La main invisible des financiers dans la politique française

Macron financiers
Pour dominer, Macron doit répondre à certains critères des financiers. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – A travers les âges et les régimes, une constante indubitable se dégage : le pouvoir suprême appartient toujours aux financiers, indépendamment de l’idéologie politique apparente. En France, l’emprise de cette élite est incarnée par quelques figures éminentes telles qu’Alain Minc, Serge Weinberg, Jacques Attali et Bernard Mourad, qui ont personnellement cautionné Emmanuel Macron auprès de David de Rothschild.

L’ascension de Macron dans l’ombre des financiers

C’est ainsi qu’en 2011 Macron fut intronisé associé junior chez Rothschild, touchant un salaire substantiel. Il justifiait chaque centime : il a habilement dupé Le Monde, mystifié le président Hollande, et manipulé l’Etat français, répondant à toutes les exigences de la maison Rothschild. En récompense, il a obtenu le plus haut office de la République. Macron est devenu le nouveau roi, intronisé par un nouvel Abravanel, destiné désormais à orchestrer une guerre entre la chrétienté et l’islam pour la gloire suprême d’Israël.

Cette guerre future, inéluctable, masquera les atrocités perpétrées à Gaza. Tandis que les Rothschild britanniques mènent la charge contre la Russie, leurs homologues français s’affairent à fomenter la guerre contre l’islam. Les financiers, dans leur soif de domination, se révèlent plus meurtriers encore que les sionistes, bien qu’ils les manipulent à leur gré. Ces magnats ont été des acteurs majeurs dans l’engagement des Etats-Unis dans les Première et Seconde Guerres mondiales. Leur puissance est telle qu’ils sont désormais capables de nous entraîner inexorablement vers une Troisième Guerre mondiale.

Le précédent historique : la prise d’Alger

L’influence des Rothschild ne date pas d’hier. En effet, leur rôle dans la prise d’Alger en 1830 en est une illustration marquante. Lorsque la France se lance dans cette expédition coloniale, c’est avec le soutien financier crucial de la famille Rothschild. En échange de cette aide, la promesse implicite était l’accès au trésor du Dey d’Alger, une manne considérable qui allait enrichir encore davantage la célèbre dynastie bancaire. Cet épisode souligne la manière dont les Rothschild ont su tirer partie des ambitions impérialistes françaises pour accroître leur propre puissance économique.

L’omnipotence des financiers

L’histoire récente de la France, notamment à travers la montée de Macron, démontre que les financiers continuent de tirer les ficelles derrière les rideaux des apparences politiques. Le système Rothschild, par son omniprésence et sa capacité à influencer les plus hautes sphères du pouvoir, incarne cette réalité. Les figures comme Alain Minc, Serge Weinberg, Jacques Attali et Bernard Mourad ne sont que les visages visibles de cette machinerie complexe et bien huilée.

Le parcours de Macron au sein de Rothschild ne relève pas du simple hasard mais d’une stratégie délibérée pour positionner un homme de confiance à la tête de l’Etat français. Sa capacité à naviguer les eaux troubles de la politique et de la finance, à tromper les médias et les figures politiques de premier plan, démontre son efficacité en tant qu’agent des intérêts financiers supérieurs.

Une nouvelle guerre en perspective

Aujourd’hui, Macron doit répondre aux attentes de ses parrains financiers en poursuivant des politiques qui favorisent leurs intérêts. La guerre entre la chrétienté et l’islam, envisagée comme un instrument de cette stratégie, vise à détourner l’attention des conflits et des injustices, notamment celles infligées à Gaza. Ce conflit potentiel n’est pas seulement une question de politique étrangère mais une opération soigneusement orchestrée pour servir des agendas financiers et géopolitiques plus larges.

La mystification de l’extrême-droite

Un grand chamboulement nous est prédit, la montée au pouvoir de l’extrême-droite en France, mais cela n’est qu’une mystification habilement orchestrée pour occuper les esprits. L’agitation, la peur, les débats passionnés autour de cette possibilité ne sont qu’un leurre destiné à masquer la réalité du véritable pouvoir. En vérité, ce pouvoir appartient aux financiers et à leurs alliés : les marchands d’armes, les marchands de la mort. Cette diversion permet aux maîtres de l’économie de poursuivre leurs plans sans entraves, tandis que la populace est distraite par le spectacle politique.

