Gaza : le bilan de l’agression sioniste s’élève à 44 176 martyrs et 104 473 blessés

Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Gaza, s’est alourdi à 44 176 martyrs et 104 473 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué samedi les autorités palestiniennes de la santé.

Selon la même source, l’armée d’occupation sioniste a commis sept massacres au cours des dernières 48 heures dans la bande de Gaza, faisant 120 martyrs et 205 blessés.

Les autorités palestiniennes de la santé ont indiqué qu’un certain nombre de victimes palestiniennes se trouvaient encore sous les décombres et sur les routes, et que les forces d’occupation empêchaient les ambulances et les équipes de la Défense civile de leur porter secours.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression sauvage contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures, en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.

R. I.

Comment (2)

    Brahms
    24 novembre 2024 - 2 h 01 min

    Ca va s’arrêter quand tous ces crimes odieux ?????????????

    Personne ne bouge, vous avez peur des juifs parce qu’ils ont le capital alors ils peuvent tuer des civils ?

    Une nouvelle nuit mortelle. En parallèle des bombardements opérés sur Beyrouth, la Défense civile de la bande de Gaza a fait état samedi 23 novembre de frappes israéliennes à Gaza-ville, Khan Younès ainsi que des tirs de char à Rafah.

    « Dix-neuf Palestiniens ont été tués et plus de 40 blessés dans trois massacres provoqués par des frappes aériennes israéliennes dans la bande de Gaza », a indiqué son porte-parole, Mahmoud Bassal, à l’AFP.

    Une des frappes a visé une maison de Zeitoun, un quartier de Gaza-ville, et fait sept morts, dont trois enfants, et dix blessés, selon M. Bassal. « Qu’est-ce que ces gens avaient fait? Ils dormaient chez eux, ce sont des civils qui n’ont rien à voir avec le Hamas ou la résistance », a déclaré à l’AFP Abdallah Shaldan, un membre de la famille dont la maison a été totalement démolie.

    Des images de l’AFP montraient des gens inspecter les décombres à la lumière de torches et de téléphones, tandis qu’à l’hôpital Al-Ahli où les blessés ont été transportés, un jeune garçon criait, appelant désespérément « Papa ».

    « Qu’ils nous tuent tous »

    ne autre frappe à Khan Younès (sud) a tué six personnes, dont trois enfants, et blessé 26 personnes déplacées qui vivaient dans des tentes à proximité de la maison atteinte, a indiqué M. Bassal.

    « J’ai immédiatement accouru et j’ai vu la destruction, des gens qui transportaient des morceaux de corps de dessous les décombres », a témoigné auprès de l’AFP Oum Mohammad Abou Sabla, la soeur d’une des victimes.

    « Toute notre vie n’est que misère. Qu’ils nous tuent tous pour que nous puissions être soulagés de cette souffrance », a dit cette femme de 62 ans.

    Dans le camp de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, quatre autres personnes ont péri dans une frappe contre une maison familiale, et à Rafah, ce sont des tirs de char qui ont tué deux jeunes hommes, a-t-il précisé.

    Mandats d’arrêt.

    Lundi et mardi près de Rome, les ministres des Affaires étrangères du G7 doivent discuter des mandats d’arrêt émis jeudi par la Cour pénale internationale (CPI) contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif.

    Les responsables israéliens sont accusés de crimes contre l’humanité et crimes de guerre à Gaza.

    Le Hamas a pris le pouvoir à Gaza en 2007, deux ans après le retrait unilatéral d’Israël de ce territoire qu’il a occupé pendant 38 ans. Avant d’assiéger Gaza le 9 octobre, Israël imposait depuis 2007 un blocus au territoire pauvre et surpeuplé.

    En riposte à l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023, Israël a lancé une offensive militaire dévastatrice à Gaza qui a fait au moins 44.056 morts, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas.

    Elle a aussi provoqué un désastre humanitaire dans ce territoire où les 2,4 millions d’habitants sont menacés de famine selon l’ONU.

    A mon avis, il faudrait que Mr Vladimir Poutine balance sa bombe atomique sur l’Ukraine pour que ça s’arrête en Palestine.

    Sedrata
    23 novembre 2024 - 19 h 04 min

    Déclaration de l’historien israélien Avi Shlaim :

    « J’ai servi dans l’armée israélienne et je dis qu’Israël est un État colonial raciste et que les Palestiniens ont le droit de résister. Israël est le principal obstacle à la paix ! « 

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