Personnes détenues pour des publications sur Internet : vers une grâce présidentielle ?

Comment (5)

Abou Stroff
24 mai 2024 - 15 h 21 min
« Le président de la République décrétera-t-il une grâce présidentielle en faveur des personnes arrêtées en raison de publications sur Internet jugées attentatoires à la sécurité et à l’unité du pays ? » s’interroge N. D..
question toute simple: les personnes arrêtées en raison de publications sur Internet jugées attentatoires à la sécurité et à l’unité du pays ont elles été jugées, par la justice, pour les faits reprochés?
si la réponse est oui, la loi permet au président de décréter une grâce présidnetielle. par contre, si la réponse est non, le président, n’étant pas un émir ayant droit de vie et de mort sur ses sujets, n’a aucun droit pour décréter une amnistie.
wa el fahem yefhem
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Algérien
24 mai 2024 - 15 h 19 min
Je ne suis pas d’accord avec ceux qui confondent la liberté de l’expression et l’insulte, il faut qu’ils restent au chaud.
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Anonyme
23 mai 2024 - 19 h 42 min
La liberté d expression ne s achète pas.
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Refondation de l'Etat et pas du bricolage politique.
23 mai 2024 - 19 h 21 min
La solution ne réside pas seulement dans la libération des détenus politique et d’opinion. C’est bien mais c’est très insuffisant. La solution n’est pas dans une nouvelle élection présidentielle à l’odeur de la précédente. La solution réside dans l’acceptation d’une période de transition démocratique inclusive. Il faut appeler à la formation d’un gouvernement de transition, de compétence et faire l’effort de trouver un consensus pour désigner un Conseil des Sages, des personnes crédibles, pour encadrer cette transition au cours de laquelle on réfléchira à la révision des institutions, de profiter pour revoir certaines dispositions de la Constitution, de revoir certaines disposition du code électoral, de la loi sur les partis politiques, le rôle de l’ANIE, etc… et même de revoir certaines dispositions du code pénal inacceptables.
On a donc besoin d’une année environ pour se faire. Il y a urgence à bâtir un Etat de Droit, une justice indépendante, un juste équilibre des pouvoirs. Il est question donc d’une refondation de l’Etat et non d’un bricolage politique . C’est incontournable pour une paix civile durable dans une ALGERIE ALGERIENNE multiculturelle et authentiquement libre et démocratique.
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Ferid Racim CHIKHI
23 mai 2024 - 14 h 25 min
Bonne nouvelle ! L’apaisement est de rigueur mais il va de pair avec la pédagogie et l’apprentissage de l’utilisation des réseaux sociaux.
La population algérienne qu’elle soit en Algérie ou ailleurs dans le monde a dans ses gênes l’oralité et l’écriture est un mode d’expression qui n’est pas maîtrisé par tous.
Les gouvernants doivent canaliser toutes les énergies pour que la démocratie fonctionne au mieux de ses potentialités et que toutes les énergies tendent vers le meilleur.
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