Par Khaled Boulaziz – Un prétendu centre d’analyse basé à Washington, le New Lines Institute, a publié un texte intitulé «U.S. Engagement With Algeria’s Tuareg Is a Strategic Imperative» (*). Sous des airs de rapport académique, ce n’est rien d’autre qu’un document préparatoire d’ingérence. Derrière cette prose vernie, une idée simple : les Touareg d’Algérie doivent devenir un levier de pénétration américaine dans le Sud, afin de contrer l’influence chinoise, russe et toute trajectoire indépendante de l’Algérie. Rien de neuf sous le soleil impérial. On commence par une tribune, on finit par une base.
Ce qui choque d’emblée, c’est la posture morale adoptée par ces laboratoires idéologiques de Washington. Ils prétendent «observer» et «comprendre» pour mieux «soutenir», mais tous leurs verbes sont des verbes d’appropriation. Ce ne sont pas des analystes, mais des cartographes du futur pillage. Leur lexique – «gouvernance adaptable», «opportunité stratégique», «périphérie marginalisée» – est le même que celui déployé avant chaque catastrophe américaine. Hier l’Irak, la Libye, la Syrie, l’Afghanistan ; aujourd’hui, ils posent les yeux sur le Sud algérien, comme on désigne un couloir à ouvrir.
Ce rapport s’inscrit dans la continuité directe de l’idéologie néoconservatrice des réseaux sionistes de la Maison-Blanche. Ces architectes de la fragmentation ont théorisé que l’Orient ne devait jamais être stable, qu’il fallait encourager les lignes de fracture – tribales, religieuses, régionales – pour mieux transformer les peuples en clientèles. Ils ne voient pas des nations, mais des blocs ethniques à isoler, alimenter, instrumentaliser. C’est ainsi qu’ils ont fabriqué la fameuse «question kurde», non pas pour libérer qui que ce soit, mais pour disposer d’un levier permanent contre Bagdad, Ankara, Damas et Téhéran. Les Kurdes n’ont pas été soutenus, ils ont été utilisés.
Le texte du New Lines Institute tente d’importer ce même schéma en Algérie : découpler mentalement les Touareg du cadre national, les présenter comme une entité «sans représentation», «en attente de reconnaissance», puis légitimer l’idée qu’une puissance extérieure pourrait les «aider à structurer leur voix». Voilà le terreau idéologique de la kurdisation d’un dossier : on fabrique une «question», on isole une communauté, on crée un canal diplomatique parallèle, puis on s’invite comme «médiateur légitime». C’est exactement ce que ce texte prépare.
Mais l’Algérie ne tombera pas dans ce piège. Elle a vu ce que ce dispositif a produit ailleurs : on exalte une identité, on la soulève un instant sous les caméras, puis on l’abandonne une fois la mission accomplie. Les Kurdes en Irak ont été glorifiés, puis livrés à Ankara. Les Kurdes de Syrie ont été armés, puis sacrifiés quand Washington a signé son accord avec la Turquie. Les sionistes de la Maison-Blanche n’offrent pas de reconnaissance, ils offrent des contrats à durée tactique. Ceux qui croient aux promesses américaines terminent toujours dans les marges de l’histoire.
La méthode est connue : d’abord un article comme celui-ci, où l’on décrit une communauté comme «potentiellement porteuse d’instabilité si ignorée». Puis une offre de «programmes de gouvernance locale», pilotés par des ONG alignées. Ensuite vient la présence diplomatique renforcée, puis les missions de «sécurisation humanitaire». Et derrière chaque sac de farine distribué, un officier en civil prend des notes. Ce ne sont pas des théories, mais des séquences historiques répétées.
Le Sud algérien n’est pas une zone vide en attente de parrainage américain. Il n’est pas un territoire flottant en quête de drapeau auxiliaire. Les Touareg ne sont pas une population isolée à la périphérie. Ils sont une profondeur de l’Algérie. Leur rapport à l’Etat n’est ni lisse ni uniforme, mais il s’inscrit dans un destin national. Et c’est précisément cela qui dérange Washington : un pays qui ne laisse pas ses «marges» être adoptées par des tutelles étrangères.
Ce texte ose même parler de «modèles supérieurs de gouvernance offerts par l’Amérique». Cette même Amérique qui a transformé Bagdad en champ de ruines, qui a dissous l’Etat irakien au nom de la liberté, qui a livré Tripoli aux factions armées en expliquant que «la transition prend du temps», qui a laissé Kaboul retomber en une nuit, après vingt ans de mensonges. Voilà donc le «modèle supérieur» que l’on voudrait proposer aux Touareg. Si ce modèle est si brillant, qu’ils commencent par l’appliquer à Détroit ou à Baltimore.
