Pas de Houris pour Mister Daoud

Daoud Goncourt
Kamel Daoud. D. R.

Une contribution d’Aziz Ghedia – Non, ce n’est pas une question de jalousie. Si, aujourd’hui, la blogosphère et même la presse nationale rendent compte de façon très critique de la réception du prix littéraire français Goncourt par notre écrivain Kamel Daoud, ce n’est pas parce que celui-ci manque de talent et qu’il a été… euh, disons favorisé par le jury de cette institution dans cette consécration. Non, encore une fois, la question n’est pas là, on sait que cet auteur a déjà fait preuve d’une grande perspicacité littéraire notamment dans son fameux Meursault, contre-enquête. En fait, le mécontentement exprimé par beaucoup d’Algériens qui s’intéressent à la chose littéraire trouverait sa justification dans le fait que, d’une certaine manière, celui-ci est devenu, par la force des choses, un pion, en quelque sorte, dans les mains de ceux qui manifestent toujours des sentiments exécrables envers l’Algérie et son peuple. Et là où le bât blesse, c’est que celui-ci semble jouir langoureusement de cette situation. Il semble narguer tout ce beau monde. Il semble leur dire «cheh» pour user d’une expression du terroir et qui veut dire tout simplement «bien fait pour votre gueule».

«Je l’ai eu ce prix et dezzou mâahoum, voilà, en fait, ce que, d’une manière indirecte, Kamel Daoud opposerait certainement à ses détracteurs». Les guillemets sont de votre serviteur car, honnêtement, de ce que j’ai lu jusqu’à présent, rien ne peut être mis dans la case de «critique sans fondement» et dont la raison principale serait la «jalousie» envers l’auteur. Ce constat fait, passons maintenant aux choses sérieuses, comme l’aurait dit, dans les années 1970, un journaliste de l’Unique, la chaîne TV algérienne de l’époque. Qui s’en souvient ?

En effet, même si on n’est pas critique littéraire, on n’a aucune peine à lire entre les lignes et à conclure, peut-être de façon hâtive, cela je pourrais le concéder, que l’auteur, Kamel Daoud en l’occurrence, reste toujours sur le même registre, la même thématique : la critique de l’islam et des sociétés arabo-musulmanes dont il est pourtant issu. Pourquoi ? Les mauvaises langues diraient tout simplement pour la simple raison de plaire à ceux qui décident de la remise des prix littéraires. N’oublions pas que Kamel Daoud ne vit plus en Algérie. Par conséquent, Il se fiche, apparemment, éperdument de ce que pourraient penser de ses écrits ses compatriotes, d’ici ou de là-bas.

Quand il encense, par exemple, la décennie noire qu’avait connue l’Algérie dans les années 1990, en disant, je le reprends texto : «Les plus belles années, c’était la décennie noire en Algérie : sexe, alcool et vie intense», de la gueule de qui se foutait-il ? Chose plus grave encore : n’est-il pas dans l’apologie du terrorisme en parlant de façon extatique, en face de l’autre Goncourt 2016, Leila Slimani, sujet de Sa Majesté Mohamed VI, de cette décennie ? Les écouter parler de cette décennie, de cette façon-là, m’a donné envie de crier fort et de leur dire : «Taisez-vous ! Ayez la décence de respecter les victimes de ce terrorisme abject.»

Le dernier livre de Kamel Daoud, Houris, pour lequel on lui a décerné le prix Goncourt ne m’est pas encore tombé sous la main. Je n’en ai donc aucune idée. Mais, de toute façon, le titre en dit long. Houris, dans la religion musulmane, désigne ces belles créatures célestes, éternellement jeunes et vierges, qui sont promises à ceux qui défendent, par leurs idées, leur foi, leur manière de se comporter vis-à-vis de leur prochain ou ceux qui tombent sur les champs de combat (oui, je sais, cela fait peur), l’islam. Kamel Daoud en a peut-être une idée encore plus précise puisqu’il en a fait le titre de son livre.

A. G.

Comment (38)

    El Katibia
    13 novembre 2024 - 19 h 54 min

    Excellent article! et il est vrai que le bougnoul daoud ne voit rien venir d’autant plus que l’illetré imbécile heureux de tahar ben jelloun et leila slimani ayant aussi reçu le prix quelques années auparavant donne l’impression que le caca pourrait être or.

    A Chacun son CNews
    13 novembre 2024 - 19 h 52 min

    Réseaux Sociaux YouTube et Facebook.
    L’Apport de ces Pseudo-Influenceurs “politiques” au Débat Public ALGERIEN est aussi NUL et TOXIQUE que celui de Médias comme CNews

    Du Buzz , du Buzz et encore du Buzz
    Des Polémiques bidons
    Des Protestations Stériles , Permanentes et même Vulgaires.
    …De l’Emotionnel et du Scandale
    Bref ! Le VIDE SIDÉRAL
    Aucune pensée rationnelle
    Aucun Débat contradictoire
    Aucun Argument sérieux
    Aucune Idéologie
    Aucune Solution
    RIEN !
    .
    C’est juste du DIVERTISSEMENT et qqfois de l’INTOXICATIONS d’Esprits Faibles
    Malheureusement,
    .
    Les Auteurs Algériens qui se joignent à ce CIRQUE se mettent au même niveau qu’un Minable YouTubeur Algérien pseudo-opposant ou un Minable Chroniqueur pseudo-expert chez Bollore – CNews !
    .

