Le silence de Benjamin Stora sur Gaza ou l’écho d’une réconciliation insidieuse

Stora Palestine
Benjamin Stora. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – Au milieu des flots incessants de dépêches quotidiennes, où les journalistes de tous horizons tissent des récits héroïques de résistance, un silence perfide s’est immiscé, tapi dans l’ombre des événements sanglants de Gaza. Cette tragédie, exacerbée par la lâcheté et la trahison, gravera des cicatrices profondes et irréparables dans la mémoire collective, une plaie qui suppure avec chaque mot tu, chaque ignorance feinte.

A l’heure où ces lignes sont écrites, pas une seule parole claire et ferme n’a été prononcée de sa part pour condamner les crimes abjects contre l’humanité perpétrés contre les Palestiniens. Benjamin Stora, qui s’est insidieusement hissé au rang d’arbitre de l’histoire, s’est drapé du faux manteau de la réconciliation, prétendant guérir les antiques blessures entre Algériens et Français. A première vue, sa mission semble vouloir apaiser les plaies, ériger des passerelles, rendre la parole à ceux que l’Histoire a réduits au silence. Mais derrière cette façade de vertueuse bienveillance se cache une abominable contradiction : son silence assourdissant face aux atrocités continuelles infligées au peuple palestinien.

Jour après jour, les journaux du monde, leurs pages gorgées du sang des innocents, dévoilent les horreurs d’une nation suppliciée, victime d’une guerre aussi génocidaire que celle endurée par les Algériens. Les terres ancestrales palestiniennes sont désormais le théâtre d’un drame incompréhensible, un ethnocide caché sous le voile putride d’une victimologie régurgitée sans cesse, érigée en dogme et en chimère d’un destin manifeste.

Alors que des voix courageuses s’élèvent pour dénoncer l’agression criminelle de l’entité sioniste – Norman Finkelstein en tête, avec son appel légitime, un chant funèbre en l’honneur des martyrs de Gaza –, Stora, l’autoproclamé apôtre de la réconciliation, se réfugie dans le mutisme. Comment peut-on prétendre œuvrer pour une réconciliation  qui se veut empreinte de compassion universelle, tout en fermant volontairement les yeux sur les cris étouffés d’un peuple dont l’Histoire est arrachée, déchirée sous nos yeux, en direct et sans pitié ?

Sa prétendue réconciliation, tant proclamée à grand fracas, échoue dans son essence même, refusant de dénoncer le sionisme génocidaire pratiqué par ses coreligionnaires, d’appeler les choses par leur nom, de condamner, sans ambiguïté, les massacres d’enfants, de femmes, de vieillards. Ainsi, son silence devient une ignominie perverse, un acte de trahison indigne de celui qui prétend porter la responsabilité morale de l’historien.

La nation algérienne, ayant dès le début rejeté cette farce de «réconciliation», se voit aujourd’hui confortée dans son choix par les manquements gravissimes de cet historien imposteur, et rien ne la fera changer de position.

Ce silence odieux, ce parti-pris manifeste face au génocide qui se joue à Gaza, dévoile la véritable nature de cette collusion mémorielle entre l’Algérie et la France. Une réconciliation, suintant de relents fétides et nauséabonds que l’on pourrait qualifier de Pax Judaica.

Et au fur et à mesure que cette farce se dévoile, elle révèle non une paix véritable, mais une infâme mascarade, un mercantilisme intellectuel déguisé en humanisme. Tout ceci, patiemment orchestré, dans une lente stratégie de réhabilitation pour redonner, peu à peu, une virginité fallacieuse à ceux que le décret Crémieux avait autrefois gratifiés de la nationalité française, en récompense des services rendus pendant la colonisation.

Plus que jamais, l’écriture de l’Histoire s’est transformée en un art infâme de falsification, minutieusement façonné par ceux qui se cachent derrière des masques de vertu feinte. Benjamin Stora, tel un funambule égaré dans le labyrinthe de sa lâcheté, a choisi le mutisme au lieu de la clarté morale, préférant parader à Constantine, exhibant sa ridicule réconciliation comme un totem vide, plutôt que de confronter les horreurs qui se déroulent sous ses yeux.

