Exclusif – Plainte contre Brigitte Macron pour crime de faux et viol sur mineur
Par Kamel M. – L’affaire est étouffée en France. Mais elle finira par éclater au grand jour en dépit du silence de cathédrale observé dans les médias appartenant aux nababs du CAC 40 qui n’ont pas intérêt à soulever la jupe. Nous venons, en effet, d’apprendre qu’un procès a été intenté à l’individu qui se présente comme l’épouse du président français, Emmanuel Macron, pour une série de griefs plus graves les uns que les autres.
La plainte contre X a été déposée par les avocats Fortabat-Labatut et Fabrizio S. Nucera Giampaolovient, à la demande de Christian Cotten, auprès du Tribunal judiciaire de Paris, pour «usurpation d’identité», «crime de faux par représentant de l’Etat», «usage de faux», «atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité», «mariage illégal», «usurpation de fonctions», «escroquerie au jugement» et «crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation».
La requête sur plaignant relève qu’«un homme, né le 11 février 1945 à Amiens, aujourd’hui âgé de 79 ans, du nom de Jean-Michel Trogneux, usurpe depuis le milieu des années 1980 l’identité de sa plus jeune sœur Brigitte Trogneux, née le 13 avril 1953 à Amiens et aujourd’hui disparue depuis 1960 et ce en se présentant lui-même comme femme». «Cet homme dispose depuis plusieurs décennies de documents officiels d’identité, qu’il utilise et qui lui ont été fournis par des dépositaires de l’autorité publique ayant ainsi commis des faux criminels», lit-on dans la plainte.
«En septembre 1992, alors qu’il exerce le métier de professeur de français dans un collège-lycée d’Amiens, cet homme, se présentant comme femme en se faisant appeler Brigitte Trogneux, alors âgé de 47 ans, rencontre le jeune Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens et initie une relation de couple avec lui, alors que celui-ci n’est âgé que de 14 ans. Ce fait constitue une atteinte sexuelle et un viol sur mineur par un adulte ayant autorité et plus de cinq ans de différence d’âge. Ni les agents de l’Etat ni les autres adultes ayant connaissance de cette situation ne la dénonceront aux autorités compétentes comme la loi leur en fait obligation», dénonce encore le plaignant, psychosociologue à la retraite.
«En 2007, M. Jean-Michel Trogneux contracte officiellement mariage avec M. Emmanuel Macron, alors même que le mariage entre deux personnes du même sexe n’est autorisé par la loi que depuis 2013. Ce mariage est donc illégal, nul et non avenu», précisent les avocats, qui expliquent que «depuis cette date, M. Jean-Michel Trogneux se présente comme Brigitte Trogneux, épouse Macron et bientôt, depuis 2017, comme l’épouse du président de la République française, ce qui constitue formellement une usurpation de fonctions punie par la loi».
«En juin puis septembre 2024, M. Jean-Michel Trogneux se fait représenter devant la 17e chambre correctionnelle du Tribunal judiciaire de Paris sous la double identité de Jean-Michel Trogneux et de Brigitte Macron, aux fins d’obtenir des dommages et intérêts des prévenues qu’il a poursuivies en diffamation. Ce fait constitue une escroquerie au jugement», est-il souligné dans la plainte.
«Les citoyens et électeurs français sont victimes directes de cet ensemble de tromperies, crimes et délits tout particulièrement depuis 2017, lorsque M. Emmanuel Macron, que l’on considérera comme victime de l’emprise psychologique de M. Jean-Michel Trogneux par abus de faiblesse, est élu président de la République française», font constater les avocats qui indiquent que la partie civile, «qui porte plainte aujourd’hui est citoyen français et électeur et fait donc partie des victimes de cette affaire».
Christian Cotten «entend représenter tous les citoyens et électeurs français qui se considèrent victimes de cette tromperie sur les qualités réelles d’une personne s’étant présentée comme candidat aux élections présidentielles de 2017 et de 2022», poursuivent les avocats, qui font savoir que leur client saisit le tribunal «pour préjudices moral et matériel, au regard […] des tromperies qui mettent formellement en cause jusqu’à la légalité des opérations électorales présidentielles de 2017 et 2022».
Sollicité par Algeriepatriotique, le plaignant a confirmé l’authenticité de la requête adressée au tribunal, et annonce la diffusion prochaine d’une émission sur la chaîne GPTV «dans moins de 8 jours». «D’autres contacts sont en cours pour exposer face caméra les informations dont nous disposons et les motifs et motivations de notre action», a-t-il conclu.
K. M.
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