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Le discours de haine du sioniste Meyer Habib face à l’enjeu du futur Etat palestinien

Une contribution d’Amar Djerrad – Contrairement à la propagande des médias de grand chemin français, les Algériens n’éprouvent aucune haine envers la France. Nous n’avons pas observé de discours ou d’actions de leurs dirigeants – «comme sujet de politique intérieure» – qui inciteraient à cela. Ce sont les juifs sionistes franco-israéliens qui propagent la haine, le racisme et le sectarisme.

En revanche, du côté des dirigeants français, cela est récurrent, ce qui alimente le mépris à leur égard. La haine de l’Arabe et de l’islam (voire universelle) est le fait des juifs sionistes ou des évangélistes sionisés – se croyant tout permis en France – qui la répandent, en l’imposant comme politique aux Français.

On observe toutefois que cette influence commence à se désagréger au regard des réactions éperdues récentes (allant jusqu’aux menaces) des mêmes groupes racistes franco-sionistes suite à la récente pseudo-reconnaissance tardive de l’Etat palestinien par 11 pays les 21 et 22 septembre 2025 (après 147 pays entre le 15 novembre 1988 et le 5 février 2025).

Le plus remarqué est ce gros bougre d’âne, malpropre, nommé Meyer Habib qui, tel un sanglier, fonce en grouinant sur tout ce qui bouge. Ses munitions : les insultes, l’antisémitisme, la haine, l’islamophobie, l’arabophobie, le racisme, la trahison et le zèle. Même l’Algérie n’est pas épargnée dans ses grognements, traduisant hypocritement une profonde consternation, lui rappelant sûrement un sort redouté : l’indépendance.

Alors que le génocide se déroule devant le monde entier, «Adon» Meyer s’efforce de le dissimuler, tout comme il croit masquer les odeurs des excréments des porcs de Tel-Aviv dans des sacs en jute. Trop tard, le génocide en Palestine est acté, et Meyer et sa clique savent qu’ils sont complices de cette barbarie. 85% des morts sont des civils, dont des dizaines de milliers d’enfants, de bébés et de femmes.

Faire le «barbot» aux Français depuis des décennies, afin de les rabaisser pour mieux les duper et les contrôler, a ses limites qui mènent à la disgrâce, à la chute et à la justice. Les Français ne pourront qu’en être agréablement soulagés et rassurés.

Pour la gouverne de Meyer et son lobby : cette pseudo-reconnaissance subite de la Palestine par ces Etats occidentaux dégénérés pro-sionistes cache une évolution qui les effraie. Incapable d’ériger un «Etat juif» malgré les moyens mis à leur disposition, les Anglo-Franco-Saxons pressentent un processus inévitable : la solution à «un seul Etat», celui «palestinien». Craignant d’être contraints de récupérer «leurs juifs» après s’en être débarrassés, ils sortent cette solution à «deux Etats», rendue irréalisable, comme ultime issue de secours après l’avoir toujours refusée. Cette terre va revenir naturellement aux Palestiniens comme l’Algérie est revenue aux Algériens après 132 ans de colonisation, et les Palestiniens n’en sont qu’à 80 ans.

A titre de rappel et d’exemple à Meyer et sa clique : en 1948, 530 villes et villages ont été attaqués et dépeuplés par une armée sioniste européenne, répartie en brigades qui ont mené des dizaines d’opérations militaires, commis 90 massacres et occupé 78% de la Palestine. Ils ont fait, aujourd’hui, des 9 millions de Palestiniens des réfugiés.

Dans ces territoires qu’ils colonisent, ils ne resteront jamais tranquilles toute leur vie. Beaucoup profitent des multiples «cessez-le-feu» pour rejoindre leurs pays d’origine, au risque de le faire par la force, selon la formule «la valise ou le cercueil».

Lorsque les «Israéliens» auront perdu «leur Etat juif» du fait de leur satanisme ; parions qu’ils s’identifieront ailleurs, par ignominie et flétrissure, avec une autre citoyenneté plutôt qu’avec leur identité actuelle souillée.

Les dirigeants français (depuis 1962) ont un sérieux problème psychologique. Un problème de conscience qui leur tord l’esprit. C’est l’Histoire diabolique de leur pays, de leurs aïeuls assassins, qui affecte leur conscience. Elle les ronge comme un cancer, les pousse à des comportements absurdes. Pour tromper leur conscience, ils érigent des procédés tels «les bienfaits de la colonisation» ou soutenir des entités colonialistes, comme «Israël», qui n’est que le miroir de leur folie.

Israël est un avant-poste colonial occidental au Moyen-Orient érigé en pseudo-Etat. L’idée d’un Etat palestinien «à leur côté» est une exécrable duperie (une carotte) pour mieux tromper et perpétuer leur hégémonie. C’est l’existence même de cet «Etat d’Israël colonialiste et raciste» qui pose un problème. Le «Grand Israël» n’est autre, à notre sens, que le «bâton» à l’endroit des Arabes pour leur faire admettre ce qu’ils possèdent et dominent déjà au risque de voir, eux aussi, une portion de leur territoire annexée. Les Arabes – en particulier du MO – commencent à saisir ce danger. C’est comme si l’on propose à une victime d’un vol l’idée de se partager le produit volé avec le voleur ; sinon, il verra ses autres biens usurpés. Une «logique» absurde qui nie la raison, le fonctionnement du monde, les peuples, les cultures, les lois universelles et de la nature.

L’Occident a attribué illicitement aux «juifs» une terre qui n’est pas la sienne. Toute action, «dite légale», entreprise sur ce territoire spolié est évidemment et éternellement illégale. En vertu du droit de suite, le spolié a la prérogative naturelle de récupérer son bien en quelques mains qu’il se trouve. Qui doit quitter cette terre ; l’autochtone ou l’envahisseur ? Même si c’est l’autochtone, il est impossible d’«éliminer» physiquement 7 millions de Palestiniens en Palestine (6,4 réfugiés dans les pays arabes). Ils doivent alors tuer 500 par jour durant 40 ans pour voir les 7 millions exterminés (en supposant sans une seule naissance ou réaction mondiale). La solution est dans «un seul Etat» palestinien où doivent vivre toutes les minorités, dont les juifs autochtones. Les autres doivent s’y intégrer ou rejoindre leur pays d’origine dont ils possèdent la nationalité.

Les Israéliens ont tout intérêt à quitter ce pays qui ne leur appartiendra jamais. Ils sont en perdition. Aussi est-il vital pour eux de regagner leur pays d’origine tant qu’ils ont la possibilité avec leur autre nationalité. Leurs cinglés de dirigeants sionistes «suprémacistes et révisionnistes» sont déjà les premiers à avoir mis en sécurité leur famille et leur fortune hors du territoire, tout en interdisant à leur plèbe de le faire.

Ce génocide, antinomique avec la solution des «deux Etats» voisins, va accélérer la défaite d’Israël, et sa «mort» résultera de son dépeuplement. Le destin de ces colons «juifs israéliens» sera donc semblable à celui des colons français en Afrique. C’est la loi de la nature.

A. D.

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