Ce projet mémoriel avorté, honni dès le départ par la conscience collective de la nation algérienne, se voit aujourd’hui discrédité par les manœuvres sordides de cet historien dont les gesticulations académiques frénétiques, les apparitions grotesques sur les plateaux de télévision et les incursions serviles à l’Elysée ne sont que de pitoyables tentatives d’escapades inutiles en Algérie – une nation qui ne pardonnera jamais une telle trahison.

En se dérobant à l’impératif de nommer l’injustice, Stora a révélé, par cette lacune coupable, qu’il est totalement dépourvu du courage noble et nécessaire pour affronter le mensonge triomphant et porter haut la flamme vacillante de la vérité.

K. B.

Comment (33)

    Anonyme moh.
    18 septembre 2024 - 21 h 48 min

    Déjà quand est ce qu’il va le pondre son machin mémorielle ?

    schlomomo6
    18 septembre 2024 - 21 h 46 min

    Cet escroc de faux historien mais vrai juifiste qui défendra toujours sa tribu de udeo nazis voleur de terre des palestiniens est à vomir, mais le pire c’est surtout les algériens qui perdent leur temps à écouter cette merde

    lhadi
    18 septembre 2024 - 20 h 41 min

    Quant est il des silences du président de l’Etat palestinien ? Nul ne s’interroge sur ce silence déroutant.

    Dans un tel contexte, il importe au président de la république algérien de mettre l’intelligence au service de l’action. Autrement dit, il se doit d’organiser un « congrès de la soummam palestinien « . qui réunira toutes les fractions palestiniennes. : unique moyen d’en finir avec l’occupation de l’entité sioniste et ses conséquences.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Cheyenne
    18 septembre 2024 - 19 h 38 min

    C’est exactement comme certains moudjahidins retraités qui récemment en Allemagne transmettent les valeurs de novembre 58 à leurs enfants mais n’ont plus jamais mis les pieds en Algérie depuis 62 ne fusse que pour des vacances MAIS , se mêlent de politique intérieur comme une bonne partie partis en France et en échange du c… dans del’ouate pour changer d’avis sur les crimes odieux durant la colonisation l’ouate et le beurre étant de parfaits ingrédients à l’oubli.
    Pour ma part , c’est à eux que stora s’adressent .

    ARRIS - BATNA
    18 septembre 2024 - 16 h 16 min

    Cet sinistre individu est un imposteur, hélas… certains ne l’ont pas encore compris que c’est un vendeur de perlimpinpin ! Ô rage… Ô désespoir…! Tous ceux qui l’invitent, chez nous, en Algérie, sont des COMPLICES et des TRAITRES qui font partie de LA CINQUIÈME COLONNE… et je pèse mes mots.

    Matelot
    18 septembre 2024 - 16 h 02 min

    B stora est un grand Monsieur plein de savoir il maîtrise les questions de mémoire
    C est un grand humaniste et Ami de L Algerie
    Il a la confiance du président TEBBOUNE
    Le reste c est de la spéculation

      Anonyme
      18 septembre 2024 - 17 h 13 min

      Donc il peut avoir de la cohérence et dire sa position sur ce qui se passe dans le pays colonisé dont le peuple indigène est en train de se faire cramer de la surface de la terre ?
      Ou c’est trop lui demander ?
      Les gens qui sont en train de mourir sont des êtres humains ou pas ?
      Les gens qui sont en train de mourir sont dans leur depuis des siècles ou on va aussi réécrire leur histoire ?

      Arezki
      18 septembre 2024 - 18 h 12 min

      Cet IMPOSTEUR ne serait pas un parent à toi par hasard ?

