«Moi, la France» : du pouvoir du peuple au pouvoir du chef

Tebb France
Deux hommes d’Etat, deux façons de faire la République. D. R.

Une contribution du Dr A. Boumezrag – L’évolution politique de la France révèle une quête constante d’équilibre entre pouvoir populaire et autorité centralisée. Depuis la Révolution de 1789 jusqu’à la Ve République, cette dynamique illustre une oscillation entre des périodes de démocratie participative et de concentration du pouvoir.

La Révolution française marque le début de cette quête, en abattant l’Ancien Régime et en établissant les principes républicains de liberté, égalité et fraternité. Les aspirations démocratiques sont incarnées par l’Assemblée nationale et le Comité de salut public, mais la Révolution se transforme rapidement en terreur, concentrant le pouvoir entre les mains de quelques-uns.

L’arrivée de Napoléon Bonaparte avec le Consulat et plus tard le Premier Empire redéfinit la répartition du pouvoir en France, consolidant une autorité forte sous l’Empire tout en maintenant certains principes républicains. La Restauration et la Monarchie de Juillet suivent, tentant de retrouver un équilibre, mais souvent caractérisées par une concentration du pouvoir et un soutien bourgeois limité.

La IIe République, née de la Révolution de 1848, répond aux aspirations démocratiques avec le suffrage universel masculin. Toutefois, elle est rapidement érodée par Louis-Napoléon Bonaparte, qui établit le Second Empire. Ce régime, bien que fort, ne parvient pas à résoudre les tensions sous-jacentes, et les aspirations démocratiques continuent de faire surface. Avec la défaite de Napoléon III et la Commune de Paris, la IIIe République est établie en 1870, cherchant à stabiliser le régime avec une législature plus équilibrée. Cependant, elle connaît aussi des crises, comme l’affaire Dreyfus, montrant les limites du système parlementaire face aux tensions internes.

La IVe République, fondée après la Seconde Guerre mondiale, cherche à résoudre les problèmes de gouvernance avec une Constitution favorisant le parlementarisme. Cependant, l’instabilité politique et les crises, notamment liées à la décolonisation, poussent à la réforme. Charles de Gaulle, en 1958, introduit la Ve République avec une nouvelle Constitution, renforçant considérablement le pouvoir exécutif. Ce régime présidentiel a permis une relative stabilité politique, mais a également concentré le pouvoir autour du président de la République.

Aujourd’hui, la Ve République est confrontée à des débats sur l’équilibre des pouvoirs et la représentation démocratique. Les critiques suggèrent que le pouvoir présidentiel pourrait être trop centralisé, et des discussions sur une éventuelle VIe République révèlent des aspirations à réformer le système pour mieux refléter les exigences contemporaines de la démocratie.

La France illustre ainsi une dynamique complexe entre le pouvoir du peuple et le pouvoir du chef. Chaque République et régime a tenté de répondre aux défis politiques et sociaux de son époque, oscillant entre des périodes de gouvernance participative et des régimes plus autoritaires.

Cette quête d’équilibre entre pouvoir populaire et autorité centralisée reflète non seulement les besoins changeants de la société française, mais aussi les défis universels de la gouvernance républicaine. La France, tout en cherchant à stabiliser et moderniser son système politique, reste engagée dans une réflexion continue sur la meilleure manière de concilier efficacité gouvernementale et représentativité démocratique.

Cette dynamique n’est pas unique à la France. En examinant la République algérienne, on constate que malgré des objectifs similaires de gouvernance républicaine, les contextes historiques et les structures politiques diffèrent considérablement. L’Algérie, après avoir acquis son indépendance en 1962, a été marquée par des transitions politiques tumultueuses. La première République algérienne, fondée dans un contexte de Guerre de libération et de construction d’un Etat national, a souvent été caractérisée par des coups d’Etat et une forte influence militaire.

