Le président turc Recep Tayyip Erdogan en visite officielle en Algérie

Comment (30)

Brahms
23 novembre 2023 - 0 h 41 min
La TURQUIE est en faillite
Comment va l’économie de la Turquie ?
Alors qu’elle avait reflué, l’inflation atteint à nouveau des sommets en Turquie. En août 2023, elle a ainsi grimpé à 58,9% sur un an, son plus haut niveau depuis décembre 2022. Un niveau, certes, moins élevé qu’en octobre dernier, où elle culminait à 85,5%, mais qui demeure une difficulté majeure pour le pays.
La Turquie espère des contrats commerciaux chez nous pour se refaire la cerise.
Quand on a de l’argent, on est toujours beau. Après Alsthom, Renault maintenant ce sont les Turcs qui veulent se renflouer financièrement sur le dos de l’algérien alors qu’ils ne font que de la contrefaçon.
Ya Ri – Ya Ri –
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Anonyme
22 novembre 2023 - 18 h 51 min
@Brahms
Et je rajouterai pour les Algériens de la diaspora étrangère soyez prudent et prenez garde.
Pour, les Algériens du monde qui veulent investir en Algérie sachez que le nouveau texte du gouvernement sur le financement et l’investissement en Algérie te fait comprendre qu’une fois que tu déposes ton argent des milliers d’euros ou des millions d’euros ou des milliards dans les banques algériennes ou sur le territoire algériens ton argent ne sortira plus jamais de l’Algérie ni des banques algériennes et si tu veux investir dans un pays ou une société tu es obliger d’avoir comme partenaire l’état algériens qui sera le garant de tout ce que tu as envie de faire voilà pourquoi il octroi des prêts pour faire venir les diasporas c’est un attrape nigaud toute les créations entreprises sur le sol algériens et dans le monde star up etc appartiendrons à l’état algériens en gros tu l’auras dans le cul et si tu veux passé des vacances et prendre plus de 30 milles euros tu es obliger de le justifié car plus rien ne appartiendras tu auras comme associées l’état algériens voilà la clause de l’en tubage toi tu crée le produit et l’état lui encaisse la glorification dans le monde, mais sans toi et si tu bronches, il te jette et te dépouille de tes biens comme lui Issad Rebrab et d’autres qui n’ont plus le monopole de leurs sociétés
Cette clause ne concerne pas les pays étrangers qui veulent investir en Algérie ou les étrangers qui veulent aussi investir en Algérie…
Ça ne concerne que les Algériens vivant en Algérie ou à l’étranger et de passeport algérien ne déposez pas votre argent en Algérie, je vous conseille de passer par des avocats étrangers et d’éviter les avocats algériens et français que vous soyez en France ou en Algérie vous êtes en Algérie et vice-versa….
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Brahms
23 novembre 2023 - 12 h 21 min
En réponse, merci pour votre commentaire.
En premier lieu, quand vous passez la frontière de Marseille à Alger, vous devez déclarer votre cash à Marseille puis à Alger pour éviter la saisie en douane et en même temps, il faut justifier de l’origine des fonds c’est à dire du ticket de retrait de caisse à la banque française comme quoi, vous avez retiré cet argent, qu’il est à vous.
En second lieu, quand vous arrivez en Algérie et que vous êtes en ville, quoi faire de vos 10 000, 20 000 ou 30 000 € en espèces. Si vous allez à la Banque, vous aurez le taux de change à 141 dinars pour 1 euro et si vous allez au marché noir, vous aurez 228 dinars pour 1 euro mais avec des risques d’agressions, de fausses monnaies, de cambriolages et de vols.
En clair, si vous souhaitez acheter un appartement ou une villa, l’euro vous rendra service car entre le dinar du marché noir et de la banque, il y a une marge de 87 %.
Par contre, si vous souhaitez faire sortir l’euro du territoire algérien, il faudra le déclarer à la douane avec le justificatif de la banque en faisant des petits retraits via des allers et retours ou alors faire un gros retrait par virement bancaire tout en justifiant l’origine des fonds.
