Pourquoi le Goncourt décerné à Kamel Daoud n’a pas de liens avec la littérature

Daoud Gancourt
Kamel Daoud, pur produit du complexe politico-médiatique français. D. R.

Par Karim B. – En France même, d’aucuns ont compris que le prix Goncourt décerné à Kamel Daoud est éminemment politique et que sa vocation est complètement éloignée de la qualité du livre pour lequel il a reçu cette distinction à laquelle le pouvoir français attache une importance capitale. En effet, le poste de ministre de la Culture dans ce pays où la littérature a, à l’instar de tous les domaines dans la vie des Français, connu une incroyable régression avec le temps, n’est pas dévolu au premier venu.

Le portefeuille de la Culture est toujours revenu soit à des pontes de la politique, comme l’influent socialiste Jack Lang et l’oreille de Nicolas Sarkozy Roselyne Bachelot, ou à des binationaux dont la nationalité d’origine est soit libanaise, Rima Abdul Malak, soit marocaine, Rachida Dati. L’Unesco est également phagocytée par le même lobby, André Azoulay ayant réussi à coopter sa propre fille à la tête de cette institution «qui n’a rien d’internationale puisque c’est une propriété française» au regard du nombre de fonctionnaires français qui assiègent son quartier général parisien, expliquait l’éminent linguiste et penseur Rachid Benaïssa, le Noam Chomsky algérien, qui y a exercé dans la sphère de la traduction pendant de longues années.

Le ministère de la Culture et ses démembrements, notamment le Centre national du livre (CNL), revêtent une importance autrement plus grande que les départements de l’Intérieur, des Armées et des Affaires étrangères réunis. Sa mission est cruciale et consiste à maintenir l’influence française dans les anciennes colonies, à y formater des élites qui seront appelées à occuper des fonctions importantes dans leur pays et à faire émerger des écrivains, des cinéastes et autres artistes façonnés selon le modèle français. Ces élites propagent alors des idées conformes à l’épistémè française et distantes de la culture conservatrice ou puritaine d’origine.

C’est ainsi qu’on a vu des écrivains et des réalisateurs algériens, marocains et tunisiens introduire des concepts occidentalisés dans leurs œuvres, relatifs notamment aux mœurs sexuelles. Un film tunisien ne peut avoir droit au box office s’il n’exhibe pas des Tunisiennes les seins à l’air dans un hammam, comme aime à les montrer Nouri Bouzid, ou ne fait pas dans le voyeurisme, comme dans Much Loved du Marocain Nabil Ayouch. De même qu’un roman ou un long métrage ne peut prétendre à un prix parisien prestigieux s’il n’encourage pas l’homosexualité. On a vu ce phénomène dans Chouchou de l’Algérien Merzak Allouache.

A contrario, quand un livre sérieux est «trop lourd», pour reprendre la formule du responsable d’une grande maison d’édition française dans une réponse au défunt général Khaled Nezzar, il est banni des imprimeries. Et pour cause. Le tout premier livre de l’ancien ministre de la Défense révélait pour la première fois l’existence de crânes de résistants algériens dans un musée parisien et rappelait les crimes contre l’humanité commis par la France coloniale, notamment les enfumades du Dahra. Dans son ouvrage, le moudjahid Khaled Nezzar détaille des opérations menées par les combattants de l’ALN à la base de l’Est avec la précision du métronome et l’exactitude du militaire qu’il fut.

Si Kamel Daoud a obtenu le prix Goncourt, ce n’est nullement pour la qualité de son ouvrage, ratatouille verbale que lui ou les véritables auteurs veulent présenter comme une succession de figures de style censées éblouir le lecteur par leur génie. Or, comme nous l’avons déjà écrit, la seule chose dans laquelle le nouveau messie – ou Messi – de la littérature française excelle, c’est le charabia. Quelques extraits de Houris, «sa» dernière production, suffisent à le confirmer : «Ce sourire, illimité, large, presque dix-sept centimètres, n’a pas bougé depuis plus de vingt ans. Il est un peu plus bas que le bas de mon visage et étire mes mots, mes phrases. Parfois, je le cache avec un foulard coloré ; le tissu, je le choisis toujours onéreux et rare. Je relève mes cols». «Je possède deux langues. L’une comme la nuit, l’autre comme un croissant. L’une mange dans le cœur de l’autre. Et une bouche de poisson pour les pratiquer toutes les deux». «Je devrai de nouveau chercher le sommeil dans les murs, les yeux asséchés par le plâtre blanc.» Allez y comprendre quelque chose à ce baragouin !

Bien sûr, il s’en trouvera toujours quelque prodige de la langue de Molière – critique littéraire, qu’on les appelle – pour expliquer ce verbiage alambiqué par des scolies tout aussi absconses.

Bon courage aux traducteurs.

K. B.

Comment (68)

    Lahouaria
    10 novembre 2024 - 18 h 54 min

    Normalement estimez-vous heureux et heureuses qu’un hypocrite anti-arabo-musulmans et anti Algérie s’en aille ailleurs cogiter chez l’ex-colon pour lui écrire des Livres.
    Cela nous regarde pas, il ne faut lui faire de la publicité, laissez-le qu’il crève là où il est et qu’il ne remet plus ses pattes en Algérie🇩🇿
    Bientôt il ira bénir sa tête sur le Mur de lamentation en P A L E S T I N E🇵🇸 pour avoir le Prix Nobel de Houris son lutin du père noël

    Il n’ y pas que le Maroc qui dépouille l’Algérie de ses artistes et couturiers, de ses cuisiniers, la France vole des médecins, des ingénieurs, des chercheurs, des journalistes et des écrivains et des jeunes adolescents.

    La posture victimaire du vaniteux
    9 novembre 2024 - 20 h 14 min

    Bon , C’est vrai
    “Les Cons ça ose tout…c’est même à ça qu’on les Reconnaît “
    Audiard
    .
    Mais , D’un autre coté
    .
    “Il y a des temps où l’on ne doit dépenser le mépris qu’avec économie, à cause du grand nombre de nécessiteux”
    Chateaubriand
    .