Les leçons de l’histoire

Pour comprendre l’ampleur de l’influence des financiers, il suffit de regarder les précédents historiques. Les Rothschild, depuis des siècles, ont su se positionner comme les maîtres de l’ordre mondial, jouant un rôle crucial dans les grandes décisions qui ont façonné l’histoire contemporaine. De la prise d’Alger à l’influence sur les politiques mondiales, leur empreinte est indélébile. Leur capacité à financer des guerres, à manipuler les marchés et à influencer les gouvernements est un témoignage de leur puissance inégalée.

L’exemple de la prise d’Alger est particulièrement instructif. En 1830, l’armée française, sous l’égide de Charles X, envahit Alger. Ce n’était pas seulement une entreprise militaire mais une opération financièrement soutenue par les Rothschild. En échange de leur soutien, ils ont obtenu des concessions économiques et un accès privilégié au trésor du Dey. Cet épisode montre comment les Rothschild ont su utiliser leur influence pour façonner les événements en leur faveur, une stratégie qui se poursuit jusqu’à nos jours.

Un avenir incertain

La situation actuelle en France, sous la présidence de Macron, est le reflet de cette emprise des financiers sur la politique nationale. Les décisions prises ne servent pas uniquement les intérêts du peuple français mais répondent avant tout aux exigences des élites financières. Cette réalité pose des questions fondamentales sur la nature de la démocratie et la véritable souveraineté des nations.

Alors que le monde se trouve à la croisée des chemins, la possibilité d’une nouvelle guerre orchestrée pour des intérêts financiers reste une menace tangible. Les leçons du passé nous montrent que lorsque les financiers manipulent les événements à leur guise, les conséquences peuvent être catastrophiques. La Première et la Seconde Guerre mondiales, où l’influence des magnats de la finance a été déterminante, sont des rappels poignants de ce pouvoir destructeur.

Conclusion

En conclusion, l’histoire et la politique contemporaines de la France révèlent l’influence persistante et souvent néfaste des financiers sur les affaires de l’Etat. Emmanuel Macron, avec le soutien explicite de figures influentes et des Rothschild, incarne cette dynamique. Son ascension et son maintien au pouvoir sont le résultat d’une machination complexe visant à servir des intérêts financiers spécifiques, souvent au détriment du bien-être général et de la stabilité mondiale.

La compréhension de cette réalité est essentielle pour envisager un avenir où les décisions politiques ne sont plus dictées par les intérêts d’une élite financière mais par les véritables besoins et aspirations des peuples. Sans une prise de conscience et une action déterminée pour contrer cette influence, les financiers continueront à modeler le monde selon leurs désirs, entraînant potentiellement l’humanité vers de nouveaux conflits et des crises profondes.

La mystification de l’extrême-droite n’est qu’un écran de fumée, une manœuvre des véritables détenteurs du pouvoir pour maintenir leur emprise sur nos sociétés. Le véritable combat, celui que nous devons mener avec détermination et clairvoyance, est contre l’hégémonie de ces financiers et marchands de la mort qui dictent l’ordre mondial au mépris des droits et des vies humaines.

K. B.

Comment (6)

    Anonyme
    15 juin 2024 - 17 h 55 min

    Le mot juste es d’avoir le pouvoir tout le reste n’est que du subterfuge comme disait Hamlet dit être ou ne pas être ?

    Le Chat Botté
    14 juin 2024 - 21 h 30 min

    Quand est-ce qu’on va se réveiller et comprendre qu’il y a deux joyaux qui seront toujours entre les mains de gens qui détiennent les finances et les médias et bien sure tout le monde le sait qui ils sont sans le dénoncer.
    Les finances et les médias dirigent le monde depuis plus d’un siècle déjà.

    Anonyme
    14 juin 2024 - 19 h 22 min

    il a dit le chenou: on ne peut être français et urugayen. Dans les faits on est israelien et français. Ainsi la plupart sont d’abord israelien comme e macias bhl dray etc et ensuite français. logique et ambiguité chers à bp!