Ensuite, quand il y a des blocages, l’Algérie s’intéresse aux fraudeurs qui achètent à l’étranger en payant avec le crédit – documentaire pour in fine envoyez des containers remplis de cailloux sur Alger, le but étant de prendre que les devises en forçant les banques algériennes à payer des sommes astronomiques mais sans possibilité de contrôle en amont car faisant confiance aux aigrefins algériens qui poussent le vice jusqu’à l’extrême pour ensuite disparaitre dans la nature et ainsi mettre la faute sur le fournisseur de Taïwan ou de Chine.
Pour finir, dès que la somme en devise est virée par la Banque Algérienne, l’aigrefin algérien annule sa commande auprès du fournisseur Chinois ou Taïwanais ou même Turc ou Français pour ensuite se faire virer ce même argent sur un compte en devise en Europe.
C’était un sport national connu de beaucoup de personnes en Algérie ruinant le pays ce qui fait que le Gouvernement algérien a prit des mesures pour éradiquer le fléau sinon, on finissait à la rue avec plein de containers sur le port d’Alger avec des cailloux à l’intérieur et le filou parti au Canada avec sa chérie.
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Brahms
24 novembre 2023 - 1 h 42 min
@Anonyme,
En France, c’est la même chose, c’est le fisc qui te surveille et si tu joues, le fisc passe à l’action. Exemple :
L’oligarque Russe a été condamné à deux ans de prison avec sursis par la juridiction interrégionale spécialisée de Rennes
L’homme d’affaires russe possédait le domaine et le château de Beaumanoir dans la petite commune du Leslay dans les Côtes-d’Armor.
BLANCHIMENT D’ARGENT – L’oligarque a également été condamné à deux ans de prison avec sursis par la juridiction interrégionale spécialisée de Rennes.
Il a été reconnu coupable de blanchiment aggravé et d’importation en contrebande de marchandise prohibée. Un homme d’affaires russe de 58 ans a été jugé lundi et mardi en son absence devant la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Rennes. La justice reprochait à cet oligarque moscovite d’avoir blanchi plusieurs millions d’euros issus de fraude fiscale commise en Russie entre 2010 et 2013.
Il faisait pour cela transiter les fonds sur les comptes de sociétés écrans off-shore immatriculées dans les îles vierges britanniques et à Chypre avant de les verser sur le compte de deux sociétés dont il était le gérant : l’une qui administrait deux joailleries à Paris et Courchevel et l’autre qui était propriétaire du domaine de Beaumanoir et de son château dans la bourgade du Leslay (Côtes-d’Armor).
Une amende douanière de 1,4 million d’euros
L’homme d’affaires avait également importé « de façon occulte plusieurs centaines de bijoux au sein de ces deux bijouteries, sans respect des formalités légales et sans comptabilité fiable, entre 2010 et 2013 », précise Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes.
A l’issue de l’audience, le château breton et les bijoux de l’oligarque russe ont été confisqués par la justice. Il a également été condamné à deux ans de prison avec sursis, à une amende douanière de 1,4 million d’euros et a interdiction du territoire français pour une durée de cinq ans. Son avocat a fait appel de cette décision.
En clair, le fisc français te dépouille et il t’interdit de venir en France et les biens immobiliers sont captés.
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Chark
22 novembre 2023 - 18 h 31 min
La turquie c’est les bases de l’otan sur le sol turque , c’est l’ambassade d’israel à istanbul , c’est le marché du commerce de l’armement israelo-turque , c’est les manœuvres militaire conjointe israelo-turque , c’est le démembrement de la Libye , et c’est son ingérence militaire en Syrie , je ne vois donc pas se que viens faire ce triste personnage en Algerie ?
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Brahms
22 novembre 2023 - 15 h 30 min
Les racines du colonialisme turc de 1515 à 1815. Ensuite, ce fût autour des français de nous voler de 1815 à 1962 soit plus de 04 siècles de rapine chez nous.
L’ère Chadli et Bouteflika nous ont mis à plat également, que de la ruine, des vols et des fraudes.