    Anonyme
    8 novembre 2024 - 17 h 59 min

    Il a dit que l Algérie nous désuni et que la France nous unissait…juste ça et on a compris le personnage. En tt cas sache p’tit paillasson que l Algérie sera toujours unis et indivisible et demande à ta France qui a occupée notre pays pdt 132 ans qui en connais un morceau sur l union du peuple algérien pour l amour de l Algérie don pays, ce qui n’est pas ton cas . Tu n est pas seul à ne pas avoir connu la guerre, on est des millions et des millions aujourd’hui mais on est conscient que ça fait partie de notre histoire bien algérienne et partie intégrante de notre patrimoine national et international le soulèvement la révolution algérienne contre ton nouveau pays qui a massacrer tant d algériens et d algériennes. Un harkis frustré sexuel et violent en vérité s acharnant sur l Algérie juste par esprit de vengeance , une haine incommensurable se lie sur votre visage, une face cachée que nous vrais algériens voyons sur votre front, c’est écrit sur votre fond et c est la seule chose qu on lie en vous. C est l Algérie qui vous a appris à écrire le français et autres jusqu à l âge adulte, qui vous a permis d être un journaliste avt tout, ou était elle ta France ? Tu devrais remercier l Algérie pauvre ingrat et ne juré que par elle pour ta réussite honteuse mais non un harkis reste un harkis en fait il ne sait pas mais il né harkis il ne l ai pas devenu , c’est sa marque de fabrique naturelle, son propre ADN .

    Nasser
    7 novembre 2024 - 22 h 57 min

    Les harkis de la période coloniale méritent plus d’indulgence, car on les a grugé, manipulé, trompé du fait de leur ignorance à laquelle s’ajoute la pauvreté parfois extrême.
    Les harkis du 21 siècle sont la quintessence de la traîtrise. Ils sont impardonnables et méritent la pendaison, car ils sont instruits, en pleine conscience de ce qu’ils font.
    Ils ont bénéficié d’un enseignement gratuit, jusqu’à l’Université, de l’Algérie indépendante.

      Awthem
      18 novembre 2024 - 20 h 05 min

      Du jamais vu, deux juifs franco-arabes (kamel David algérien, tahar ben Jelloun ou ben Gourion marocain), tous les deux prix Goncourt et tous les deux parlent à peine français. Bientôt ils seront décorés par Netanyahu ben yamine

    Nasser
    7 novembre 2024 - 22 h 09 min

    Daoud un con qui court pour le Goncourt.

    Raïss
    7 novembre 2024 - 11 h 27 min

    Ce Harki Doud le moins cher, comme tous les Harkis français, ne disait rien de nouveau, il y avait eu des meurtres dans toutes les guerres civiles. Doud a donné l’occasion aux génocidaires français de comparer leur génocide commis en Algérie depuis cent trente (130) ans avec les meurtres subis par les Algériens des deux côtés en peu de temps, avec sa bêtise opportuniste comme celle de l’imbécile Harki Rochdi l’Anglais qui ne pense qu’à la récompense financière pour une accusation sans fondement.
    Les crapules génocidaires français stupides ne devraient même pas faire cette comparaison, ils sont généralement incroyablement stupides. Et c’est typiquement juif.

    Salim Samai
    7 novembre 2024 - 10 h 37 min

    Je n´ai pas lu « Houris »! Donc Soukout! Un quotidien/Revue ecrit: « 1000 VIERGES SELON la LEGENDE SOI DISANT ». Merci Si Daoud! C`est un PAS de GEANT!!

    « Les (7, 10, 14, 100, selon le Labo) VIERGES du PARADIS du CHAHID » etaient/sont les Protocoles de Sion de
    l´Islam (avec « Femmes Opprimees ») pour le DIABOLISER! Ces « Labos » disent: « C´est dans le Coran! » Faux!
    N.B. La Bible mentionne AUSSI des Vierges ET Le Coran ne PRETEND PAS etre MONOPOLE DIVIN disant:
    « Je suis la Bonne Copie! »

    Au vu de ce que le KKKlan, APARTHEID, « Royaume Divin, Judeo-Chretiente, Peuple Elu » & Israel ont fait de « LEUR » Bible (celle de Trump est á 59,99$) l´ISLAM est PLUS SAGE…..Ne serait ce que parce qu`íl n`est PAS EXCLUSIF des 2 autres religions qu´ISRAEL DIVISE DAVANTGE par la FITNA & le VIOL des Lois de Dieu!

    Je préfère Mimouna
    6 novembre 2024 - 21 h 14 min

    On est comme Mimouna , on est des Gens Simples , nous tu sais , on connaît pas la Littérature mais on connaît Dieu.
    .
    La légende dit que Mimouna était une femme pieuse qui ne parlait que son dialecte berbère.
    Elle ignorait la langue arabe et ne savait dire pour toute prière que ces mots :
    «Mimouna adore Dieu et dieu écoute Mimouna.»
    Prière naïve mais prière sincère qui provient d’un cœur plein de foi et de sincérité.

    Anatole France
    6 novembre 2024 - 20 h 09 min

    Kamel M’douèd s’est injecté l’essai sur l’art de ramper à l’usage des courtisans (à ARNm) du Baron d’Holbach.

    THIDHETSS
    6 novembre 2024 - 7 h 27 min

    Ka.Da, le salafistede service, peut être un ConCourt, à la hauteure de sa françe néo coloniale, certes…, mais il n’égalera jamais
    Y.Khadra ou encore Kateb Yacine…
    Ce néo converti au laicisme exécute une danse de
    Ventre pour cette françe droitarde sans dieu, sans maître…
    Ka.Da répond à ce dicton :  » y a des gens, pour briller en société, ils sont prêts à manger du cirage « ..
    Son livre est une sornette dédiée aux gens serves de sa trempe, une supercherie de l’histoire éphémère de cette vieille françe, avachie et exercée…
    Désormais, votre chiffon est un papier à chiottes, pour se torcher le fion…
    À bon entendeur salaud…!

    Médiocre pour les Nuls
    6 novembre 2024 - 5 h 47 min

    Cela me fait vraiment plaisir de voir ce genre de récompense décerné à un scribouillard comme Daoud, la France a atteint un niveau de médiocrité on se demande si dans ce pays il y a eu des écrivains ou poètes, avec des pseudos écrivains ou pseudos philosophes tel que bhl ou attali la France n’est en aucun cas un pays de littérature ce pays est une arnaque.

      Le Portrait De Dorian Gray
      6 novembre 2024 - 6 h 37 min

      @Médiocre Pour Les Nuls
      Excellent commentaire perspicace et percutant.
      👍

        Memona
        6 novembre 2024 - 16 h 52 min

        Ce baragouinage !

      Anonyme Aussi
      8 novembre 2024 - 13 h 27 min

      Non monsieur! Il faut être objectif. On ne peut prendre comme ça des raccourcis “simples” et courts. On peut critiquer les “oeuvres” de Daoud ad nauseum et le geste “politique” de ceux qui le lui ont attribué. Mais on ne peut mettre toute la littérature française dans le même sac nauséabond. Après tout, ils ont eu leurs Victor Hugo, Guy de Maupassant, Émile Zola, Moliere et bien d’autres sommités de la literature. À la rigueur on peut douter de la Fontaine qui parait il a piqué ses fables dans des contes indous anciens.

