Ce qui attend «l’Ukraine du Sahel» sous la conduite d’une junte inexpérimentée

Mali junte
Comme Zelensky, Goïta fera payer la facrture au peuple malien. D. R.

Par M. Boumaza – A considérer les développements dans la région, il est difficile de ne pas établir un parallèle entre la région de l’Azawad et le Donbass. Toutes deux revendiquent des conditions de vie plus équitables, la préservation de leur identité, de leur langue, etc., et toutes deux ont subi des bombardements suite à l’arrivée au pouvoir de putschistes aux idéologies fascisantes.

Difficile de ne pas voir, en effet, dans la composition ethnique des principaux dirigeants du gouvernement d’une transition qui s’éternise, la plupart d’origine bambara, la cause principale du traitement particulier des autres ethnies (Peuls, etc.)

N’est-il pas curieux que de tous les pays où vivent les Touaregs, leur présence semble poser d’insurmontables et irréductibles problèmes au seul Mali ? Et c’est là encore où leur résistance est la plus farouche, les populations locales finissant par voir les troupes maliennes comme une force d’occupation.

Les dirigeants maliens, se rêvant en empire issu d’une lignée mandingue au-dessus des autres ethnies, prétendent imposer le tempo et un agenda aux autres Etats de l’Alliance. N’oublions pas, au passage, que l’empire du Mali n’a connu son essor qu’au contact des Arabes et des Berbères musulmans, ancêtres de nos Touaregs modernes.

Pire encore, dans une politique consternante d’amateurisme, ils se sont rapprochés d’un malandrin qui, non seulement, au travers de son fantasmagorique «grand Maroc», caresse de chimériques ambitions impérialistes, dans lesquelles le nord du Mali lui appartiendrait de droit, mais qui est également le pion de l’ancienne puissance coloniale, comme le déclarait, avec une désinvolture et une liberté toutes naturelles, le président Macron au sein du Parlement marocain. Je cite : «Le Maroc sera l’intermédiaire par lequel la France reprendra sa place en Afrique et particulièrement au Sahel», sous les applaudissements des parlementaires marocains, au complet pour l’occasion et manifestement heureux de perpétuer leur rôle de protectorat et de faire office de base avancée.

Si les dirigeants maliens ne sont pas au courant de ces réalités, ils font preuve d’une affligeante incompétence et de graves manquements, et s’ils sont en possession de ces informations, alors ils sont coupables de traîtrise envers leur peuple et ceux du Sahel, car cela équivaudrait à faire entrer le loup dans la bergerie par l’arrière-porte.

Les ennemis d’une Afrique en paix et prospère ont pourtant eu quelques frayeurs lorsque des signes de détente se sont manifestés suite à la nomination d’un ambassadeur malien en Algérie. Le président Tebboune, marquant ce rapprochement, dévoilait les projets longtemps en suspens pour le développement de la région. Route et chemin de fer transsahariens reliant les capitales sahéliennes aux côtes méditerranéennes, ports secs pour la commercialisation des marchandises nigériennes et maliennes, zones franches, fibre optique, une première tranche d’un milliard de dollars pour le développement des pays frontaliers, électrification, gazoduc transsaharien, écoles, cliniques et hôpitaux, et autres infrastructures.

Il s’agissait donc d’agir vite. Et, afin de tuer dans l’œuf cette dynamique et toute possibilité d’un avenir prospère pour la région, il fallait pousser la provocation, verbale puis militaire, jusqu’à un seuil intolérable pour susciter une réaction de la partie algérienne et se présenter ensuite en victime. Des agissements qui nous rappellent étrangement les méthodes de certains experts en la matière.

Conseillée par ce nouvel allier, qui jouit d’une prodigieuse réputation de scélératesse et d’une longue tradition de traîtrises, la junte au pouvoir, croyant ou feignant de croire aux mirages miroités par le narco-royaume, veut entraîner dans son aventure des Etats voisins qui n’ont aucun contentieux avec l’Algérie et qui ont tout avantage à poursuivre le partenariat gagnant-gagnant qu’ils ont amorcé ensemble.