    Anonyme
    13 novembre 2024 - 16 h 50 min

    @ Psychologiser L’histoire Est L’argument
    12 novembre 2024 – 19 h 40 min

    « ….L’histoire du mouvement de libération de l’Algérie a commencé dans l’exil par les militants de l’Etoile nord-fricaine, puis PPA.
Les historiens se basent sur les faits quantifiables et vérifiables,,…… »

    Il me semble être pernicieux que de comparer l HISTOIRE du Mouvement de Libération en réduisant son Top Départ à partir de l Exil , et ……..précisément de la France , de Militants Sincères et Engagés dans le Combat libérateur , et L Historiette de revanchards qui , pour avoir été licencié de son poste de Dg au Ministère de l Industrie par un ………….ZzIslamiste , qui pour avoir été condamné pour Violences avec arme blanche sur sa femme , qui pour avoir trempé dans des affaires bizarres , qui pour avoir été torturé par un ……..autre Zzzzislamiste etc….

    Ceci étant , Les premiers Cités ont été contraints par le Système colonial même de devoir s organiser et entamer leur combat dans l Exil . Cet Exil a été aussi imposé par les tenants du pouvoir colonial qu opportun pour des Hommes décidés à affranchir leur Peuple du processus d Effacement de l Histoire humaine qui lui était réservé.
    Alors tenter de faire un parallèle entre , par exemple , un Daoud qui s est précipité , au lendemain des agressions de Cologne , a les IMPUTER AUX …………MUSULMANS pour être démenti par l Enquête des Allemands eux même et Malek Bennabi qui a erré et persécuté dans l Exil ( notamment par Massignon que certains de chez nous ont voulu faire passer pour un «  amoureux de l Islam ) parce que justement il poussait ses compatriotes à la Réflexion sur notamment leur « Colonisabilite » , cela relève du moins , de la mauvaise foi .
    Cela vaut aussi pour un Sansal qui pensait avoir trouvé l occasion de se venger du Ministre Zzzislamiste qui l a viré, en Vomissant «  le Village de l Allemand » ( une INSULTE NAUSÉABONDE aux ALGÉRIENS ) et par la même occasion étaler son judaisme frelaté . Comme si être juif en Algérie était un crime . A t il été pour autant INQUIÉTÉ par les Autorités Algériennes ? Assuremment NON !!!
    Tout Algérien a subi des injustices dans sa vie ( comme dans tout Pays )

    Mais tout Algérien n a pas accepté de salir un ÉTAT SOUVERAIN , UN PEUPLE MEURTRI pour faire Plaisir à des PIEDS NICKELÉS CRETINS , INCULTES , donc RACISTES INVÉTÉRÉS .
    ET cela n empêche pas l Algérien Digne de Critiquer bien plus férocement , à partir de son Pays , les racailles de tout acabit qui sévissent et qui séviront encore dans son Pays pour nuire à la Communauté et tenter de perpétuer leur Égoïsme de Gueux Arrivistes
    Et…………qu en est il de La France qui Dorlote , ( et à quel Prix ?! ) ces poooovres Scribes incapables d ‘ énoncer une Idée de de façon Claire sur tous les plateaux des Merdias de Fafa où ils sont invités juste pour vomir sur ……..L Algérie !! ? ….Combien d illustres Intellectuels français Patriotes sont Censurés , persécutés devant la Justice pour avoir exprimé leur Opinion sur ce qui se passe dans leur Pays ?

      Les c... la caravane passe.
      13 novembre 2024 - 18 h 35 min

      Tu écris de Paris, Rabat, Tel Aviv ou d’un hôpital psychiatrique?

      On ne comprend rein à ce que tu écris, mon pauvre.

        Anonyme
        13 novembre 2024 - 21 h 39 min

        Si tu n es pas capable de comprendre , ce n est pas de ma faute . En guise d arguments tu fais appel à ton Inculture et tu ÉTALES ton CRETINISME comme un Étendard .
        Je t’invites à Alger et je me ferai OFFENSE pour la bonne cause en t aidant à élever le NIVEAU . AINSI , l Humanité comptera un Cretin Faussaire en moins .
        Allez refermes le couvercle en redescendant …..

    Mahdi Nosaure
    13 novembre 2024 - 13 h 32 min

    Ayant un préjugé négatif concernant les romans primés à cause de leur marketing et des arrangements commerciaux entre maisons d’édition et de la répartition des rôles entre les organisations qui décernent les prix je dirai que « Houris » a mérité le prix ni plus ni moins que s’il s’agissait de n’importe qui d’autre. Cedit en passant je n’ai rien trouvé de fascinant dans Meursault contre-enquête ou dans Zabor, ni dans toutes les déblatérations de K.D.
    J’ajouterai que n’ayant jamais rien écrit et n’ayant aucune ambition littéraire, je n’ai aucune raison d’être jaloux de K.D
    Une fois cela dit il on peut donc se dire : pourquoi pas Kamel Daoud ? Mais aussi : pourquoi Kamel Kaoud ?
    Il me semble que c’est cette deuxième option qui a été retenue. Surtout chez ceux qui critiquent l’attribution de ce prix qui en vérité n’est qu’un prétexte pour s’interroger sur les positionnements de Kamel Daoud au sein d’une certaine idéologie française vis-à-vis de l’Algérie d’abord ensuite d’une manière générale des musulmans sous prétexte de l’islamisme.
    Mais pour cela, pour que ça passe, il fallait présenter K.D comme un transfuge et son roman comme une synthèse du « silence des agneaux » et de l’Archipel du Goulag. Sans ça , le roman n’aurait de vendeur.
    En toile de fond : l’omerta sur la décennie noire dont seul K.D détiendrait des informations et le courage d’en parler en guise de confortement dans la marche sur les pas de Zemmour et de Messiha, avec comme prétention de dépasser B.H.L et Finkielkraut. Quand il aura fini de n’être que ‘’l’Arabe’’ de service, bien entendu.

