L’entité sioniste ajoutée à «la liste de la honte» : la décision de l’ONU saluée
Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a salué la décision des Nations unies d’inclure l’entité sioniste sur «la liste de la honte» sur les violations des droits de l’enfant, y voyant «un pas dans la bonne direction» pour tenir l’occupation responsable de ses crimes dans les territoires palestiniens notamment à Gaza.
Le ministère a affirmé dans un communiqué publié samedi par l’agence de presse Wafa, que «l’absence de responsabilité internationale envers l’occupant l’ont encouragé à persister dans la perpétration de davantage de violations et de crimes contre notre peuple, y compris le ciblage systématique et généralisé des enfants».
Il a souligné que «le moment est venu pour la communauté internationale d’unir ses efforts pour assurer la protection des enfants de Palestine et mettre un terme à leur ciblage délibéré par l’occupation».
Et de poursuivre qu’«élever la voix de la justice internationale, mettre fin aux deux poids, deux mesures dans l’application du droit international et des résolutions de légitimité, mettre fin au crime de génocide commis par l’occupation, réaliser les aspirations du peuple palestinien à la liberté, à l’indépendance et à l’autodétermination et incarner son Etat indépendant avec El-Qods pour capitale, est le seul moyen pour permettre aux enfants palestiniens de vivre en sécurité et en paix sur leur terre».
Le ministère a ainsi appelé tous les pays à «assumer leurs responsabilités, à revoir leurs relations (avec l’entité sioniste) et à exercer une réelle pression sur celle-ci pour qu’elle mette fin à ses agressions contre la bande de Gaza, et ses attaques en Cisjordanie, notamment à El-Qods occupée».
Pour rappel, les Nations unies ont inscrit vendredi l’entité sioniste sur «la liste de la honte» sur les droits des enfants lors de conflits, pour ses violations répétées des droits des enfants palestiniens et ses massacres en Palestine occupée notamment dans la bande de Gaza, ont rapporté auparavant des médias.
R. I.
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