La France : comment gouverner un pays qui ne veut plus d’un leader ?

MB France
L'un est parti, reste l'autre... Pour quel avenir ? D. R.

Une contribution du Dr A. Boumezrag – En 2024, la France est à la croisée des chemins : après les élections législatives anticipées, un constat s’impose comme une évidence frappante : le pays ne veut plus de leader. Ou, du moins, il ne veut plus d’un seul leader. Une sorte de cacophonie démocratique où chacun cherche sa voie, mais personne ne veut en prendre la responsabilité. Le chaos politique qui secoue la Ve République n’est pas un accident, mais une conséquence logique d’une déconnexion profonde entre l’élite dirigeante et une population lassée de l’autorité centralisée. Alors, comment gouverner un pays qui, paradoxalement, ne cherche plus de gouvernance unifiée ?

Une présidence en rupture de ban

A l’origine de ce phénomène, on pourrait citer les Gilets jaunes, la crise sanitaire et la montée des tensions sociales. Mais derrière les révoltes et les contestations, il y a un rejet plus fondamental : l’idée même du leadership. Le dernier mandat de Macron, avec ses réformes impopulaires, a montré que l’image du Président omnipotent n’était plus tenable. Aujourd’hui, la France semble préférer l’absence de dirigeant plutôt qu’un dirigeant qui lui impose une vision. Résultat : l’Exécutif navigue en eaux troubles, incapable de s’imposer face à un Parlement fragmenté, et de plus en plus de Français se demandent si la figure du Président ne serait pas un anachronisme.

Un leader ? Non merci, on préfère les réseaux sociaux

Il faut dire que la classe politique française s’est construite autour d’une centralisation du pouvoir, avec un Exécutif fort, incarné par un chef d’Etat omnipotent. Mais cette vision est-elle encore adaptée aux exigences de la société moderne, ou même aux dynamiques contemporaines de gouvernance ? La France, traditionnellement une nation où le «leader» doit être à la fois père et roi, semble désormais préférer des figures plus éclatées, plus fragmentées. Loin des grands discours et des réformes de la grandeur, les Français se tournent de plus en plus vers des leaders provisoires, populistes ou éphémères. On les trouve sur les réseaux sociaux, dans les manifestations, ou dans les petites causeries de café, où les «leaders» sont toujours plus proches des préoccupations immédiates que des grands principes abstraits.

Le paradoxe, bien sûr, est que ce vide de leadership laisse place à des tentatives de gouvernance chaotiques. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, en tête, rivalisent pour récupérer cette légitimité décentralisée. Mais aucun d’eux ne parvient à fédérer véritablement autour d’un projet national commun. Leur leadership ne parle qu’à une partie de la population, nourrissant la division plutôt que la cohésion.

Entre deux rives : la VIe République en gestation ?

L’hypothèse d’une VIe République, pour ceux qui croient encore en l’idée d’une réforme institutionnelle, devient de plus en plus séduisante. Mais là encore, il ne s’agit pas simplement de changer de régime pour espérer qu’un miracle se produise. Il s’agirait de repenser le rôle du leadership dans une France plus éclatée, plus diverse. Les voix s’élèvent pour envisager un système plus collégial, plus participatif, où le pouvoir se divise, se partage et, surtout, se partage avec la population. Mais une telle réforme nécessiterait une volonté politique forte, et surtout un véritable leadership pour en définir les contours… mais qui en serait le porte-étendard ? Personne ne semble être prêt à prendre le risque de l’incarner, à moins que ce ne soit un véritable miracle d’unité nationale. Et encore.

Dérision du leadership : un mal nécessaire ?

La question demeure : faut-il vraiment un leader ? La tendance de la société à rejeter une figure autoritaire pourrait bien cacher une vérité plus désagréable : peut-être que la France cherche désespérément à éviter l’effort nécessaire pour bâtir une gouvernance solide et cohérente. On préfère la fragmentation, les débats sans fin et les solutions fragmentées aux grandes décisions imposées par un seul homme ou une seule femme. Mais, sans leadership, il devient difficile de mener un pays à bon port. En attendant, le pays semble s’égarer, sans direction claire, ni cap à suivre.

