Par Kamel M. – A peine avons-nous publié notre éditorial sur la condamnation de l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, à une humiliante peine de prison pour association de malfaiteurs, qu’un nouveau scandale vient secouer l’exécutif français. Le nom de Sébastien Lecornu, actuel Premier ministre, est désormais cité dans une enquête portant sur des irrégularités graves autour de ses diplômes universitaires. Selon plusieurs sources concordantes, son cursus à l’université Paris II Panthéon-Assas ne correspond pas aux qualifications affichées dans ses biographies officielles. Des documents internes de l’établissement et des incohérences relevées dans ses déclarations publiques posent la question d’un usage de faux et de présentation mensongère.
Ce type d’affaires n’est pas sans précédent en France. En 2014, le ministre de l’Education nationale de François Hollande, Benoît Hamon, avait été pointé du doigt pour des imprécisions sur son parcours universitaire. En 2019, la sulfureuse Rachida Dati avait été mise en cause pour un emploi fictif présumé auprès du cabinet d’avocats Gide Loyrette Nouel, alors qu’elle occupait des fonctions publiques. L’affaire est toujours en cours.
Par ailleurs, la République française a connu de nombreux cas de dirigeants rattrapés par la justice. Nicolas Sarkozy, ancien chef de l’Etat (2007-2012), a été condamné en appel en mai 2025 à trois ans de prison, dont un ferme sous bracelet électronique, pour financement illégal de campagne et corruption dans l’affaire dite «Bismuth». Avant lui, Jacques Chirac avait été condamné en 2011 pour détournement de fonds publics lorsqu’il était maire de Paris.
Le cas de Sébastien Lecornu rappelle également l’affaire Thomas Thévenoud, éphémère secrétaire d’Etat au Commerce extérieur sous François Hollande, contraint à la démission en 2014 pour n’avoir pas déclaré ses revenus au fisc pendant plusieurs années. Autre cas notable, celui de Jérôme Cahuzac, ministre du Budget également sous Hollande, condamné en 2018 à quatre ans de prison pour fraude fiscale et blanchiment.
La multiplication de ces affaires soulève des critiques sur le mode de sélection des élites politiques françaises, souvent issues des grands corps de l’Etat, comme l’ENA (Ecole nationale d’administration) ou Sciences Po. Ces institutions ont été accusées à plusieurs reprises de favoriser la cooptation et le carriérisme, au détriment du mérite et de la transparence.
La situation de Sébastien Lecornu est d’autant plus sensible qu’il a occupé le poste de ministre des Armées de 2022 à 2024, en pleine période de tensions géopolitiques internationales, avant d’être nommé à Matignon. L’opposition réclame la transparence totale et certains élus demandent déjà son retrait du gouvernement le temps de l’enquête.
Il ne s’agit plus d’un dysfonctionnement. Il s’agit d’un système. La France est aujourd’hui entre les mains d’une caste politique dégénérée, cooptée par népotisme, par réseaux mafieux, par promotions canapé et renvois d’ascenseur. En effet, cette affaire Lecornu ne tombe pas du ciel. Elle s’inscrit dans la logique pourrie d’une Cinquième République à bout de souffle, gangrenée par la corruption, la lâcheté et la médiocrité. Des pantins sans talent, des bureaucrates hors-sol, des communicants sans convictions sont placés à la tête d’un pays en déclin. Seuls comptent les réseaux, les alliances d’arrière-cuisine et les combines.
Ce Premier ministre illégitime, parachuté par calcul politicien, aurait pu engager la France dans un conflit sans en comprendre les enjeux. La catastrophe a été évitée non pas grâce à lui, mais malgré lui. Ce genre de personnage, dans une démocratie fonctionnelle, serait immédiatement démis, poursuivi, radié de la vie publique. En France, il reste en poste, il est protégé, il parade.
Et c’est cette élite pourrie jusqu’à l’os qui ose donner des leçons de morale à la planète entière. Cette clique d’énarques ratés, d’opportunistes véreux, d’héritiers parasites qui parle de transparence, de République exemplaire, de réarmement démocratique.
K. M.
Et ça passe son temps à répéter des CLICHÉS ÉCULÉS sur le …………..Régime d Alger . Poooooooovres Cretins ………
Ahhhhhh Audiard !!!!!!
Il veut nous faire croire qu’il bosse 20 heures par jour dans ses dossiers.
Seule solution, il faut continuer à dépouiller le protectorat marocain, les pays d’Outre Mer et les pays africains affiliés à la France pour s’en sortir financièrement. Ensuite, il faudra monter les impôts en France, les taxes en tous genres pour donner 65 milliards d’euros aux marchés financiers et ce, chaque année.
A défaut, le FMI viendra toquer à la porte.