En comparaison, la Ve République française a consolidé un régime présidentiel qui a su évoluer malgré les critiques. La France a réussi à établir des institutions durables et à intégrer les principes républicains dans un cadre moderne, même si le pouvoir exécutif demeure concentré entre les mains du Président. En revanche, l’Algérie a souvent rencontré des difficultés pour stabiliser ses institutions et développer une démocratie fonctionnelle, avec des crises économiques et des conflits internes exacerbant les tensions politiques.

Aussi bien la France que l’Algérie partagent l’objectif de garantir une gouvernance républicaine, leurs parcours divergent en raison de leurs contextes historiques distincts. La France a évolué à travers différentes Républiques pour parvenir à un équilibre complexe entre pouvoir exécutif et représentativité démocratique, tandis que l’Algérie continue de naviguer entre aspiration démocratique et défis de gouvernance.

Cette comparaison met en lumière la diversité des chemins politiques que les Républiques peuvent emprunter. Elle souligne aussi que, bien que les objectifs de gouvernance républicaine soient universels, la manière de les atteindre varie en fonction des circonstances historiques, des structures institutionnelles et des réalités sociales.

En définitive, la France et l’Algérie illustrent deux facettes de la quête républicaine : l’une cherchant à stabiliser et moderniser un système éprouvé, l’autre en pleine construction, face à des défis importants. Les Républiques, qu’elles soient établies ou en formation, sont continuellement en mouvement, cherchant à équilibrer pouvoir et représentation, autorité et démocratie.

En conclusion, l’évolution politique de la France, de la Révolution de 1789 à la Ve République, ainsi que le parcours de la République algérienne mettent en lumière les défis universels auxquels sont confrontées les Républiques dans leur quête d’un équilibre entre pouvoir centralisé et souveraineté populaire. La France a navigué à travers une série de régimes et de Républiques, cherchant à ajuster le pouvoir exécutif tout en préservant les principes démocratiques. La Ve République, en particulier, a renforcé le pouvoir présidentiel tout en tentant de stabiliser le pays et d’assurer une gouvernance efficace. A l’opposé, l’Algérie illustre les difficultés de construire des institutions démocratiques robustes dans un contexte de défis internes et externes. Ces parcours, bien que distincts, révèlent un objectif commun : parvenir à une gouvernance qui allie efficacité et légitimité démocratique.

En somme, la recherche d’un équilibre entre pouvoir et représentation est au cœur de chaque République. Les leçons tirées de ces expériences continuent de façonner les discussions politiques et les réformes futures, montrant que le chemin vers une gouvernance idéale est un voyage complexe et en perpétuelle évolution.

«Il est nécessaire que le pouvoir arrête le pouvoir.» Cette citation souligne l’importance d’un système de freins et contrepoids pour éviter la concentration excessive de pouvoir et garantir que chaque branche du gouvernement puisse surveiller et limiter les actions des autres. Elle illustre le défi permanent auquel sont confrontées les Républiques : maintenir un équilibre entre efficacité et responsabilité, entre autorité et démocratie.

  1. B.

 

Comment (16)

    lhadi
    31 août 2024 - 7 h 44 min

    La posture des ultracrépidariens qui en connaissent énormément sur peu de choses illustre bien le manque de sincérité de feu portée par la conscience aigue d’être du coté de la vérité, celle qui ne ment jamais à la vérité c’est-à-dire la réalité.

    Doit-on s’indigner des babillages dont on sait bien qu’ils n’ont pas d’autre but que d’entraver toute résolution à oeuvrer à l’édification d’une république solide dans lequel la souveraineté appartient au peuple qui exerce le pouvoir politique directement ou par l’intermédiaire de représentants élus ? La liberté d’expression est le fondement de la démocratie mais elle ne doit pas alimenter l’irrespect..

    En dépit des réticences sinistres, Je ne peux que soulever, en toute occasion qui m’est offerte, toutes les interrogation qui, aujourd’hui, suscitent l’inquiétude dans la société algérienne soumise au diktat du néo-patrimonialisme et par conséquent doivent être considérées, de manière radicale, et ce au sens propre du terme, et tant est qu’une solution puisse réellement être trouvée. Aux interrogations, j’y vois une explication et in fine une solution : elles sont d’ordre politique.