Quant aux dirigeants de l’interminable transition maliens, leur vision court-termiste et leur amateurisme diplomatique mènent à pas sûrs vers la partition du pays, déjà inéluctable et irréversible, et risque d’hypothéquer pour longtemps l’avenir des générations futures, à l’instar de l’Ukraine, qui est sommée de rembourser ses soutiens dans une guerre aussi inepte qu’inutile en leur cédant la quasi-totalité de ses richesses naturelles. Car leurs nouveaux partenaires – Maroc, Emirats, entité sioniste –, une fois le pays disloqué et dévasté, ne manqueront pas de présenter l’addition.

En définitive, toute la stratégie et l’action de cette junte inexpérimentée et inconséquente n’auront eu pour résultat que d’entraver le décollage économique de la région, de prolonger la déstabilisation du pays, voire de l’aggraver et de l’étendre à tout le territoire sahélien et au-delà. Certainement, l’Afrique mérite mieux.

M. B.

Comment (18)

    Sudic
    12 avril 2025 - 11 h 34 min

    Il est plus qu’evident que la junte malienne s’active contre l’Algerie poussée, encouragée et conseillée par un diable étranger qui ne peut être que le Makhzenistan. Pour punir le régime malien il suffit de jouer la carte L’Azawad. l’Algerie a jusqu’ici toujours freiné les ardeurs de l’Azawad et joué les bons offices au profit du Mali, il est temps de changer radicalement notre politique et soutenir l’Azawad au même titre que le Polisario.

    Brahms
    12 avril 2025 - 8 h 06 min

    C’est un territoire qui sert de laboratoire d’expérimentation pour capter l’or, l’uranium.

    Les grandes puissances vont donc envoyer des hordes de sauvages islamistes qui seront armées et financées avec le trafic de stupéfiants du MAROC faisant croire à l’instauration d’un califat afin de revenir à l’An 627.

    Ces maboules d’islamistes radicaux veulent rester dans la montagne en Afghanistan ou dans le Sahara à attendre la fin du monde alors qu’ils devraient être dans des hôpitaux psychiatriques.

    La religion n’a jamais autorisée de tuer des gens et les Présidents du Monde n’ont aucun titre de propriété pour voler des états étrangers afin uniquement de piller des richesses naturelles.

    L'Algérie puissante
    11 avril 2025 - 7 h 34 min

    L’Algérie est un pays puissant par son armée et par ces richesses naturelles et humaines.

    Elle a les moyens de gérer ce malentendu et de mettre un terme aux velléités des nouveaux maitres du Mali, maitres qui ne doivent leur statut qu’à Wagner.

    La nouvelle constitution autorise l’armée algérienne a intervenir hors de son territoire.

    Il est urgent de ne pas s’éparpiller et de favoriser la voie diplomatique plutôt que la voie militaire.

    L’Algérie gagnera ce nouveau défi même si les ennemis qu’ils faudraient éliminer sont cachés en coulisse.

    Bouziane Al kalii
    10 avril 2025 - 23 h 54 min

    J’ai une vision différente de ce qui s’est passé : les Marocains voulaient savoir si ces drones pouvaient franchir les frontières algériennes sans problemes. Au lieu d’envoyer les drones depuis leurs bases, ils ont poussé les autorités maliennes à effectuer les tests pour eux, au cas où la réponse algérienne serait difficile à digérer. Les Marocains ont donc, une fois de plus, trompé et trahi le Mali.

    Yass
    10 avril 2025 - 22 h 14 min

    Il faud annexée le nord mali fortifié le sud armées le polisario pour une guerre d’usure avec le maroc qui n’a pas de profondeur stratégique, les dirigeants de aes ont les mêmes sponsors que zelensky il faud vite passé à l’action les instances internationales sont caduque ils ne faud plus compte dessus le gouvernement algerien es trop passif de l’action

    VADIM KIRPITCHENKO
    10 avril 2025 - 20 h 44 min

    La junte militaire au pouvoir à Bamako, par son arrogance, son imprévisibilité et son hostilité affichée envers l’Algérie, ne cesse de s’enfoncer dans l’irresponsabilité et le mépris diplomatique. Depuis sa prise de pouvoir, elle a rompu avec les équilibres laborieusement construits, insulté ses partenaires et foulé au pied des engagements historiques comme l’Accord d’Alger de 2015. L’ingratitude du Mali envers l’Algérie est totale, alors que c’est cette dernière qui a multiplié les efforts pour préserver la paix au Sahel, assurer une médiation constante et protéger les liens fraternels entre les deux peuples.