    AÏT OUFELLA M;HEND
    18 septembre 2024 - 15 h 42 min

    Comme je l’ai toujours dit et ÉCRIT sur les pages de ce même site concernant ce personnage FAUX, MENTEUR et FALSIFICATEUR DE L’HISTOIRE de L’ALGÉRIE comme tous ses frères de sa propre race qui DÉFORMENT, MANIPULENT et MENTENT de façon éhontée avec un sang froid qui donne des frissons dans le dos.
    Ceci étant dit. Comment NOS PROPRES AUTORITÉS soit-disant « algériennes » continuent de faire confiance à un tel personnage en l’invitant en Algérie pour donner des « conférences » DIABOLIQUES à nos étudiants « futures élites » ainsi qu’aux doctorants algériens…..?
    Nous avons, ENFIN, la preuve par neuf que cet individu MERCENAIRE est entrain d’appliquer doucement et à doses homéopathiques le plan de ses frères : LES MAITRES DU MONDE…… à DÉTRUIRE notre propre HISTOIRE pour ses frères qui se sont jurés DE REVENIR EN ALGÉRIE pour la coloniser ad vitam aeternam.

    RÉVEILLEZ-VOUS AUTORITÉS DE NOTRE PAYS !!! AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD……

    IL FAUT INTERDIRE à ce sinistre individu de poser, à l’avenir, ses pieds SUR NOTRE SOL SACRÉ PAR LE SANG DE NOS CHOUHADAS ÉTERNELS.

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 14 h 36 min

    Il vient par son silence de révéler ses coins morts, ce qui le rend pas si légitime à parler de la colonisation.
    Sa carrière fut belle, mais ses réelles motivations méritent une analyse approfondie.

    falsificateurs
    18 septembre 2024 - 13 h 13 min

    « Juifs » ou « Judaïstes » ?

    Partout dans le monde, le Dictionnaire anglais d’Oxford est reconnu comme la meilleure et la plus authentique source d’information sur l’origine, la définition et l’usage des mots de la langue anglaise. Des savants faisant autorité, appartenant à tous les domaines de la connaissance, et vivant dans tous les pays du monde, reconnaissent sans discuter la valeur du Dictionnaire anglais d’Oxford. Or, le Dictionnaire anglais d’Oxford fait apparaître clairement que le mot correct en anglais pour un adepte du judaïsme, est : Judaist[1], et que l’adjectif correspondant est : Judaic[2] ; et donc que les formes nominales : Jew, et adjectivale : Jewish, ne sont pas correctes. Au sens strict, les mots Jew et Jewish n’appartiennent pas à la langue anglaise ; ceci dit dans le cas où l’usage correct des mots se mettrait à bénéficier d’un quelconque intérêt de la part de nos contemporains.

    Ainsi, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ne pouvant honnêtement se désigner comme des « Juifs » (car ils ne sont ni de près ni de loin des « Judéens » ou des « Israélites »), devraient donc en toute honnêteté se définir par le nom de leur pratique religieuse[3], et se présenter à nous comme des « judaïstes »[4]. Suivant le Dictionnaire Anglais d’Oxford, un « judaïste » est une personne qui se réclame de la pratique religieuse du « judaïsme », point final. L’origine du mot « juif », ainsi qu’il a été expliqué, ne vient pas du mot « judaïsme ». Et le mot « juif », comme adjectif relatif à ce qui ressort du « judaïsme », n’a pas non plus de raison d’être, l’adjectif correct est « judaïque »[5].

    ___________________________________________________________

    [1] Pourrait se traduire par « judaïste », en français ; de même qu’un adepte du « communisme » est un « communiste », ou qu’un adepte du « tantrisme » est un « tantriste ».

    [2] « Judaïque », en français. Ici dans la langue française, la forme adjectivale morphologiquement correcte : « judaïque », existe bien. Ce n’est pas le cas dans la langue anglaise, où le terme morphologiquement correct Judaic, est improprement remplacé par le terme Jewish.

