Gaza : le bilan de l’agression sioniste s’élève à 34 535 martyrs

avril 30, 2024 - 1:55 Rédaction 1 Commentaire

Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Gaza s’est alourdi à 34 535 martyrs et 77 704 blessés depuis le 7 octobre dernier, ont indiqué mardi les autorités palestiniennes de la Santé.

Selon la même source, l’armée d’occupation sioniste a commis 5 massacres au cours des dernières 24 heures dans la bande de Gaza, faisant 47 martyrs et 61 blessés.

Les autorités palestiniennes de la Santé ont également indiqué qu’un certain nombre de victimes palestiniennes se trouvent encore sous les décombres et sur les routes, et que les forces de l’occupation empêchent les ambulances et les équipes de la Protection civile de leur porter secours.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression sauvage contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.

R. I.

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Commentaires

Brahms

1 mai 2024 - 7 h 21 min

Les sociétés occidentales ne bougent pas d’une oreille car toutes cornées avec Israël,

Israël a fait le tour de tous les pays musulmans. (Palestine, Irak, Syrie, Liban, Iran) en bombardant des sites militaires, des consulats, des représentations diplomatiques, liquide des gosses, des vieillards, des femmes faisant 35 000 morts des handicapés comme le cheik Yassine qui avait été tué dans son fauteuil via un missile lancé par un hélicoptère de combat.

Vous avez aussi des enfants qui sont emprisonnés selon un rapport de l’ONU, ils sont jetés au cachot pour 20 ans de prison au motif qu’ils auraient jetés des cailloux et ce, sans respect des droits de la défense, pas d’avocat et contre un juge juif qui ira forcément dans le sens d’Israël.

On assiste impuissant à une extermination des palestiniens et tout le monde regarde comme dans un film, Israël étant classé, seul pays au monde au – dessus des lois car détenant la finance internationale (des milliards et des milliards) via Georges Soros, DSK, Sarkozy, BHL, Larry Ellison, le fondateur du géant de la technologie Oracle Corporation, est le Juif le plus riche du monde et la cinquième personne la plus riche de la planète. À 70 ans, sa valeur nette est de 54,2 milliards de dollars.

Avec une valeur nette de 35,5 milliards de dollars, l’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, est le second Juif le plus riche sur la liste et la 14e personne la plus riche.

Mark Zuckerberg, reste à 30 ans l’un des plus jeunes milliardaires du monde, et il a grimpé de cinq places pour atteindre la 16e position du classement.

Sa valeur nette a augmenté pour atteindre 33,4 milliards de dollars.

Les autres Juifs dans le top 50 sont le magnat des casinos Sheldon Adelson (31,4 milliards $), les cofondateurs de Google Sergey Brin et Larry Page (29,2 et 29,7 milliards de dollars), les investisseurs George Soros (24,2 milliards $), Carl Icahn (23,5 milliards $) et Len Blavatnik (20,2 milliards $), et Michael Dell le fondateur de Dell Computer (19,2 milliards de dollars).

Il y a aussi plusieurs Juifs parmi les nouveaux venus de la liste, parmi lesquels Russ Weiner, le fondateur et PDG de Rockstar energy drinks, Jerry Reinsdorf, le propriétaire des franchises sportives des Chicago Bulls et des Chicago White Sox, ainsi que Ken Grossman, cofondateur de la Sierra Nevada Brewing Co. Weiner est le fils du célèbre animateur de radio Michael Savage (né Michael Weiner).

Seth Klarman, investisseur du Times of Israel, est également sur la liste, avec une valeur nette de 1,5 milliard de dollars.

Alors que les hommes sont beaucoup plus nombreux que les femmes sur la liste, quelques femmes juives y figurent, comme Shari Arison (4,4 milliards de dollars), Karen Pritzker (4,3 milliards de dollars), Lynn Schusterman (3,7 milliards de dollars) et Doris Fisher (3,2 milliards de dollars).

Avec une valeur nette de 1 milliard de dollars Sheryl Sandberg de Facebook ferme le palmarès.

De ce qui précède, les sociétés occidentales suivent ceux qui ont le pouvoir, la force et laissent toujours le faible se morfondre dans sa misère sociale.

In fine, on voit bien que le droit reste de la littérature pour ceux qui ont la force et ne s’applique en réalité qu’aux personnes dites faibles afin de les contraindre à respecter les règles du riche. C’est signé.

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