      Bilal
      11 novembre 2024 - 23 h 40 min

      Médiocre pour les Nuls : « La France n’est pas un pays de littérature » ??? Ah ah ah c’te blague !!!

    Quelle Tartufferie
    6 novembre 2024 - 2 h 33 min

    “Il y a des temps où l’on ne doit dépenser le mépris qu’avec économie, à cause du grand nombre de nécessiteux”
    Chateaubriand

    Anatole France
    5 novembre 2024 - 22 h 32 min

    Le prix Goncourt est une lunette de chiotte que Lafrance a passé autour du cou de Kamel M’douèd le larbin néocaïd. Ce n’est pas de ma faute si Lafrance se déshonore et continue de se croire grande. Lafrance continue d’adopter de petites et foireuses methodes de pseudo domination qui la flétrissent, qui nous la rende plus ridicule plus qu’elle ne nuit. Ne nous ennervons pas. Lafrance tend le bâton pour se faire battre. Lafrance mérite que l’on se foute de sa gueule. Ce n’est pas de ma faute si elle le cherche.

    M'hend
    5 novembre 2024 - 21 h 26 min

    Ce saligaud est une vraie raclure qui a insulté son pays, son peuple et ses chouhadas pour avoir ce pseudo prix qui reflète SA SOUMISSION TOTALE à ceux qui le manipulent contre le pays de ses propres parents. UN VRAI DÉGUEULASSE !!!

      @M'hend
      5 novembre 2024 - 22 h 45 min

      Il n’est pas Algérien d’ailleurs il a dit je suis marouki.
      Par contre, pourquoi l’Algérie lui a attribué la nationalité Algérienne là est la question….
      Déchéance de nationalité est un PRÉ REQUIS.

        TIZI OUZOU
        9 novembre 2024 - 18 h 59 min

        @ « @M’hend ».
        Il faut demander plutôt à ses défunts parents POURQUOI, à l’époque de leur arrivée en Algérie, après avoir fui la grande misère qui sévissait au maroc, ils ont choisi délibérément pour ne pas dire VOLONTAIREMENT la NATIONALITÉ ALGÉRIENNE qui était beaucoup plus valorisante que celle du Maroc et qui l’est toujours, d’ailleurs mais dont il a bénéficié automatiquement, selon les lois en vigueur de l’époque, du fait de ses parents. Mais n’oubliez, SURTOUT PAS, ceci : N’EST PAS ALGÉRIEN qui veut……

    Sprinkler
    5 novembre 2024 - 21 h 10 min

    Ironie du sort, la consécration littéraire des « sécrétions » romanesques de Kamel DAOUD semble déprécier ce prix autant qu’il rabaisse l’auteur ! Un « écrivaillant » parvenu qui traîne quelques casseroles judiciaires pour violences conjugales sur cette ex-épouse dont le « Goncourt » pourrait bien lui permettre d’acheter le silence faute de la faire taire à jamais…Tandis que sous la plume de DAOUD les « généraux » algériens en prennent pour leur grade, les sombres officines qui ont commandé cette « rétrospective réchauffée  » ne répugnent pas à consacrer l’imposture qui octroie à un narco-sujet versé dans les Belles Lettres – et grosses enveloppes – une voix au chapitre d’un jury littéraire qui prétend récompenser les « meilleurs ouvrages d’imagination » de l’année…Jamais avant DAOUD, écrivain raté n’eut tant d’espoirs d’être primé…

    Bou-vilène
    5 novembre 2024 - 19 h 40 min

    La France reprend nos morpions, c’est tout à son honneur car elle qui kiffe à mort les crados cette mal lavée et surtout mal b…ée.

    Seconde génération
    5 novembre 2024 - 19 h 27 min

    Ici en France , ce genre de prix est destiné comme décrit dans cette excellent article à garder le tiers monde près de son giron. Créer et entretenir une fausse classe de bougnouls illettrés sensés régir l’économie par une pseudo bourgeoisie locale.
    Daoud s’est engouffré dedans comme un rat pincés par l’attrape souris parce qu’un bougnoul ne possède pas cette capacité à repérer les pièges d’une France aux abois.
    Un seul héros le peuple dérange au plus haut point et l’impérialisme autant que ce bougnoul fraîchement naturalisé en fringue soldés.

    E-t
    5 novembre 2024 - 18 h 27 min

    Vous remarquerez une chose assez commune est que ce sont toujours les élites algériennes qui trahissent le pays les premiers ont été les oulémas religieux musulmans algériens, qui ont vendu le peuple pour monter des temples religieux suivit par des politiciens et des écrivains plus les journalistes et ainsi que des personne venant de l’armée algérienne. Kamel Daoud, Yasmina Khadra, Mohamed sifaoui, Abdou semmar, Hichem aboud, plus les artistes cheb Khaled Faudel, etc.

    Je dis ça, je dis rien, mais la pseudo-nouvelle Algérie reste la même seul les têtes on changer, mais le système reste le même.

      Math pour les nuls
      5 novembre 2024 - 20 h 31 min

      Réfléchi un peu au lieu de raconter tes âneries.
      Et dis nous quelle pays ne possède pas d’électrons instables en son sein …. ?
      .

      Lahouaria
      5 novembre 2024 - 22 h 06 min

      Ces frustrés que vous avez cité, reprochent à nos Glorieux Martyrs d’avoir décolonisé l’Algérie, ils culpabilisent nos Martyrs morts pour l’Algérie algérienne pour faire plaisir aux bâtards de l’OAS..
      Je considère que ces gens sont une secte maléfique qui diabolisent l’Algérie et les algériens.

      Tant mieux qu’ils sont partis, bon débarras, Restez dans vos HLM et moutou bel Qanta ne revenez pas en « Algérie Oum Chouhada  » même dans votre cercueil..

      Anonyme
      6 novembre 2024 - 12 h 11 min

      Yasmina khadra fait sa tournée chez lui en Algérie en ce moment. Très apprécié par le public Algérien .
      (…)

    Laptop
    5 novembre 2024 - 18 h 21 min

    Toutes ces me… sont de la politique et non pas de la llittérature.
    Et faire de l’argent, rien de plus.
    Tous ces plumutifs sont des tocards toujours colonisés.
    Tous les livres de ces tocards
    sont télécommandés.