    Aujourd’hui, la situation exige une réponse ferme et assumée. Il ne s’agit plus de diplomatie classique, mais de défendre les intérêts vitaux de l’Algérie et la stabilité de toute la région. La junte malienne, en alimentant les tensions à la frontière, en accusant l’Algérie d’ingérence, en soutenant implicitement les provocations contre elle, a franchi toutes les lignes rouges. Elle montre chaque jour qu’elle n’a ni la compétence ni la légitimité pour gouverner un pays aussi complexe que le Mali.

    Il est donc temps pour l’Algérie de revoir fondamentalement sa position. La retenue stratégique n’est plus de mise. Il faut adopter une politique claire et résolue : soutenir ouvertement et sans ambiguïté les populations du nord du Mali, qui ont été trahies par Bamako et qui aspirent à une autonomie réelle, porteuse de paix et de développement. Ces populations ont montré à maintes reprises leur volonté de gérer leurs affaires localement, dans le respect des traditions et dans une logique de stabilité. En favorisant leur autonomie, l’Algérie peut non seulement affaiblir la junte, mais aussi créer un véritable rempart contre les dérives autoritaires et les risques d’embrasement régional.

    Ce soutien ne signifie pas nécessairement un affrontement militaire ou une ingérence directe, mais une intensification des relations politiques, économiques et sécuritaires avec les acteurs légitimes du nord malien. Il faut leur donner les moyens d’exister politiquement, de se structurer, de se défendre et de construire une alternative crédible à la gouvernance chaotique de Bamako. Le soutien algérien doit aussi s’appuyer sur une coopération renforcée avec les puissances régionales et internationales prêtes à promouvoir une solution juste, durable et respectueuse des peuples.

    L’Algérie ne peut rester spectatrice alors que ses frontières sont menacées, que son rôle régional est contesté et que ses partenaires historiques la provoquent sans retenue. Elle doit imposer le respect, en démontrant qu’elle ne tolérera plus ni le mépris ni la déstabilisation. Soutenir l’autonomie du nord du Mali, c’est envoyer un message fort : Alger ne recule pas face à la bêtise, elle construit l’avenir avec ceux qui veulent la paix, pas la manipulation.

    Il est temps de mettre fin à la complaisance et de faire face à la réalité : la junte malienne est un facteur de chaos. Et le chaos ne se gère pas avec des mots, mais avec des actes.

    Anonyme
    10 avril 2025 - 20 h 10 min

    J invente rien AP mais vous vous rappelez qd j écrivais qu il fallait les diviser en leur sein il y a un bon moment déjà mais je crois qu ils ont compris un peu tard mais ils l ont compris ceux qui tire vraiment les ficelles au Sahel derrière ces juntes et surtt celle du Mali.Nous devons continuer et nous devons absolument isolé le Mali de ces voisins de l AES sur différents points et surtout pour nos intérêts communs avec le Niger et le Burkina Faso tt en sachant que c’est des cultes face. Je crois que le rôle de notre algérienne à l UA a une mission diplomatique de renverser la situation au niveau diplomatique et politique. Le reste comme je l ai déjà dît nous nous en chargeons. Ben oui. Il y a un crel qui m a fait rire sur une vidéo qui leur a dit à la junte malienne que c était que des communiqués en communiqués, le pays du communiqué ! Qu ils avaient peur en vérité. 🇩🇿🤪 . Ceux qui sont derrière dont le Maroc cherche à réduire notre influence et pété nos projets important au Sahel et surtt avec le Niger ce fameux pipelines .

    age
    10 avril 2025 - 17 h 57 min

    Il faut détruire le mal à la racine et mettre le Maroc à l’âge de pierre  : c’est la règle numéro 1. Tout le reste n’est que chimère.

      Anonyme
      11 avril 2025 - 2 h 19 min

      Facile à dire, difficile à faire ! Sauf le ya ka!

        Anonyme
        11 avril 2025 - 13 h 19 min

        – Nous faisons ces choses non pas parce qu’elles sont faciles, mais parce qu’elles sont difficiles . JFK
        Oubien celle de Sénèque. Philosophe latin.
        Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.

