La honte française : une minable plaque pour couvrir un génocide à Laghouat

Anne Hidalgo
Anne Hidalgo, maire de Paris. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – Benjamin Stora, prestidigitateur cynique des vérités historiques, a glissé à l’oreille d’Anne Hidalgo, la maire de Paris, une nouvelle ignominie dans son jeu morbide : la pose d’une plaque minable dans le XVIIIe arrondissement, soi-disant destinée à commémorer le massacre de 1852 à Laghouat (1). Sans la moindre hésitation, l’auguste dame s’empresse d’inaugurer, ce mois de décembre, ce simulacre grotesque qui, loin d’être un geste de courage ou de repentance, expose au grand jour la lâcheté crasse de la France.

Ce pays des prétendues Lumières et des droits de l’Homme se vautre dans une stratégie de déni et de fuite, refusant obstinément d’affronter la noirceur de son passé colonial et de reconnaître les crimes qui tachent à jamais son histoire.

Ce geste n’est pas un hommage. C’est une diversion, une tentative de maquiller l’effacement historique d’un génocide méthodique. Derrière cette symbolique se cache une entreprise de manipulation mémorielle, où la mémoire des victimes est instrumentalisée pour protéger un récit national fondé sur la négation des crimes coloniaux.

Cette plaque n’est pas un hommage. C’est une insulte. Une insulte à la mémoire des victimes, une insulte à la vérité historique, une insulte à la dignité. En feignant la reconnaissance d’une façon aussi légère, la France s’emploie à masquer sa lâcheté et à perpétuer l’effacement méthodique des crimes qui ont marqué sa domination sanguinaire en Algérie. Laghouat, théâtre du premier massacre chimique de l’histoire moderne, incarne, à lui seul, toute l’hypocrisie française. Il a fallu 170 ans pour qu’un tel acte de barbarie obtienne un simulacre de reconnaissance. Et encore, dans le mépris glacial d’un silence complice.

Laghouat : un génocide chimique prémédité

En décembre 1852, la France, sous le règne de Napoléon III, ordonne l’extermination des habitants de Laghouat, une ville-forteresse résistant héroïquement à l’envahisseur. Incapable de triompher par des moyens conventionnels, l’armée coloniale opte pour l’inhumain : le recours aux obus chimiques chargés de chloroforme. Le résultat ? Plus de 3 000 morts parmi une population de 4 500 âmes. Des familles entières asphyxiées, des corps éparpillés dans les ruelles d’une ville devenue un cimetière à ciel ouvert.

Les généraux Pélissier, Puscaren et Joseph, maîtres d’œuvre de cette barbarie, n’ont laissé derrière eux que la désolation. Les survivants, s’il en restait, furent achevés sans pitié par les soldats français, eux-mêmes horrifiés par l’ampleur de la cruauté qu’on leur avait ordonné d’exécuter. Pourtant, cet épisode atroce, documenté par des témoignages accablants, reste un non-dit dans les récits glorificateurs de l’histoire nationale française.

La mascarade de la mémoire sélective

Cette plaque n’est qu’un coup de pinceau sur une fresque de sang. Laghouat n’est pas un cas isolé. Il s’inscrit dans une politique coloniale fondée sur le pillage, l’extermination et l’effacement culturel. Les enfumades des grottes du Dahra, les massacres de civils, les déportations de masse, tout cela témoigne d’un génocide méthodique, masqué sous le prétexte fallacieux d’une «mission civilisatrice».

Or, la France persiste à reconnaître ses crimes au compte-gouttes, sous pression, et toujours en minimisant leur gravité. Le rapport Stora, censé jeter une lumière sur ce passé, n’est qu’une manœuvre dilatoire, un exercice de communication destiné à protéger l’Etat français des exigences de justice. Les Algériens ne se contenteront pas de ces gestes symboliques dépourvus de substance.

Le refus d’une justice réelle

Certains prétendent que juger ces crimes avec nos normes actuelles serait anachronique. Fausse excuse. Même à l’époque, ces actes révoltaient les consciences. Les soldats eux-mêmes, pourtant rouages de cette machine coloniale, témoignèrent de l’inhumanité des ordres reçus. L’histoire ne pardonne pas. Elle exige justice.

La vérité est que la France redoute un procès de son passé, car il remettrait en question son récit national et son identité. Chaque plaque discrète, chaque rapport édulcoré est une tentative de repousser l’inévitable : la reconnaissance pleine et entière des crimes coloniaux comme des crimes contre l’humanité, imprescriptibles et indéfendables.

