Loi de finances 2025 : le Premier ministre Nadir Larbaoui saisit la Cour constitutionnelle

Nadir Larbaoui
Le Premier ministre Nadir Larbaoui. D. R.

Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a saisi, samedi, la Cour constitutionnelle sur la constitutionnalité de certains amendements introduits dans le projet de loi de finances 2025, suite à l’adoption du texte par les deux chambres du Parlement, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.

«Suite à l’adoption, par les deux chambres du Parlement, de la loi portant loi de finances pour 2025, et conformément aux dispositions de la Constitution, notamment son article 193, le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a saisi, samedi 16 novembre 2024, la Cour constitutionnelle à l’effet d’examiner la constitutionnalité des amendements introduits dans les textes des articles 23, 29, 33 et 55 du projet de loi de finances 2025, au regard de la non-conformité de ces amendements à l’esprit et à la lettre de l’article 147 de la Constitution», lit-on dans le communiqué.

R. N.

Commentaires

    lhadi
    17 novembre 2024 - 21 h 01 min

    Face à l’esbroufe politique, il me parait indispensable de parler avec franchise, une franchise totale,, sans aucun sous-entendu. Pas question non plus de se dérober et refuser d’affronter avec honnêteté la situation que connait le pays.

    Le drame de l’Algérie est qu’elle parait être figée dans un modèle établi aux débuts de l’indépendance par un pouvoir dont les cadres sont encore aujourd’hui en position de pouvoir. Alors que les potentiels du pays, en particulier de sa jeunesse dynamique, sont bridés.

    La vérité oblige à dire que l’horizon de mon pays semble plombé par un système d’inspiration soviétique qui obère toutes réformes alliant la conscience révolutionnaire à l’efficacité des sociétés démocratiques dites avancées

    Il faut donc mettre fin à ce système devenu complètement obsolète à notre époque.

    Une fois cet engagement pris, l’action dans cet optique et dans ce but, permet de toujours répondre aux besoins les plus extraordinaires, et ce, en changeant de cap et en prenant de nouvelles dispositions sans toutefois perdre ce que la constitution a d’essentiel.

    Ayant conscience de la fragilité de la société et du pays hautement inflammable, le citoyen algérien que je suis recommande aux hautes autorités du pays de ne plus tourner le dos à cette exigence indispensable pour la stabilité du pays, les intérêts les plus élevés de la nation et du bonheur du citoyen.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

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