    Ce tocard et autres devraient écrire sur le sionisme
    terroriste à Ghaza en Palestine, c’est d’actualité en plus.
    Et ça cartonnera worldwide.
    Free Palestine – BarakAllah falestini.
    Tahya El Djazaïr

    Voici la règle pour avoir un prix littéraire
    5 novembre 2024 - 17 h 56 min

    Cette règel est reservée aux Algériens, il faut cracher sur l’ANP, le pouvoir, les généreaux et l’islam.
    Pour les femmes il faut cracher sur l’homme Algérien et les traditions.
    C’est une règle que ce minus à compris depuis logtemps.
    C’est un Marocain membre de l’Académie française à savoir Tahar Benjelloun qui gère les candidats Algériens et attribu les prix, vous ne trouverez pas une virgule contre le Maroc dans les livres publiés en France par les Algériens et Algériennes.

    Assia Djebbar disait souvent que la ville où elle se sentait libre et heureuse cest Marrakech qu’elle connaissait mieux qu’Alger car elle à vécue des années au Maroc après l’indépendance et admise à l’Académie grâce à Benjelloun.

    Lahouaria
    5 novembre 2024 - 17 h 42 min

    Le prix Goncourt obtenu par la lèche pour la France pour la remercier de lui avoir donné une situation confortable à Paris, la capitale où les pauvre sont éborgnés à coup de massue quand ils manifestent pacifiquement (écris-ça espèce d’ignare et tu seras expulsé par charter)
    contre le dénigrement de l’Algérie  » son peuple, ses femmes et ses institutions et son histoire tragique qui a durée 132 ans de crimes, de sang, de torture et larmes et d’angoisse.
    Je ne suis son larbin pour féliciter ce tyran odieux qui bastonnait son ex Nadjet
    Ses yeux font peur, on dirait un diable..
    :

    Vorokouche
    5 novembre 2024 - 17 h 18 min

    Kamel daoud : Vil nature, servile stockholmisé, nécessité absolue de reconnaissance de son ancien colonisateur émanant d’ un complexe aigu du colonisé. Bon chien chien kamel tout doux avec la petite caresse sur la tête biensur.

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 15 h 37 min

    Si monsieur de la Fontaine eut été algérie, il aurait qualifié la morale de cette farce littéraire : Kamel M’daoued !

      Prix bidonné
      5 novembre 2024 - 17 h 46 min

      YASMINA KHADRA n’a jamais eu le Goncourt
      Plusieurs des ses Livres ont été exclu de l’ensemble des institutions littéraires françaises et des jurys (littéraires)
      . Devinez par qui et pourquoi
      .
      Ce Prix est une TARTUFFERIE pour un CIRQUE littéraire Parisien.

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 15 h 36 min

    Avis à nos médias : invitez l’ex de ce renégat et la passer en boucle sur nos TV , radios , réseaux sociaux pour informer les lecteurs que ce type était un islamiste intégriste qui violentait sa femme en plus de dénigrer son propre pays.

      Anatole France
      5 novembre 2024 - 22 h 46 min

      Excellent! J’espère que tu seras écouté.

      dz
      6 novembre 2024 - 7 h 51 min

      en france pour un avoir une quelconque reconnaissance et des avantages il faut denigrer l algerie ce que font sansal daoud et tous les branquignols notoire

        Bilal
        11 novembre 2024 - 23 h 36 min

        @Dz : la France se moque totalement de l’Algérie, tu crois qu’elle n’a que ça à faire de s’en préocupper ???

    Point Commun
    5 novembre 2024 - 15 h 09 min

    C’est quoi le Point Commun entre
    un Islamiste businessman , un Ex-Islamiste , un Tahar Bendjelloun , un Kamel Daoud , un Mohamed El Alaoui (alias Mohamed Numéro 6), ect ….
    .
    Ils se voient vraiment plus “intelligents” que les Autres alors qu’en réalité ,
    ils se Font… “Instrumentaliser” ..bien profond du Début à la Fin.
    Chut !!🤫
    Ne leur dites rien sur la Manipulation
    Ça les rend aggressifs
    ils pensent vraiment que les autres les envie.
    Allah ykathar houssadhoum

    à l'attention de @Karim B.
    5 novembre 2024 - 15 h 08 min

    Cher compatriote merci pour votre contribution, je suis d’accord sur beaucoup de points sur les raisons politiques de ce prix Goncourt , mais moi j’aimeras quand même qu’on fasse l’effort de jeter un coup d’œil sur le contenu du livre lui même quitte à faire abstraction de ce prix !

    Pour moi, ce n’est pas parce que Kamel Daoud a tenu des propos ambigus , considérés parfois comme graves, sur des questions politiques et sociétales (conflit israélo palestinien, critique du fondamentalisme islamique, l’émigration etc…) qu’il faudrait rejeter toute son œuvre littéraire. Pour moi Il ne faut pas la rejeter mais au contraire la lire pour la critiquer éventuellement par la suite. Son dernier livre « Houris » porte sur la grave décennie noire durant laquelle on a assisté à des massacres inouïs , horribles commis par les fondamentalistes islamistes.

    Malgré le travail colossal fait pas l’armée algérienne, sous le commandement de Khaled Nezzar, pour combattre le fondamentalisme islamiste qui commettait des massacres indescriptibles, eh bien Bouteflika est venu allégrement effacer tout çà d’un revers de la manche avec sa « réconciliation nationale » en décidant de mettre le couvercle sur cette période sans chercher juger les coupables, au contraire ils ont été gratifiés, il est donc normal que ce livre dérange et ne sera jamais publié ou distribué en Algérie. Le pouvoir algérien continue d’interdire l’évocation de cette période. Kamel Daoud refuse d’oublier cette période noire et macabre qui fait partie de l’histoire du pays. Il en a fait un roman fiction saisissant.

    Citation : « C’est que, vois-tu, un souvenir est toujours écrit sur de l’eau, du sable, des matières qui changent et fuient. » Kamel Daoud

    Aderre
    5 novembre 2024 - 14 h 13 min

    Hier, sur France-Inter, Radio du Services Publics français (comprendre que les Services Français ont Beaucoup de sous-traitants là-dedans, et vecteur médiatique pour faire passer leurs messages). Voilà ! Aâmi Tahar BEN COURBETE, en pourfendeur au micro d’une intervieweuse. Sir Ben COURBETTE membre de la commission Goncourt, ne peut s’empêcher de parler d : « Des Généraux Algériens,», même si le contexte était le Prix littéraire. Il se devait de dire, ce qu’on lui a dicté.
    Si je pouvais lui rétorquer : « Et les Généraux du makhzen, ceux qui en transformé le Maroc en un bordel à ciel ouvert, à toutes les perversités sexuelles des richissime du Golf et d’ailleurs, Ceux qui ont mets la main sur l’économie de ton Bled, associés d’office à toutes investisseurs étrangers à fin qu’ils aient leurs parts dans le rapt méthodique des richesses peuple marocain » As-tu la mémoire sélective ?
    Je me souviens des dires d’Âami Tahar BEN COURBETTE, seul écrivain au monde, en 2024 à plier encore les échines devant un Roi, Il a oublié son passé d’interdit de séjours aux Cannabis-land, du temps Haschisch 2.
    A l’époque, Il débitait des inouïes sur le Roi, ses horreurs, ses rituels peu démocratiques. Il n’a pas oublié aussi, le ministre de l’intérieur El Basseri, En passant par le Régent, le gérant de la holding sioniste en Afrique du nord, à savoir André Azoulay.
    Cette pleurnicheuse avait même participé à une émission de TV, avec Danielle Mitterrand, et Gilles Perrault, auteur du fameux livre : « Notre ami le Roi ». Où ça parler du bagne de Tazmamart, des sévices endurés par la Famille Oufkir, du Polisario…..