    [[3] Ou des « Judaïens », ou des « talmudistes » comme autrefois, ou des « pharisiens »… mais surtout pas comme des « Juifs », mot qui, encore une fois, provient de la contraction naturelle du latin « Iudaean » et qui a une connotation géographique et raciale, ce qui n’est pas le cas d’un enseignement religieux. Ainsi il y a des chrétiens japonais, et de la même race que les japonais. Il existe aussi des pratiquants du judaïsme en Inde, qui comme les Khazars sont des convertis, et qui n’ont aucun lien génétique avec les pharisiens de Judée, ces Judéens qui furent à l’origine du talmudisme. Certes, une fois les premiers temps de la conversion passés, le peuple converti au judaïsme fait bloc hermétique avec sa religion, et ne semble plus alors former qu’une seule et même entité ; mais ce phénomène est à attribuer au caractère foncièrement intolérant et xénophobe du judaïsme envers tout ce qui n’est pas lui, et non pas à une quelconque indissociabilité entre un peuple et une religion. C’est cette prétendue indissociabilité qui a autorisé toutes les mystifications relatives au « peuple élu », à la « race choisie », et autres foutaises qui vous catapultent comme d’un rien aux commandes des états.

    [4] N’utilisons donc plus les termes impropres, si nous ne voulons pas que la confusion ne perdure indéfiniment dans la pensée, puisqu’elle s’est déjà fixée dans le langage

    Mohamed El Maadi
    18 septembre 2024 - 13 h 05 min

    Le retournement idéologique des juifs de gauche, qui soutenaient jadis la cause palestinienne avec ferveur, est un phénomène qui mérite d’être dénoncé avec la plus grande clarté. Aujourd’hui, à l’exception de quelques figures isolées, la majorité semble avoir choisi le silence, laissant ainsi un vide déconcertant dans le discours sur la justice et les droits humains. Il est particulièrement frappant de voir des intellectuels comme Benjamin Stora s’illustrer dans une réflexion historique sur la colonisation française en Algérie. Plutôt que d’exposer les vérités dérangeantes, il semble s’efforcer d’éviter que le crime des crimes, l’Holocauste, ne soit éclipsé par les atrocités de la colonisation. Son rôle semble être celui d’un garde-fou, veillant à ce que les horreurs commises par la France en Algérie ne soient pas reconnues comme des crimes contre l’humanité.

    Il est ahurissant de constater qu’en 2024, il faille encore débattre de la question de qui est la victime et qui est le bourreau. La réalité est limpide : c’est la France qui a colonisé l’Algérie, et ce fait ne peut être mis en doute. Les documents historiques sont là, les témoignages abondent. Entre 5 et 6 millions d’Algériens ont été massacrés, et ce chiffre n’est pas une exagération. Les atrocités dont ils ont été victimes, qu’il s’agisse de tortures, de viols, de déportations, sont des crimes qui ne peuvent être éludés. Le fait que des figures comme Stora cherchent à diluer la gravité de ces actes en parlant de « torts partagés » est non seulement cynique, mais profondément irrespectueux envers ceux qui ont souffert.

    L’obsession de certains à vouloir réécrire l’histoire pour minimiser les crimes coloniaux est inquiétante. C’est comme si, en faisant cela, ils espéraient effacer le poids de la culpabilité qui pèse sur la France. Ce pays, qui a longtemps revendiqué des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, doit faire face à son passé colonial sanglant. Les souffrances infligées à la population algérienne ne devraient pas être reléguées au rang de « détails » dans un récit qui cherche à établir un équilibre entre deux tragédies.

    C’est pourquoi je fais appel au président algérien pour qu’il prenne position fermement en faveur des droits des martyrs algériens. Il ne devrait y avoir aucune négociation sur cette question. La France doit reconnaître ses crimes et demander pardon, sans condition ni euphémisme. Le temps des compromis est révolu. Il est temps de rendre hommage à ceux qui ont été humiliés, torturés et massacrés, et de reconnaître la douleur et les souffrances que la colonisation a infligées à toute une nation.

    En fin de compte, il ne s’agit pas seulement de rendre justice aux victimes, mais aussi d’envoyer un message clair : la vérité ne doit pas être mise de côté pour préserver des narratives confortables. Le devoir de mémoire est essentiel, et il est temps d’affronter le passé avec courage et honnêteté, sans chercher à minimiser les atrocités commises au nom de la colonisation. C’est un devoir envers ceux qui ont souffert et un impératif pour construire un avenir fondé sur la justice et la réconciliation.

      Ouchen azguar
      18 septembre 2024 - 21 h 39 min

      Excellent commentaire!