La fin de la mascarade

La pose de cette plaque est une insulte. Une insulte à la mémoire des victimes, une insulte à leurs descendants et une insulte à tous ceux qui exigent une justice historique. Il est temps de clore à jamais ce théâtre appelé commission mémorielle, dirigée par Benjamin Stora, le magicien des vérités historiques.

Seule une démarche d’ampleur, comparable aux procès de Nuremberg, pourrait rendre une justice, même partielle, aux millions de victimes algériennes de ces crimes abominables. Sans un véritable acte de justice, la France continuera à se vautrer dans une hypocrisie abjecte, refusant de confronter son passé trempé dans le sang et la honte. Pendant ce temps, les flibustiers de l’histoire, Stora, Attali et consorts, tels des charognards, continueront à s’enrichir en marchant sur les cadavres de nos martyrs, transformant leur mémoire en un commerce indigne et sordide.

K. B.

1) https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/02/06/il-faut-restituer-la-cle-et-les-etendards-de-la-ville-de-laghouat-pour-renforcer-les-liens-de-solidarite-entre-les-peuples-algerien-et-francais_6160749_3232.html

Comment (18)

    Raïss
    28 novembre 2024 - 13 h 18 min

    Tant que la juiverie française ne cessera pas de façonner le chemin illicite de la vraie Gauloiserie, s’ils ne sont pas juifs, de leur France, la France aura le même rang et la même estime dans ce monde, le juif « sioniste »est la pourriture de ce monde et restera tout au long de son existence une merde « sioniste »juive, comme la crasse juive « suiniste » en Palestine

    Farida Tedjini
    27 novembre 2024 - 0 h 03 min

    M. K. B.,

    Il est absolument clair et évident pour nous tous, algériens, et pas uniquement laghouatis, que la simple pose d’une plaque (au texte vague et succinct, en plus), sur le mur de la rue de Laghouat à Paris, ne peut être considérée comme une reconnaissance du génocide du 4 Décembre 1852 perpétré dans cette ville par la soldatesque coloniale criminelle d’occupation. Au demeurant, les petits gestes « mémoriels », distillés au compte-gouttes par les français, comme des hochets donnés à un petit enfant pour le calmer, sont inacceptables et intolérables pour notre pays. L’Algérie attend de la France une vraie reconnaissance, clairement exprimée, au plus haut niveau de l’État, concernant l’ensemble des crimes odieux (dont votre article en a évoqué quelques-uns), perpétrés durant toute la période de la colonisation.

    Ceci étant clarifié, et pour bien préciser les choses, je me dois de vous informer que Benjamin Stora n’a pas grand-chose à voir dans ce projet de pose d’une plaque à la rue de Laghouat, dans le 18 ème arrondissement de Paris. Il s’agit d’une initiative d’élus locaux communistes de la région parisienne, dont Pierre Mansat, en collaboration avec l’écrivain algérien laghouati Lazhar Labter, auteur, entre autre, du livre « Laghouat, ville assassinée ». M. Labter avait écrit au président Macron pour la restitution de la clé et des étendards de la ville, que la soldatesque criminelle génocidaire française avait emportés en France comme trophées, après son crime odieux. La rue de Laghouat avait été baptisée ainsi pour « fêter » cette « victoire » des génocidaires.

    Pierre Mansat, élu local anti-colonialiste, demeuré en relation avec Lazhari Labter, est parvenu réussi à faire publier une tribune dans le quotidien Le Monde, signée par plusieurs personnalités françaises anti-colonialistes, qui ont évoqué ce génocide et demandé à leur gouvernement la restitution de la clé et des étendards réclamés dans sa lettre à Macron par Lazhari Labter. Pierre Mansat, aidé de ses collègues élus communistes, a bataillé durant plus d’une année pour faire aboutir ce projet de la pose d’une plaque informative sur le génocide (la plaque parle de « massacre ») de Laghouat du 4 Décembre 1852.

    Pour notre part, nous, citoyens laghouatis, plus ou moins au fait des tenants et aboutissants de ce processus, bien que nous le considérions comme une miette, saluons tout de même les efforts louables et méritoires de Pierre Mansat, qui ne pouvait faire davantage à son niveau d’élu local (il nous a même expliqué qu’il n’avait pas été associé à la rédaction du texte de la plaque. C’est « la » Anne Hidalgo, maire de Paris sortante et aux grandes ambitions politiques, qui a dû veiller au grain…).

