Les renégats Daoud, Sansal et Zemmour ou le commerce de la haine de l’Algérie
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Trois noms ont marqué ce que l’on pourrait nommer les chroniques estivales anti-algériennes : Kamel Daoud, Boualem Sansal, et Eric Zemmour, ce dernier ayant surtout fait parler de lui dans la période électorale qui a précédé les JO de Paris. En effet, ils n’ont pas manqué de taper encore et toujours sur l’Algérie et les Algériens sur tous les plateaux de télé qui les accueillaient à bras ouverts, attendant d’eux qu’ils déversent leur venin sur tout ce qui est algérien. A part ce dernier point qui les rassemble, qu’ont-ils donc en commun ? Bien plus qu’on ne le pense. D’abord, ils sont tous les trois nés en Algérie, ensuite ils sont devenus français et défendent l’entité sioniste d’Israël et, enfin, tous trois développent la même disposition à renier leurs racines algériennes pour vilipender leur pays natal avec la même énergie malsaine, tournant le dos à ce grand soleil qui irradie dans le ciel pur de notre magnifique pays dont on ne se lasse pas d’admirer la beauté. Et l’on pense avec reconnaissance au sacrifice de nos martyrs qui nous ont légué un immense territoire aux paysages incomparables et à l’Histoire millénaire.
L’ancien du GIA issu de la fornication idéologique entre l’islamisme et le sionisme qu’est Kamel Daoud s’est fait une spécialité de vomir sur l’Algérie et ses valeurs. La constance de Daoud et de Sansal de revendiquer leur statut de bougnoules, de ratons et de m’guemmel au service du colon français pourrait être un sujet d’étude pour tous les psychiatres et experts en syndrome du colonisé. L’écrivaillon Daoud-David qui a pondu une prétendue contre-enquête sans consistance pour réhabiliter Camus nous incite à penser que l’enquête qu’il faudrait mener devrait plutôt examiner si ce Daoud a bien toutes ses facultés mentales, lui qui cognait sa femme régulièrement et qui, pour une valise perdue à l’aéroport d’Oran, a fait tout un cirque. Contrer le courant représenté par Daoud relève du devoir national. Ce courant révisionniste auquel appartient aussi Boualem Sansal, qui a tété la vache quand il était au ministère de l’Energie où il a profité de la rente jusqu’à l’ivresse, doit être combattu pied à pied. Ces gens ont été nourris par le pays sur lequel il crachent aujourd’hui en se découvrant anti-algériens, alors que l’Algérie leur a tout donné.
L’olivier sans fruit déraciné
Eric Zemmour, quant à lui, a prouvé qu’il était un novice en politique en disparaissant complètement des radars suite au coup d’Etat que lui a fait subir, sous forme de regroupement familial de la famille Le Pen, la blonde Marion Maréchal Le Pen, cette harpie au visage d’ange fabriquée dans les laboratoires de Steve Bannon et de l’Etat profond américain. Zemmour se voyait pourtant favori des élections françaises et paradait sur toutes les chaînes de télé où il étalait en toute décomplexion son racisme et sa xénophobie. Rappelons que Zemmour, les Le Pen et tous les groupes d’extrême-droite qui émergent et se développent partout en Europe font partie d’un programme bien étudié de l’empire. Ils sont le fer de lance du système capitaliste qui a toujours utilisé l’extrême-droite et le fascisme lorsqu’il était en crise, comme nous l’a démontré l’Histoire.
En tout cas, le KO technique infligé en ce début d’été à Eric Zemmour, qui chantait sur tous les tons «Nous, les Français» alors qu’il est plutôt un olivier sans fruits déraciné provenant du côté de Sétif, l’a envoyé au tapis et, depuis, on ne l’a plus ni vu ni entendu. Donc, d’un côté, nous avons ce Français «de souche» terrassé par les walkyries Le Pen et de l’autre, Kamel Daoud et Boualem Sansal, les fidèles serviteurs de l’agenda de leurs maîtres néocolonialistes et sionistes qui les paient pour taper matin, midi et soir sur l’Algérie. Bien sûr, de part et d’autre, on n’a pas entendu un mot sur le massacre quotidien, sur la boucherie, sur le Guernica de Gaza et l’atroce souffrance des enfants palestiniens. Ce n’est pas à l’ordre du jour. Quand Daoud prétend qu’on le critique parce qu’il n’est pas communiste ou décolonial, je lui réponds n’est pas communiste ni anticolonial qui veut. Comment pourrait-on débattre et échanger des idées avec un mercenaire, une prostituée intellectuelle uniquement intéressée par le prix de la passe ? Ce type n’a aucune honte à hanter les plateaux de télé qui dégoulinent du sang des Palestiniens.