    Sprinkler
    13 novembre 2024 - 9 h 00 min

    Je persiste et signe : les cons aussi ont droit à un prix…DAOUD plus que tous !

    Mohamed El Maadi
    13 novembre 2024 - 7 h 53 min

    On me reproche d’avoir fait un constat psychologique sur les Algériens qui choisissent de quitter leur pays tout en tirant profit de la critique de celui-ci. N’y a-t-il pas matière à s’interroger sur cette dynamique ? Lorsqu’on estime qu’un pays est invivable au point de choisir de l’abandonner, il serait peut-être judicieux d’en faire le deuil au lieu de continuer à le critiquer. Est-ce vraiment raisonnable de s’attacher à un lieu que l’on considère comme défaillant tout en cherchant à en tirer des bénéfices ?

    Il est essentiel de considérer les sous-entendus politiques dans certaines critiques, comme celles exprimées dans le livre de David. En effet, cette œuvre semble porter une intention qui va au-delà de simples observations, et il est légitime de questionner les motivations derrière de telles analyses. Critiquer l’institution militaire algérienne à travers des récits mythiques, tels que celui d’Aube, peut donner l’impression d’une tentative de dénigrer non seulement l’histoire, mais également les valeurs qui y sont associées. Comparer ces récits à des œuvres littéraires de moindre qualité revient à banaliser un sujet sérieux et à dévaluer l’effort d’écriture.

    Derrière ces critiques, souvent infondées et parfois fondées, se cache parfois une attaque frontale contre l’Armée Nationale Populaire (ANP) et ses commandants. Prenons l’exemple du Général Nezzar : ceux qui continuent de le vilipender semblent oublier qu’il a vécu et est mort dans son pays, Allahyarhamou. En revanche, d’autres ont choisi de vivre loin de leur terre natale, souvent dans un dénouement où la seule option qui leur reste est de devenir des mouchards ou de cracher sur l’Algérie. Cela soulève une question fondamentale : pourquoi cette animosité envers le pays qui a nourri ces mêmes critiques ? L’Algérie, malgré ses imperfections, reste un lieu de générosité et de potentiel.

    Il est également important de souligner que l’Algérie n’est pas unique dans ses défis. Aucun autre pays n’a emprisonné des officiers de haut rang pour des raisons d’État comme cela a été le cas ici. Ce phénomène mérite d’être examiné avec nuance, plutôt que d’être utilisé comme un simple argument pour alimenter un discours de haine. Plutôt que de se complaire dans la critique, pourquoi ne pas explorer les voies constructives pour le changement et l’amélioration ? Une critique éclairée et fondée est toujours plus pertinente et productive que celle qui ne fait que renforcer des stéréotypes ou des rancœurs.

    En somme, il serait peut-être temps d’ouvrir un dialogue véritable, où la critique se transforme en réflexion constructive, et où chacun, qu’il soit sur place ou à l’étranger, puisse contribuer à l’édification d’une Algérie meilleure.

    Ceux qui me lisent savent que parfois je peux être sans concession sur la politique du pays et l’équipe gouvernementale, mais cela reste juste un avis de citoyen. Je ne cherche pas à me faire dorer la pilule ni à vendre ma haine de l’Algérie. Quand on n’aime plus sa femme (David a une façon spéciale de faire des adieux) ou son homme, on le quitte, mais on ne revient pas à la charge pour le persécuter ; non, on se quitte intelligemment. Mais pour l’Algérie, certains partent, et une fois en France, car il est lucratif dans ce pays de casser du sucre sur l’Algérie, ils montrent une haine féroce.

    Je suis humain, mais quand un homme comme David n’a pas eu un seul mot pour les enfants et les femmes de Gaza, désolé de vous le dire, on peut se passer de ce genre d’individus qui ne pleurent que sur les enfants de ses maîtres.

    Brahms
    13 novembre 2024 - 6 h 59 min

    ll a le sourire mais en réalité, il n’a rien gagné en matières d’impôts

    Pour les Non résidents : la retenue à la source de l’impôt sur les revenus artistiques. Si votre domicile fiscal est situé hors de France, vous êtes assujetti, en France, à une retenue à la source sur les droits d’auteur de source française perçus. Cette retenue à la source est de 25% en 2023.

    Vous y ajoutez les charges de la vie courante, son gain sera très vite englouti.

    Entre 8 et 15 % pour l’auteur ou l’autrice.

    Pour un ouvrage coutant 20 euros, un auteur ou une autrice touchera 2,2 euros en moyenne, soit 11 %. Le reste sera partagé entre l’éditeur 14 %, l’imprimeur et fabricant du livre (environ 16 %), le distributeur qui gère la logistique (environ 11 %), le diffuseur qui vend et place les livres dans les points de vente (environ 6,5 %), le vendeur (36 %) et l’Etat via la TVA (environ 5,5 %), selon le Syndicat national de l’édition (SNE).

