», etc., les spécialisations de notre chef d’état-major, le général d’Armée Saïd Chengriha, en matière d’agriculture, sont exclusivement axées sur la production et l’implantation des missiles SS-N-30 Kalibr, SS26 Iskander, S-300 et S-400 et, en matière d’aquaculture, sur les progressions en plongée des sous-marins Kilo. Concernant le choix de ce barbu illuminé de consommer les dattes de l’entité sioniste, cela ne nous étonne pas et qu’il se rassure, nous aimerions mieux donner nos dattes à nos ânes et à nos chameaux plutôt que les vendre à un Marocain. Il peut donc engouffrer toutes les dattes de l’entité sioniste jusqu’à éclater si cela lui chante.
ONU : «Maroc zone favorite pour la production et l’exportation du cannabis»
Concernant le trafic de drogue, le ministre algérien de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, a clairement désigné le Maroc en déclarant : «L’Algérie est visée à travers les drogues et fait face à une guerre menée par son voisin de l’Ouest.» Par ailleurs, déjà en 2020, un rapport de l’ONU attestait que «le Maroc demeure une zone favorite pour la production et l’exportation du cannabis», mettant en garde contre «la poursuite, d’une façon régulière et stable, de production et d’exportation du cannabis et de haschich depuis le Maroc vers les pays du voisinage et du Sahel, ce qui contribue au financement des groupes terroristes actifs et à la déstabilisation de la région à cause de l’interconnexion qui existe entre les bandes de narcotrafic et les groupes terroristes activant dans la région où ces groupes assurent une couverture sécuritaire aux narcotrafiquants en contrepartie d’une part des rentes des opérations de narcotrafic». Et c’est effectivement d’une narco-guerre qu’il s’agit puisque la culture de cannabis s’est orientée vers des espèces hybrides beaucoup plus productives et qui augmentent considérablement la puissance du haschich. Des analyses faites sur saisies ont montré que le pourcentage en THC (constituant majeur du cannabis dont les propriétés psychoactives agissent sur le psychisme en modifiant le rythme cérébral) est passé en vingt ans de 1 à 20%, et pour celui introduit en Algérie à 50%, ce qui représente un risque sanitaire majeur. On le voit, c’est délibérément que le Maroc inonde l’Algérie de haschich extrêmement puissant.
Un petit récapitulatif s’impose. En 10 ans, plus de 1 000 tonnes de haschich marocain ont été saisies en Algérie et, récemment, l’armée sahraouie a détruit 800 kg de drogue en provenance du Maroc. Rien que le premier trimestre de cette année, la police algérienne a saisi 3,5 millions de comprimés psychotropes, 2,5 tonnes de cannabis, 17 kg de cocaïne, et 1 kg d’héroïne provenant en ligne directe de la frontière marocaine, sans compter 1,7 million de psychotropes qui ont été introduits dans notre pays par le sud. L’argent issu de ce trafic sert à financer le terrorisme et à corrompre les élus comme on l’a vu avec le Marocgate. Rappelons-nous que déjà, en 2018, Abdelkader Messahel, alors ministre des Affaires étrangères, avait accusé les banques marocaines implantées en Afrique de blanchir l’argent de la drogue et la compagnie aérienne Royal Air Maroc de transporter «autre chose que des passagers».
La Mocro-maffia inonde de son poison l’Europe
Mais il n’y a pas qu’en Algérie que le Maroc est impliqué dans le trafic de drogue. Toute l’Europe est inondée du haschich marocain, et l’on trouve même des dealers dans les écoles primaires. Et s’il n’y avait que le haschich ! C’est là que l’on retrouve la Mocro-maffia que nous avons déjà évoquée dans un autre article. Tout récemment, Europol a chapeauté une enquête conjointe entre la police judiciaire fédérale belge de Louvain et la Guardia Civil espagnole, enquête commencée en 2019 par la police française qui surveillait le système de communication crypté Sky ECC dont les serveurs sont installés en France. Les enquêteurs avaient réussi à déchiffrer le code de sécurité et à avoir accès à plus d’un milliard de messages qu’ils ont commencé à analyser et qui ont donné lieu à plusieurs coups de filet. Ainsi, depuis mars 2021, 511 enquêtes judiciaires ont permis d’écrouer près de 1 400 malfrats rien qu’en Belgique. Fin novembre 2022, Europol a annoncé que l’exploitation d’une partie des messages avait mené au démantèlement d’un super-cartel qui contrôlait, à lui seul, un tiers du trafic de cocaïne en Europe. 49 suspects avaient été interpellés dans 5 pays, dont 6 barons de la drogue vivant à Dubaï.