Ces trois personnages, Daoud, Sansal et Zemmour, se ressemblent sur un autre point. En effet, Daoud et Sansal sont très proches dans leurs propos de l’extrême-droite française, dont fait partie Zemmour, car ils se revendiquent de l’héritage Le Pen qui hait l’Algérie. Ils sont les enfants légitimes de l’OAS. Le courant révisionniste que ces gens incarnent en rêvant d’une Algérie colonisée n’a pas lieu d’être. C’est un non-sens. Pour combattre cette absurdité, il suffit de leur lancer à la figure le martyre de nos révolutionnaires qui ont vaincu le système colonial français ignominieux, criminel, ségrégationniste, mettant en place l’Apartheid et représentant ce qu’il y a de plus abject sur terre. Et donc, il faut opposer au modèle révisionniste de ces bougnoules fiers de leur statut de colonisés, le modèle de l’Algérie qui est la Mecque des révolutionnaires, qui a inspiré tous les révolutionnaires du monde et qui a établi de nombreuses réalisations pour le bien de son peuple.
Messieurs les renégats…
Le jeu malsain des Daoud et Sansal dans les salons dorés de l’Europe, et spécialement de France, où on leur déroule le tapis rouge à Paris, n’est pas un gage de véracité. Bien au contraire, leur discours déviant est à rebours du sens de l’Histoire. Ce courant est l’antithèse des actes de bravoure des Novembristes qui ont extirpé le colonialisme de notre terre et il est de notre devoir à nous, les patriotes, de démasquer ces nostalgiques de l’Algérie française qui veulent nous présenter le colonialisme comme une époque bénie où les colons apportaient «le progrès et la civilisation» en Algérie. Non, Messieurs les renégats, cette bonne terre d’Algérie, ce soleil radieux, n’appartiennent pas aux colons venus d’outremer. Et non, Monsieur Eric Zemmour, l’Algérie n’a pas été créée par la France comme vous le dites souvent. D’ailleurs, vos analyses vous ont ramené à 2% de suffrage, c’est dire si vos propos ont de l’impact. Vous avez subi un véritable AVC politique et l’on comprend qu’un égocentrique nombriliste comme vous doit avoir du mal à s’en remettre. Mais la trahison qui vous a été infligée n’a rien à voir avec l’Algérie, il s’agit d’un acte délibéré provenant d’une famille franco-française qui vous a remis à votre place de bougnoule.
L’extrémisme se nourrit de lui-même et l’on ne peut qu’être écœuré de voir l’acharnement des médias français à s’attaquer contre tout ce qui est opposé à l’entité sioniste d’Israël et au génocide qu’il commet à l’encontre du peuple palestinien. Evidemment, chacun sait que celui qui paie l’orchestre choisit la musique. En effet, la presse française est aux mains de milliardaires qui sont tous les valets d’Israël. Cela relève aussi du colonialisme puisqu’Israël a colonisé la France. Cela n’empêche pas les pseudo-«journalistes» et «experts» en tous genres qui hantent les plateaux de montrer cette même arrogance qui est une seconde nature chez eux. La France est incapable de retenir les leçons de l’Histoire : ses déboires au Vietnam, en «Indochine», comme les colons l’appelaient, sa défaite en Algérie et ses tortures, sa gégène, ses «corvées de bois» quand nos braves révolutionnaires étaient précipités dans le vide depuis les hélicoptères, son «œuvre civilisatrice» à coups de baïonnettes et d’enfumades. En Algérie, nous avons connu les chambres à gaz, moins sophistiquées et plus rudimentaires, certes, mais tout autant efficaces et bien plus cruelles puisque les soudards français enfermaient des tribus entières avec leur bétail dans des grottes pour les y enfumer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus trace de vie, les animaux affolés piétinant et encornant les humains en essayant de s’échapper. C’est cela la colonisation par le peuplement ! On s’empare des terres et des richesses d’un pays ou d’une région et on applique un génocide implacable sur sa population que l’on réduit à l’état de bête. La France a massacré le peuple algérien pendant 132 ans, les Européens ont massacré les peuples autochtones dès qu’ils ont mis le pied en Amérique en 1492, les ont réduits en esclavage et les ont décimés. Israël fait la même chose en Palestine depuis 76 ans. Et le Maroc reproduit le même processus avec le peuple sahraoui.