    Mais attention, cette répartition n’est pas fixe. Hors TVA, tout est négociable. En France, les contrats d’auteurs sont négociés individuellement (les droits d’auteurs oscillent environ entre 8 et 15 % du prix du livre) qui dépendent d’un tas de facteurs : la capacité de négociation d’un auteur, qui va de pair avec sa notoriété, le type d’ouvrage, la taille de la maison d’édition, le volume de ventes, etc.

    En moyenne, 15 % du chiffre d’affaires du marché du livre en France est réalisé par des ouvrages estampillés rentrée littéraire, soit sorti entre août et octobre chaque année (selon les données de GfK, entre 2019 et 2022).

    Si la rémunération des auteurs est confidentielle, le volume des ventes donne un aperçu de ce que rapporte le Goncourt. Entre 2018 à 2022, le cabinet GfK a calculé qu’en moyenne le prix Goncourt s’est écoulé à 508.000 exemplaires. Si l’on reprend notre livre à 20 euros, un auteur toucherait en moyenne
    1,1 million d’euros.

    Le Goncourt rapporterait ainsi bien plus que les autres prix. Toujours entre 2018 et 2022, un livre primé par le Renaudot s’est vendu en moyenne à 202.000 exemplaires lors de ces cinq dernières années. 160.000 exemplaires pour le prix Femina. 116.000 exemplaires pour le prix de l’Académie française.

    Ashtough
    13 novembre 2024 - 2 h 23 min

    Un dicton de chez nous dit:
    خذها من الشبعان الا جاع وما تخدهاش من الجيعان ولا شبع
    Intradictible dans la lague de camus mais indigeste pour la langue de houris
    Ce porte flambeau d une culture en voie d extinction, n est qu un affame’ qui doit se parler souvent dans un miroir ou la honte de reconnaitre qu il n est qu un larbin et le sentiment de n etre qu un arriviste qui ne connait pas la vrai sensation , la fierte d etre un homme d honneur . Le reste c est de la litterature , c est different de l histoire car celle ci vous ratttrape toujours ce n est pas seulement de l ecriture .

    L'hermitte
    12 novembre 2024 - 23 h 23 min

    En Algérie , de très bons auteurs d’ouvrages littéraires font la joie des amateurs de lecture pendant que l’idiot daoud fanfaronne en France.

    Assia
    12 novembre 2024 - 23 h 18 min

    Les médiocres possèdent tous cette même caractéristique de non seulement pollué l’atmosphère et de suite traiter les autres de jaloux. Ils ne survivent que par ce prisme.

    Elhadi
    12 novembre 2024 - 20 h 28 min

    Pauvre Kamel Bendaoud, de son vrai nom qui souffre sans aucun doûte d’un affection psychique.
    Quand il refuse de porter le nom de son père et au-delà de ses grands- pères, il tue symboliquement le père.
    C’est une parfaite illustration du fameux complexe freudien.

    Anonyme
    12 novembre 2024 - 20 h 23 min

    Le pauvre Kamel Bendaoud ( son vrai patronyme qu’il a changé en Daoud ) souffre sans aucun doûte de son passé.
    Sigmund Freud aurait trouvé en sa cas une parfaite illustration du  » Complexe d’Oedipe », affection psychique qu’il a decouverte ou inventé.
    En effet, quand on ne veut plus porter le nom de famille du père et par delà les grands-pères, c’est qu’on a tué symboliquement le père. Pourquoi? C’est psychnnalistes d’y répondre.

    Jubarex
    12 novembre 2024 - 20 h 00 min

    Kamel a peut être raison de dire que « les plus belles années, c’était la décennie noire en Algérie : sexe, alcool et vie intense», mais il aurait dû préciser pour les islamistes radicaux, extrémistes. N’oublions pas que Kamel Daoud était islamiste et en tant que tel il en a profité sexe, alcool et vie intense. Pour la majorité des algériens c’était l’enfer.

    Aziz Ghedia, comment interpréter un texte...
    12 novembre 2024 - 19 h 50 min

    qui commence ainsi : « Non, ce n’est pas une question de jalousie. »?

    Auto-défense? Auto-célébration en célébrant un autre à travers une « critique »?

    Peut-être tout ça et plus.

    Quel sens trouver à tout ce tintamarre autour d’un insignifiant?

    C’est un travail pour les sociologues pas pour des « écrivains ».

    Mohamed El Maadi
    12 novembre 2024 - 16 h 40 min

    Le phénomène des Algériens qui, une fois éloignés de leur pays, persistent à le critiquer avec une virulence souvent disproportionnée, mérite une analyse psychologique sévère. Ce comportement pourrait être interprété comme un ensemble de symptômes qui frôle le pathologique, révélant des mécanismes de défense profondément ancrés.

    Premièrement, l’**abandon du pays natal**, souvent vécu comme un traumatisme, peut engendrer un sentiment de perte identitaire. Ces individus, que l’on pourrait qualifier d’« expatriés enragés », semblent incapables de tourner la page et de s’épanouir dans leur nouvelle réalité. Leur critique incessante de l’Algérie peut être perçue comme une projection de leur propre incapacité à s’adapter, transformant leur nostalgie en une forme d’agressivité. Une sorte de « syndrome de l’exilé », où l’individu refuse d’accepter son choix et se livre à une diabolisation de ce qu’il a laissé derrière lui.