Au cours d’une journée d’action coordonnée qui s’est déroulée en mars dernier, les forces de l’ordre belges et espagnoles ont arrêté 5 suspects en Belgique et 1 en Espagne, et ont saisi 1,2 million d’euros de crypto-monnaies, 3 biens immobiliers, 50 000 euros en espèces, 1 voiture de luxe et plusieurs montres de luxe et des bijoux, ainsi que 23 téléphones portables, 3 coffres-forts et une machine à compter les billets. 180 millions d’euros générés par le trafic de cocaïne ont été blanchis par le réseau criminel qui était actif en Belgique et aux Pays-Bas, en Espagne, en Amérique du Sud et à Dubaï. Les trafiquants blanchissaient l’argent du trafic dans les crypto-monnaies et investissaient dans des projets immobiliers luxueux en Europe et dans plusieurs villes marocaines.
Les messages déchiffrés de Sky ECC ont révélé aux enquêteurs qu’ils avaient affaire à la Mocro-maffia marocaine mais aussi à la Ndrangheta calabraise, et que des représentants des cartels sud-américains étaient présents sur le sol belge. A la lecture des messages, il s’est avéré que tout ce beau monde partage le même goût pour une violence extrême avec des maisons de l’horreur où l’on démembre des gens et des conteneurs aménagés en salles de torture. Terreur, assassinats, des gens qui se font exécuter devant des spectateurs hilares, c’est la façon dont fonctionnent ces réseaux de trafiquants de drogue. Ce qui a fait dire à un magistrat français qu’il était très inquiet car, dit-il, «on sous-estime les dangers de ces trafics en termes de déstabilisation des Etats et de violence propagée à toute la société».
Où est passé Yacine Mansouri ?
Ce chapitre consacré au trafic de drogue qui rapporte des millions d’euros au régime marocain permet de comprendre d’où provient l’argent qui sert à soudoyer les politiciens et fonctionnaires occidentaux, peu scrupuleux que nous avons cités dans différents articles consacrés au Marocgate. Et ce n’est pas Yassine Mansouri qui va nous contredire puisque suite au mandat d’arrêt émis contre lui par Interpol pour son implication dans le Marocgate, il est aux abonnés absents, disparu de la circulation au point où il n’a même pas reçu le chef de la CIA William Burns venu le 7 avril à Rabat. Cela n’enlève rien au fait que tous ceux qui se sont laissés corrompre par l’argent du Maroc sont, par les faits, complices des trafiquants de drogue qui détruisent la vie des plus fragiles et qui laminent toutes les sociétés envahies par le poison de la drogue. Alors, quand Eva Kaili, l’ex-vice-présidente du Parlement européen que la justice belge vient de placer en détention sous surveillance électronique dans son appartement bruxellois, clame son innocence, qu’elle essaie donc de trouver une raison plausible pour expliquer pourquoi son père se baladait avec une valise remplie de billets de banque en petites coupures. Idem pour Tarabella qui est aussi sous PSE (placement sous surveillance électronique) et qui crie à cor et à cri qu’il est innocent. Ces gens qui ont trahi la confiance de leurs électeurs devraient être condamnés pour le reste de leurs jours à des travaux d’intérêt général qui les obligeraient à s’occuper des toxicomanes SDF qui dorment sur les trottoirs des rues européennes !