    La réalité est telle qu’elle n’a point besoin d’ornements. Lles algériens vivent dans un environnement moral contaminé par un système politique bicéphale d’un autre âge qui a réduit un peuple autonome, doué, imaginatif, généreux, passionné par les idées nouvelles, ayant les capacités de travailler pour son pays, à n’être que les composantes insignifiantes d’une énorme machine bruyante et nauséabonde, dont la raison d’être n’est claire pour personne. Une machine dont chacune des pièces ne peut qu’être détruite certes lentement mais inexorablement.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Abou Stroff
      1 septembre 2024 - 7 h 17 min

      question à un doro: quel rapport y t il entre le titre « «Moi, la France» : du pouvoir du peuple au pouvoir du chef » de A. B. et la prose de le hadi?

      personnellement, je n’en vois aucun et j’espère qu’un lecteur éclairera ma lanterne, sinon je resterai sur …….ma faim.

        Anonyme
        1 septembre 2024 - 9 h 47 min

        Vous faites semblant de ne pas comprendre mais @Lhadi donne son opinion et son analyse sur la vie politique algérienne plutôt que sur la france coloniale et néocoloniale comme « modèle de vie ».

          Abou Stroff
          1 septembre 2024 - 14 h 48 min

          je réponds à anonyme en supposant que ce dernier ne soit pas le hadi:
          si le hadi « donne son opinion et son analyse sur la vie politique algérienne plutôt que sur la france coloniale et néocoloniale comme « modèle de vie » », alors je pense que le hadi se trompe d’adresse.

          wa el fahem yefhem.

          PS: je vous apprends que je lis le hadi depuis qu’il sévissait sur le journal « el watan » il y a longtemps, très longtemps et ses « interventions m’ont toujours intrigué puisqu’elles n’avaient jamais de lien avec l’article qu’elles étaient censées analyser.

          bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas?

    assurancetourix
    29 août 2024 - 19 h 12 min

    Abramacronix le chef gaulois est tombé de son bouclier sur la tête, depuis, le peuple regarde médusé regarde celui a les narines pleine de potion magique et se prends pour César au pouvoir unique. Panoramix le druide a transformé le monsieur du tyran elyséen en Messaline. Décidement comme diraient les romains : »Ils sont fous ces gaulois »

      Abou Stroff
      30 août 2024 - 7 h 16 min

      sacré le hadi! le pamphlet de A. B. nous parle de la « pratique démocratique » chez fafa, et le hadi trouve le moyen d’insérer son texte « passe partout » (je l’ai déjà lu au moins 3 fois sur ce site, à la suite d’articles n’ayant aucun rapport les uns avec les autres) qui concerne l’Algérie et pas du tout la france.

      bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas?

    lhadi
    29 août 2024 - 18 h 47 min

    En scrutant tous les maux avec lesquels notre nation se débat depuis belle lurette et en mettant son encre là ou ça fait mal : les dérives d’un esprit de système qui préfère tout détruire au nom d’un idéal inaccessible, le citoyen algérien que je suis décrypte en quelques traits incisifs les travers de notre héritage révolutionnaire et c’est pourquoi il est indispensable, selon lui, de mieux connaitre non seulement les secrets de la culture politique algérienne et bien au-delà les profondeurs cachées de la complexité politique.

    Au jour d’aujourd’hui, l’Algérie des apprentis sorciers, abusant de principes abstraits avec une arrogance et une confiance qui ne doute de rien, laisse à désirer. Livrée à elle-même, elle demeure comme enterrée dans le monde ancien alors que le monde avance, bouge, se mue…

    Depuis belles lurette, les gardiens du temple Algérie prononcent toujours le même discours, certes avec quelques variantes. Ils nous disent combien notre pays s’et épanoui, combien nous sommes tous heureux, à quel point nous devons faire confiance à nos dirigeants et quelles belles perspectives s’offrent à nous.