    Je dois également vous dire que Pierre Mansat a réagi à votre article, qu’un internaute a posté, sur le forum de la page facebook que Pierre Mansat avait créée pour son projet commun avec Lazhari Labter et qu’il a intitulée « Comité France-Laghouat ». Vous pouvez consulter cette page et la réaction de M. Mansat. Pour notre part, les quelques citoyens de Laghouat en contact avec lui, nous lui avions déjà fait part de nos réserves sur ce projet, tout en l’assurant que ces réserves ne le concernaient en rien, personnellement, et, qu’au contraire, nous avions appré ces efforts méritoires à leur juste valeur.

    Concernant la mémoire sélective que vous évoquez, M. K. B., nous en avons souffert et en souffrons encore, de la part de nos propres autorités. Savez-vous que la date du génocide de Laghouat du 4 Décembre 1852 n’a commencé à être commémorée, plus ou moins officiellement, à Laghouat, qu’en 2022, le ministre des Moudjahidine nous ayant, enfin, fait l’honneur, pour la première fois, de sa présence ? Les années précédentes, rien ne se passait à Laghouat les 4 Décembre. Et nos media, évoquaient-ils cette date? Évoquent-ils la figure du prestigieux résistant, héros national laghouati Bennacer Benchohra, compagnon de l’Emir Abdelkader, qui a mené une résistance farouche de plus de vingt-quatre ans? Il a été également inhumé à Damas, mais nos autorités n’ont pas jugé bon de faire rapatrier sa dépouille au même titre que celle de l’Emir Abdelkader. Nous avions juste eu droit, jusqu’à présent, à l’omerta et au black-out, comme si la résistance des populations du Sud devait être effacée de l’historiographie officielle…

    Salutations cordiales, M. K.B.

    Mme F.T.B., habitante de Laghouat

      Abou Stroff
      27 novembre 2024 - 9 h 50 min

      merci pour cette mise au point qui vient ……….. à point nommé pour calmer les ardeurs de tous ceux qui essaient de falsifier l’Histoire en nous montrant des moulins à vent (des étrangers, en général et des juifs en particulier) à attaquer et oublient de nous enseigner que:

      « La cause fondamentale du développement des choses et des phénomènes n’est pas externe, mais interne; elle se trouve dans les contradictions internes des choses et des phénomènes eux-mêmes. » (Mao Zé Dong)

      en termes crus, l’omerta et au black-out, [sur] la résistance des populations du Sud ne désigne pas, de fait « La honte française » mais bien ……………….une honte algérienne.

      wa el fahem yefhem

      khaled Boulaziz
      27 novembre 2024 - 17 h 38 min

      Madame,

      Il est important de rétablir certains faits : la tribune parue dans Le Monde, qui a donné écho à l’initiative de la plaque commémorative dans la rue de Laghouat, porte sans surprise la signature de Benjamin Stora. Fidèle à lui-même, ce boulimique de reconnaissance publique sait toujours se placer là où les projecteurs éclairent, récupérant les mérites d’efforts qu’il n’a ni initiés ni portés sur ses épaules.

      Au-delà de cette clarification, j’affirme haut et fort une vérité intemporelle : ce sont toujours les simples gens, non les institutions ou leurs vaines fanfaronnades, qui sauvegardent et protègent l’imaginaire des nations. certains algériens (…), ne sont que des échos vides, captifs d’intérêts politiques et de calculs mesquins.

      Quant à moi, je revendique sans ambiguïté une position claire et constante : j’ai dénoncé ce crime imprescriptible, ce génocide, où Laghouat fut livrée à une barbarie qui ne saurait être effacée par une plaque ou un quelconque geste symbolique.

      https://www.algeriepatriotique.com/2022/12/05/et-la-france-commit-le-premier-massacre-a-larme-chimique-de-lhistoire-en-algerie/

      Cordialement,
      Khaled Boulaziz

        anonymous
        28 novembre 2024 - 6 h 53 min

        une « vérité intemporelle » qui sort de la bouche d’un être …………..humain?
        jusqu’à preuve du contraire, les seules vérités intemporelles auxquelles doit croire un bon musulman se trouvent dans les textes sacrés des musulman et nulle part ailleurs.
        par conséquent ce que vous avancez peut être considérés comme du « Kofr ».
        quant à ces « algériens (…) {qui}ne sont que des échos vides, captifs d’intérêts politiques et de calculs mesquins que vous dénoncez, doit on conclure que, contrairement à « ces algériens », vos positions sur divers sujets sont des échos pleins , libres de tout intérêt politique et totalement dénuées de calculs mesquins, bref, des positions supra-humaines?
        merci de répondre à aux questions d’un niais qui a la comprenette difficilette.

    Amilcar Baeca
    26 novembre 2024 - 16 h 56 min

    Il faut exiger de la France la decontamination des lieux ou ont eu lieu les essais nucleaires Francais et les dedomagements des familles atteintes par ces fleaux jusqu a ce jour-…..

