Décès de l’ancien Premier ministre libanais Salim Hoss : condoléances de l’Algérie

Le défunt ancine premier ministre Salim Hoss. D. R.

Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a signé, mardi au siège de l’ambassade du Liban à Alger, au nom du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, le registre de condoléances suite au décès de l’ancien Premier ministre libanais Salim Hoss.

Chargé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, Salah Goudjil, président du Conseil de la nation, a signé, mardi matin au siège de l’ambassade de la République libanaise, pays frère, le registre de condoléances suite au décès de l’ancien Premier ministre libanais Salim Hoss.

«C’est avec un cœur résigné à la volonté d’Allah et avec une profonde tristesse que j’ai appris la nouvelle du décès de l’ancien Premier ministre libanais Salim Hoss. En cette douloureuse épreuve pour le peuple libanais frère et la famille du défunt à laquelle nous compatissons, je ne peux que vous exprimer, au nom du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au nom du gouvernement et du peuple algériens et en mon nom personnel, mes sincères condoléances, vous assurant de ma profonde compassion et priant Allah Tout-Puissant d’accorder au défunt Sa Sainte Miséricorde et de vous prêter, ainsi qu’à ses proches, patience et réconfort», lit-on dans le message de condoléances.

«Avec la disparition de Salim Hoss, le Liban et la nation arabe perdent un leader national clairvoyant et un politique chevronné, qui a voué sa vie au service de son pays et à la défense des causes arabes avec sincérité et intégrité», a souligné Goudjil dans son message.

«Avec sa disparition, c’est aussi une page de l’histoire contemporaine du Liban qui se tourne», a-t-il dit, rappelant que «le défunt a assumé avec brio des fonctions parlementaires et de hautes fonctions politiques dans les moments difficiles que ce pays a eu à traverser, ce qui lui a valu de diriger le gouvernement libanais à plusieurs reprises».

R. N.