    salim Bensalem
    5 novembre 2024 - 14 h 08 min

    1° Le Kamel DAOUD n’a pas été récompensé pour MEURSAULT contre enquête ! Pourquoi ?
    2° Par contre il vient de l’être en grandes pompes et tout le tintamarre qu’il faut pour soit disant « narguer » l’Algérie !
    3° Question à un doro, comme a l’habitude de dire Abou Stroff:
    L’ancien islamiste Kamel DAOUD s’est-il mis à table pour avoir coûte que coûte un trophée comme les chasseurs de prix tel que SANSALE et consorts ?
    4° Pour un ancien pigiste, il me semble qu’il n’a pas décollé de sa pratique de jeux de mots qu’il confond avec de la littérature.
    Mohamed DIB et ses héritiers tel que Rachid BOUDJEDRA en savent quelque chose.
    Ce dernier, BOUDJEDRA, n’a pas plié devant ceux qui veulent écrire l’histoire à la place des peuples et ce n’est pas étonnant qu’il n’ait jamais été récompensé, alors que son oeuvre ne laisse aucune place à DAOUD !
    Entre le petit DAOUD et le grand enraciné dans son peuple et son histoire, tel que signifie son non nom, BOUDJEDRA, a bien qualifié les chasseurs de prix récompensés avec déléctation par l’occident, de CONTREBANDIERS DE L’HISTOIRE.
    Il n’y a qu’une personne aux racines solides pour sortir une telle expression.
    Tahia El JAZAÏR et les écrivains AHRARS !

    DEZZ M3AHOUM !

    Abou Stroff
    5 novembre 2024 - 13 h 54 min

    n’étant pas un féru de littérature, je ne puis me prononcer sur l’oeuvre littéraire de daoud.

    cependant, je l’ai vu s’exprimer dans des émissions des télés françaises et ma première impression est qu’il fait tout pour dire ce que les animateurs qui l’invitent, veulent qu’ils disent.

    ainsi, j’ai remarqué qu’hier (04/11/2024) dans l’émission « le quotidien » de tmc, daoud n’a pas pris position sur le conflit palestino-sioniste et a montré moins d’empathie à l’égard du peuple palestinien qui se fait massacrer par la soldatesque de l’entité sioniste que J. M. Apathie, par exemple (bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas?).

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que je me contente de souligner que daoud, en être rationnel, ne fait que suivre l’air du temps.

    ainsi, daoud écrit en français* et s’il veut avoir un maximum de lecteurs et engranger le maximum de revenus, il doit suivre la bien pensance dominante en france, en particulier et en « occident », en général.

    or, il s’avère que cette bien pensance (qui vire de plus en plus à droite) développe l’idée que l’occident et sa « civilisation » sont menacés par la barbarie non-occidentale.
    par conséquent, daoud n’a d’autre alternative que de vomir sur l’Algérie,sur les algériens et sur tous ceux (les arabo-musulmans, en particulier) qui remettent en cause ou rejettent les « valeurs » de la civilisation dite occidentale.

    * je pense que, dans une dizaine d’années,il ne restera que quelques vieux « schnocks » pouvant lire un texte en français. par conséquent, l’impact de daoud sur la société algérienne est nul.
    quant à « plaire » à ses lecteurs français et autres, je pense que cette décision est une décision personnelle et personne n’a le droit de la lui contester.

      Argentroi
      5 novembre 2024 - 21 h 38 min

      Abou Stroff, c’est la première fois que je constate que tu fais écho aux tubes digestifs ! Et pourtant écrire sur les horreurs islamistes aurait dû te réjouir. Cette campagne contre Kamel Daoud est donc sûrement commanditée par des crypto-islamistes.

    Sprinkler
    5 novembre 2024 - 13 h 54 min

    La « con-sécration » de DAOUD sous les alcôves feutrées du microcosme littéraire parisien survient dans un contexte marqué par une campagne d’hostilité et de violence massive et protéiforme envers cette Algérie qui n’en finit plus d’essuyer les crachats venimeux de ces 35% de français que TEBBOUNE a qualifiés de partie haineuse et tendancieuse. Doux euphémismes. Cette large séquence « d’inimitié » peut se résumer de « DRIENCOURT au GONCOURT », où l’Algérie se conjugue à tous les temps, du passé composé à l’impératif, en passant par le conditionnel, surtout le « conditionnel passé » qui ouvre le champ à tous les révisionnismes, comme celui promulgué par un certain « article 4 de la loi du 23 février 2005 » stipulant que « les programmes scolaires reconnaissent (…) le rôle positif de la présence française outre-mer. ». Dire qu’il y a des « con-vaincus » au point d’en faire un…livre et qui « s’effeuille » à l’impudeur pour recevoir les « lauriers » de leur reniement, comme il en est du dernier GONCOURT, jusqu’à la souche…

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 13 h 21 min

    Aujourd’hui vous pouvez aller chercher le prix renaudot en tournant vos phrases de manière à ce que les lecteurs n’y comprennent rien tant dans les milieux mondains , il est de bon ton de lire la merdasse proposé du moment .

    dorénavant, si ferhat mehenni fait un film sur la kabylie, il aura la palme d'or.
    5 novembre 2024 - 13 h 18 min

    et qui lui a remis le prix ? le prédateur sexuel tahar ben jelloun. il s’est montré volontairement devant les caméras pour d’une part raffermir son empreinte et son influence dans cette institution clochardisée par les marocains (montrer aux autres que c’est lui qui donne le prix goncourt), et d’autre part, pour faire taire les rumeurs et les accusations avérées, que le marocain n’est pas un anti algérien (réponse à yasmina khadra qui a clairement accusé ce plouc et usurpateur marocain de l’avoir saqué pour l’obtention de prix). il ne manquait que le cheb khaled, qui sombre dans la dépression, rattrapé par la poisse marocaine et la trahison envers sa propre patrie, qui l’a rendu célèbre, pour l’applaudir.
    et si amira bouraoui, autre cadeau et geste amical de macron, écrit un article aujourd’hui, elle aura le prix Albert Londres.

