Pasteur l’imposteur ou le mythique vaccin contre la rage aux effets curatifs falsifiés
Une contribution de Khider Mesloub – L’histoire médicale pullule de ces charlatans qui affirment guérir grâce à leur miraculeuse pilule. De leur vaccination frauduleuse, voire venimeuse. Il en ainsi de Louis Pasteur avec son mythique vaccin contre la rage, vaccin aux effets curatifs falsifiés.
Contrairement aux cocoricos tricolores, non seulement Pasteur n’a pas inventé le vaccin contre la rage, mais a causé la mort de plusieurs patients. «Une partie de son génie a été de se saisir des découvertes de ses confrères, de les expliquer et d’en déposer des brevets, sans citer aucun nom», souligne Pierre-Yves Laurioz, pharmacien biologiste. Il est l’auteur du livre Louis Pasteur, la réalité après la légende. Selon Pierre-Yves Laurioz, Pasteur «a repris les travaux du médecin Antoine Béchamp sur la maladie des vers à soie, ceux des vétérinaires Henry Toussaint sur la maladie du charbon et Pierre-Victor Galtier, qui avait mis au point le protocole de la vaccination contre la rage». Toujours selon ce chercheur, étrangement, «Pasteur avait consigné tous ses emprunts dans des notes où il décrivait minutieusement ses travaux. Il les avait déposées à l’Académie des sciences, en ordonnant qu’elles ne soient ouvertes que 100 ans après sa mort. Aussi a-t-on découvert, de sa propre main, ses «plagiats».
L’imposteur Pasteur, qui n’était pas médecin mais chimiste, n’a pas découvert la vaccination, puisqu’elle avait été déjà dépistée en 1798 par le médecin anglais Edward Jenner afin de protéger les humains contre la variole, en leur inoculant la «vaccine», une maladie identique à la variole des bovins et bénigne chez l’homme.
De plus, cette conception pharmaceutique d’exposer un organisme humain à une version atténuée d’un virus pour l’accoutumer à y résister avait déjà été pensée et pratiquée plus tôt, notamment en Turquie où des enfants, pour les immuniser contre la variole, étaient «variolisés», c’est-à-dire exposés directement au virus.
Selon l’auteure du livre Immunisés ? Un nouveau regard sur les vaccins, Lise Barnéoud, les premières «expérimentations vaccinales» contre la variole remontent au XVIIe siècle, dans l’Empire du milieu, la Chine. Selon d’autres études, la pratique de l’inoculation de la vaccine était très répandue en Inde. Ce serait de ce pays, alors colonie britannique, que cette pratique médicale se répandit en Europe. On cite notamment les expériences d’inoculation du médecin anglais Edward Jenner.
Par conséquent, Pasteur est loin d’être le pionnier en matière de vaccination, comme le proclame la France chauvine. En revanche, il est le premier pilleur moderne des recherches médicales. Homme à l’esprit retors, Pasteur savait jouer de son entregent pour promouvoir ses intérêts et se faire de l’argent, à l’instar des médecins affairistes contemporains stipendiés par Big Pharma.
En outre, Pasteur était l’ami des ministres influents, des diplomates de pays étrangers. Grâce à ses relations mondaines, le faussaire Pasteur s’est bâti une réputation de «grand scientifique», de «génie». Mais, en réalité, c’était un imposteur. Comme le rappelle le journaliste Gilles Harpoutian, qui a fait voler en éclats le mythe de Louis Pasteur dans son livre La Petite Histoire des grandes impostures scientifiques : «Pasteur est un imposteur par plagiat. Il a plagié tout au long de sa carrière, de manière systématique et organisée.» Et d’ajouter : «Pasteur n’a pas inventé le vaccin contre la rage, ni la pasteurisation, ce qui ne l’a pas empêché de déposer un brevet.» Comme tous les médecins et scientifiques stipendiés par BioNTech-Pfizer, ces faussaires des temps modernes.
Imbu de sa personne, souffrant aucune remise en cause de ses recherches pourtant controversées, et en dépit de nombreux décès causés par ses multiples catastrophiques expérimentations sur des humains, Pasteur interdisait à tous les scientifiques de contester ses travaux : «Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode ; je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences !»
N’est-ce pas la même attitude despotique, voire fasciste, affichée par la majorité des médecins et scientifiques stipendiés par les Big Pharma lors de l’épidémie de Covid ?
