Le carnage continue à Gaza : 45 129 martyrs et 107 338 blessés

Le bilan de l’agression génocidaire sioniste en cours dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, s’est élevé jeudi à 45 129 martyrs et 107 338 blessés, en majorité des femmes et des enfants, ont indiqué les autorités palestiniennes de la santé.

Selon la même source, 4 nouveaux massacres sionistes ont été commis à Gaza, faisant 32 martyrs et 95 blessés parmi les Palestiniens au cours de ces dernières 24 heures.

Les autorités palestiniennes de la santé ont indiqué qu’un certain nombre de victimes palestiniennes se trouvaient encore sous les décombres et sur les routes, et que les forces d’occupation empêchaient les ambulances et les équipes de la Défense civile de leur porter secours.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression barbare contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures, en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.

R. I.

Comment (4)

    Mohamed El Maadi
    19 décembre 2024 - 22 h 06 min

    Les bourreaux d’aujourd’hui singent leurs tortionnaires d’hier avec une maestria qui ferait pâlir les architectes de la solution finale. Gaza est devenue leur laboratoire à ciel ouvert, où ils perfectionnent l’art de l’extermination systématique sous les applaudissements discrets des « démocraties » occidentales.

    Quelle magistrale hypocrisie ! Les mêmes qui brandissent à longueur d’année le devoir de mémoire transforment les enfants palestiniens en dommages collatéraux acceptables. La machine de guerre sioniste pulvérise écoles, hôpitaux et camps de réfugiés avec une précision chirurgicale qui ne doit rien au hasard. Le message est limpide : un enfant palestinien ne vaut pas plus qu’une statistique dans leur comptabilité macabre.

    Et que dire de ce pitoyable ballet des régimes arabes, ces marionnettes pathétiques qui se précipitent pour lécher les bottes de leurs nouveaux maîtres ? Les Émirats, ce bordel de luxe du Moyen-Orient, qui transforme la trahison en art de vivre. Le Maroc, qui livre ses frères palestiniens comme on livre un colis postal. La Jordanie, ce royaume croupion qui fait le beau pour quelques miettes du festin sioniste. Sans oublier l’Arabie Saoudite, qui attend sagement son tour pour aller pleurnicher sur le mur des lamentations, une fois que l’oncle Sam aura donné sa bénédiction.

    La prostitution politique a atteint des sommets vertigineux : Damas, jadis bastion de la résistance, ferme ses portes aux Palestiniens. Les voilà, les nouveaux collaborateurs, qui rivalisent d’ingéniosité pour prouver leur servilité à l’entité sioniste.

    Pendant ce temps, les « gardiens de la morale internationale » se contentent de « condamner fermement » entre deux cocktails diplomatiques. Les résolutions de l’ONU s’empilent comme du papier toilette pendant que les bombes au phosphore illuminent le ciel de Gaza.

    L’Algérie reste seule, dernière voix discordante dans ce concert de lâchetés. Mais que peut la voix de la dignité face aux missiles et aux dollars ?

    La « seule démocratie du Moyen-Orient » nous offre un spectacle édifiant : celui d’un État qui transforme son histoire traumatique en manuel d’instructions pour perpétrer les mêmes atrocités qu’il dénonce. Le ghetto de Varsovie est devenu leur modèle d’urbanisme pour Gaza, avec en prime les dernières innovations technologiques en matière de destruction massive.

    Les survivants de l’Holocauste doivent se retourner dans leurs tombes en voyant leurs descendants transformer leur « Plus jamais ça » en « Plus jamais ça… sauf pour les autres ». La banalisation de l’horreur atteint son paroxysme quand les victimes d’hier excellent dans le rôle des bourreaux d’aujourd’hui.

    Cette terre qu’ils prétendent leur avoir été promise par leur dieu est devenue le théâtre de leur déchéance morale. Ils y ont semé non pas le lait et le miel, mais la haine et le sang, créant une génération entière qui ne connaîtra d’Israël que la terreur des bombes et la douleur du deuil.

    Voilà le véritable visage du projet sioniste : un apartheid moderne qui se nourrit du sang des innocents, soutenu par une communauté internationale complice qui préfère détourner le regard plutôt que d’affronter le monstre qu’elle a contribué à créer.

    dz
    19 décembre 2024 - 15 h 42 min

    pourquoi l entite se generait de massacrer les palestiniens puisque on leur a signe un cheque en blanc personne n ose rentrer en conflit hormis quelque comdamnation rien de plus silence radio a mon avis les palestiniens devraient sauver leur peau et se refugier ailleurs eux et leur famille il y beaucoup de pays arabe autour qui seraient ravis de les recevoirs

    Elephant Man
    19 décembre 2024 - 15 h 04 min

    Allah yrahmoum
    Le conte n’est pas bon > 200 000 morts Allah yrahmoum
    FREE PALESTINE

    45 129 ...??
    19 décembre 2024 - 14 h 01 min

    Il faudrait que les autorités palestiniennes de la santé nous disent si les palestiniens hommes, femme, enfants qui sont encore sous les décombre sont comptabilisés oui ou non. Est-ce que les 45 129 ne
    concerne pas seulement des Gazaouis qui ont eu une sépulture normale. L’armée israélienne ne tue pas avec des fusils ou des mitraillettes , à ma connaissance.

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