    par ailleurs je lance un appel au président tebboune, la france mène une campagne de désinformation culturelle et historique féroce pour renforcer la softpower du maroc. tout le monde sait que le maroc n’a ni histoire, ni héros, ni culture, alors la france tente de détourner PAR TOUS LES MOYENS MENSONGERS ET VICIEUX toutes nos créations culturelles et artistiques, tous nos héros et dynasties se transforment en marocains, et ce depuis 1908, quand la france demande au maroc de changer de nom passant de « marrakech » à « maghreb » en arabe, pour basculer toute l’histoire de l’lgérie vers le maroc. puisque l’algérie avant 1830 (donc avant la france) ne doit surtout pas exister. et voilà pourquoi la france refuse de restituer les archives et livres d’avant 1830 qu’elle a volontairement pillés, pour priver les algériens de notre culture, mémoire et histoire, et oriente magistralement les débats sur les archives d’après 1830 pour tromper et les algériens qui sont tombés dans le panneau et le monde qui comprend que si on parle que des archives d’après 1830, C’EST QU’IL N’Y EN AVAIT PAS AVANT ET DONC ON N’EXISTAIT PAS ET ON N’AVAIT AUCUNE STRUCTURE ET LES BASES D’UN ÉTAT ET D’UNE SOCIÉTÉ MODERNE ET CIVILISÉE.
    le discours de macron au maroc sur l’influence e du maroc en Andalousie mérite une réponse, CAR C’EST UN MENSONGE HISTORIQUE QUI SE RÉPÈTE A LA MANIÈRE DU SAHARA OCCIDENTAL MAROCAIN, ET QUE NOUS RESTONS ENCORE UNE FOIS SILENCIEUX, ET CE SILENCE QUI REND LEURS MENSONGES AVÉRÉS.
    LA MINISTRE DE LA CULTURE N’A PAS LA DIMENSION ET LA COMPÉTENCE POUR REMPLIR SA TâCHE ET SA MISSION. ELLE EST INCAPABLE DE FAIRE FACE AU ROULEAU COMPRESSEUR FRANCO MAROCAIN DÉTERMINÉS À DÉTOURNER NOTRE HISTOIRE TE NOTRE CULTURE.
    la france commence par publier des revues historiques comme HISTORIA sur l’histoire des berbères, berbères qui sont 100% algériens qui deviennent marocains, ces marocains qui sont des amazigh et non pas des berbères. le choix de la sémantique est très important, car dans tous les livres d’histoire du monde entier, quand on cite berbère c’est l’algérie et ses guerriers redoutables. et quand la franec dit que les berbères sont marocains, cela veut dire que lemaroc détournene d’une manière vicieuse nos guerriers.
    ainsi dans HISTORIA je tombe des nues d’apprendre que les almohades sont marocains; l’article bien entendu est écrit pas un marocain GHOUIRGATE Mehdi pour que la revue s’en lave les mains. ce même marocain enseigne à l’université de bordeau où il induit les étudiants français en erreur. ce pseudio et VICIEUX historien marocain, nous explqiue dans cette revue, ibn toumert, qui n’a jamais vu l’armée almohade composée que d’algériens, a dominé et l’Afrique du nord et l’Andalousie tout en étant dans sa tombe. PAS UN MOT SUR ABDELMOUMEN EL KOUMI POURTANT PREMIER CALIFE DES ALMOHADES, ET HÉROS NATIONAL ALGÉRIEN, QUI AVEC SES GUERRIERS ALGÉRIENS A ENVAHI LE MAROC POUR CHASSER LES ALMORAVIDES VENUS DE MAURITANIE ET DU SAHARA OCCIDENTAL. ils ne disent pas pourquoi abdelmoumen el koumi s’est établi au marrakech, du fait qu’en algérie il yavait les très puissants hammadides et zirides qui allaient envahir tout le maghreb et l’Andalousie.
    il faut mettre un ministre de la culture dynamique et jeune et qui connait l’histoire. il ne doit surtout pas être timide et peureux, face aux français et marocains qui sont sans pitié et déterminés à détourner notre culture te notre histoire SI ON RESTE MOUS ET SILENCIEUX, LE MONDE ENTIER NOUS OBSERVE. ON A LES PREUVES HISTORIQUES ET ILS N’ONT QUE DU BLA BLA ET MENSONGES ET TOUTES LEURS SOURCES HISTORIQUES VIENNENT QUE DU MAROC. FABRICATION LOCALE VICIEUSE ET TROMPEUSE. ALORS QUE LES NÔTRES SONT INTERNATIONALES.
    IL FAUT VITE CHANGER NOTRE MINISTRE DE LA CULTURE, METTEZ MOHAMMED DOUMIR AU MOINS, CAR LUI AU MOINS IL A COMPRIS LES ENJEUX.
    VOUS VOUS RENDEZ COMPTE LES BERBÈRES DONT LE NOYAU EST DANS LES AURES ET LA KABYLIE QUI ONT CONSTRUIT « LA REDOUTABLE BARABARIE » (qui vient de berbère), ET TOUTE UNE CIVILISATION BERBÈRE, DONT NOTRE CALENDRIER YENAYERE, DEVIENNENT MAROCAINS ??????? OU EST L’ETAT ALGÉRIEN ?????

    Assia
    5 novembre 2024 - 12 h 49 min

    Il doit certainement y avoir un passage ou une rose est offerte en prémice d’un amour incongru dans l’enchevêtrement du bout de la nuit .

    Luca
    5 novembre 2024 - 12 h 36 min

    Parce que c’est un congour , parce que daoud n’a aucun talent d’écriture, et parce que la france laïc raciste déteste l’Algérie et en est extrêmement jalouse, elle aurait même pu attribué ce prix à Cheb Khaled…., cheeeehh fi hayne la république en débandade sectaire

    Perkut
    5 novembre 2024 - 12 h 10 min

    Il est fort probable que les rappeurs comme jul ou gims y entrevoit dans ce livre un début de lumière et le brandir en l’air comme le véritable référentiel à la place du Larousse .