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 12 h 33 min

    La preuve qu’il ne faut surtout pas laisser za3ma l’histoire d’Algérie se faire écrire par lui et l’état français.
    C’est une blague, Stora a réussi à hypnotiser par mal d’algériens.
    c’est du pipeau, il a un but et le poursuit, la critique de la colonisation ne l’intéresse pas, mais ce que peut lui (leur) apporter la critique de la colonisation á court, moyen et long terme.
    Le retour des siens en Algérie est l’un des objectifs. Pas mal de gens chez nous en France, ont des amitiés parmi des gens comme Stora. Pas mal veulent revenir et utilisent des amitiés pour ouvrir des canaux et poser la question du retour.
    Il faut rejeter ça absolument. Leurs familles ont été des harkis, comme les nôtres. La seule différence est la religion. Donc ce n’est pas l’origine, la tribu ou la religion qui compte, mais le comportement de traitre. La trahison est haie partout, chez toute personne clean.
    La colonisation leur a beaucoup apporté. Ils n’ont qu’à assumer leurs choix et arrêter de nous les casser.
    Car leur retour est liée á l’embellie que vit l’Algérie. S’ils viennent, ils feront comme Azoulay au Maroc, nous serons leurs domestiques.
    Stop. Il faut leur faire comprendre, que leurs familles en très grande majorité, tous leurs responsables n’ont pas répondu á l’appel de joindre la lutte contre le colonialisme français. Beaucoup ont suivi l’OAS comme le dit chanteur Enrico Macias.
    Il faut leur dire clairement : ils ont trahi, ils ont perdu leur place parmi nous du fait de leur traitrise.
    Ils ont trahi l’Algérie.

    Le silence de Stora est clair : il soutient la colonisation dans un autre pays, dont cessez de croire ces/ses baratins : c’est de l’entrisme pour écrire notre histoire avec l’ex-colonisateur.
    Nous sommes betes ou fous d’accepter par

      Ouchen azguar
      18 septembre 2024 - 21 h 28 min

      Excellent commentaire !

    Bou-vilène
    18 septembre 2024 - 12 h 22 min

    Lire stora c’est au final accorder un chèque en blanc à la colonisation française .
    Les bonnes questions s’imposent et ou était Benjamin Stora pendant que nos valeureux moudjahidins perdaient leurs vies dans les maquis?.
    Réponse : Au coin du feu à boire de la bonne soupe .

    Matelot
    18 septembre 2024 - 11 h 24 min

    Citez MOI CEUX qui parlent parmis les intelectuels ARABES et / ou MUSULMANS
    tout le monde se tait pas compromission ou calcul ou interets
    Balayons devant nos portes

      Anonyme
      18 septembre 2024 - 17 h 18 min

      Cela ne vous a pas échappé que les canaux médiatiques leur sont FERMÉS.

      Ils n’ont pas prétention à parler des effets de la colonisation, lui a bâti sa carrière sur ce sujet et a même écrit un rapport (politique) la-dessus.

      Il s’est autoproclamé intermédiaire pour noyer le poisson dans l’eau et ne pas parler de la réalité, par exemple, de sa famille, celle de Paul Amar, celle de Enrico Maccias dans la colonisation. Quels rôles ces familles ont joué dans la colonisation. Ont-elles tuées, profité de la colonisation, oui ou non ? si oui, comment ?

      On juge une situation sur les responsabilités et les prétentions de chacun… !
      Sa prétention avancée est de critiquer le colonialisme.
      Dont acte !

      Lin
      18 septembre 2024 - 22 h 48 min

      Vous ne devez pas connaître les écrits de Ahmed bensaada pour ne citer que lui. Les algériens connaissent leur histoire et savent l’écrire mieux que personne…

    MADANI
    18 septembre 2024 - 11 h 02 min

    Stora est l’arbre qui cache la forêt des juifs dénaturés de leur origine algérienne par le décret Crémieux et vite embrigadés dans l’aventure sioniste.
    Combien d’entre eux ont dénoncé ce qui se passe à Gaza et en Cisjordanie ? Pas grand monde.
    Leurs parents ont participé sous l’égide du Mossad à des exactions à Constantine, ont ignoré l’appel du FLN et sont restés dans leur immense majorité silencieux durant la Guerre d’Algérie.
    Et, en 1961 craignant un possible retour de bâton, ils ont plié bagages pour un aller simple vers la France ou ailleurs.
    Le néocolonialisme français a trouvé en Stora l’intermédiaire idéal pour édulcorer la meurtrière histoire coloniale au moyen de l’écriture commune de la mémoire.
    Il est temps de renvoyer cet hypocrite et ne plus le recevoir chez nous.