«Si nous venons à mourir, défendez notre mémoire»
Daoud, Sansal et Zemmour sont des profanateurs de l’Histoire. Chanter les louanges du colonialisme et du néocolonialisme, vanter les mérites du grand capital va dans le sens contraire des aiguilles de la grande horloge de l’Histoire. C’est une aberration. Reconnaître le droit d’Israël à «se défendre» est une abjection qui permet à l’entité sioniste de poursuivre le génocide du peuple palestinien en toute impunité. Reconnaître la soi-disant «marocanité» du Sahara comme le fait Macron est une autre absurdité qui encourage la monarchie féodale du Maroc et ses sujets à se sentir tout puissants alors que l’entité rétrograde bousbirienne n’est qu’un furoncle anachronique de l’Histoire. Ainsi, on a vu il y a peu un minable bousbirien exalté attaquer un diplomate sahraoui en pleine séance plénière au Japon. Voilà comment agissent ceux qui n’ont pas d’arguments et qui se croient en position de force. Heureusement que le catcheur algérien était là pour faire comprendre à ce pignouf qu’il devait rester à sa place de minus et que son pays occupait illégalement des territoires qui ne lui ont jamais appartenu, comme Israël le fait en Palestine ou comme la France l’a fait jadis en Algérie. Tous ces apôtres du colonialisme sont liés par le profit, les gains, les intérêts de leurs maîtres dont ils sont les porte-voix, leurs maîtres étant des oppresseurs, des impérialistes, des capitalistes qui pillent les ressources des peuples qu’ils massacrent. C’est aussi simple que cela. A qui profitent les crimes du colonialisme, du néocolonialisme, de l’impérialisme et du capitalisme ? Aux puissants ! A l’oligarchie, aux magnats de la finance, aux propriétaires de tous les médias de masse, aux GAFAM, etc. dont les politiques, comme Macron et ses pairs, sont aussi des larbins.
Quant à nous, le courant patriotique, nous sommes aux antipodes de ce révisionnisme abject. Si nous combattons ces chantres du colonialisme, ce n’est pas dans un accès de rage dentaire ou avec des arrière-pensées financières ou pour avoir une place dans une institution. Nous les combattons par devoir national et en souvenir de la célèbre phrase du grand stratège Didouche Mourad, grand parmi tous les grands qu’a enfanté l’Algérie de Novembre dans cette épopée magnifique qui était la Révolution et qui ont libéré ce pays extraordinaire dont les paysages éblouissants m’évoquent toujours nos martyrs : «Si nous venons à mourir, défendez notre mémoire». Ils étaient une poignée et ils nous ont libérés du colonialisme en nous léguant un paradis. Que sont des Daoud, des Sansal, des Zemmour face à ces géants ? Ils sont inexistants face à nos chouhada qui ont écrit l’Histoire avec leur sang.
Le combat contre les larbins du colonialisme, du sionisme et du grand capital est un devoir pour rétablir la vérité historique et une mission patriotique. Combattre la personne nous intéresse peu, mais combattre l’idéologie défendue par cette personne est vital. C’est la raison pour laquelle nous nous dressons face à ces renégats pour les confronter à la réalité historique. Vous êtes payés, Messieurs Daoud, Sansal, Zemmour, et les autres, pour déverser vos mensonges en déféquant sur les chaînes françaises et dans les salons dorés parisiens.