Nous avons déjà tant parlé de cette narco-guerre liée au terrorisme dans d’autres articles. Le fait de consacrer ses Unes à encenser la manifestation du MAK à Paris ce 16 avril et à donner la parole à ses représentants sont assez révélateurs de la rage du Makhzen à vouloir nuire à l’Algérie. Rappelons aussi les propos du président Tebboune qui a désigné le régime voyou du Maroc comme le responsable de la mort de nos diplomates à Gao. Nous n’avons toujours pas reçu de communiqué du palais royal pour démentir les accusations du président algérien.
Produits marocains : boycott total !
En conséquence de quoi, voyant cet acharnement du Makhzen qui s’entête à provoquer l’Algérie de toutes les manières possibles et imaginables, nous demandons aux autorités algériennes de reconduire à la frontière les 1 300 000 Marocains qui vivent en Algérie et qui représentent des agents dormants (ou peut-être bien éveillés pour certains), susceptibles de «rouler» non seulement pour le Makhzen mais aussi pour le Mossad, selon les propos du journaliste français Georges Malbrunot. Ensuite, nous demandons solennellement à nos compatriotes disséminés dans le monde entier à cesser de faire leurs emplettes dans les magasins marocains et à boycotter tous les produits issus de cette entité voyou qui n’a qu’un seul rêve : briser l’Algérie, ce qui, entre nous, relève d’un fantasme issu d’un excès de vapeurs de haschich. Qu’ils essaient seulement !
Nous lançons dès à présent un appel au boycott, à l’image des BDS qui boycottent l’entité sioniste d’Israël. Les Algériens établis à l’étranger ne doivent plus soutenir le commerce marocain dont les produits sont issus du pillage des richesses de nos frères sahraouis, lesquels subissent les pires exactions de la part des forces d’occupation marocaines, de la même façon que nos frères palestiniens sont spoliés et se font massacrer par les colons et les soldats sionistes. Nous ne pouvons pas nous rendre complices de ces crimes ! Nous devons soutenir le combat de la résistance palestinienne et des militants sahraouis, ces derniers ayant repris la lutte armée avec le Polisario qui pilonne en ce moment les forces d’occupation dans le secteur de Haouza, leur infligeant de lourdes pertes humaines et matérielles.
COPAG et ses Jaouda, Jutos, Jayda : à oublier
A partir d’aujourd’hui, nous allons publier les noms des entreprises marocaines et nous reprendrons les entreprises étrangères que nous avons déjà citées précédemment pour leur participation au pillage et à l’exploitation des richesses du peuple sahraoui. Commençons avec la plus grosse coopérative marocaine, à savoir la COPAG fondée en 1987 et qui utilise 20 000 agriculteurs regroupés en 72 coopératives qui cultivent fruits et légumes et élèvent le bétail de manière industrielle, c’est-à-dire à l’aide de produits phytosanitaires et chimiques en ce qui concerne l’agriculture et avec un bétail parqué en grand nombre dans de petits espaces, sans le moindre brin d’herbe et nourri avec de la farine enrichie. COPAG commercialise des produits laitiers sous la marque Jaouda (laits, yaourts, crèmes, fromages fondus, beurres, flans, desserts), des agrumes et des primeurs sous la marque COPAG Delight (oranges, clémentines, mandarines, citrons, tomates, poivrons, piments, courgettes), des jus de fruits sous la marque Jutos, et enfin de la viande rouge sous la marque Jayda. Les fruits et légumes sont exportés dans l’Union européenne mais aussi en Russie, aux Etats-Unis, au Canada, en Chine, en Arabie Saoudite et en Afrique. Nous soumettons ci-après une présentation de la firme COPAG où notre lectorat pourra se faire une idée de ce que cette entreprise espère faire avaler à ses clients : https://www.youtube.com/watch?v=TefMdztLp7M&t=1s
Nous sommes sûrs que notre lectorat constatera à l’issue de la vidéo que cet appel au boycott est également salutaire pour sa santé.
C’est parti pour les BDS.ma !
M. A.
Comment (90)