Le leadership comme concept : en panne de vision

En résumé, la France se trouve dans une impasse démocratique où l’on hésite entre une autocratie présidentielle ou une anarchie parlementaire. La question du leadership est loin d’être résolue. Les partis politiques s’affrontent dans des combats idéologiques sans fin, sans jamais parvenir à produire un projet commun. Mais, en même temps, cette fragmentation pourrait offrir une occasion inédite de réinventer ce que le leadership signifie en France, si seulement le pays était prêt à accepter que la solution ne réside pas dans un seul homme ou une seule femme, mais dans un processus collectif. Mais encore faut-il que ce processus émerge… Et, à l’heure actuelle, rien ne semble moins sûr.

Ainsi, la France continue de naviguer à vue, sans capitaine pour guider le navire. Mais alors, à qui la responsabilité ? Une chose est certaine : à défaut d’un leader, le pays n’a jamais eu autant de questions sans réponse.

En conclusion, la France se trouve à un carrefour historique où la question du leadership n’a jamais été aussi complexe ni aussi incertaine. Le pays, pris dans un tourbillon de divisions politiques et sociales, semble hésiter entre la recherche d’un leader fort, comme par le passé, et l’aspiration à un modèle plus décentralisé et collaboratif. Mais à l’heure actuelle, l’absence d’une vision claire et partagée pour l’avenir met en lumière l’impasse dans laquelle se trouve la gouvernance française. Si la France ne veut plus d’un leader unique, elle doit redéfinir ce que signifie «diriger», en intégrant la diversité des voix et des idées sans tomber dans l’anarchie ou la fragmentation excessive. Mais, en attendant, le pays semble avancer sans cap ni boussole, un peu perdu, un peu désabusé, mais toujours en quête d’une direction. Le vrai défi du leadership, aujourd’hui, n’est donc pas de chercher le sauveur, mais d’apprendre à gouverner ensemble dans un monde qui ne croit plus en l’autorité centralisée.

«La France hésite entre le charisme du général De Gaulle et l’anarchie du général Chaos : l’un n’est plus là, l’autre frappe à la porte.» Ce titre résume avec une ironie percutante et un cynisme certain l’impasse politique dans laquelle se trouve la France aujourd’hui. L’évocation du général De Gaulle, symbole d’un leadership fort et unificateur, contraste brutalement avec l’image du «général Chaos», figure de la désorganisation et de l’instabilité. Le premier, représentant une époque révolue où la France semblait plus sûre d’elle-même sous une autorité incontestée, n’est plus là pour guider le pays. Le second, métaphore de l’incertitude et de la déstabilisation, est désormais sur le point de prendre le relais.

Cela reflète la difficulté de la France à trouver un équilibre entre un leadership autoritaire et une gestion plus participative, mais sans sombrer dans le vide politique. L’ironie de cette situation réside dans le fait que, tandis que le pays cherche désespérément un leader digne de ce nom, il court aussi le risque de se retrouver sous l’emprise de l’irrationalité et du chaos.

A. B.

 

Comment (19)

    étrange question :
    6 décembre 2024 - 19 h 28 min

    « comment gouverner un pays qui ne veut plus d’un leader ? »

    Réponse gratuite : en laissant le peuple, seul souverain, décider de sa vie en toute transparence et de manière directe et avec ceux qu’il désigne en responsabilité et qu’il peut révoquer quand il le désire.

    Dr Boum semble ne pas connaître cette vision, et la sienne semble s’arrêter au pouvoir vertical des autoritaires et dictateurs. Comme Macron, parmi bien d’autres……. On voit où cela mène.

    Dr A. Boumezrag, les Français « ne voulant pas d’un leader », dont vous parlez n’existent pas, ils ont des élections régulières pour désigner leurs dirigeants. Vous pouvez le vérifier en suivant un peu la vie politique en France.