    Anonyme
    10 avril 2025 - 16 h 55 min

    Cela devrait suffir amplement. 😭🇩🇿
    https://youtu.be/xUfIZrtfytc?si=ehZ6H2pZoGIg1ZHV

    Lyes Oukane
    10 avril 2025 - 16 h 07 min

    Regardez moi ça ! A croire que ces deux zèbres ont fait toutes les guerres de la planète en première ligne tellement ils ont de breloques accrochées au torse .

    Je pense que les seules batailles qu’ils ont faites c’est contre les poux.

    Koulchi Khorti . Saviez vous que dès son push réussi, Assimi Goita s’autoproclama général et s’accrocha aussitôt les médailles que vous voyez sur la photo ?

    Pauvre peuple malien ,il s’est cru enfin libéré de l’armée française et aspirait à un peu de répit mais il se retrouve avec un clown qui paye avec le peu d’argent du pays des mercenaires étrangers pour tuer son propre peuple . Le Comble du cynisme et de la cruauté . Et ca bombe le torse avec 1 kg de ferraille sur la poitrine .

    J’ai même lu que le drone que nous avons dégommé n’appartenait pas vraiment au Mali . Chacun des trois larrons en payera un tiers ( 10 millions pour le Niger, autant pour le Burkina et un tiers par le fanfaron de la photo du dessus, enfin le Mali ) .
    Oui payera parce que l’engin devait être réglé dans 6 mois ( geste commercial du fournisseur ). Eh oui, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre .

    Aujourd’hui tartempion exige que nous lui remboursions son joujou pulvérisé . Les deux autres compères lui reprochant d’avoir pris le jouet sans leur avoir demandé la permission … wahed el khalota je vous dis pas .

    فرحات
    10 avril 2025 - 13 h 43 min

    لا يمكن التفاهم كع (…) الا بالعصى… هؤلاء نكارين الخير لابد من تاديبهم.

    Mohamed El Maadi
    10 avril 2025 - 13 h 34 min

    (…)
    Dans un paysage mondial en mutation où l’ascension de la Chine remodèle les priorités internationales, Washington a adopté une nouvelle doctrine stratégique baptisée « Partenariat d’Ancrage Continental » (PAC). Ce changement de paradigme marque une rupture avec l’omniprésence américaine de l’après-Guerre froide, reconnaissant le caractère insoutenable d’une intervention directe généralisée.

    La doctrine PAC identifie et renforce des partenaires régionaux clés – des nations caractérisées par leur autonomie stratégique, leur autosuffisance économique et leur stabilité démontrée. En Afrique du Nord et dans la région du Sahel, l’Algérie s’est imposée comme le partenaire stratégique privilégié de Washington, marquant une évolution significative de la politique étrangère américaine.

    Le choix de l’Algérie découle de ses antécédents éprouvés en matière d’influence régionale, de capacité militaire et, surtout, de sa tradition d’autonomie stratégique. Le Département d’État américain aurait décidé d’alloué des ressources substantielles pour renforcer les capacités de surveillance et de renseignement de l’Algérie, considérant Alger comme une force stabilisatrice cruciale dans une région volatile.

    Cependant, ce réalignement stratégique fait face à des défis délibérés. Les récentes provocations du Mali semblent orchestrées pour saper la crédibilité de l’Algérie en tant que médiateur régional. Ces actions, apparemment soutenues par des acteurs externes, visent à remettre en question l’impartialité et l’efficacité de l’Algérie dans la résolution des conflits régionaux.

    Le Maroc, appuyé par ses alliés israéliens, a lancé une offensive diplomatique pour se positionner comme coordinateur régional alternatif. Rabat met en avant sa structure militaire dépolitisée et son vaste réseau commercial à travers l’Afrique, incluant les secteurs bancaire et assurantiel, comme credentials pour le leadership régional.

    Pourtant, l’engagement de Washington envers l’Algérie semble ferme. Des hauts responsables du Pentagone, s’exprimant sous couvert d’anonymat, soulignent la capacité éprouvée de l’Algérie à agir de manière indépendante et son rôle crucial dans les opérations antiterroristes à travers le Sahel. Ce partenariat représente une pierre angulaire de la nouvelle approche américaine en matière de sécurité mondiale – autonomiser des acteurs régionaux capables tout en maintenant une distance stratégique.