A son propos, le docteur Auguste Lutaud, contemporain de Pasteur, disait : «M. Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne.» Comme les médecins contemporains auront contribué à propager le coronavirus, et non à nous guérir.
Pasteur est réputé pour avoir falsifié les conclusions de ses expérimentations ; autrement dit, avoir maquillé les résultats de ses recherches quand elles ne concordaient pas avec ses attentes cupides. Aussi, pour accréditer ses expérimentations, il s’entourait d’escrocs de son acabit pour approuver et valider ses conclusions falsifiées, moyennant rémunération.
Ainsi que l’écrit Eric Ancelet, auteur du livre Pour en finir avec Pasteur : «Pasteur s’appropriait des travaux qu’il avait critiqués chez les autres. L’un des plus sérieux chercheurs du XIXe siècle, qui passait son temps à élucider les énigmes, les problèmes et que la vie mondaine n’intéressait pas du tout, fut sa principale victime, Antoine Béchamp, il avait les diplômes (pas usurpés eux) de médecin, de biologiste, de naturaliste, il fut professeur de chimie pharmaceutique & médicale».
Pourtant, l’imposteur Pasteur, en dépit des travaux sur ses escroqueries médicales, notamment les recherches du pharmacien biologiste Pierre-Yves Laurioz, auteur du livre Louis Pasteur. La réalité après la légende, continue d’être auréolé de toutes les gloires médicales, d’être présenté en France comme le «sauveur de l’humanité».
En effet, les méfaits de Pasteur, cet escroc de la médecine, à l’exemple des milliers de «médecins» et «scientifiques» actuels qui ont participé à la plus grande escroquerie médicale, en promouvant et vendant le produit chimique ARN-m de BioNTech-Pfizer comme un vaccin lors de l’épidémie de Covid-19, demeurent, sans jeu de mots, masqués au grand public. Durant l’épidémie de Covid-19, ces élites médicales et pharmaceutiques, avec leurs complices les gouvernants, nous ont, au double sens du terme, masqué par la force et le visage et la vérité, la vérité sur l’insignifiance du taux de létalité du coronavirus et sur l’inefficacité des produits chimiques baptisés vaccins, les fameux et fumeux ARN-m.
En revanche, dans la communauté médicale et scientifique française et mondiale, les maquignonnages de Louis Pasteur sont depuis longtemps connus et dénoncés. On peut citer en vrac les noms de quelques médecins, auteurs de publications sur les escroqueries médicales de Pasteur, ce faussaire de la médecine et de la pharmacologie : le Dr Lutaud, le Dr Philippe Decourt, le Dr Xavier Raspail, Adrien Loir, Ethyl Douglas, Hume, Emile Duclaux, Gerald Geison.
Alors, pour quelle raison cet aigrefin de la recherche médicale et pharmacologique, copieur, plagieur, pilleur des travaux de ses confrères, continue-t-il d’être idolâtré et protégé en France ? Pour deux raisons. Grâce au capital de sympathie accumulé depuis sa valorisation médicale dont bénéficie Pasteur, les laboratoires pharmaceutiques des vaccins et les médecins français s’en servent comme emblème cocardier de publicité, argument scientifique de vente. Or, deuxième raison corrélée, si la vérité sur les escroqueries de Pasteur venait à être dévoilée à l’opinion publique, la réputation de l’industrie pharmaceutique française serait éclaboussée. Pis, elle serait immédiatement taxée de complicité d’escroquerie patrimoniale scientifique et, donc, ferait l’objet de boycott pour sa complaisance, voire collusion.
En tout cas, Pasteur demeure une valeur patrimoniale mythique en France, en particulier dans le domaine de la recherche pharmaceutique française. Comme le souligne Sylvie Simon : «Et à présent que Pasteur n’est plus là pour piller les résultats de ses pairs ! Ce sont les autres qui les pillent en son nom.»
Pour rappel, c’est ce charlatan de Pasteur qui a dit : «Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science y ramène.» Ce faussaire était en tout cas plus proche de son dieu que de la science.
En réalité, Louis Pasteur, cet escroc bigot, était plus destiné à embrasser dévotement la carrière de curé de village qu’à épouser frauduleusement la carrière de scientifique mondain. Ses miraculeuses découvertes demeurent en tout cas une vue de l’esprit. De son esprit «savant» malfaisant, de son esprit «scientifique» malfaiteur.
K. M.
Comment (22)