    SAUVER LA FRANCE
    6 décembre 2024 - 10 h 33 min

    Xavier Driencourt , Sarah Knaffo , Jordan Bardella , Pascal Praud et Bollore
    ont trouvé la Solution pour SAUVER la FRANCE
    .
    – Interdire les Visas aux Algériens
    – Bloquer les retraites des Algériens
    – Rompre l’Accord de 68 avec l’Algerie
    – Remplacer tous les prénoms Musulmans
    par Jordan , Alison , Jonathan , Michael
    .
    Trop Fort !
    Xavier Driencourt , Sarah Knaffo , Jordan Bardella , Pascal Praud et Bollore ont trouvé la Solution pour SAUVER la FRANCE

      La France est le PAYS DE GUIGNOL
      6 décembre 2024 - 12 h 56 min

      Laurent Mourguet
      Le créateur de Guignol, est né le 3 mars 1769 dans une famille de modestes tisserands de soie.
      . Lorsque le commerce de la soie connaît des moments difficiles pendant la Révolution française, il devient colporteur
      . En 1797, il commence à pratiquer la dentisterie, qui à l’époque n’est que l’arrachage de dents.
      .
      Laurent Mourguet se fait ARRACHEUR DE DENTS
      Le service était GRATUIT : L’argent est gagné avec les Medicaments vendus par la suite pour SOULAGER la DOULEUR.
      .
      Pour attirer les patients, il a commencé à mettre en place un SPECTACLE DE MARRIONNETTES devant le fauteuil de son “DENTISTE”.
      .
      La France a toujours besoin DE GUIGNOLS , les Le Pen, Zemmour , Ciotti , Bardella , Knaffo , ect…
      .
      CNews est la Scene de Spectacle
      Pascal Praud , Le Pen , Zemmour ect….sont les Nouveaux Guignols pour Divertir les Clients des Arracheurs de Dents
      Et puis il y a
      BOLLORE et Consorts VENDENT les Médicaments contre la Douleur €€€€
      .

      Souleymane III
      6 décembre 2024 - 21 h 00 min

      et james dean pour Chemsdeen, on peut ?

    Lahouaria
    6 décembre 2024 - 6 h 39 min

    Ce n’est pas qu’il ne veulent pas qu’ils ne veulent pas de leader, c’est Macron et son gouvernement qu’ils rejettent, la gauche de toutes tendances a gagné en Juillet dernier, Macron a volé la victoire de la Gauche pour mettre une vieille connaissance à lui de l’extrême droite, un homme malade qui n’a pas sa langue dans sa poche (M’charek el fom ) Barnier était contre les pauvres et il avait dit qu’il allait sécuriser la Carte Vitale, la même semaine, il est rentré à l’hosto pour se faire déboucher les veines cervicales.
    Les français qui ont voté pour la gauche, veulent une vraie démocratie avec un autre président issu du peuple, pas un président fabriqué les Rothschild, imposé par le crif pour défendre les intérêts d’Israël en France. La démocratie n’est pas l’austérité or, depuis que Macron les français sont encore plus pauvres. Par exemple moi, je suis obligée de virer un mandat de 40€ ou plus tous les mois vers le 26/27 du mois à ma sœur qui vit à 200km d’ici, sinon elle crève la dalle, car son employeur la paie que le 4 du mois. Je ne peux la laisser comme ça, déjà je nourris tous les animaux de mon quartier et parfois les animaux du Mirail qui crèvent la dalle à cause de Macron et ses sbires qui ont supprimé la cette activité ou des agents des parcs animaleries venaient nourrir les volatiles maintenant, personne ne vient , ma sœur qui habite à 20km vient me chercher et on sillonne les quartiers limitrophes et on nourrit les oiseaux pigeons et les chatons 3 fois/semaine, sinon dans mon quartier je descends tous les jours au Parc et je leur donne des grains ou du pain en miette surtout les oiseaux, ces temps j’ai remarqué des corbeaux, et des tourterelles timides qui ont très faim. J’achète du pain de mie, des graines d’oiseaux, surtout les mies de pain. Ils me connaissent bien
    Avant des agents venaient les nourrir mais la Mairie n’a pas d’argent… C’est l’austérité.
    La France est une République Bananière et cocotière.
    Wessalam..