Mais l’Algérie fait partie de l’Histoire de l’Homme. Elle n’est pas née hier. Je répète que Massinissa frappait la monnaie deux siècles avant Jésus Christ, qu’il y avait une université à Madaure, que la terre algérienne a enfanté Apulée, Augustin d’Hippone, des empereurs romains, qu’elle regorge de ruines romaines et qu’à maints endroits on y trouve la trace de l’homme premier avec les nombreuses gravures rupestres comme dans la région de Djelfa, de Sétif ou encore dans le Constantinois, sans parler de Tassili n’Ajjer. Tant que ces arrivistes et businessmen de l’Histoire déverseront leur venin sur l’Algérie, la sève algérienne leur répondra. Car, nous, les patriotes, nous sauvegarderons ce suc sacré tant que nous aurons un souffle de vie. Nous ne cesserons pas de les combattre, comme nos ancêtres ont combattu jadis le colonialisme, et comme nous avons combattu le terrorisme islamiste que nous avons vaincu avec le sang des martyrs du devoir. Ce même terrorisme islamiste dont a fait partie Kamel Daoud.
Ni Daoud, ni Sansal, ni Zemmour, ce dernier ayant atteint sa date de péremption, ne sont sortis du choc des civilisations de Samuel Huntington dans lequel les ont coincés les néocons. Ils baignent là-dedans alors qu’entre les peuples l’entente serait possible, contrairement aux extrémistes de la pensée. Ces gens sont les eunuques du grand capital et de ses tentacules sionistes et néocolonialistes. Ils appartiennent à un passé qui ne reviendra jamais. L’Algérie française est morte en 1962 et elle ne reviendra pas. Ces tristes sires n’ont pas le logiciel pour étudier l’Algérie d’aujourd’hui. Elle les dépasse comme leurs semblables ont été dépassés par notre élite révolutionnaire. Les enfants de Novembre ont brisé les reins du colonialisme et des généraux saint-cyriens.
L’Algérie, ça se mérite
Ce que nous, Algériens, avons souffert de la France coloniale pendant plus d’un siècle, le peuple palestinien le subit depuis 1948. La boucherie à laquelle se livre quotidiennement l’entité sioniste dans la Palestine martyrisée, nous l’avons vécue, et cela nous rend particulièrement sensibles à la souffrance du peuple palestinien et à celle du peuple sahraoui. Ce qu’endurent les enfants de Gaza nous vrille le cœur. L’entité sioniste criminelle qui n’a rien à envier aux nazis, soutenue par l’Occident, commet un véritable holocauste à l’égard du peuple palestinien, au su et au vu de la planète entière. Et chaque fois que quelqu’un s’élève contre ce qui s’avère une éradication pure et simple du peuple palestinien, on nous sert la soupe perpétuelle de l’antisémitisme. Basta ! Ça ne prend plus ! Nous, les antisionistes, nous revendiquons le fait que cette terre de Palestine n’appartient pas à Israël. Ce n’est pas une histoire de religion, c’est une histoire de colonisation de territoire par peuplement, territoire qui appartient aux Palestiniens. Aujourd’hui, la résistance palestinienne marque des points et Israël ne peut rien faire à part massacrer les enfants. C’est la reproduction de ce qu’il s’est passé chez nous en termes de colonisation. Et concernant le 7 octobre 2023, on espère qu’il portera les mêmes fruits que le 1er novembre 1954 en Algérie, comme je l’ai écrit dans un autre article. Tous les Palestiniens doivent s’unir pour un 1er novembre palestinien, et chasser l’occupant colonialiste de leurs terres. La Palestine n’appartient pas à l’entité sioniste d’Israël qui n’a pas de terre, ce qui est confirmé par les Juifs justes. La cause des peuples gagnera, c’est un processus irréversible, et comme le peuple palestinien, le peuple sahraoui aura son indépendance et chassera le colon marocain de ses terres.
L’Algérie a toujours défendu les causes justes, n’en déplaise aux marionnettes de la France et du sionisme, comme, par exemple, au Sahel, au Mali, au Burkina, au Niger, etc. Je leur rappelle que l’Algérie est grande, pas seulement par son armée et par son histoire, elle est grande par le dévouement du peuple algérien à sa patrie. Dans notre sol, il n’y a pas comme richesse que le pétrole, le gaz, le phosphate, et les terres rares, il y a les martyrs. Sous chaque pierre, il y a un martyr. La terre algérienne a été abreuvée de leur sang. Nous sommes dans l’antithèse du discours de Kamel Daoud et de Boualem Sansal comme on doit combattre l’extrême-droite d’Eric Zemmour et de la clique Le Pen qui a collaboré sous Vichy et qui collabore avec le grand capital représenté par Macron, le petit banquier des Rothschild. Le grand capital a besoin de ce genre de mouvement : RN, FN, quel que soit son nom, il n’obéit qu’à un seul agenda, celui de ses maîtres capitalistes. Revenir aux classiques du bon vieux marxisme est incontournable pour comprendre ce temps du choléra et de la peste que nous vivons actuellement.