    Amilcar Barca
    26 novembre 2024 - 16 h 53 min

    Il n est plus un secret que la dame Anne Hidalgo est une sioniste averee,elle est la marraine de Gabriel Attal de par son amitie tres profonde avec la mere Attal…

    Mohamed El Maadi
    26 novembre 2024 - 12 h 54 min

    La décision de la Mairie de Paris d’ériger une plaque à Laghouat, censée symboliser une forme de réconciliation, reflète une profonde méprise et une indifférence inacceptable envers la gravité des événements historiques. En agissant ainsi, la Mairie ne fait que renforcer l’idée d’un déni collectif, cherchant à apaiser les consciences tout en évitant d’affronter les véritables conséquences de la colonisation.

    Cette plaque, loin d’être un hommage aux victimes, apparaît comme une tentative désespérée de la France de se donner bonne conscience, tout en occultant les atrocités vécues par des générations entières. Elle témoigne d’un manque de respect pour la mémoire des victimes et pour la souffrance des descendants, qui continuent de porter le poids de cet héritage sombre.

    Cette action est d’autant plus misérable qu’elle s’inscrit dans une logique de superficialité, où les gestes symboliques se substituent à une véritable reconnaissance des crimes coloniaux. Au lieu de faire face à son passé avec courage et intégrité, la Mairie de Paris choisit de se complaire dans des initiatives creuses, qui ne servent qu’à masquer les injustices historiques. Une telle attitude ne peut qu’alimenter le ressentiment et la colère, rappelant que la réconciliation ne peut être atteinte sans une vraie volonté de repentance et de réparation.

    DERDER
    26 novembre 2024 - 11 h 31 min

    Le Patriote 62,
    Il est temps d’ouvrir un registre de tout les crimes commis par la France coloniale en Algérie. En commençant par 1830 jusqu’au jour de notre indépendance en 1962. Il faut créer une encyclopédie qu’on peur intituler Crimes de la France coloniale en Algérie.

      LEON
      27 novembre 2024 - 15 h 27 min

      Pourquoi 1830 et pas 1515 avec l’esclavage ?

    Brahms
    26 novembre 2024 - 8 h 29 min

    Elle est dans le classement de la hiérarchie des souffrances ?

    Le numéro 1 c’est ISRAEL et l’antisémitisme.

    Toute la cagnotte d’argent va pour eux, pour les emplois ils sont les prioritaires et ce, dans tous les domaines, ils passent avant tout le monde même s’ils sont incompétents. Leur système marche comme cela.

    Le juif c’est le gardien du temple, du coffre fort, de la recette, c’est lui qui ouvre les portes.

    Par conséquent, Anne Hidalgo est obligée à se plier à ce système sinon, elle sera très vite éjectée via une affaire ou sur son passé ou par des magouilles. Son sourire = grimace, faire des grimaces c’est très facile.

    L’Algérie ne plait pas car la France veut des Etats qui se plie à son système, elle te presse comme un citron pour nourrir les juifs, les patrons du Cac 40 ainsi que son système politique députés, sénateurs et fonctionnaires qui lui coutent une fortune. Taux d’imposition 56 % en France soit 44 € net dans la poche
    sur 100 € de gagnés.

    Abou Stroff
    26 novembre 2024 - 7 h 02 min

    « La pose de cette plaque est une insulte. Une insulte à la mémoire des victimes, une insulte à leurs descendants et une insulte à tous ceux qui exigent une justice historique. Il est temps de clore à jamais ce théâtre appelé commission mémorielle, dirigée par Benjamin Stora, le magicien des vérités historiques. »* souligne K. B..

    primo, la « commission mémorielle », dirigée par Benjamin Stora n’existe plus (c’est lui même qui l’a affirmé dans une émission télé, tout en regrettant qu’elle l’ait été). donc, arrêtons de mêler stora à toutes les sauces pour, indirectement, mettre en exergue un soi disant …………………………complot juif.
    secundo, nous n’avons rien à attendre d’une classe politique française qui se « droitise » à vue d’oeil et qui se « sionise », sans vergogne.
    en termes crus, arrêtons de pousser des cris d’orfraie à chaque fois que fafa prend des décisions souveraines. après tout, la france n’est pas, jusqu’à preuve du contraire un Etat vassal de l’Algérie, n’est ce pas?