    Anonyme
    5 décembre 2024 - 18 h 53 min

    Libération ils ont été sans pitié avec leur titre : Vini Vidi Viré ! 😭

    Luca
    5 décembre 2024 - 18 h 34 min

    Ce pays n’a jamais eu de leader à part Zidane et unpeu Sarkozy. C’est un pays qui n’a aucun cap à part celui de laisser pousser pousser pousser encore le racisme et les fonctionnaires car ils votent et les retraités car ils votent aussi. Ces personnes doivent se remettre en cause et exiger la fin du racisme et de la corruption du piston, sinon ils ne feront que maintenir en place un système bloqué et fatalement à charge contre le progrès et la richesse matérielle et humaine…, et l’épandage de maladie et de virus via la zone aérienne ne sera pas près de s’arrêter

      Anonyme
      5 décembre 2024 - 21 h 24 min

      Sarkozy un … juif hongrois sioniste de première , adore le Maroc et rejette complètement l Algérie, le deuxième rejette aussi l Algérie qd ça l arrange et préfère la France de loin. Rien est faux !

        Luca
        5 décembre 2024 - 21 h 40 min

        Je n’ai rien contre les Hongrois , ni contre les juifs surtout leurs femmes. Le Maroc cela n’existe pas, c’est un territoire français. Par contre il y a le grand et beau et noble peuple marocain , et sa terre riche

          Ouai
          6 décembre 2024 - 10 h 19 min

          Ton noble et grand peuple du Morrakoch
          est SOUMIS Se Couche et fait la COURBETTES devant ses maîtres depuis des Siècles

          Anonyme
          6 décembre 2024 - 20 h 36 min

          Le plus malhonnête selon Google mais tu as oublié de le dire donc je rectifie le tir, c’est écrit sur Google si tu frappes dans le moteur de recherche qui est le peuple ‘e plus malhonnête du monde et t aura la réponse. Le peuple marocain et aussi le plus servile du monde qd il baise la main de son roi et de son prince . Oui après les femmes juives ça peut se discuter 🤪 même si c’est halam, paraît il ?

    Mohamed El Maadi
    5 décembre 2024 - 16 h 58 min

    Macron incarne le parfait exemple d’un président déconnecté et méprisant. Son arrogance démesurée n’a d’égale que son incompétence à diriger le pays. Ancien banquier de Rothschild, il n’a jamais caché son mépris pour les classes populaires, préférant servir les intérêts de ses amis millionnaires et des grands groupes financiers.

    Sa présidence est marquée par une violence sociale sans précédent. Les manifestants sont brutalement réprimés, certains éborgnés par les forces de l’ordre. Il a transformé la France en état policier où la contestation est systématiquement écrasée.

    Son incompétence flagrante se manifeste dans chaque crise. Sa gestion catastrophique a appauvri les Français, détruit les services publics et bradé les joyaux industriels nationaux. Ses « petites phrases » méprisantes – « les gens qui ne sont rien », « les fainéants » – révèlent son véritable visage : celui d’un monarque hautain méprisant son peuple.

    Sa politique n’est qu’une succession de trahisons : retraites, santé, éducation… tout est sacrifié sur l’autel du profit. Il a transformé la France en paradis fiscal pour ultra-riches pendant que les citoyens ordinaires croulent sous les taxes et l’inflation. Un président illégitime qui s’accroche au pouvoir malgré le rejet massif des Français.

    Dr rimiti
    5 décembre 2024 - 14 h 42 min

    « La France …un pays qui ne veut plus d’un leader ? »

    Mon collègue Dr A. Boumezrag a l’air de confondre leader – un(e) dirigeant(e), avec des compétences et une culture politiques – et imposteur, inculte universel, imposé par le seul pouvoir de l’argent.

    Les Français aiment les vrais leaders, de bords politiques et idéologiques différents (de Gaulle, Mitterrand, Chirac deux mandats chacun), mais vomissent en général les imposteurs minables (Sarko, Hollande, Macron).

    Dr A. Boumezrag, l’histoire de France ne montre pas que les Français ne veulent pas de leader, sauf si vous désignez par leader une personne qui a tous les pouvoirs, par exemple les fascistes. Là, effectivement vous auriez raison, les Français, dans leur majorité n’aiment pas les dirigeants totalitaires qui nient la souveraineté du peuple.

    Mon collègue Dr A. Boumezrag nous révèle-t-il ses penchants ou sa préférence pour les leaders plutôt anti-démocratie? C’est évidemment son droit, mais il ne peut imposer à la majorité d’un peuple, fusse-t-il Français, de bannir tout dictateur, comme le minable, imposteur, autoritaire Macron. Qui a mené son pays dans la merde, en appauvrissant plus les pauvres et en enrichissant plus les riches.

