Le fils de la députée marocaine cachait la cocaïne au cabinet de la ministre
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Décidément, les perquisitions vont bon train dans les domiciles des rejetons des politiciens socialistes belges. Après le fils de Marie Arena, Ugo Lemaire, au domicile duquel on avait retrouvé 280 000 euros, de la drogue, des œuvres d’art, des traceurs GPS, etc., et dont le dossier est à la brigade des stups, Arena étant elle-même impliquée dans le Marocgate, voici maintenant le tour de Mekki Vanhaelen, le fils de la députée belgo-marocaine au Parlement bruxellois Fadila Laanan, socialiste elle aussi. Le bureau qu’il occupait au cabinet de la ministre francophone PS de l’Education, Caroline Désir recelait une cinquantaine de sachets de cocaïne. La somme de 10 000 euros a aussi été retrouvée au domicile du fils prodigue.
Ça en dit long sur le pourrissement de la classe politique et des dirigeants belges où le népotisme, le clientélisme et la corruption règnent en maîtres. Tous les gosses de ministres et de députés commencent leur carrière politique auprès des copains-copines de papa ou maman. En Belgique, la politique est devenue affaire de famille et de copinage. Il suffit d’être «fils de» ou «fille de» pour être assuré d’avoir tôt ou tard son siège dans l’un des cinq Parlements belges et de gravir les échelons, jusqu’à devenir Premier ministre, comme Alexander De Croo, fils d’Herman, ou avant lui, Charles Michel, fils de Louis. D’ailleurs, Caroline Désir est la petite-fille d’un ancien animateur de télévision, Georges Désir, reconverti à la politique qui l’a fait ministre bruxellois. Les exemples sont légion. Voilà ce que produit le système politique oligarchique occidental : des dégénérés dirigent les pays occidentaux et donnent des leçons de démocratie et de droits de l’Homme à toute la planète.
Pour en revenir au fait du jour, d’après le porte-parole du parquet de Bruxelles, huit personnes sont actuellement inculpées du chef de vente de stupéfiants en association. Six sont sous mandat d’arrêt. La perquisition a eu lieu au mois de décembre 2023, et c’est ce 26 janvier que le scandale a éclaté. Pourquoi donc avoir caché ce scandale pendant plus d’un mois ? Qui avait intérêt à l’étouffer ? Quoi qu’il en soit, la brigade des stups ne chôme pas en Belgique. Elle travaille à plein régime et fait les feux continus : 6-2, 2-10, 10-6 ! Et ce n’est pas qu’en pourchassant la plèbe, c’est en poursuivant des ministres, des députés, ou leurs enfants.
Il faut avouer que cela fait mauvais genre d’associer un ministère, à plus forte raison de l’Enseignement ou de l’Education, avec le mot «cocaïne». Nous imaginons aisément l’impact que cela peut avoir sur les millions d’élèves des différents instituts scolaires du pays, quand ils apprennent que le cabinet de la ministre chargée de l’enseignement et de l’éducation s’est avéré un repaire de dealers de drogue ! Allez donc leur interdire de fumer des pétards et de sniffer pendant la récréation après ça. D’autant que c’est un secret de Polichinelle que le hachich marocain circule sous le manteau à l’entrée des écoles et dans les cours de récré. Pensez-vous que la ministre va démissionner ? Non, voyons ! Comme Marie Arena, elle clame haut et fort qu’elle n’a rien à voir là-dedans et qu’elle n’est pas responsable. On a bien compris que ces ministres sont des irresponsables.
Bon sang ne peut mentir, dit l’adage, et Mekki Vanhaelen a de qui tenir, car sa mère, la belgo-marocaine Fadila Laanan, a été une fameuse coquine, selon nos source dont nous nous contenterons de ne citer que les initiales B. A. La bienséance nous empêche de commenter plus longuement ce sujet, mais nous pouvons assurer qu’on ne s’embête pas au Parti socialiste belge.
Puisque l’on est dans la cocaïne, nous apprenons que l’un des chefs de la Mocro Maffia, organisation criminelle d’origine marocaine établie aux Pays-Bas, a été interpelé à Marbella, en Espagne, après une traque de cinq ans. Voilà qui doit chagriner la ministre Caroline Désir et ses copains. Le dealer marocain du ministère est tombé.
Ces différents scandales auront certainement des répercussions sur les prochaines élections qui se dérouleront en juin et en octobre 2024. Oyez oyez, citoyens belges, vous savez désormais pour qui vous allez voter : un ramassis de corrompus, de noceurs et de drogués. Bonne chance avec ça !
M. A.
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