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que nous, en tant qu’algériens, devrions proposer un contre discours qui obligerait fafa et ses « historiens » « à confronter son passé trempé dans le sang et la honte », ce qui exige, bien entendu, que nos historiens, au lieu d’être de simples idéologues mythifiant la résistance algérienne, utilisent des méthodologies scientifiques pour étudier notre passé qui est loin d’être un « long fleuve tranquille ».

    PS: au fait, puisque nous parlons d’un passé de fafa trempé de sang et de honte, ne serait il pas pertinent de nous interroger sur l' »amnésie » collective générée par la « réconciliation nationale » du fakhamatouhou déchu, amnésie qui nous empêche de confronter notre passé trempé dans le sang des algériens assassinés par la vermine islamiste de la décennie dite rouge ou noire?
    en termes crus, pourquoi continue t on à vociférer contre l’ex-puissance coloniale qui nous refuse le droit d’exister en tant qu’ Etat et Nation, alors que nous nous taisons sur les actes monstrueux de la vermine islamiste qui nous ……………………refusait, et qui nous refuse toujours, le droit d’exister en tant qu’Etat et Nation?
    réponse gratuite: probablement parce que certains pratiquent une politique de la DIVERSION pour nous empêcher de poser des questions ……………. qui fâchent.

    bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas?

    * a t on posé des plaques mémorielles pour les génocides commis par la vermine islamiste durant la décennie dite noire ou rouge?

    Aures
    25 novembre 2024 - 23 h 03 min

    Il y a ce soir une idée qui me traverse l’esprit et penser que peut-être cette idée réunira tous les pays africains qui souhaitent se joindre à l’Algérie. C’est d’attaquer la France devant la cour de justice européenne, devant la cour internationale de justice, devant la cour pénale internationale pour faire reconnaître à cette France bouchère et charcutière que le colonialisme est un crime contre l’humanité avec repentance et dédommagement pour toutes ses ex colonies au prorata de ses crimes dans chaque pays. Bien à vous.

    Anonyme
    25 novembre 2024 - 22 h 06 min

    Rachida Dati veux sa place à la mairie de Paris et elles se détestent. La sale marocaine sujet de son roi avt tout est prête à tout pour ce poste. J espère que la justice la rattrapera avant comme ça elle deviendra inéligible et je l espère aussi pour Marine l inéligibilité de se présenter face aux français à des élections françaises.

    Laptop
    25 novembre 2024 - 19 h 01 min

    Tous les mots ou les expressions que la France de Macron
    et historiens comme ce Stora évitent à tout prix par choix
    très précis pour éviter de rendre justice:
    Justice. Procès. Réparations. Crimes contre l’humanité.
    Génocide colonial. Barbarie. Vérités historiques. Pillages.
    Propriètés. Gaz. Enfumades………etc.
    Reconnaissances et mémoires historiques donc La Vérité
    nécessitent de RENDRE JUSTICE.
    Le Goutte à Goutte, efface tout sentiment de JUSTICE.
    Ne pas remettre en question l’histoire ou le récit nationale
    et coloniale de la France
    « Pays des droits de l’homme à géométrie variable. »
    Quel culot !

    Luca
    25 novembre 2024 - 17 h 12 min

    Oui une plaque en plastoc qui sera bientôt terni par le temps , et placer dans un endroit, assez haut pour que personne ne puisse la voir , et de préférence assez petite et de couleur grise, et bien évidemment garantie cent pour cent made in france

    Brahms
    25 novembre 2024 - 16 h 56 min

    Anne Hidalgo est d’origine espagnole, elle remplace une tafiole.

    La prochaine postulante c’est une marocaine cornée au makhzen marocain ou alors des juifs avec des prénoms catholiques, des bouts de zizi, qui mangent cacher et qui veulent que des droits à profusion sinon, ils crient à l’antisémitisme.

    En clair, ils veulent leur part de gâteau, l’Algérie c’est une vache à lait pour eux, à tirer sur les mamelles.

    Je dis toujours, voler un koufard ou un oudi c’est Halal à 2000 %, n’écoutez pas les Imams rigolo

      Luca
      25 novembre 2024 - 20 h 29 min

      Oui Mr Brahms , mais on ne peut pas voler un kouffard laïc , ils sont trop pervers et méfiants , ils se regroupent entres eux , extrême droite et socialiste dans des endroits où ils glorifie le démon des loges où ils deviennent encore plus taré et menteur que ce qu’ils n’étaient il y a à peine deux minutes. Ce sont des ignobles qui sont capables de tout le mal glauque très glauque. Moi je ne peux rien faire, dieu me dit de lui laisser cette mission…, mais si un jour ils touchent à un seul cheveux de Esther la juive, alors là si je peux si dieu m’en donne l’occasion réelle, je les tuent avec toute la force

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