Par conséquent, comment voulez vous développer le pays ?
Voilà, le résultat.
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Brahms
22 novembre 2023 - 12 h 16 min
Méfiez – vous des constructions turques, on a vu le résultat chez eux surtout les normes antisismiques.
Distribuez des milliards et des milliards tantôt en Chine, en Angleterre, en Turquie, qu’en déléguant aux autres ce que l’on doit faire nous mêmes que le pays va se construire.
Il y a aussi le Qatar et l’Allemagne qui vont construire un hôpital à Alger.
Par contre nous, on fait des délits et des méfaits, on planque le fric en Suisse, en France et on attend que les émigrés ramènent la devise d’Europe pour boucher les trous comme le sapeur camembert.
Voilà, le travail.
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MoussOran
22 novembre 2023 - 0 h 57 min
Le plus grand fournisseur d’israel en algerie
Quelle honte
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Anonyme
21 novembre 2023 - 19 h 33 min
L homme est tres habile et rien ne compte pour lui devant les interets de la Turquie….il est capable de retourner sa veste toutes les 5 minutes…
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Oud
21 novembre 2023 - 17 h 43 min
@alvaro
Réponse fleuve ou est le rapport avec la venue d Erdogan???? .. vous êtes hors sujet mon pauvre ami vous mélangez tout .. Kouchner le maroc traité immigration Europe du Sud???? Trop confus recentrez vous sur les fondamentaux
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Anonyme
21 novembre 2023 - 16 h 31 min
Mr Erdogan est le président turc qui a le plus investi au pays. La critique est facile mais les chiffres ne mentent pas. Citez moi un pays qui a autant investi que la Turquie chez nous. Pour les technologies civiles et militaires rien n’empêche l’Algérie de conditionner les achats en échange de partenariats .
Perso j’ai fréquenté des Turcs : 1 Turc vaut 10 arabes avec la traîtrise en moins.
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Anonyme
22 novembre 2023 - 1 h 29 min
Anonyme@
21 novembre 2023 – 16 h 31 min
Les Algériens ne sont ni naïfs ni aveugles.
Regardez juste au niveau de la construction, la catastrophe des entreprises turcs. Au lieu de recruter la main d’œuvre Algérienne, ces entreprises préfèrent recruter les migrants clandestins qui n’ont rien à voir avec le domaine.
Le résultats: Une apocalypse urbanistique sans précédent.
Je ne vois aucune réalisation turc en Algérie.
La Turquie a bouffé de l’argent en Algérie et non pas le contraire.
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Bouziane Al Kalii
21 novembre 2023 - 16 h 30 min
Je ne peux pas faire confiance à ce type. Il parle beaucoup et dit beaucoup de bêtises 24 heures sur 24. Il faisait partie de ceux qui soutenaient la destruction de la Syrie.
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kenan
21 novembre 2023 - 15 h 59 min
l’algerie a tout interet à avoir des relations privilégiées avec la turquie pour former un binome musulman fort dans la region, qui peut etre indépendant et tenir tete à occident ou ne pas etre totalement soumis.
c’est plus profitable que d’etre une colonie de la france.
l’union fait la force. si les pays arabes etaient unis, israel ne commettrait pas ce genocide sur les palestiniens
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Wel
21 novembre 2023 - 15 h 07 min
Pourquoi monsieur Erdogan soutenez-vous militairement l’Ukraine mais pas la Palestine ?