    La Nouvelle Mission pour Kamel
    5 novembre 2024 - 12 h 09 min

    Voilà ta Nouvelle Mission de DIPLOMATIE CULTURELLE
    .validée par le QUAI D’ORSAY et L’Elysee
    .
    Dixit T. Bendjelloun
    : «révéler tout ce que l’Algérie, enfin les généraux, voulaient cacher pour la guerre civile, parce que c’est interdit de parler de cette guerre civile, va être connu du monde entier et par les traductions dans le monde entier»
    .
    Étape 1 : On te donne le GONCOURT
    Étape 2 : Tu fais le Clown dans les Médias et tu Vends le livre
    .
    Étape 3 : On a prévu que tu reçoive un PRIX INTERNATIONAL
    Ne t’inquiète pas On a déjà fait TRADUIRE ton LIVRE en différentes langues
    .
    Je t’annonce même un SCOOP !
    Kamel Je pense que tu vas Recevoir
    “The International Booker Prize”
    .
    Ne t’inquiètes pas ,
    tout est prêt
    On a nommé des AMIS dans la PLACE ….
    Alors si c’est pas beau la “Littérature”,,,?
    .
    Allez Mabrouk et MERCI pour tout

    DZ
    5 novembre 2024 - 12 h 08 min

    LE TOUTOU A SON MAITRE RIEN DE PLUS PASSONS A AUTRE CHOSE

    HANNIBAL
    5 novembre 2024 - 12 h 07 min

    Pour paraitre il a apprit la chanson je me voyais déja en haut de l’affiche !
    Fleurter avec les $ionistes pour arriver au bout du tunnel ,il fait sombre et vendre son ame
    et nous dénigrer ce chamel yaoud n’est pas une référence le prix goncourt avec un ptit chèque
    est si facile a obtenir , tant que tu te mets a genoux et que tu lèches , la loyauté n’existe pas
    pour les bougnouls qui renie leur racines , quand meme bizarre les maisons d’édi$ions foisonnent
    pour pour ces livres qui finissent invendus mais la propagande les mets en prime !!
    Bon chamel tu me dégoutes et beaucoup d’Algériens n’acheteront pas ton livre meme au rabais
    faudra payer les lecteurs et finira a la poubelle ( de l’histoire) qui te guette !!
    j’espère que toute les portes vont te claquer dans la gueule parce que le repentir n’est pas pour les traitres
    Loin de la probité d’Assia Djebar ! Pov Mek c’est une insulte a la littérature ,
    Molière doit se tourner dans sa tombe

    u
    5 novembre 2024 - 12 h 03 min

    Ainsi, Kamel David ( K.D de mes soucis) s’est vu décerner le  » susucre  » Goncourien pour services rendus à sa Mama Fafa franco-sioniste, et dont les gribouillis iront enrichir la collection de la romance Harlleqin et Coolibri qui garnissent les rayons des Relay H des gares de France.

    Voilà une bonne nouvelle qui permettra de faire l’économie d’un achat de ce livre , dont un membre du jury -Mme Angot en l’occurence – était peu amène quant à l’aspect littéraire de ce bouquin et au style de l’auteur qu’elle jugeait difficile et qui nécessitait un gros effort de concentration.( On remarquera au passage l’élegance de la critique !). La maison Gallimard à cet effet fournira-t-elle le tube d’aspirine pour en faciliter la lecture?

    Le comble de son appréciation,c’est qu’elle soulignait que cet écrit était une oeuvre pour la défense des droits des femmes ,à travers Aude (?) son personnage principal, occultant ou feignait d’ignorer qu’il avait été condamné par le tribunal d’Oran pour sévices et brutalités envers son ex-épouse. Quelle étrange conception à géométrie variable de la promotion des droits de la femme!

    Salim Samai
    5 novembre 2024 - 11 h 43 min

    MABROUK Si Daoud!
    Recemmenht Anne Applebaum, á la UNE presque comme « Barbie » & Taylor Swift car elle CRACHE sur Poutine DONC « Glorifie » Cogito-Selensky!
    Pourtant la Pologne SE REVEILLE de « Poutine/Russie=Malheur de l´Europe qu´elle veut CONQUERIR! »

    LGBT, Seins, Fesses, Voyeurisme, Hammam, Orientalisme, Sexe et ce qui VEND! Vous OUBLIEZ:
    CRACHEZ sur B.D.S & l`Islam (souvent par la Femme) ET admirez « Israel, la Democratie dans 1 Ocean de Dictatures » ..Et aussitot tombe la PLUIE des « Medailles & Leo Beck Honneurs »!

    Ainsi vous entrez au NIRVANAH des « Moujahidine vs.l´Antisemitisme »…Qui de VOUS font le CHIEN de la Fable OU « Le Poisson MORT qui nage AVEC le Courant » (Oscar Lafontaine).Le Loup? Il COURT toujours!

    Mohamed El Maadi
    5 novembre 2024 - 11 h 42 min

    « Merci Missieux, j’ai doré la Fronce depuis pitit ! » Quelle déclaration pitoyable pour un individu qui s’est transformé en une caricature grotesque de lui-même ! Kamel Daoud, le « Bachaga de Tel Aviv », se comporte comme un véritable clown de la littérature, un pantin exhibé dans les salons parisiens, tel un souvenir désuet du « village Nègre » de l’Exposition Universelle de 1889. Ce triste individu, en quête désespérée d’approbation, incarne la vacuité d’une pensée qui se complait à renier ses racines.

    Dans son ouvrage « Houris », il se vautre dans la déformation des souffrances de son pays, transformant chaque misère en un spectacle grotesque et pitoyable. Ses phrases, véritables déferlantes de prétention, ne sont qu’un amalgame de mots alambiqués qui masquent à peine son vide abyssal. Son style est un festival d’insignifiance, une parade où il exhibe sa futilité avec la grâce d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Daoud, ou David pour les intimes, ou petit Georges pour la racaille OAS, évoque ces miliciens gestapistes qui prenaient un plaisir sadique à faire souffrir le fellaga, se délectant de la douleur d’autrui comme d’un divertissement.

    Psychologiquement, Kamel Daoud semble piégé dans une quête désespérée de validation, où le besoin d’applaudissements des puissants écrase toute forme d’intégrité. Il se présente comme un bon sauvage apprivoisé, un produit de la colonisation, prêt à jouer le rôle que ses maîtres attendent de lui. Sa phrase « Merci Missieux, j’ai doré la Fronce depuis pitit » est un véritable aveu de soumission, un reniement de ses origines qui le réduit à l’état de simple curiosité, une sorte de souvenir de foire.

    En devenant le « Bachaga de Tel Aviv », il incarne la trahison intellectuelle à son paroxysme. Pour quelques applaudissements, il troque son identité et sa dignité. Traître, imposteur, lâche — ces adjectifs lui vont comme un gant. Dans sa quête désolante de reconnaissance, il devient une caricature pitoyable, exhibant son déshonneur avec l’aplomb d’un acteur raté dont le numéro a échoué.