    Lahouaria
    14 juin 2024 - 11 h 06 min

    Moi, j’avais rencontré Justin Trudeau au Parc Lafontaine de Montréal, on écoutait un chanteur algérien qui chantait « Abdelkader Ya Boualem  » il était venu à Montréal nous saluer, et nous serrer la main, pendant qu’on prenait le thé! Yavait bcp d’algériens et maghrébins.
    Quand, je suis rentrée en France, j’ai dit dans ma tête, je vais voter pour Emmanuel Macron, ni de gauche, ni de droite, c’est un jeune comme Justin Trudeau et voilà avec le temps, il s’est révélé méchant et pas gentil avec les musulmans de France. C’en est même un jeune aigrie et amer envers le peuple français, il veut reproduire ce qu’il a vécu avec sa famille, rejeté par sa mère et son père, chez sa « grand-mère manette » qui l’a rendu stoïque et figé comme les français de 1930.
    Allez largue les amarres. Le deep state veut l’éjecter à cause de sa femme qui fera 80 ans bientôt, il veulent la petite Lepen Nolwen qui ressemble à une actrice australienne Nicole Kidman..

    Abou Stroff
    14 juin 2024 - 10 h 22 min

    « La main invisible des financiers dans la politique française » titre K. B..

    primo, je pense, contrairement à ce qu’avance l’auteur, qu’il n’y a rien de plus visible que l’hégémonie du Capital financier mondial sur le Grand Capital, en général depuis les années 80 (avec l’arrivée de Reagan et de Thatcher au pouvoir). en outre, cette hégémonie ne concerne pas uniquement la france mais l’économie mondiale dans son entièreté.

    ainsi, on peut remarquer que l’hégémonie du capital financier mondial a été accompagnée de la « diffusion » à grande échelle de l’idéologie néolibérale qui lui a servi d' »argument de vente » auprès de tous ceux* qui ne comprennent pas le mode de fonctionnement du Capitalisme en tant que système.
    l’idéologie néo-libérale justifie, ainsi, la remise en cause de toutes les contraintes empêchant le capital financier mondial de se mouvoir à l’échelle mondiale, de valoriser la valeur et d’optimiser les retours sur investissements (les investissements financiers, notamment).

    ceci étant dit, je pense que l’arrivée probable de l’extrême droite, non seulement en france mais dans d’autres formations sociales, n’a rien de fortuit mais est une réponse-réaction du capital, en général et du capital financier, en particulier à une crise où l’hégémonie que Capital mondial est remise en cause par tous ceux que la mondialisation néolibérale à appauvri tout en enrichissant les détenteurs de capitaux.

    en effet, l’histoire nous montre que lorsque les intérêts du capital sont en danger, les bourgeoisies, en tant que classes hégémoniques, oublient leurs « histoires » de démocratie, de droits de l’homme, de liberté d’opinion, etc. pour favoriser la prise du pouvoir par des mouvements autoritaires, pour ne pas dire fascistes, dans le but de dépasser la crise au moindre coût (via la répression de tous les mouvements sociaux opposés aux intérêts au Grand Capital).

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que Le véritable combat que nous devons mener avec détermination et clairvoyance » est le combat contre l’hégémonie du capital financier mondial qui, contrairement aux apparences, n’a ni religion, ni nationalité.
    On peut ajouter que ce combat à mener sans hésitation, s’inscrit dans la lutte pour l’émergence d’un monde multipolaire où des économies relativement arriérées comme celles de l’Algérie, augmenteront leurs marges de manœuvre en vue d’un développement tout azimut.

    wa el fahem yefhem.

    *un ancien ministre (recherché par la justice algérienne) du fakhamatouhou déchu n’a t il pas eu l’outrecuidance de publier un livre (« les fondements théoriques du libéralisme ») pour vendre une idéologie qui ne peut point être au service des peuples qui ne veulent pas se soumettre au joug du Capital mondial?

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    14 juin 2024 - 9 h 18 min

    Comme toujours
    Pour mieux comprendre
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