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kenan
21 novembre 2023 - 15 h 53 min
tu es vraiment peu instruit
il est seul, il a en face usa, gb, fr, allemagne, Ue,
c’est encore le seul qui bouge. les avocats turques vont attaquer israel pour criel de geurre et genocide ainsi que netanyahou.devant Cour internationale de justice (CIJ), Cour pénale internationale (CPI) ou encore Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) :
demande à tes amis arabes de te soutenir. on ne les ented pas
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Anonyme
21 novembre 2023 - 17 h 53 min
J lieux répondre à sa place comme beaucoup parmi nous, tout simplement parce que la Turquie d erdogan est membre de l OTAN concernant l Ukraine mais tt le monde connaît Erdogan , il tape dans toutes les gamelles. Même les européens l ont constaté depuis belle lurette mais la Turquie reste un grd pays et Erdogan ben prêche d abord pour sa propre paroisse et ça je vais pas lui reprocher, il aime sa Turquie avt tout et la sert et le peuple turc li a réitéré sa confiance dans une élection libre démocratique et transparente et ces derniers temps la Turquie d Erdogan a joué un rôle important ds la scène internationale , qu on l’aime ou pas Erdogan et la Turquie reste un gr pays industriel militaire et plus. C est pas la tasse de thé spécialement mais personne oubliera ce président Turque , il a marqué l histoire contemporaine en bien ou en mal , cdt une autre affaire ? Enfin concernant la Palestine il est pas le seul à rien faire, les pays arabes sont silencieux et impuissants a ce sujet pour le moment ?
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THA MAHVOUL
21 novembre 2023 - 14 h 39 min
Je n’ai rien compris. On accueille à bras ouverts le chef d’un état qui nous a de tout temps trahi. En 1830 quand il nous a abandonné au colonialisme français et aujourd’hui, rebelotte, il fournit des armes au maroc….. COMPRENDS PAS !
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Ztack
21 novembre 2023 - 11 h 38 min
Pays frère dites-vous ? Depuis quand ?
Tout se qui se dira à Alger sera transvasé dans l’oreille de qui vous savez !!!!
Il joue sur tous les sujets , avec roublardise et sans gêne.
Avez vous connu un Etat ou son représentant se faire inviter pour les beaux yeux de son hôte ?
Que nenni ! Alors gageons que ce sera une visite de courtoisie seulement et bien sûr soutirer quelques
infos ou projets quant à ce que pense la direction présidentielle sur ce conflit !
Quand on déclare qu’un président sera reçu demain par son hôte, sans préciser le but , il y a toujours un Gros point d’interrogation sur la tête de ceux qui s’y intéressent.
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Salim Samai
21 novembre 2023 - 9 h 01 min
La Bolivie a ROMPU ses Relations Diplomatiques avec Israel. Nasrallah a REMERCIÈ l`Amerique Latine!
L´Occident s´est LEVÈ tel un FOU SANS RAISON UNANIME á l`ORDRE de Biden « Full Stop! » CONTRE SES IDEAUX, ENSEIGNEMENTS et INTERETS NATIONAUX pour SOUTENIR Israel au dessus de Dieu & TOUTES les Lois! Et la Turquie?
Qui va MENACER Israel qui lui MENACE le Secretaire General de l`ONU/Monde & le Pres. des USA á Washington..et OBTIENT GAIN de cause???
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R.Bouabsa
21 novembre 2023 - 8 h 34 min
Tous ceux qui ont tenté de faire renaître un empire à travers l’histoire sont tombés et ont connu une fin dure et l’histoire n’a exclu personne, c’est une leçon très précieuse !
Messieurs, nos GOUVERNANTS, la politique est un art, un talent et le leadership c’est le courage mesuré, c’est l’audace réfléchie, c’est la sagesse et la détermination qui n’hésite pas. La politique c’est l’équilibre et la confiance, ce n’est absolument pas les fêtes bruyantes et les rencontres à contresens.
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Abou Stroff
21 novembre 2023 - 7 h 08 min
« pays frère », mon oeil!
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Anonyme
21 novembre 2023 - 1 h 55 min
Qu’il laisse sa femme avec sa tenue islamiste chez lui.
On ne veut pas des manipulations geo-politico-religieuses.
L’Algérie n’est pas le hangar ou la décharge des tendances islamistes
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Alvaro
20 novembre 2023 - 21 h 57 min
Je poste la la vision tres pertinent de Abderrahmane Hadj Nacer
L’Algérie a une position constante de soutien à la cause palestinienne. Quelles leçons peut-elle tirer de la guerre en cours à Gaza ?