    Qu’a cela ne tienne ! Le premier parti d’Algérie est celui des abstentionnistes. Pourquoi ? Parce que le peuple algérien aspire à une république indépendante, libre et démocratique ; une république qui prospère sur le plan économique et qui est juste sur le plan social. En un mot, une république bienveillante au service du citoyen et convaincue qu’en retour le citoyen la servira. Le peuple aspire à une république dans laquelle les hommes vivent en harmonie, car, sans cela, il est impossible de résoudre les problèmes, et ce, quels qu’ils soient : humains, économiques, écologiques, sociaux ou politiques.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Lhadi tourne en rond
      29 août 2024 - 22 h 59 min

      Ilhadi c’est quoi la démocratie ?
      J’espère ne pas avoir été long.

      Anonyme
      30 août 2024 - 0 h 02 min

      Le peuple demande en premier à manger ; je ne pense pas que l’Algérien a faim . le peuple demande qu’on éduque ses enfants ; je pense que la gratuité du primaire à l’université est de vigueur . Le peuple demande à être soigné ; je pense que la prise en charge est de vigueur .
      Par contre je ne dis pas que tout est rose ; je pense que l’Algérie n’a pas à rougir , elle est même enviée par certains pays dits développés .
      Celui qui veut faire de la politique n’a qu’à se présenter .
      Surtout n’oubliez pas d’aller voter . Pour parler des abstentionnistes , on en reparlera en temps voulu.

    Abou Stroff
    29 août 2024 - 14 h 14 min

    « «Il est nécessaire que le pouvoir arrête le pouvoir.» Cette citation souligne l’importance d’un système de freins et contrepoids pour éviter la concentration excessive de pouvoir et garantir que chaque branche du gouvernement puisse surveiller et limiter les actions des autres. Elle illustre le défi permanent auquel sont confrontées les Républiques : maintenir un équilibre entre efficacité et responsabilité, entre autorité et démocratie. » conclut A. B..

    je pense, contrairement à A. B. qui semble croire que la réalité concrète (i. e. le système capitaliste mondialisé) est la matérialisation d’un monde des Bisounours où tout le monde, il est beau, où tout le monde, il est gentil et où tout le monde recherche le bonheur de tout le monde, la classe capitaliste (i. e. la bourgeoisie) fait face à un seul et unique défi qui se résume:

    comment optimiser l’accumulation du capital (à l’échelle locale et à l’échelle mondiale) en réduisant, autant que possible, les contraintes (notamment les mouvements sociaux et la prise de conscience de tous ceux qui sont exploités et asservis par le système capitaliste) qui risquent de freiner cette accumulation et de mettre en péril la domination de la classe capitaliste en tant que classe hégémonique.

    quant à cette histoire du maintien d’un équilibre entre efficacité et responsabilité, entre autorité et démocratie », reconnaissons que:

    – l’efficacité suppose la maximisation de l’exploitation de la force de travail tandis que la responsabilité implique l’utilisation de divers moyens pour que les travailleurs au sens large ne remettent pas en cause la hiérarchie où le patron capitaliste est le seul maitre à bord et acceptent d’être des bêtes de somme au service de ce dernier.
    – l’autorité est une autre notion pour désigner la responsabilité que s’octroie le capitaliste dans l’exercice de sa fonction de capitaliste, i. e. dans le processus d’exploitation de la force de travail tandis que la démocratie, comme l’histoire le montre, n’est rien d’autre que la dictature de la classe capitaliste sur la société sur laquelle elle exerce son emprise.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part qu’à force de vouloir concilier les inconciliables on oublie d’analyser concrètement la réalité concrète et on se met à rêver d’un monde mythique où tout le monde, il est beau, où tout le monde, il est gentil et où tout le monde recherche le bonheur de tout le monde.

    wa el fahem yefhem.

