Israël profite de la chute d’Al-Assad pour actionner son agent Ferhat Mehenni
Par Houari A. – L’Etat voyou d’Israël, qui vient de renverser le président Bachar Al-Assad par le biais de son bras armé islamiste Tahrir Al-Sham, compte bien profiter de cette «victoire» en Syrie, où il a littéralement anéanti les forces armées syriennes, pour se tourner vers l’Algérie qui lui en fait voir des vertes et des pas mûres sur les plans diplomatique et judiciaire. Pour ce faire, le régime nazi de Tel-Aviv a actionné son agent Ferhat Mehenni qui multiplie les sorties en France, concomitamment avec les événements qui secouent le Proche-Orient.
Le président autoproclamé de la Kabylie est invité par plusieurs médias français, étrangement dans ce contexte précis, pour réitérer son discours séparatiste et ses geignements sur le sort réservé à la «minorité kabyle opprimée» en Algérie. L’ancien chanteur converti à la politique, s’inscrivant dans une obédience extrémiste raciste, est allé plus loin dans son activisme depuis quelques jours. Selon ses dires, l’indépendance de la Kabylie, qui est une fatalité, est proche. Qu’est-ce qui lui donne autant d’assurance ?
Le briziden explique aux Français que «seul un Etat kabyle peut maintenir les équilibres dans la région». Son message est clair : nous sommes le Tahrir Al-Sham de la partie ouest de la Méditerranée, armez-nous et nous détruirons l’Algérie pour vous comme vos groupes islamistes l’ont fait en Syrie !
C’est à partir de France que le chef de ce mouvement, considéré comme terroriste en Algérie et réclamé par la justice algérienne, agit sous la protection des services secrets français à cause des complots desquels l’ambassadeur de France à Alger a été convoqué au ministère des Affaires étrangères. Les provocations françaises à l’encontre de l’Algérie vont crescendo et tout indique que le président finissant Emmanuel Macron – il est de plus en plus question de sa démission inévitable en cas de censure du gouvernement Bayrou – a été instruit par le puissant lobby sioniste de consacrer les mois ou les années qui lui restent à la tête d’une France agonisante à mener des visées bellicistes contre la récalcitrante Algérie.
L’éponge Ferhat Mehenni échouera évidemment dans ce mauvais vaudeville, où il excelle dans le rôle du comique va-nu-pieds.
H. A.
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