Tebboune procède à un mouvement partiel des chefs de postes diplomatiques et consulaires

Tebb loi de finances
Abdelmadjid Tebboune. D. R.

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a procédé à un mouvement partiel des chefs de postes diplomatiques et consulaires, conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution, indique, samedi, un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines.

«Conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a opéré un mouvement partiel dans le corps des chefs de postes diplomatiques et consulaires, ayant touché 28t ambassadeurs,  6 consuls généraux et 5 consuls», précise la même source.

Le communiqué souligne que «ces nouvelles nominations s’inscrivent dans le cadre de l’optimisation de la performance de l’appareil diplomatique face aux enjeux du moment et avec l’objectif également de garantir une meilleure prise en charge de notre communauté  nationale à l’étranger».

Le ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines note que «ces nominations entreront en vigueur une fois que les procédures protocolaires requises seront accomplies».

R. N.

Comment (2)

    Anonyme
    28 décembre 2024 - 22 h 02 min

    Tebboune a compris bcp de choses pdt son premier mandat et le costume de président il le porte bcp mieux et il a fait de bonnes choses la première c est la réduction d importation et de faire sois même et je pense que l Algérie se développe et que le citoyen algérien trouve aussi sa place et quelqu il soit. Je n y vis pas mais j ai eu des échos plus ou moins favorable de ces politiques et réformes initiées par le président Tebboune par des membres de ma famille dont certains modestes , un léger mieux pour eux.

      Captain
      29 décembre 2024 - 11 h 44 min

      Tout à fait ! Tebboune est sur la voie des grands présidents de l’Histoire, il doit continuer ses efforts et que cela soit tangible aussi dans la vie de tous les jours et de la prise en charge des Franco-Algériens persécutés en France par le régime et la justice Française. Les autorités en charge surtout celles nouvellement nommées (les autres passent leur temps à dormir et à manger) doivent sérieusement se pencher sur la question de la prise en charge du « retour » un peu forcé des Franco-Algériens de France en Algérie. Leur trouver logement en priorité qui leur soit réservé, ils aideront l’Algérie à se relever plus rapidement. Il faut aussi lutter avec toutes nos forces contre la criminalité et la délinquance, si possible en renforçant les peines très sévèrement, comme c’est le cas à Singapour et au Salvador, pour ramener la paix entre les Algériens dans nos villes et campagnes. Le développement harmonieux de l’Algérie nécessite de tenir compte des différences de niveau culturel entre les classes d’Algériens, notamment les Algériens de la Diaspora qui vont bientôt rentrer en masse en Algérie. Les uns aideront ainsi les autres à élever leur niveau culturel, cette distinction dont parle Bourdieu et à mieux vivre au lieu de pourrir la vie de leur concitoyens par le bruit et les odeurs ! Malek Bennabi se plaignait régulièrement du bruit de son voisin du dessus comme il le raconte dans ses mémoires ! Comment cela était-il possible ? Car cela un autre temps, de grande barbarie culturelle, aujourd’hui les temps sont à une remise à niveau du niveau culturel des Algériens, au moins à hisser au niveau de celui des Iraniens… Cette question du vivre-ensemble avec des paysans qui débarque dans les villes -exode rural massif assez récent- est primordiale et nécessite un pilotage au niveau ministériel voire présidentiel. Ce sera la clé de notre succès. Si le futur mathématicien vit dans un voisinage malsain il ne pourra jamais s’épanouir. Voila le grand fléau de l’Algérie : l’Algérien est le meilleur de l’Algérie. Voilà pouquoi il faut remettre la justice et la culture en sein de chaque famille algérienne et créer des centres culturels qui accueilleront la fine fleur de l’Algérie notamment à l’orée des grandes villes. Il est d’un grand malheur que toute l’attention n’ait pas été donné par les pouvoirs publics pour permettre que les anciennes « nouvelles villes » algériennes ne dégénèrent pas centres nouveaux de criminalité nouvelle mais des havres de développement pour Algérien en quête de beauté et de paix intérieure.

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