    Ensuite, un autre symptôme révélateur est celui de la **dissonance cognitive**. Ces « aboyeurs cliniques » tentent de justifier leur départ en dénigrant le pays qu’ils prétendent avoir fui pour des raisons légitimes. Ils s’engagent alors dans une forme d’auto-illusion, où critiquer l’Algérie devient une façon de renforcer leur propre choix d’exil. C’est un peu comme si, pour se sentir mieux dans leur nouvelle peau, ils devaient humilier la vieille identité algérienne. Il s’agit là d’une défense psychologique qui frôle le ridicule : comment peut-on s’élever en crachant sur ce qui a fait de nous ce que nous sommes ?

    L’**aliénation**, un terme souvent utilisé en psychologie, est également pertinent ici. Ces critiques, en se déconnectant de leur pays, semblent oublier que leur identité est indissociable de leurs racines. En tournant le dos à l’Algérie, ils s’enferment dans une bulle de mépris qui les isole davantage. On pourrait presque les voir comme des patients dans une salle d’attente d’un psy, attendant un traitement pour leur incapacité à faire la paix avec leur histoire. Leurs jérémiades deviennent alors des symptômes d’une pathologie sociale, où le manque de reconnaissance de leurs propres origines les pousse à aboyer encore plus fort contre ce qu’ils ne peuvent accepter.

    Il est également intéressant de souligner le phénomène de la **projection** : ces critiques semblent souvent transférer leurs propres frustrations sur l’Algérie. Au lieu de confronter leurs échecs personnels ou les défis de leur nouveau pays, ils choisissent de blâmer l’Algérie, la réduisant à un bouc émissaire. C’est une sorte de mécanisme de défense qui frôle le comique : ces individus, dans leur quête de validation personnelle, deviennent des caricatures d’eux-mêmes, hurlant contre un pays qu’ils prétendent avoir quitté pour des raisons supérieures.

    Enfin, il serait judicieux de conclure sur une note ironique : ces « opposants » qui s’imaginent en champions de la liberté d’expression, en réalité, se transforment souvent en chantres d’un discours stérile, perdus dans une rhétorique qui ne fait que renforcer leur propre malaise. Ils sont comme des perroquets, répétant inlassablement des slogans, persuadés qu’ils sont les porte-voix d’une vérité universelle, alors qu’ils ne font que s’enliser dans une pathologie de l’auto-flagellation. Il serait peut-être temps pour eux de consulter un spécialiste — non pas pour leur amour de l’Algérie, mais pour leur incapacité à s’en détacher et à embrasser une nouvelle identité sans ressentiment.

      Psychologiser l'histoire est l'argument
      12 novembre 2024 - 19 h 40 min

      ultime de ceux qui renoncent à la comprendre.

      L’histoire du mouvement de libération de l’Algérie a commencé dans l’exil par les militants de l’Etoile nord-fricaine, puis PPA.
      Les historiens se basent sur les faits quantifiables et vérifiables, et non pas sur une psychologie de comptoir qui dégage une odeur nauséabonde contre des citoyens qui ont le droit de critiquer ce qui ne va pas dans leur pays au lieu d’applaudir tous ses déboires. La critique aide à s’améliorer, sans elle la rapine du pays par une bande de pilleurs continuerait aujourd’hui.
      Il faut dans ce cas demander aux dirigeants actuels de libérer les pilleurs, d’arrêter de les critiquer.

      La violence de vos propos envers vos concitoyens relève, et cette fois de manière justifiée, de la psychiatrie, et c’est vous qui devez consulter en extrême urgence.

      Je vis en Algérie et je suis solidaire de tous mes concitoyens où qu’ils vivent, et qui ont le droit de donner leur avis sur leur pays. N’en déplaise aux malades mentaux qui veulent leur interdire ce droit.

      Mohamed El Maadi, désormais on sait qui vous êtes.

        Mohamed El Maadi
        12 novembre 2024 - 23 h 37 min

        Permettez-moi de répondre à votre commentaire avec la clarté nécessaire, car il est évident que vous n’avez pas compris la profondeur du débat que vous tentez de réduire à des attaques personnelles.

        Premièrement, je tiens à rappeler mon engagement pour l’Algérie et mes racines dans une famille révolutionnaire. Mon père, Allah ait son âme, recevait souvent des figures emblématiques comme Monsieur Ali Haroun. En tant qu’adolescent en 1985, j’ai pris l’initiative d’organiser une exposition de photos intitulée « Les Crevettes de Bigeard ». J’ai également prononcé un discours à Aix-en-Provence pour commémorer les 40 ans du massacre d’octobre 1961. J’aurais pu choisir la voie facile, profiter des relations de ma famille, et me contenter d’une vie confortable. Au lieu de cela, j’ai décidé de m’engager et de défendre la mémoire de ceux qui ont lutté pour notre indépendance.

        Votre mépris pour ceux qui critiquent l’Algérie tout en vivant à l’étranger est tout à fait justifié. Mais sachez que cracher sur la famille révolutionnaire, comme vous le faites, est non seulement irrespectueux, mais aussi une trahison de l’héritage de ceux qui ont sacrifié tant pour notre pays. Si ce n’était pas pour leur courage et leur détermination, vous ne seriez probablement pas en train de débattre ici, mais en train de traire les vaches de Monsieur Fernández dans un coin perdu, avec un ventre vide et un plat de lentilles pour récompenser votre labeur.

        Respectez la mémoire de ceux qui se sont battus contre des colonisateurs et non pas contre leurs propres compatriotes. Les véritables salauds étaient les colonisateurs, et c’est contre eux que l’opposition de l’époque a lutté. Réduire cette lutte à des querelles internes est non seulement indécent, mais également erroné.