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 10 h 56 min

    Tout le monde a remarqué son silence.
    Lui l’historien de la colonisation francaise en Algérie.
    La conclusion est qu’il a malgré lui ou consciemment un mind-set encore colonial.
    Ce pays a été volé par ses correligionnaires, pour la plupart athées et probablement absolument pas d’origine sém te

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 10 h 08 min

    Mais je note que c’est ce genre de personnes qui sont accueillis avec tous les honneurs en Algérie avec une armée de Béni Oui Oui à disposition…

      Anonyme
      18 septembre 2024 - 19 h 57 min

      Oui mais comment faire alors pour trouver et ensuite tamponner les béni oui oui de béni oui oui?

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 9 h 30 min

    Le but de Stora a toujours été de glorifier la colonisation en créant un écran de fumée autour.
    Pas étonnant qu’il ne parle pas du génocide à Gaza, il est l’un des relais du sionisme en France.

    elho
    18 septembre 2024 - 8 h 41 min

    Tout est dit ou presque,
    On pourrait ajouter que faire la guerre aux siens, d’essence génocidaires, aujourd’hui, devenus de dangereux dominants, occupants l occident impérialiste, n’est pas chose facile …
    Si à contrario, l’on constate en pluse que l on constate pour la 1ere fois l officialisation d’un nouveau type de sionisme, celui qui cancérise des dictateurs et des médias arabes….
    L équation se complique bigrement …

    Brahms
    18 septembre 2024 - 7 h 46 min

    Benjamin Stora vit dans le passé (nostalgie de la belle époque où tout était gratuit)

    Il n’a toujours pas fait son deuil de sorte qu’il stagne, il régresse, il évite.

    La raison est connue : Les crimes de GAZA sont odieux et montrent la vraie nature du (juif).

    – 41 000 Palestiniens, femmes, enfants, vieillards, handicapés qui sont liquidés comme à la chasse au gibier et personne ne pipe mot. C’est invraisemblable. Où sont la justice et les indemnisations ?

    En vérité, tout le monde reste dans son confort, dans ses berlines de luxe, sa villa cossue, son smartphone, son ordinateur, ses tasses de café, ses maitresses, ses comptes d’épargne donc forcément, il n’y a personne qui ira défendre ces Palestiniens.

    Enfin, ne comptez pas sur l’Arabie saoudite pour bouger qui sont les cousins des juifs (sémites) qui massacre les yéménites du Yémen.

    Abou Stroff
    18 septembre 2024 - 7 h 34 min

    « La nation algérienne, ayant dès le début rejeté cette farce de «réconciliation», se voit aujourd’hui confortée dans son choix par les manquements gravissimes de cet historien imposteur, et rien ne la fera changer de position. » avance K. B..

    question à un doro: où et quand la « nation algérienne » s’est elle exprimé sur le sujet?
    réponse grauite: nulle part.

    ceci étant dit, il n’y a pas que stora que K. B cite parce qu’il est juif et parce que K. B. n’aime pas stora et parce que K. B. continue à appréhender le conflit palestino-sioniste comme une guerre de religion, au lieu de le saisir dans son essence comme un conflit colonial couvert par un voile idéologique, i. e. la relgion, qui se tait sur le génocide en cours en Gaza.

    en effet, beaucoup d' »historiens » non-juifs connus et reconnus comme soi disant experts, se taisent sur le génocide en cours à Gaza. doit on incriminer leur religion comme cause de leur « lâcheté »?

    en outre, Norman Finkelstein (qui est juif au regard de son patronyme) que cite K. B et d’autres juifs comme Rony Brauman,entre autres, dénoncent le massacre ayant cours à Gaza, doit on imputer leur position courageuse à la religion à laquelle ils appartiennent?

