Agression génocidaire contre Gaza : 50 912 martyrs et 115 981 blessés

Gaza rapporteuse
Gaza... le chaos. D. R.

Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Gaza s’est alourdi à 50 912 martyrs et 115 981 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué vendredi les autorités sanitaires palestiniennes.

Selon la même source, les corps de 26 martyrs et 106 blessés sont arrivés dans les hôpitaux de Gaza au cours des dernières 24 heures.

Les autorités sanitaires palestiniennes ont indiqué que 1542 Palestiniens sont tombés en martyr et 3940 autres ont été blessés depuis le 18 mars, date de la reprise de l’agression sioniste, notant que les corps de milliers de victimes se trouvent encore sous les décombres.

Un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 19 janvier à Gaza après plus de 15 mois d’agression génocidaire sioniste, qui a provoqué une catastrophe humanitaire sans précédent. Les forces d’occupation sionistes ont repris le 18 mars leur agression contre la bande de Gaza, après une interruption de deux mois, consécutive à l’accord de cessez-le-feu.

R. I.

Comment (2)

    Mohamed El Maadi
    11 avril 2025 - 16 h 16 min

    (…)
    L’autorisation accordée par la France au survol de son espace aérien par Netanyahu en route vers Washington n’est qu’un nouvel épisode dans la longue série de compromissions parisiennes. Cette France qui se targue d’être la patrie des droits de l’Homme montre une fois de plus qu’elle n’est que le portier zélé d’Israël.

    La mascarade est totale. D’un côté, Paris verse des larmes de crocodile sur « la situation intenable à Gaza », de l’autre, elle déroule le tapis rouge aérien au principal architecte de ce carnage. Cette hypocrisie institutionnalisée révèle le véritable visage d’une diplomatie française devenue marchande de tapis, négociant ses positions morales contre des faveurs israéliennes.

    Le schéma est désormais bien rodé : la France obtient le droit de faire semblant de s’indigner, en échange de sa docilité pratique. Un arrangement cynique qui rappelle l’épisode du Liban, où Paris a monnayé sa participation à la reconstruction contre des déclarations complaisantes sur l’immunité potentielle de Netanyahu. Une danse macabre où chaque pas est calculé, chaque indignation tarifée.

    Cette France qui donne des leçons de morale à la terre entière se révèle n’être qu’une marionnette dont les fils sont tirés depuis Tel-Aviv. Le « pays des Lumières » s’est transformé en chambre noire où se négocient les silences et les compromissions.

    Pendant ce temps, Gaza continue de saigner. L’objectif est désormais transparent : la liquidation systématique des enfants palestiniens répond à une stratégie démographique glaciale. Israël, terrorisé par les projections démographiques palestiniennes, a choisi la solution la plus brutale : éliminer la prochaine génération.

    Le déshonneur de la France n’est pas une simple tache dans son histoire, c’est une gangrène qui ronge ses prétentions morales. Comment pourra-t-elle encore se présenter comme le phare des droits humains après avoir été le complice silencieux d’un génocide ?

    Cette compromission laissera une trace indélébile dans l’histoire. La France de 2024 sera rappelée comme celle qui, face au massacre d’enfants, a choisi de faciliter les déplacements de leurs bourreaux. Un déshonneur qui résonnera pendant des générations, aussi longtemps que les pierres de Gaza garderont la mémoire des innocents sacrifiés sur l’autel de la realpolitik française.

    La République s’est non seulement déshonorée, elle s’est aussi démasquée. Derrière les grands principes et les valeurs universelles se cache une nation prête à troquer sa conscience contre des arrangements diplomatiques, pendant que les enfants de Gaza continuent de payer le prix ultime de cette hypocrisie d’État.

    Dr Kelso
    11 avril 2025 - 16 h 12 min

    Allah yrahmoum
    FREE PALESTINE
    FREE GEORGES IBRAHIM ABDALLAH

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