    Le partenariat américano-algérien illustre la stratégie plus large de Washington visant à cultiver des relations avec des puissances historiquement non alignées, capables de maintenir la stabilité régionale tout en préservant leur autonomie stratégique. Cette approche permet à l’Amérique de se concentrer sur les défis stratégiques primaires tout en assurant la sécurité régionale par le biais de partenaires de confiance.

    Alors que les dynamiques de pouvoir mondiales continuent d’évoluer, le rôle de l’Algérie en tant que stabilisateur régional et partenaire de sécurité semble appelé à croître, marquant un nouveau chapitre dans l’engagement américain en Afrique du Nord et au Sahel.

    DZ
    10 avril 2025 - 12 h 40 min

    c est au niger et au burkina faso de ramener a la raison le beliqueux et aventurier goita qui fera plus de mal a son pays en s alliant avec le mahzen qui va l entrainer dans l abyme l algerie n a rien a perdre dans cette histoire elle controle ses frontieres intervient quand c est necessaire c est tout

    Mohamed El Maadi
    10 avril 2025 - 11 h 02 min

    (…)
    La situation au Mali, bien que préoccupante, n’est qu’un symptôme d’un problème plus profond. Les véritables menaces pour la stabilité régionale ne proviennent pas du Mali lui-même, mais des acteurs étrangers qui l’utilisent comme levier pour déstabiliser l’Algérie. Une nouvelle approche stratégique s’impose.

    (..)
    La partition du Mali, souvent évoquée, ne résoudrait rien. Elle créerait au contraire une « zone mortifère » attirant davantage d’aventuriers, de mercenaires et d’intérêts étrangers hostiles. Cette situation exige une réponse plus directe et stratégique.

    (…)
    L’Algérie dispose de leviers d’influence considérables qu’elle n’a pas encore pleinement exploités. La stabilité régionale nécessite de s’attaquer directement aux sources de la déstabilisation :

    – **La Question Rifaine** : La réactivation de ce dossier sensible pourrait rappeler que l’instabilité peut être réciproque. Le Rif, avec son histoire et ses aspirations, représente un point de pression significatif.

    – **Les Intérêts Émiratis** : L’Algérie possède des alliés au Moyen-Orient capables d’impacter les intérêts émiratis dans leur propre région. Cette carte peut être jouée pour dissuader les ingérences dans le Sahel.

    (…)
    Il est temps d’adopter une approche plus assertive. Le Mali, en tant que tel, ne représente pas une menace directe pour l’Algérie. Ce sont les acteurs étrangers qui instrumentalisent sa fragilité qui constituent le véritable danger.

    (…)
    La stabilité régionale exige des réponses proportionnées aux menaces réelles. L’Algérie doit démontrer sa capacité à protéger ses intérêts en touchant directement aux sources de la déstabilisation, plutôt que de continuer à gérer leurs conséquences au Mali.

    Dr Kelso
    10 avril 2025 - 10 h 55 min

    On s’en fiche du Sahel et @L’ALGÉRIE AVANT TOUT.
    Que ces pays colonisés à l’insu de leur plein gré restent esclave un jour esclave toujours traître un jour traître toujours.
    N’est pas l’Afrique du Sud qui veut et paix à son âme Madiba.
    Non comparaison n’est pas raison. Biais non négligeables dans votre analyse avec l’Ukraine : anciennes colonies french l’UA aux abonnés absents et aides à tire-larigot de l’Algérie et la Libye de Gueddafi Allah yrahmou.
    Qu’attend l’État Algérien pour expulser manu militari en 17 secondes tous les clandestins makhnazis et déchéance de nationalité et tous les subsahariens sahéliens c’est un PRÉ REQUIS !

      Bravo à Dr Kelso
      11 avril 2025 - 20 h 46 min

      Un réel patriotisme émane de vos propos, merci.

      Nous vous soutenons pour le cri déchirant que vous adressez aux responsables algériens qui doivent absolument refouler la racaille subsaharienne qui sévit sur le territoire algérien pour le détruire.
      Toute personne qui propose à l’Algérie de compter sur les accords avec les noirs africains sont des ennemis de l’Algérie. Les noirs africains resteront toujours des sujets (..) à vendre au plus offrant et croyez-moi ces gens (…) ont une haine viscérale envers les algériens.
      Expulsion Expulsion Expulsion Expulsion…..Notre cri est fort, nous refusons ces individus dans notre pays.

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