Le fils à papa et à maman Louis Sarkozy veut incendier l’ambassade d’Algérie
Par Karim B. – Le fils de Nicolas Sarkozy a de qui tenir. Son père biologique et son père d’adoption sont, le premier lèche-bottes du Makhzen, le second de nationalité marocaine. Il n’est donc pas étonnant que cette descendance de la femme aux trois maris veuille brûler l’ambassade d’Algérie à Paris. Ses études dans une école militaire américaine prestigieuse, au lieu de lui inculquer les bonnes manières, semblent l’avoir enfoncé dans la bêtise héritée et du président qui vient d’être assigné à résidence et de l’affairiste fassi qui a fait son beurre dans le baratin commercial.
Louis Sarkozy a rejoint la meute d’aboyeurs en vomissant le trop-plein de haine contre l’Algérie, avec laquelle ses parents l’ont nourri depuis qu’ils l’ont reproduit. C’est dans un entretien au journal Le Monde que ce Franco-Américain s’est lâché sur la crise qui bat son plein entre l’Algérie et la France. Chauffé à blanc par les outils de propagande français et marocains avec le contenu desquels il sustente sa cervelle de moineau, l’enfant gâté de sa maman Cécilia, affublée d’un nom de jeune fille à particule, vient d’affirmer dans les colonnes du quotidien français, qui lui a donné la parole pour «célébrer» son retour en France – hourra ! Les Français d’en bas sautent de joie d’apprendre que le fils de… est rentré au bercail –, s’emporte et s’empare de son briquet Zippo : «Si j’étais aux manettes et que l’Algérie arrêtait Sansal, je brûlerais l’ambassade, je stopperais tous les visas, j’augmenterais de 150% les tarifs douaniers» (sic). Le rejeton de Neuilly parle au conditionnel, bien sûr !
Cet appel à la violence est puni par la loi française et le chargé d’affaires à l’ambassade d’Algérie en France est appelé à agir au plus tôt, en intentant un procès contre ce malotru pour incitation à un acte criminel contre la représentation officielle d’un Etat étranger, protégée par le droit international. L’obligation de protection des missions diplomatiques et consulaires est, en effet, garantie par les Conventions de Vienne sur les relations diplomatiques et les relations consulaires.
Selon le droit français, l’incitation à la haine et à la violence est publique lorsque les propos ou contenus peuvent être vus, lus ou entendus par le public. Son auteur peut être jugé et condamné à une sanction pénale par le tribunal correctionnel. Le môme Louis Sarkozy mérite de rejoindre son papa sur le banc des accusés et, comme lui, porter un bracelet électronique. C’est sui generis.
K. B.
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