    Les faibles lui présente la facture. Dr A. Boumezrag a l’air de le regretter. Du courage cher collègue, ce n’est que le début, la suite risque d’être « à la française » c’est-à-dire bien féroce.
    Et machmach comme disent les jeunes za3ma croyants.

    P.S. Quant à la question comment gouverner un pays?
    Un seul moyen : avec son vrai et seu propriétaire, le peuple.
    Toute autre tentative est vouée à l’échec, tôt ou tard.
    Partout, le peuple finit toujours par présenter sa facture.
    Demandez aux Algériens.

      Bab el oued
      5 décembre 2024 - 22 h 18 min

      « Partout, le peuple finit toujours par présenter sa facture.
      Demandez aux Algériens. »

      J’adore.

      Chez nous en 1954, puis en 1988, et enfin le hirak pour faire dégager boutef et sa mafia.

      Quant aux Français, vous avez raison, ils finissent toujours par présenter la facture à leurs dictateurs, ils ont même inventer la guillotine.
      Mais en général, ils respectent aussi leurs dirigeants qui les respectent.

    Alain Dashung
    5 décembre 2024 - 12 h 09 min

    Macron aurait du profiter de son voyage en Arabie pour faire la Omra😂😂

    Tout va bien. Rassurez-vous !
    5 décembre 2024 - 8 h 49 min

    Xavier Driencourt va rompre l’Accord de 68
    avec l’Algerie pour SAUVER la FRANCE

    Brahms
    5 décembre 2024 - 5 h 22 min

    L’argent est passé où ?

    Il a fait 947 milliards d’euros de dettes donc forcément, il a lui même creusé le trou.

    La théorie développée par Lord Keynes dans les années trente avait déjà été mis en lumière par le Sapeur Camembert, célèbre économiste Français de la fin du XIX siècle et à qui Keynes a beaucoup emprunté sans jamais cependant reconnaître sa dette intellectuelle.

    Ce grand homme, fort modeste, avait été chargé par son caporal de creuser un trou pour y enfouir des ordures. Ayant creusé son trou et y ayant mis les déchets, cet économiste déjà socialiste (sans le savoir) se retrouva devant un nouveau problème : que faire du tas de terre, conséquence logique du trou maintenant comblé ? Comme son caporal passait par là, la question fut posée. La réponse, fort simple fut bien sur de creuser un autre trou pour y déposer la terre et d’aller passer quatre jours au poste de police pour avoir importuné son Caporal avec des questions stupides.

    La solution au problème de la dette dit le caporal Moscovici est de creuser un autre trou. Il fallait y penser !

    zembla
    5 décembre 2024 - 4 h 14 min

    Avec Trump au Capitole et un gouvernement Francais qui va tirer encore plus à droite l’Algérie va vite se rendre compte qu’elle a besoin d’alliés dans le monde .

      Anonyme
      5 décembre 2024 - 20 h 54 min

      C’est l inverse, c’est eux qui compte sur l Algérie pour plusieurs raisons et c’est pas d aujourd’hui. Tu ne peux comprendre les intérêts entre ces pays leurs convergences de points et leurs divergences il y en a aussi. Le dialogue est important pour l intérêt de tous mais l Algérie reste l Algérie et bien souveraine et libre de ces propres politiques, elle a les moyens de ces prétentions et la richesse et la force avec un grand pays et grand peuple, bien sûr ces pays sont plus puissants mais on s arrête pas là sinon c’est trop facile et c’est plus du jeu, l Algérie adore ça les jeux de fdp elle joue très bien.. C est pas au vieux singe qu ils vont apprendre à faire la grimace voyons ?🇩🇿❤️ J allais oublié lundi je crois ou ttes bien tôt Trump est invité par Macron et Biden aussi à l inauguration des travaux effectué à notre Dame , ben tu sais ce qu il la dit Trump, de dire à Macron de prier Marie pleine de grâce pour son propre salut et celui de la France. 😁🇩🇿. J ai oublié aussi le pape il vient pas, il ne peut prier avec des démons sionistes et va t en guerre.

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