Révélation : le prix Goncourt de Kamel Daoud est «l’œuvre» d’Azoulay et Attali
Par Youcef Ziri – Nous avons appris d’une source informée que ce sont les sionistes André Azoulay et Jacques Attali, l’un conseiller du roi Mohammed VI du Maroc et l’autre personnage influent du pouvoir en France, après avoir été le conseiller du président François Mitterrand, qui ont exercé des pressions sur les membres du jury afin que Kamel Daoud récolte le fruit de son allégeance, ayant rempli sa mission de propagande pro-sioniste, en attaquant au passage l’Algérie. La publication, en janvier 2024, d’un ouvrage collectif portant une postface signée par Kamel Daoud trahit le gentlemen’s agreement qui a conduit au prix Goncourt de complaisance.
Le livre, Un pogrom au XXIe siècle – Israël, 7 octobre 2023, coédité par les éditions Flammarion et le magazine Le Point, rapporte des témoignages de rescapés de la journée du 7 octobre 2023. Dans son texte, le plumitif Kamel Daoud se livre à une repentance délirante et indécente au sujet de son «antisémitisme passé», à propos de sa «judéophobie algérienne», basés, selon l’auteur, sur le mythe de la décolonisation «par des libérateurs imaginaires» dans le monde «dit arabe», le monde «dit musulman».
L’ex-militant oranais du parti religieux extrémiste du FIS ne pouvait pas faire mieux comme discours de soumission au sionisme, en confondant, encore une fois et délibérément, la judéité et le sionisme. Pas un mot de compassion sur le martyre des Palestiniens, dans cette postface commandée sur mesure. Près de 50 000 morts, dont un tiers d’enfants déchiquetés par les bombardements incessants à Gaza, ne valent pas l’émotion d’un prix littéraire prestigieux. Et puis, Kamel Daoud, toujours dans cette postface, affirme que les Palestiniens sont «coupables d’islamisme», voire «victimes de l’islam».
Ce texte pernicieux explique donc le cadeau Goncourt, en révélant le rôle que les sionistes ont confié à l’écrivain algérien renégat dans la guerre de 4e génération qu’ils mènent, en recrutant des pseudo-intellectuels retournés qui essaient de semer la discorde et assènent des contrevérités distillées dans les médias et sur les réseaux sociaux. A l’instar de Boualem Sansal, un autre scribouillard mercenaire, Kamel Daoud est un imposteur dans le monde des Lettres. Les plumes trempées dans la douleur de Saada Arbane, une victime du terrorisme en Algérie, ou dans le sang des enfants de Gaza ne méritent qu’un prix, celui de l’indignité.
Y. Z.
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