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part qu’accepter la position de la vermine sioniste (que partage la vermine islamiste) qui consiste à appréhender le conflit palestino-sioniste comme une guerre de religion ou comme le produit d’un complot juif signifie que nous n’arrivons pas à décortiquer la gangue idéologique (le discours religieux) pour atteindre l’essence du phénomène qui n’est ni plus, ni moins qu’une guerre coloniale dont le dépassement requiert un processus de décolonisation, point barre.

      Anonyme
      18 septembre 2024 - 11 h 26 min

      Si tu n’aimes pas Khaled Bouaziz, c’est ton problème. Mais dans son article, il n’est nulle part question de religion, mais de seulement de crimes contre l’humanité, que Stora ne condamne pas. Et s’il ne condamne pas, c’est qu’il se range du coté des criminels génocidaires, tel Netanyahou.
      Et s’il est du coté de ce criminel de guerre, c’est qu’il est conditionné et parial en tant que juif solidaire avec ses colégionnaires
      Ainsi, Stora est partial et colonialiste, et donc non-qualifié pour référer sur l’histoire colionialiste de la France.

        Abou Stroff
        18 septembre 2024 - 14 h 21 min

        1- « un ethnocide caché sous le voile putride d’une victimologie régurgitée sans cesse, érigée en dogme et en chimère d’un destin manifeste. »

        2- « Une réconciliation, suintant de relents fétides et nauséabonds que l’on pourrait qualifier de Pax Judaica. »

        3- « Et s’il est du coté de ce criminel de guerre, c’est qu’il est conditionné et parial en tant que juif solidaire avec ses colégionnaires »

        et VOUS AVEZ L’OUTRECUIDANCE d’écrire :  « il n’est nulle part question de religion »

        et mon petit doigt me dit que je m’adresse « Anonyme18 septembre 2024 – 11 h 26 min » qui n’est personne d’autre que K. B..

        PS : je ne connais K. B. ni d’Eve, ni d’Adam mais je combats ses idées* qui, contrairement aux apparences servent, d’abord et avant tout, la vermine sioniste et la vermine islamiste qui, contrairement aux apparences, ont des intérêts convergents quand ils ne sont pas identiques.

        * l’appréhension par K. B. du conflit palestino-sioniste, en tant que guerre de religion et/ou de civilisation, est la thèse farfelue la plus pertinente qui permet de justifier l’existence et la pérennité de la domination sioniste sur toute la Palestine.

        Wa el fahem yefhem.

        PS : comme nous n’avons jamais gardé les chèvres ensemble, je trouve déplacé d’être tutoyé par votre auguste personne.

          Anonyme
          18 septembre 2024 - 15 h 57 min

          J’ai relu le texte de Khaled Boulaziz.
          À moins que je serais un idiot ou un enfumé par une zetla à un doro, je n’ai nulle part trouvé une réference à la religion sauf ce terme « Pax Judaica », qui a une contonnation plus politique que religieuse.

          Résumons ce qu’écrit K.B.: Benjamin Stora est impartial et disqualifié pour être associé d’une manière ou d’une autre à l’écriture de l’histoire de notre pays liée à la colonisation génocidaire de la France.

    Anonyme
    18 septembre 2024 - 6 h 51 min

    Stora? un personnage qui a tjrs été suspect concernant ses convictions! pareil à d’autres ghenassia zemmour etc….

      Anonyme
      18 septembre 2024 - 12 h 39 min

      non, par contre ils demandent á tous les autres de battre leur coulpe quand ca les concerne
      Ils ont mis le bocson en France depuis des décennies : zemmour, attali, bhl, enrico macias.

    Luca
    18 septembre 2024 - 5 h 35 min

    Il est intelligent, même si ce n’est pas un cadors. Il ne peut pas parler de Gaza , son appareil de stimulation première est celui du colonisateur, du criminel qui dit que ce qu’il à fait était à faire et à qui l’on trouvera même des circonstances atténuantes, voir même un profond sujet de réflexion. Un psychosurdeuxpattes voilà tout

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.