    Kamel Daoud est le symbole même de tout ce que la littérature algérienne ne devrait pas être : une soumission servile à l’Occident, une abdication de soi au profit d’un récit qui ne fait que flatter les préjugés d’une France qui ne l’a jamais vraiment pris au sérieux. « Merci Missieux, j’ai doré la Fronce depuis pitit » — cette phrase résonne comme une lamentation, un reniement de ses racines qui réduit son œuvre à une simple curiosité. Dans ce cirque littéraire où il évolue, il n’est même pas le meilleur numéro, mais plutôt le bouffon de service, exhibant sa vacuité au grand jour pour le plus grand amusement de ceux qui ont l’audace de l’écouter.

    Qui se souvient du Goncourt 2016 ?
    5 novembre 2024 - 11 h 17 min

    Leïla Slimani,
    “écrivaine” et “journaliste” franco-marocaine.
    En 2013
    Elle commettra un “Livre”
    La baie de DAKHLA (Sahara Occidental) en 2013
    🇪🇭 ,
    “…itinérance enchantée entre mer et désert décrit une “région du “Maroc”…sur l’Atlantique Bla Bla Bla
    =>>>>
    Ce sera le Début d’une CARRIÈRE “Littéraire”
    .
    2015
    Elle obtient les prix de l’HOTEL de la MAMOUNIA …Non ça Existe vraiment
    .. c’est pas une BLAGUE
    .
    2016
    Prix Goncourt
    Le Titre ou thème du Livre n’ont aucune sorte d’importance
    .
    Leïla Slimani,
    Diplomate française en sa qualité de représentante personnelle du président français Emmanuel Macron auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie.
    .
    Au fait Elle a été propulsée dans le Board d’un Prix de Livres Traduits en ANGLAIS

    Kamel prépares Toi et révises l’ANGLAIS a Promouvoir l’IMAGE de L’ALGÉRIE telle que décidée à PARIS
    Et Sponsorisée par le QUAI D’ORSAY à l’Insu de ton Plein Gré
    .

    Sprinkler
    5 novembre 2024 - 11 h 07 min

    Dans un précédent commentaire, afférent à ce renégat emplumé, je proclamais que les « cons aussi avaient droit à un prix…DAOUD plus que tous ! « . N’ayant pas lu son dernier « torchis » littéraire, gâché dit-on avec tous les « pigments exotiques » propres à le rendre éligible au « sacrement » par les « pontifes » du GONCOURT – dont un certain Tahar BEN JELLOUN qui est à la Littérature ce que Rachida DATI est à la Culture –
    rebuté par l’esprit et la lettre de cet « indigène rapporté  » du Paradis perdu, je me réjouis d’apprendre qu’au SILA l’auteur comme l’éditeur sont personæ non gratæ. Le « premier Gongourt algérien » nous honorera-t-il un jour d’un « roman » sur les violences que son ex-femme a subies sous les « douces plumes » du nid conjugal ? En attendant, qu’il « sabre » le champagne au pays de…BUGEAUD !

    schlomomo6
    5 novembre 2024 - 10 h 56 min

    Faudrait faire des recherches mais je suis sûr que cette merde de kamel daoud est un marocain avec des papiers algériens (SNP) comme cheb kraled et sansal.
    Ce qui explique pourquoi il crache sur l’Algérie qui l’a nourrit, logé et encense le bousbirland, le pays de ces aieux…
    Ca fera réfléchir notre gouvernement qui n’a pas voulu dégager tous les bousbiriens présents par millions en Algérie et agent du makhnez (…) une vrai bombe à retardement

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 10 h 42 min

    Je ne lirai pas ce torchon du pervers! J’espère qu’il ne sera pas distribué dans mon beau et fier pays, mon Algérie éternelle . Sinon appel au boycott!

    Cultural diplomacy
    5 novembre 2024 - 9 h 59 min

    La Diplomatie Culturelle est une branche de la PUBLIC DIPLOMACY

    …Dans le domaine de l’élaboration des politiques, la diplomatie culturelle se transforme souvent en un outil de « soft power ».
    Les gouvernements tirent parti de leurs exportations culturelles, qu’il s’agisse du cinéma, de la littérature ou du sport
    ..
    Kamel Daoud n’est plus Écrivain depuis longtemps , c’est un Objet de diplomatie culturelle et de “soft power” pour ceux qui le croient.
    “ Kamel Daoud , Tahar Ben Djelloun…écrit…Au Suivant…”

      Aderre
      5 novembre 2024 - 12 h 23 min

      Le Courbeur d’échines Tahar BEN COURBETTE, n’est qu’un clairon , porte-voix des services Sionistes en ces moments. Jadis les Services Français l’utilisaient pour faire passer des messages à Mazlote2. Depuis la mort en 1999 de ce dernier,BEN COURBETTE laiche les bottes de Momo 6 et certainement celles de Jack Long, si ce n’est pas autres choses que la décence et la pudeur m’interdisent de les nommer sur ce site.

    Cultural Diplomacy
    5 novembre 2024 - 9 h 56 min

    …Dans le domaine de l’élaboration des politiques, la diplomatie culturelle se transforme souvent en un outil de « soft power ».
    Les gouvernements tirent parti de leurs exportations culturelles, qu’il s’agisse du cinéma, de la littérature ou du sport
    ..
    Kamel Daoud n’est plus Écrivain depuis longtemps , c’est un outil de diplomatie culturelle et de soft power.
    “ Kamel Daoud , Tahar Ben Djelloun….Au Suivant

      Qui se rappelle du titre de son Livre ???
      5 novembre 2024 - 10 h 41 min

      Goncourt 2016.
      Leïla Slimani, écrivaine et journaliste franco-marocaine.
      Diplomate française en sa qualité de représentante personnelle du président français Emmanuel Macron auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie.
      ..
      Qui se rappelle du titre de son Livre ???

    Fidele
    5 novembre 2024 - 9 h 42 min

    Excellent article faut il encore que le goncourtin puisse comprendre du vocabulaire utilisé dans cette critique très intellolitteraire
    MERCI en attendant une replique à ce cahier de brouillon de l’islamiste quu rasait les murs

    GHEDIA
    5 novembre 2024 - 9 h 34 min

    Pas encore lu ce livre, mais le titre déjà en dit long. Kamel Daoud reste toujours dans le même registre, la même thématique : la critique de l’Islam et des sociétés arabo-musulmanes dont il est pourtant issu et cela pour la simple raison de plaire à ceux qui décident de la remise des prix littéraires. C’est assez simple à comprendre. En ce 70e anniversaire de la guerre de libération nationale, j’aurai aimé lire « Houria » au lieu de « Houris ».

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 9 h 27 min

    Ils (Fafa via Schlomo Land) ont juste mis sur un âne, une crinière de cheval…

      TOZ
      5 novembre 2024 - 22 h 55 min

      @Anonyme
      Commentaire synthétique perspicace et percutant !
      Merci j’en ris encore 👍

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.