    Comparaison n'est pas raison
    29 août 2024 - 12 h 19 min

    C’est quand même extraordinaire que l’auteur nous accroche encore au boulet qu’est la France coloniale, laquelle n’a jamais cessée de fabriquer des guet-apens politique depuis la lutte pour l’indépendance (et non la décolonisation) du pays.
    Cette comparaison est la preuve matérielle de cet attelage néocolonial, qui nous ronge de l’intérieur.
    Comment peut-on parler de la France, entité sous domination israélienne, en tant que système démocratique ?
    Comment peut-on parler de la France qui éborgne, mutile, assassine, vole les richesses du pays et de l’Afrique, en tant que système démocratique ?
    Comment peut-on parler de la France (toute république confondues), de son histoire en faisant abstraction de son histoire criminelle dans les colonies, notamment en Algérie, en tant que système démocratique ?
    Comment peut-on parler de la France qui organise la destruction des nations du Sud et qui fabrique le terrorisme international, en tant que système démocratique ?
    On croit rêver, et lire K. Daoud ou B. Sansal, ces serviteurs d’un système moribond et destructeur.
    Le seul moyen de décoller, c’est justement de couper toutes les formes de comparaison avec les anciens colons et leurs supplétifs, et de jalonner la voie du progrès social et économique du peuple algérien à travers des propositions politiques concrètes.
    Sur le « pouvoir militaire » que vous scotchez à l’Algérie, Larbi M’heddi vous a déjà répondu: donnez-moi chars et vos avions, et nous donnerons nos couffins.

      @Comparaison N'est Pas Raison
      29 août 2024 - 17 h 38 min

      Excellent commentaire et excellente conclusion.
      « On croit rêver, et lire K. Daoud ou B. Sansal, ces serviteurs d’un système moribond et destructeur. »

    Luca
    29 août 2024 - 11 h 52 min

    Franchement cela devrait suffir de toujours parler de ce pays raciste islamophobe et anti algérien…, tout le monde sait que ce pays france fait tout pour marginaliser , et ce depuis toujours les algériens vivant sur son sol , en ne leur donnant aucun travail correct ni aucune chance de compétition loyale. Maintenant c’est bon basta de fafa libertine et bdsm, et passons plutôt à l’union des pays de l’Afrique du nord

      zembla
      29 août 2024 - 13 h 59 min

      Alors que faites vous encore dans ce pays que vous détestez ,rentrez donc au pays

        Dz 132 ans
        29 août 2024 - 15 h 43 min

        Après 132 ans, sans commettre de crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et des massacres des innocents.

    LA FRANCE EST UNE RÉPUBLIQUE BANNIÈRE ET A TOUJOURS ETAIT UNE DICTATURE REPUBLICAINE
    29 août 2024 - 10 h 38 min

    François Mitterrand le disait ouvertement et clairement : APPELEZ-MOI DIEU ! en france tous les pouvoirs sont entre les mains du président de la ripoublique (terme qu’utilisait le papa de marine lepen qui renie et trahie celui qui la chérissait, son propre père). personne n’a le courage ou la capacité intellectuelle de s’attaquer au président sans qu’il se retrouve au chômage ou avec des poursuites judiciaires pour harcèlement sexuel. tiens, parlons en du harcèlement sexuel, ça ne concerne jamais les juifs en france, ils s’en sortent toujours indemnes et finissent toujours par être innocentés, comme c’est le cas du réalisateur roman polanski ou DSK ou jack lang etc.
    en réalité le pouvoir, et la chute de degaulle le confirme, le véritable pouvoir en france est entre les mains des sionistes ou juifs. de gaulle lui même l’avait confirmé quand il parlait du peuple élu ! miterrand l’avait compris et voilà pourquoi il avait donné énormément de pouvoir aux juifs et en échange il restera dieu et dormira tranquille.
    en lisant l’histoire de france, les français étaient beaucoup plus libres sous les monarchies. monarchie qui ne dérangeait pas les français, mais les juifs, toujours en quête du pouvoir et de l’argent, car les monarques étaient très attachés au christianisme. et la révolution française n’était pas la naissance de la démocratie, mais de la pire dictature au monde. les gilets jaunes devraient revenir pour protéger la france et les français

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