Le bureau des médias à Gaza a annoncé mardi que le nombre de journalistes tombés en martyrs depuis le 7 octobre 2023 s’est élevé à 248, suite à la mort en martyr d’un journaliste dans un bombardement de l’armée sioniste dans l’enclave palestinienne.
Selon le bureau des médias à Gaza, le journaliste Rasmi Djihed Salem, qui travaillait comme journaliste photographe à la société, El Manara pour l’information, est tombé en martyr dans un bombardement de l’armée d’occupation sioniste à Gaza.
Les journalistes palestiniens sont confrontés à des risques particulièrement élevés lorsqu’ils exercent leur métier au milieu d’attaques terrestres et aériennes sionistes.
Ils sont également visés par les tirs de l’armée d’occupation et font face à la faim et à l’épuisement.
R. I.
Allah yarham chouhada.
Agression sioniste contre Gaza : 248 journalistes tombés en martyrs depuis le 7 octobre
77 ans de carnage. Un conflit devenu un gigantesque business où tout le monde se sert sans vergogne.
Les journalistes meurent ? Oui. Mais ceux qui restent savent très bien comment vendre la guerre : un scoop ici, un micro là, et la machine à cash tourne à plein régime.
Les médias ? Ils ne livrent plus la vérité, ils vendent leur conscience au plus offrant, transformant le sang en chiffres d’audience et en profits.
La paix ? Une blague. Tant que la mort rapporte, pourquoi arrêter le spectacle ?
La seule vérité immuable, c’est la tombe : elle ne ment pas, ne trahit pas, ne change pas de camp. Elle est la seule fidèle dans ce jeu sordide.
PS :
Le mieux, c’est souvent de ne rien faire. Parce que si tu joues leur jeu, ça te coûte cher.
Le business des médias dans ce conflit, c’est du cash assuré : photos de corps déchiquetés vendues entre 15 000 et 30 000 euros la pièce, plus les millions de clics qui font exploser les revenus publicitaires.
À qui profite le crime ? À tout le monde, et surtout à personne. Chacun encaisse sa part du massacre. Un mort, ça pèse des milliards. Voilà la réalité crue, pas celle qu’on veut te vendre.
Allah yrahmoum
On ne peut que s’incliner face au courage et éthique des journalistes des vrais Palestiniens.
FREE PALESTINE