La guerre d’Ukraine nous a appris que la Russie n’a pas pu être écrasée parce qu’elle produit de quoi se défendre, de quoi se nourrir, se vêtir, se soigner, enfin de quoi vivre en autarcie. La Russie a aussi un pouvoir légitimé par la population.
Dans la guerre de Palestine, on voit Gaza vs Cisjordanie, la résistance vs la soumission, la probité vs la corruption. La capacité de bâtir une grande armée vient justement de la légitimité, de la probité et de l’ingénierie.
Ils ont réussi par leur ingénierie à créer une ville souterraine et des ateliers qui, aujourd’hui, remettent en cause les technologies israéliennes les plus sophistiquées.
On parle d’un soutien supposé de l’Iran, et l’Iran a les mêmes caractéristiques que la Russie ; la corruption réduite au minimum, une capacité d’ingénierie et de management de l’industrie militaire qui a fait ses preuves dans les technologies de pointe, y compris dans la capacité d’avoir la bombe atomique puisque l’Iran est aujourd’hui un pays du seuil.
« Nous devons tirer les leçons en Algérie sur les autonomies »
En fait, on découvre que les grandes armées budgétivores sont démunies par rapport à celles qui ne consomment pas beaucoup d’argent. Nous devons tirer les leçons en Algérie sur les autonomies.
Nous devons réfléchir sur le démantèlement organisé de façon systématique de l’industrie algérienne, de la capacité de management et d’ingénierie, un démantèlement qui a été opéré dans les années 1990 et plus tard avec beaucoup de pressions aussi de l’étranger.
Dans les années 1960, 1970 et 1980, l’industrie algérienne avait été conçue pour être aussi une base pour l’industrie militaire. Par exemple, les machines-outils, les moteurs-tracteurs de la base de Constantine étaient pensés pour produire plus tard des engins militaires en cas de besoin. L’industrie c’est de maîtriser les machines-outils, pas de faire du montage.
En tout cas, nous devons réfléchir à ces caractéristiques qu’on retrouve en Russie et en Iran, l’ingénierie, le management, l’autonomie. Évidemment, il ne peut pas y avoir de souveraineté lorsque vous avez des systèmes de corruption, parce que, automatiquement, c’est le reste du monde qui vous tient même si vous croyez le tenir en le payant.
Au plan extérieur, on a vraiment un gros problème, parce que l’Algérie est un pays qui a une position stratégique, ce n’est pas un pays pivot.
Le pays pivot est une fonction passive, c’est les grandes puissances qui décident de faire de vous un pays pivot. Mais quand vous avez une position stratégique, vous pouvez être un acteur.
L’Algérie a les capacités d’être quasiment dans le contrôle de ce qu’on appelait avant l’Empire romain d’Occident, c’est-à-dire la boucle des sept pays, Italie, France, Espagne jusqu’en Libye…
Mais aussi, c’est la porte d’entrée de l’Afrique. Notre profondeur historique et la profondeur des routes n’ont pas d’équivalent pour aller vers l’Afrique et notre habitude à nous de naviguer vers le Nord depuis la nuit des temps (Andalousie, régence d’Alger…) fait qu’on a une capacité importante d’intervention en Europe du Sud.
Or, cela signifie que nous devons avoir des relations avec les pays d’Europe du Sud qui soient basées sur des doctrines. Nous connaissons certains fondamentaux de l’Algérie, dont le non-alignement positif et actif qui est un héritage du GPRA.
Nous avons cette doctrine de base qui fait partie de l’ADN de l’Algérie, nous avons la position géographique. Mais ça ne suffit pas. En matière doctrinale, il faut avoir une vision sur 30 ans minimum, penser sa destinée manifeste, de ce que doit être La Défense, à quoi doivent servir les services de renseignement, quel type d’industrie, l’économie de la connaissance, c’est-à-dire le système éducatif, la santé etc. Sur la base de ces éléments de doctrine, on établit des plans à long terme.
