Le rentier de la mort Zelensky s’accroche à un conflit qui décime sa population
Une contribution de Mohamed El-Maadi – La guerre en Ukraine touche à sa fin, révélant une vérité que beaucoup refusent encore d’admettre : Zelensky, ce rentier de la mort, s’accroche désespérément à un conflit qui décime sa population. Chaque jour de guerre prolongée remplit ses comptes en Suisse tandis que ses citoyens, de plus en plus lucides, désertent massivement ou fuient leur pays pour échapper à un enrôlement forcé dans cette boucherie insensée. Cette guerre est devenue son fonds de commerce, sa raison d’être politique.
Trump s’apprête à siffler la fin de cette tragédie sanglante, malgré les résistances acharnées de l’establishment américain et du complexe militaro-industriel qui s’est grassement enrichi sur le dos des contribuables. Cette défaite sera particulièrement cinglante pour la France belliqueuse de Macron, passée du mépris initial envers Poutine à une hostilité hystérique et contre-productive. Quelle humiliation pour cette nation qui a bradé son arsenal militaire jusqu’à l’épuisement, formé des commandos fantômes qui se sont évaporés dans la nature, et proposé d’envoyer ses soldats au massacre dans une démonstration d’incompétence stratégique ahurissante !
Israël rejoint inexorablement le camp des perdants. Après sa débâcle retentissante en Palestine, sa position en Ukraine s’effondre face à l’alliance militaire russo-iranienne qui redessine les équilibres régionaux. L’arrogance occidentale, qui croyait naïvement faire tomber l’édifice Poutine d’une simple chiquenaude, s’est heurtée à la résilience légendaire du peuple russe, héritier de l’épopée soviétique et de ses sacrifices historiques.
Cette guerre injuste contre la Russie, orchestrée par des marionnettes au service d’officines douteuses et de lobbies obscurs, nous a menés plusieurs fois au bord du gouffre nucléaire. Les va-t-en-guerre occidentaux, dans leur aveuglement idéologique, ont joué avec le feu sans mesurer les conséquences apocalyptiques potentielles de leurs actions. Certains ont cyniquement instrumentalisé l’Occident pour régler leurs comptes historiques avec Moscou, transformant l’Ukraine en champ de bataille par procuration.
La Russie émerge considérablement renforcée de cette épreuve. Son industrie militaire a fait des bonds technologiques impressionnants, développant des systèmes d’armement qui surpassent désormais leurs équivalents occidentaux. Son économie, loin de s’effondrer sous les sanctions, s’est réinventée, diversifiée et renforcée. Les sanctions occidentales se sont retournées comme un boomerang contre leurs instigateurs, accélérant la dédollarisation mondiale et l’émergence d’un nouvel ordre économique multipolaire.
Pendant ce temps, l’Europe s’est déshonorée en attisant les braises d’un continent déjà deux fois ravagé par les guerres mondiales. Au lieu de jouer son rôle historique de médiateur et de défenseur de la paix, elle s’est transformée en vassale servile des intérêts américains, sacrifiant son autonomie stratégique et le bien-être de ses citoyens sur l’autel d’une guerre qui n’était pas la sienne.
L’histoire retiendra cette victoire russe totale comme un tournant décisif dans les relations internationales. Elle marquera la fin de l’hégémonie occidentale et l’émergence d’un monde multipolaire plus équilibré. L’Europe, qui a trahi ses valeurs fondamentales de paix et de dialogue pour servir des intérêts qui n’étaient pas les siens, mettra des décennies à se remettre de ce désastre stratégique et moral.
Les générations futures étudieront cette période comme un exemple classique d’hubris occidental, où l’arrogance et la présomption ont conduit à une défaite aussi prévisible qu’évitable. La Russie, quant à elle, aura démontré qu’à l’ère moderne, la résilience nationale, la cohésion sociale et la détermination stratégique l’emportent sur la propagande et les manipulations financières.
M. E.-M.