        Je n’ai donc aucune leçon à recevoir de vous sur la solidarité ou l’engagement. La critique, lorsqu’elle est constructive, est le fondement d’une société saine. Mais vos attaques, empreintes de mépris et de manque de respect pour l’histoire, ne font que révéler votre faible compréhension des enjeux qui nous entourent.

        Il est temps de reconnaître la valeur de ceux qui ont agi pour notre pays et de respecter leur mémoire, plutôt que de se complaire dans des discours vides et des jugements hâtifs.

        Cordialement,

          " famille révolutionnaire."
          13 novembre 2024 - 10 h 45 min

          L’expression « famille révolutionnaire » est un voile qui a caché, et cache encore des gens, dont certains ont été de la pire espèce d’escrocs, certains morts, d’autres en fuite ou sévissent encore.
          Je n’étale pas ma vie de militant, car ce n’est pas le lieu et le faire c’est appeler à se faire pardonner toutes les contre-vérités et les idioties que l’on peut débiter. Je ne dirai pas non plus qui était mon père, car vous vous sentirez mal.

          Mais, je garde pour le bien de mon pays ma liberté de critique, car sans la critique l’humain ne serait humain et resterait au niveau des pires animaux.

          Vous retournez toutes les critiques en les tordant dans le sens qui vous convient. Cela s’appelle la mauvaise foi. Vous en êtes l’incarnation.

          Le reste de vos commentaires est de la même facture.

          Si vous cherchez une reconnaissance pour avoir un poste, il est de plus en plus difficile car la compétence est de plus en plus requise, et visiblement, à part votre référence à une « famille révolutionnaire » que je ne connais personnellement pas, je vous rappelle, sans vous en accuser, que nombre de familles qui s’affichent de la « famille révolutionnaire » s’avèrent en définitive avec un passé de harki.

          Pour le bon niveau d’échange entre lecteurs de AP, quittez cette posture qui vous rend en définitive bien suspect.

          Bab el oued
          13 novembre 2024 - 15 h 55 min

          Bonjour @ » Famille Révolutionnaire. »,

          Bravo, vous avez taper dans le mille.
          Qui est ce type qui nous insulte parce que nous ne partageons pas la même vision que lui de notre pays commun.

          Ce type est un danger pire que Gaïd et les autres qui croupissent en prison ou sont en fuite. Eux-aussi se réclamaient tous de la « famille révolutionnaire » pour piller le pays et écraser les gens. On découvre que certains étaient seulement d’anciens de l’armée française.

          Certains patrons du FLN ( « famille révolutionnaire ») croupissent en prison ou sont en fuite après avoir piller le pays, au nom de la  » famille révolutionnaire. »

          Qu’il vienne employer cette expression dans les quartiers populaires en Algérie, il passera certainement un très mauvais moment qui n’oubliera jamais.

        Oui
        13 novembre 2024 - 0 h 04 min

        il est bon de rappeler la Citation de Umberto Eco
        .
        “Les réseaux sociaux donnent à des légions d’idiots le droit de parler alors qu’ils ne parlaient autrefois que dans un bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté… mais maintenant, ils ont le même droit de parole qu’un lauréat du prix Nobel.
        C’est l’invasion des idiots”
        .
        De là à comparer des AmirDZ ou Aboud Hicham ect…
        avec des Gens comme Hadj Ali Abdelkader ou à 1 Messali El Hadj…de l’ENA ou le PPA , il faut peut-être se calmer un peu..

          Mohamed El Maadi
          13 novembre 2024 - 7 h 17 min

          Oh, quelle brillante idée de se cacher derrière les mots d’Umberto Eco pour cracher votre venin ! Parce que citer un auteur italien rend automatiquement votre argument inattaquable, n’est-ce pas ?

          Parlons donc de ces « légions d’idiots » et de leur « droit de parole ». Il est vrai que certains prix Nobel sont d’une sagesse… disons… discutable. Prenez Barack Obama, par exemple. Un prix Nobel de la paix pour quelqu’un qui a intensifié les frappes de drones ? Quelle ironie délicieuse !

          Et ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Kamel Daoud, ce grand lauréat du Goncourt, a sûrement négocié son prix avec autant de finesse qu’un marchand de tapis sur une place d’Alger. Après tout, la littérature n’est qu’une vaste foire de troc, n’est-ce pas ?

          Mais revenons à votre cher Umberto. Cet homme au-dessus de tout reproche, ce parangon de vertu littéraire. Oh, attendez… N’était-il pas impliqué dans quelques controverses politiques lui-même ? Comme quoi, même les grands esprits peuvent parfois trébucher dans les méandres de l’idéologie.

          Et puis, franchement, n’y a-t-il donc aucun écrivain algérien digne d’être cité ? Faut-il vraiment aller chercher la sagesse de l’autre côté de la Méditerranée ? Kateb Yacine, Assia Djebar, Mohammed Dib… tous ces noms vous sont-ils étrangers ?

          Mais bon, continuez donc à brandir vos citations comme des boucliers. Pendant ce temps, nous autres, pauvres « idiots », continuerons à exercer notre droit de parole. Qui sait, peut-être qu’un jour, nous aussi, nous gagnerons un prix Nobel… pour notre contribution exceptionnelle à l’art du sarcasme sur les réseaux sociaux !

      Abou saqla
      12 novembre 2024 - 20 h 36 min

      « Il serait peut-être temps pour eux de consulter un spécialiste »
      Mais qui peut se permettre de traiter des Algériens de malades mentaux par qu’ils ont un avis sur leur pays?