Qu’en sera-t-il des relations de l’Algérie avec son voisinage, la France en particulier, à la lumière des positions des uns et des autres pendant cette guerre de Palestine ?
Nous devons entretenir des relations de bon voisinage avec nos voisins. Mais le problème que nous pose la guerre de Gaza c’est : peut-on avoir une vision d’avenir avec des pays qui prônent un interventionnisme raciste ? Dans la guerre de Gaza, c’est une armada mondiale qui s’est mobilisée contre des gens qui étaient dans un camp de concentration, qui ont été menacés avec la bombe atomique.
Pour ce qui nous concerne, il y a aussi la France qui est la puissance qui a donné à Israël et à l’Irak la technologie de l’atome et qui a ensuite vendu à Israël les emplacements des installations nucléaires irakiennes.
« Tout cela à un moment où les débats politiques en France portent en permanence sur l’Algérie »
La France est face à nous et il faut se demander quel avenir y a-t-il avec un pouvoir qui est encore dans cette brutalité coloniale ?
Tout cela à un moment où les débats politiques en France portent en permanence sur l’Algérie. On parle par exemple de ce traité sur l’immigration de 1968. Est-ce la priorité politique en France, alors que l’immigration algérienne n’est plus majoritaire ?
Et d’ailleurs, quand on regarde le paysage démographique de la France, est-il normal que les immigrés soient dans les cités qui, elles, sont issues de bidonvilles nous rappelant ainsi les anciens camps de regroupement en Algérie à l’époque coloniale ?
Est-il normal qu’on n’arrive pas, 60 ans après l’indépendance, à mettre en place un système d’intégration qui privilégie la dignité ?
Or, ce qu’on demande aujourd’hui aux nouveaux arrivants, qui ont été pour la plupart sollicités, c’est une attitude collaborationniste qu’on demandait aux Harkis avant, c’est-à-dire, la soumission, l’aliénation et la remise en cause des valeurs que transportent ces populations.
Cela crée un double système. Il y a ceux qui arrivent à s’intégrer par l’aliénation et ceux qui, n’y arrivant pas, deviennent des résistants primaires par l’adoption d’un islamisme dégradant ou d’habitudes vestimentaires identitaires….
Sur un autre plan, on a vu l’ambassadeur français à Rabat dire il n’y a plus aucune restriction sur les visas pour les Marocains et que la France est pour le soutien de la politique marocaine au Sahara. C’est une déclaration qui date de peu de jours. Cette duplicité est significative du mécanisme néocolonial de diviser pour régner.
Ce qui est important ce n’est pas ce que dit un président, Emmanuel Macron en l’occurrence, mais ce que disent tous les éléments qui s’expriment au nom de l’État profond.
Tout ce que disent les dirigeants anciens ou actuels est focalisé sur l’Algérie. En même temps, cet État profond français a une politique brutale au Moyen-Orient.
Théoriquement, une grille de lecture simple de ce qui se passe aujourd’hui au Moyen-Orient dit qu’il n’y a plus rien à faire avec ce pays.
En même temps, il faut avouer que ce qu’on constate en Occident, y compris en France, c’est que les populations sont en train de réagir différemment par rapport à leurs dirigeants.
Cela doit nous permettre de garder une lueur d’espoir quant à la capacité de développer des relations futures avec ces pays. Parce que, aussi, quoi que l’on dise et quoi que l’on fasse, la France sera toujours là géographiquement.
Ce sera toujours un pays voisin. Il faut rester vigilant. Ont-ils le désir d’avoir un pacte de nature différente qu’un pacte colonial ? Est-ce qu’ils vont sortir de la politique du statu quo ?
Bernard Kouchner disait qu’on ne peut rien faire avec l’Algérie tant que les dirigeants issus de la guerre de Libération sont toujours là. En réalité c’est l’inverse. On ne peut rien faire avec la France tant que la logique française n’est pas sortie de la logique de la guerre d’Algérie.
