Classe de gangsters
Par Khider Mesloub – Aucun scrupule moral ou conscience gouvernementale ne retient la bourgeoisie sénile française. Dans cette période de décadence de la France, les machinations de l’Etat français ne connaissent pas de répit. Ni de crise. Elles tournent à plein régime. Le gouvernement Macron ne cesse de manœuvrer, d’ourdir des complots. La police et la manipulation sont les derniers remparts de la gouvernance de la classe dominante française en proie à la délégitimation institutionnelle et à la fronde sociale.
Personne n’ignore l’habilité manœuvrière de la bourgeoisie française, la mentalité magouilleuse de sa classe politique psychopathique. La bourgeoisie française, dans les secrets de ses salons ministériels, trame fréquemment des complots les plus sanglants, échafaude régulièrement des manœuvres les plus habiles – coups d’Etat, exécutions sommaires, activités mafio-barbouziennes, etc.
S’il fallait une preuve pour démontrer que la bourgeoisie française est une classe de gangsters prête à commettre les pires crimes ou à propager les pires mensonges, elle nous est administrée par le gouvernement Macron. Décidément, l’Etat français ne recule devant aucune barbarie, ni aucune manipulation.
Nous savions que la bourgeoisie française est machiavélique, mais pas à ce degré d’indécence manœuvrière. Ses gouvernants s’adonnent à la manipulation permanente de la population, via leurs médias stipendiés. Inutile de revenir sur la gestion machiavélique de la crise sanitaire où les intoxications informationnelles gouvernementales fallacieuses et spécieuses avaient davantage contaminé l’ensemble de la population que le débonnaire Covid-19. Où la gouvernance avait été confiée à l’occulte Conseil de défense dont les délibérations sont soumises pour un demi-siècle au secret-défense, afin de dissimuler les obscures résolutions arrêtées lors de ces multiples réunions secrètes.
Pour faire face à la crise économique systémique, la bourgeoisie française, qui aura fait passer la dette publique depuis l’élection de Macron de 2 200 milliards d’euros à plus de 3 300 milliards, est réduite à racler les fonds des tiroirs. Et, surtout, à faire les poches des travailleurs au moyen de cette taxe légalisée, appelée inflation.
K. M.
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