      Assurément un vrai malade mental qui traite ses concitoyens de malades mentaux.

      Comment peut-on laisser passer ça sans réagir?

      Pourquoi enlever toute légitimité à toute personne qui n’est pas d’accord avec vous? Vous traiter les gens de malades mentaux parce que vous n’êtes absolument sûr d’aucune de vos propres opinions. C’est un trouble qui relève de la psychiatrie, vous devez consulter en extrême urgence.

      Assez vrai
      12 novembre 2024 - 20 h 42 min

      “…Ils s’engagent alors dans une forme d’auto-illusion, où critiquer l’Algérie devient une façon de renforcer leur propre choix d’exil.
      C’est un peu comme si, pour se sentir mieux dans leur nouvelle peau, ils devaient humilier la vieille identité algérienne…”
      Merci

      Mohamed El Maadi, futur ministre du contrôle de
      12 novembre 2024 - 23 h 07 min

      la conscience?

      Il est à parier que vous ferez tout pour mettre fin à tous les journaux qui parlent de l »Algérie et qui sont domiciliés à l’étranger. Dont peut-être AP, bien généreux avec vous, et qui vous laisse appeler à l’interdiction d’expression de tous les Algériens qui ne partagent pas la même vision que vous. En les traitant de malades mentaux, vous leur retirez toute légitimité de parler de ce qui les regarde.
      Et oui, l’Algérie est leur pays et tout ce qui s’y passe les concernent.
      Maintenant que nous savons qui vous êtes, nous vous laisserons pas faire.
      Nous retenons le nom de Mohamed El Maadi, apprenti Goebbels.

        Mohamed El Maadi
        13 novembre 2024 - 6 h 14 min

        Cher contradicteur,

        Votre rhétorique creuse sur la liberté d’expression ne trompe personne. Vous prétendez défendre la démocratie tout en appelant AP à me censurer. C’est ça, votre conception de la liberté ? Une liberté à sens unique, uniquement pour ceux qui partagent vos opinions ? Contrairement à vous, je n’ai jamais cherché à faire taire une voix discordante, sauf quand il s’agit des déserteurs diffamateurs et des ordures qui salissent notre pays.

        Vous parlez de me réduire au silence ? Comme les égorgeurs du FIS peut-être ? Laissez-moi vous rappeler une vérité que vous semblez avoir oubliée : ces mêmes terroristes, après avoir retrouvé certains de leurs camarades dans un puits sans fond, ont supplié qu’on leur laisse la vie sauve. L’Algérie a survécu à bien pire que vos menaces voilées et vos tentatives d’intimidation.

        Votre alignement avec des mouvements comme Rachad révèle vos véritables intentions. Vous n’êtes que des marionnettes de l’impérialisme, prêts à vendre l’Algérie au plus offrant pour une place illusoire parmi les « grands » de ce monde. Votre vision de l’Algérie n’est qu’un mirage dangereux, séduisant peut-être pour les naïfs, mais transparent pour ceux qui connaissent les vrais enjeux de notre nation.

        De quel droit vous arrogez-vous l’autorité de dicter ce qui peut être dit sur l’Algérie ? Notre pays n’est pas à vendre, ni aux puissances étrangères, ni aux idéologues de salon comme vous qui rêvent de le remodeler selon vos fantasmes occidentalisés. L’Algérie a payé le prix fort pour son indépendance, et nous ne la bradons pas aux plus bruyants ou aux plus offrants.

        Pendant que vous jouez les donneurs de leçons, d’autres travaillent concrètement à renforcer notre nation, à préserver son intégrité et à assurer son développement. Vos tentatives de m’intimider ou de me réduire au silence sont vouées à l’échec. La voix de l’Algérie authentique, celle qui refuse de se prosterner devant les puissances étrangères, continuera à se faire entendre, que cela vous plaise ou non.

        Je vous mets au défi : au lieu de chercher à museler ceux qui ne partagent pas votre vision, pourquoi ne pas engager un véritable débat sur le fond ? Mais peut-être craignez-vous que vos arguments ne s’effondrent face à la réalité de l’Algérie d’aujourd’hui ? La vérité, c’est que vous n’avez aucune autorité, ni morale ni intellectuelle, pour dicter l’avenir de notre pays.

          "Votre alignement avec des mouvements comme Rachad"
          13 novembre 2024 - 10 h 54 min

          L’un de votre contradicteur a raison de vous traiter de malade mental.
          Pauvre malade, je suis dans le camp totalement opposé à l’islamisme pour une raison toute simple : je n’ai aucune croyance religieuse, comme certains lecteurs de AP.

          Je fais parti de ceux que les islamistes ont chassé de leur emploi quand vous étiez planqué je ne sais où.

          Vos insultes envers tous ceux qui ne partagent votre vision des choses vous rend définitivement dangereux.