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Abou Stroff
21 novembre 2023 - 16 h 03 min
la vision de hadj Nacer interviewé par TSA devrait être lue par tous ceux qui s’intéressent au conflit palestino-sioniste.
en effet, l’analyse pertinente de H. N., reposant sur une analyse des rapports de force à l’échelle mondiale, nous permet d’oublier définitivement la vision religieuse, stérile et totalement ridicule de la problématique palestinienne en termes de méchants juifs adossés au judaïsme qui agresserait de gentils arabo-musulmans adossés au texte coranique et à la sunna.
PS: je pense que AP devrait publier l’intégralité de l’interview de Hadj Nacer.
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zembla
21 novembre 2023 - 16 h 29 min
«En même temps, il faut avouer que ce qu’on constate en Occident, y compris en France, c’est que les populations sont en train de réagir différemment par rapport à leurs dirigeants.»
Si vous pensez que les Européens ne soutiennent pas majoritairement Israël c’est que vous ne connaissez pas les Européens
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Anonyme
22 novembre 2023 - 6 h 04 min
Ta propagande sioniste à deux sous est d’une faiblesse confondante, Zembla.
Les peuples Européens sont soumis à un flot ininterrompu de désinformation télévisuelle. Mais beaucoup se soustraient aux chambres d’écho des mass médias et échappent à leur contrôle.
Il y a des lignes de fracture qui se dessinent en Europe comme aux USA entre ceux qui consomment l’information via les MSM d’hier (chaînes d’info continue, presse subventionnée) et ceux qui nourissent leur esprit sur internet (podcasts, réseaux sociaux)
Fracture générationelle: les jeunes de regardent plus CNN, BBC ou LCI. Aux USA, ils écoutent Andrew Tate ou Abby Martin, chacun suivant sa couleur politique et ses préférences et ailleurs des alternatives semblables émergent.
Fracture idéologique aussi: beaucoup de gens ce sont rendus compte que les campagnes de sensibilisaiton du COVID étaient pleines d’incohérences, et se sont tournés vers des médias alternatifs pour cette raison. Parfois ce sont d’autres sujets qui les a conduit vers la rupture, mais quand cette rupture a lieu, elle est irréversible. Avec internet, un changement de paradigme est en cours de téléchargement…
Le temps ou les sionistes contrôlaient le narratif est en voie d’extinction. C’est un cheminement qui n’est pas encore totalement réalisé, mais il est largement entamé et en bonne voie.
Tic tac, tic tac……
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Algerien Pur Et Dur
20 novembre 2023 - 21 h 25 min
Il est indéniable que l’Algérie doit accueillir Erdogan en tant que président de la première puissance économique du Moyen-Orient, surtout si cela peut apporter des avantages, à condition que des algériens compétents et alignés sur les intérêts de l’Algérie soient impliqués. Cependant, qualifier la Turquie de pays frère simplement parce qu’elle est un autre pays musulman peut être un jugement trop hâtif. La vente d’armes et d’équipements militaires par la Turquie au Maroc, un pays qui pourrait les utiliser contre l’Algérie en cas de conflit, souligne la nécessité de prendre en compte les intérêts nationaux dans ces relations. La Turquie a le droit de vendre ses équipements à qui elle veut pour poursuivre ses intérêts, une liberté d’action qui justement ne justifie pas le terme « pays frère » de la part de l’Algérie.
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lenine
20 novembre 2023 - 20 h 50 min
QUAND ALLEZ VOUS CESSEZ AVEC CE VOCABLE PAYS FRERE POUR QUELLE RAISON CE MONSIEUR VIENT EN ALGERIE ,,,?????? CET AMI DE L ENTITE SIONISTE L AMI DE MON ENNEMI EST MON ENNEMI ADAGE ENCORE D ACTUALITE ,,,,??????
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Erdogan n'est pas un allié des DZ
22 novembre 2023 - 8 h 17 min
@ lenine
Toi tu vois clair comparé à certains ici même.
Si lui il est un frère, autant nos associés avec Satan.
Cependant le peuple turcs musulmans sont des gens que j’apprécie énormément.
Quant aux autres, les turcs non musulmans ce n’est pas mon problème.
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