Car la crise systémique actuelle du capitalisme provoque tous ces phénomènes et exacerbe les instincts primaires, allant du racisme endémique jusqu’à l’installation d’un maccarthysme idéologique et intellectuel, lequel est brandi contre tout ce qui s’oppose à l’establishment. Ce système fasciste s’en prend à tout ce qui ne va pas dans le sens de son idéologie mortifère et les médias français et occidentaux sont envahis par des professionnels qui sont devenus des champions de la musculation de la langue. Les monstres dont parlait Gramsci, nous les voyons à chaque fois que nous regardons les chaînes télé poubelles occidentales et dont Daoud, Zemmour, Sansal, ce serviteur des sionistes qui profite toujours de sa retraite payée par l’Etat algérien sur lequel il crache allègrement, et consorts, sont des échantillons. Daoud et Sansal, ces renégats, ont profité de l’Etat algérien et ils n’ont même pas la reconnaissance du ventre.
Ces sorties ne sont pas anodines et ne sont pas le fruit du hasard. Nous continuons à voir des tentatives de déstabilisation de l’Algérie avec l’opération Star Six (nous reviendrons sur l’opération Star Six prochainement), dirigée par des militaires étrangers et impliquant des pays ennemis de l’Algérie dans le but de perturber l’élection présidentielle afin d’empêcher un second mandat du président Tebboune. Dans ce cadre, beaucoup d’évènements se bousculent qui confirment tous la piste d’un vaste complot qui se déroule en ce moment et qui vise à déstabiliser l’Algérie. Ce complot dont l’objectif est de cibler l’armée et de détruire le pays englobe les Emiratis, l’entité sioniste, le Maroc et la France. Ces forces occultes veulent détruire l’Algérie et brûler le pays. Les mercenaires de l’empire sont tous en piste, les organisations terroristes Rachad et le MAK et les janissaires de YouTube que nous connaissons tous. Tout cela pour faire payer à l’Algérie ses positions en faveur de la Palestine et du Sahara Occidental, entre autres.
Nous, les patriotes, et nous sommes innombrables, que ce soit à l’intérieur du pays ou dans notre communauté à l’étranger, nous aimons notre mère patrie. Nous l’aimons sans rien en attendre. On ne réfléchit pas quand on aime sa patrie, c’est quelque chose de naturel. On se dévoue pour elle sans compter, parce qu’on ne peut faire autrement. C’est comme un vent léger qui caresse notre visage, comme la brise qui vient de la mer, ou le souffle chaud du désert qui vient nous dire : regarde ! Toute cette richesse, ce peuple fier et joyeux, cette terre féconde, cette culture ancestrale, cette Histoire millénaire, ces batailles et ces guerres, ce passé glorieux, tout cela, c’est l’Algérie. Elle n’appartient à personne d’autre qu’à son peuple et elle n’appartiendra à personne d’autre. Nous avons les outils pour résister à toutes les tentatives de nous déposséder de notre bien. Nous avons une grande armée et un grand peuple attaché à son armée populaire issue de la glorieuse Armée de libération nationale qui a déraciné le colonialisme de notre sol. Cette bonne terre de l’Algérie, on ne peut pas l’aimer quand on s’appelle Kamel Daoud ou Boualem Sansal ou Eric Zemmour. On l’aime quand on est patriote sincère et fier d’être Algérien. On aime l’Algérie parce que c’est comme ça, disent les jeunes, c’est normal, c’est notre patrie. Vivre en Algérie, ça se mérite. L’Algérie a résisté à des siècles de conflits et de batailles, et elle sera toujours là quand ses ennemis et ses renégats n’y seront plus. Elle résistera au temps et à toutes les trahisons.
M. A.
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