    DZ
    12 novembre 2024 - 15 h 20 min

    des pauvres types qui n hesitent pas a deglinguer leur pays d origine pour une soif de reconnaissance et il n est pas le seul malheureusement en algerie et en france des tubes digestifs sans aucuns talent que de vociferer leur haine de leur pays d origine ils n ont plus rien d algeriens nous pouvons comprendre aujourdhui comment la france esr restee 130 ANS en algerie avec des types semblables harkis bachaga caids

    THIDHETSS
    12 novembre 2024 - 14 h 59 min

    La houris est à son Kam.David,
    Ce que la Khemissatt Bousbirr est à son Tah.Ben Djellou…
    Les deux scribouillards de service, sans ancrages.
    Rappelons les mémoires, que Jean Paul Sartre avait refusé le prestigieux prix Nobel de littérature, par principe et honneur, en soutient à la révolution Algérienne, après avoir dénoncé les crimes de guerres commis par la Françe contre le peuple Algérien en lutte pour son indépendance nationale.
    Désormais, il est temps de jeter tout les livres de papiers à chiottes de ce salafiste K.D.
    Le titre Hourris est assez révélateur de sa névrose de salafiste ÉL m’tourni…
    À bons entendeurs saloooo..

    Anonyme
    12 novembre 2024 - 14 h 54 min

    « ……mQuand il encense, par exemple, la décennie noire qu’avait connue l’Algérie dans les années 1990, en disant, je le reprends texto : «Les plus belles années, c’était la décennie noire en Algérie : sexe, alcool et vie intense», de la gueule de qui se foutait-il ?….. »
    Mais Mr Ghedia …il ne se fout de Personne .. Il exprime sa Pulsion à l état brute !! Bestiale !! Et ce pour 2 Objectifs

    1/ La Totalité des Pervers Zzzzislamistes souffrent de multitude de FRUSTRATIONS surtout si , après avoir vécu dans un environnement Pesant dans lequel se décuplent les tentatives d Oppression des UNS sur les AUTRES , ils découvrent , comme lui , ce qui leur semble être Un monde ( factice pour les Sages ayant vécu ) de «  civilisation » qui les Attire mais en même temps leur fait découvrir ce qu ils traînent comme handicaps . Pour LUI , ce Monde a été ORAN …..
    Ayant constaté le Gap qui le séparait de la jeunesse , notamment étudiante de sa génération lui le Paysano ( expression du bled identifiant l Arriviste et aucunement attentatoire à la Dignité du Vrai Paysan qui , lui , a de la noblesse à en revendre ) il a voulu rattrapé ce qu il considère comme une Tare méprisable au regard des Citadins qui , eux ne lui rien demandé .

    2 / Son auto thérapie s est exprimée à travers ses » billets » dans le Quotidien d ORAN qui laissaient deviner , derrières ses pantalonnade sur les oranais ( donc les Algériens ) ses envies de rabaisser le ….caquet à ceux qu il considérait toujours comme un brin en Avance sur lui …Lui l Arriviste . Il fallait qu il se distingue et ressentir sa DIFFÉRENCE par rapport au «  Tout Venant » Algérien .
    Les Français ont bien analysé ses Troubles et en ont conclu que c est un bon Client qui plus est Prédisposé a joué le rôle qui lui était prévu . D ailleurs il n y a qu a supporter de l écouter sur les Merdias français pour constater la persistance de ses frustrations .
    Le Pooooovre ….il l a eu ce Prix . Peut être qu un jour il réfléchira à son Coût .

    Anonyme
    12 novembre 2024 - 14 h 13 min

    « …….Ce constat fait, passons maintenant aux choses sérieuses, comme l’aurait dit, dans les années 1970, un journaliste de l’Unique, la chaîne TV algérienne de l’époque. Qui s’en souvient ? »
    Oh que je m en souviens !!!! Et il l avait dit avec le SÉRIEUX qui invitait les Gens « Noooormal » comme disent les Anormaux d aujourd hui à Rigoler un bon coup à la Santé de la Chienlit qui se prenait au Sérieux ….et qui a pourri la Vie de tout un Pays jusqu au jour du Hirak .

    Écrivains de Niveau…Alimentaire
    12 novembre 2024 - 12 h 34 min

    N’en voulez pas trop à ces Gens.
    Pour eux , au diable l’Honneur et la Dignité , il Faut juste MANGER !
    .

    issam
    12 novembre 2024 - 12 h 17 min

    Aprés sansal ou sans le sal ,siffaoui voilà que l’Algérie nous vomis ce minable écrivain harki tortionnaire de son ex femme

    citoyen algerien
    12 novembre 2024 - 12 h 09 min

    Bonjour a tous, je tiens dès le départ à le dire, je n’ai rien contre la plume de kamel daoud, je lui reproche d’etre malhonnete et cacher une partie de son passé, je m’explique.
    Quand dans votre article vous dites « Quand il encense, par exemple, la décennie noire qu’avait connue l’Algérie dans les années 1990 », oui monsieur daoud dans sa jeunesse a été un barbu khwanji un integriste un islamiste, qui courait derrière les gens avec des barres de fer, aucun média ne fait allusion a ca ou bien on le cache pour divers raisons, apres il a viré de bord par opportunisme je pense, il battait sa femme tiens tiens comme par hasard, le prix Goncourt litteraire a perdu de sa valeur depuis plusieurs années, il est décerné par une certaine clique parisienne,

    Anonyme
    12 novembre 2024 - 11 h 44 min

    Votre écrivain , pas le nôtre.

    SILA 2024 : ☝️ affluence Record
    12 novembre 2024 - 10 h 15 min

    On peut y rencontrer des AUTEURS et ÉCRIVAINS ALGÉRIENS qui aiment l’ALGERIE et n’ont pas Honte de leur PEUPLE.
    .
    SALON du LIVRE d’ALGER
    Sila 2024
    Alger

      Ghedia
      12 novembre 2024 - 13 h 38 min

      J’y étais. J’ai présenté mon livre, la biographie d’un ami

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