Slogan «café-mort» de Tahar Ben Jelloun : le peuple algérien est un général
Une contribution d’Abdelkader H. – Au moment où la France coloniale est chassée par la porte de plusieurs pays africains, elle revient par la fenêtre du royaume de l’ivrogne de Paris, avec pour objectif de reconquérir les pays du Sahel et tout le continent, par le mirage d’ouverture de la voie océanique au Mali, au Niger et au Burkina Faso, avec une nouvelle carte géographique imaginaire dessinée par les laboratoires de guerre du «FMI» [France-Maroc-Israël].
Outillés des légumes cuits dans les casseroles qu’ils traînent brillamment depuis plusieurs années, et relayés par la toile médiocratique, les reptiles coloniaux et indigènes se sont mis à s’agiter fortement pour vendre la prosternation royale au cannabis de Mohammed VI, comme avenir de progrès aux peuples du Sud et à toute l’humanité.
C’est Tahar Ben Jelloun, l’intouchable collectionneur de très longs titres académiques, à faire rougir les autres «penseurs couchés» du système du «FMI», qui vient de pondre, le 22 juillet 2024, dans le canard – 360 – qui tourne en rond, son «amertume» contre le peuple algérien avec le «miel» colonial qu’il a ingurgité lors du baisemain royal de la servitude au château hanté par la pédophilie, racontée par Gérard Fauré, en nous faisant découvrir en avant-première les récits de «Daoud 19», l’ancien islamiste élevé au rang de grand «panseur» moderne chez les «indigènes». On a donc la preuve par le «sang» des enfants palestiniens génocidés dans les camps de l’ONU, que la crise politique d’ «O’ Macron» est bien une traduction de la pandémie au «Daoud 19».
Le système du «FMI» a convoqué Tahar Ben Jelloun, le docteur «horribilis causa», commandeur lui aussi de ceux qui croient au hachich, titulaire de légion (étrangère) d’horreur (février 2008), qui a pour habitude de «cracker» sa haine contre l’Algérie et son peuple, au nom de la fidélité aux maîtres de la manette, pour faire l’épicier arabe du tract du pandémique «Daoud 19». Ce qui est nouveau, chez ce général de la société civile de l’espionnage au «mé-gazouz», c’est qu’il nous livre avant l’heure de parution (mi-août 2024) chez Gallimard aussi, une synthèse de la haine viscérale au moyen d’un produit fini des nostalgiques de l’OAS, coulée avec l’encre brune indigène du virus «Daoud 19». Ces deux-là ne doivent pas se rencontrer dans les coulisses de la classe de la mélasse coloniale, pour échanger et civiliser les indigènes. Tahar Ben Jelloun a dû accéder par télépathologie au contenu de son co-légionnaire «Daoud 19», grâce aux ondes électromagnétiques de la sorcellerie alaouite de son riad de Rabat ou Fès.
Tahar Ben Jelloun trouve le tract de «Daoud 19» «un peu long», que parfois il en a assez des scènes de la Légion étrangère d’horreur, et il affirme qu’il détient la «vérité avec fermeté», comme cela est inscrit noir sur noir dans la charte des coupeurs de têtes (Rachad) du peuple algérien. Ensuite, il prédit grâce à sa littérature coloniale, un procès pour «crimes contre l’humanité» à l’encontre du peuple algérien, qu’il qualifie de «militaires» et de «militants fanatiques». Franchement, il doit avoir des nécroses au niveau de ses neurones baignant dans l’adrénochrome qui coule au château de la belle Selma au bois dormant (Le Seuil, 2004).
Pour Tahar Ben Jelloun, dont la proximité avec le régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv – que le royaume du bakchich alimente avec pas moins de 4 000 militaires, pour réaliser royalement le génocide contre le peuple palestinien – n’est plus à démontrer, c’est l’Algérie qu’il faut abattre puisqu’elle soutient les peuples opprimés. Il a tapé dans le mille, ce sniper de la liberté au service des colons des mille et un bagnes de Tazmamart.
Comme il est dans les tuyaux du système, Tahar Ben Jelloun annonce même le début de la campagne médiatico-pandémique pour «Daoud 19» à «France enterre», la radio coloniale par excellence qui a licencié Guillaume Meurice pour son humour non conforme sur «Satan Yahou». Guillaume Meurice sait maintenant ce qui lui reste à faire s’il veut retrouver son job, puisque c’est le «bouffon du roitelet» qui tient le micro.
Celui, nous dit-il, qui a expliqué le racisme à sa fille (Le Seuil, 1998), mais pas à son co-légionnaire fasciste Bernard Lugan, ce membre de l’Action française avec qui il fait couler l’encre de la haine dans le canard 360.ma, organe international de désinformation médiatique des services mielleux du Makhzen, dirigé par Mounir Majidi, le secrétaire particulier de l’ivrogne roitelet de Paris. N’est-ce pas que ce membre de la cour de récréation royale – animée par André Azoulay depuis le «saint père» Hassan dos, à nos jours – est de gauche, puisqu’il côtoie la crème de l’extrême-droite qui fait ses courses politiques au palais de la pédophilie ?
A Paris, c’est Abdelmalek Alaoui, le pote du roi André Azoulay et président du think tank dénommé Institut marocain d’intelligence stratégique qui règne sur la désinformation qu’il diffuse dans les médias dominants du grand capital.
Dans son pamphlet «Café-mort» contre le peuple algérien, il accompagne l’attaque de «Daoud 19» par le trou de souris de la femme algérienne, très vite balayée par la jeune Kaylia Nemour et la combattante Imane Khelif, qui sont venues leur rappeler le mauvais sort infligé aux dizaines de milliers des femmes-mulets par le royaume féodal. En réalité, leur féminisme est soudé avec la queue-leu-leu de Boualem Sansal et la meute «Sifaoui» des charognards du fonds Marianne cuisiné par Marlène Schiappa.
Tahar Ben Jelloun et «Daoud 19» sont très bien placés sur ce registre, puisque le premier est un esclavagiste de sa «bonne» Fatma S., une femme marocaine sans-papiers exploitée dans les règles du système féodal du Makhzen à Paris. Elle avait saisi le Comité contre l’esclavage moderne, sans succès, vu le poids politique du «filousophe». Le second, «Daoud 19», a été condamné le 13 octobre 2019 par le tribunal correctionnel d’Oran, en Algérie, à trois mois de prison avec sursis et 20 000 dinars d’amende pour coups et blessures envers sa femme.
Si l’intention de Tahar Ben Jelloun est de nous informer qu’il y a un complot du «FMI» [France-Maroc-Israël] contre le peuple algérien, c’est raté. En revanche, il pourrait toujours se rendre utile en nous informant sur les circuits voilés de la drogue, de la pédophilie, de la prostitution, de la sorcellerie, du trafic d’organes et d’enfants, de l’espionnage, du bakchich, etc., dont se nourrit le roitelet riche (5e fortune mondiale avec 8,8 milliards de dollars) du peuple pauvre.
Le reste de son CV peut être consulté à travers l’excellent travail d’Ahmed Bensaada(*).
A. H.
(*) https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=290:tahar-ben-jelloun-lecrivain-de-sable&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119
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