L’Algérie n’a pas besoin d’apprentis sorciers géopolitiques. Elle n’a pas besoin de laboratoires néocoloniaux fabriquant des «questions» pour mieux introduire des «solutions». Chaque fois que Washington prononce le mot «stabilité», une capitale finit incendiée. Chaque fois qu’il prononce «gouvernance locale», un territoire perd sa souveraineté. Et chaque fois qu’un think tank parle d’«engagement stratégique», il faut traduire immédiatement : projection de l’appareil impérial.
Ce qui se joue ici est plus qu’un désaccord d’analyse. C’est une lutte contre une entreprise de capture narrative. Si nous ne répondons pas, ils écriront à notre place. Si nous ne refusons pas publiquement cette kurdisation du dossier touareg, ils imposeront leur terminologie. Il n’y a pas de neutralité possible. Le champ de bataille moderne commence toujours par les mots.
Il n’y aura pas de «question targuie» fabriquée à Washington comme il y a eu une «question kurde» fabriquée à Langley. Les Touareg n’ont pas besoin de porte-parole étrangers. Ils n’ont pas besoin d’être «représentés» par les laboratoires de la Maison-Blanche. Ils sont Algérie, et l’Algérie ne se laissera pas découper en zones manœuvrables.
K. B.
Ne soyons pas naifs, nous avons un pied dans l’état de guerre !
C’est Henry Kissinger qui l’a dit: « être un ennemi des États-Unis est dangereux, mais être son ami est fatal »
Il y a quelque chose qui se trame à Alger et qu’on nous cache. La relation avec les Russes s’est détériorée. Les militaires yankees font souvent des voyages chez nous.
Et maintenant coup de tonnerre: les sionistes yankees veulent nous imposer des relations cordiales avec le makhzen.
Les impérialistes états-uniens sont les plus grands sponsors et soutiens du colonialisme et terrorisme sionistes au Moyen-Orient. Ils ont fait d’Israel leur gendarme génocidaire dans cette région. Et donc, tout ce qui arrange Israel sera soutenu par les USA.
Le Maroc vassalisé par Israel et devenu le cheval de Troie en Afrique du Nord, recevra donc l’appui de l’oncle SAM dans tout conflit qui l’oppose à ses voisins sahraouis, algériens, mauritaniens, etc….
Ceux à Alger qui n’ont pas compris cette logique devraient plutôt prendre leur retraite. Leur politique d’autruche est un danger pour la nation algérienne.
Que le ministre des AE Attaf ait le courage de convoquer l’ambassadrice des USA à Alger pour lui demander des explications.
La nation algérienne doit switcher sur le mode pré-guerre (résistance populaire basée sur l’expérience et les lecons de nos révolte 1830-1880 et notre guerre de libération nationale 1954-1962) ou capituler. Trump et son équipe ne comprennent que la guerre/force ou la capitulation. Si la Russie n’avait pas un arsenal nucléaire destructeur, ils l’auraient déjà anéantie.
Excellente analyse et excellente réponse Hocine-Nasser Bouabsa, je n’aurai pas fait mieux. Je ne comprends pas où va l’Algérie ? Dans sa naïveté de rechercher à tout prix le rapprochement avec les USA et de conclure des accords tous azimuts avec le Qatar qui en est l’allié. Toujours se rappeler cette phrase célèbre : « Etre l’ennemi des USA est dangereux, être son ami est fatal ». La politique du bisounours telle que semble la comprendre ceux qui sont à la tête du gouvernement algérien est extrêmement dangereuse pour l’Algérie. Je m’agace de lire après chaque évocation d’un pays arabe, l’adjectif « frère ».
C’est quand même paradoxale, les USA avec les » accords d’Abraham » cautionnent la colonisation d’un peuple qui à lutté et s’est libéré de l’occupation espagnole, dans une initiative violente avec le troc d’un peuple contre une reconnaissance d’Israël. C’est à l’arrachée! Je n’ai jamais cru possible que le peuple de Georges Washington produirait une caution coloniale avec autant de mépris. C’est la politique de mépris qui a fini par triompher de part monde! Une incertitude du droit international qui revient déjà comme un boomerang. Plutôt que de bâtir la confiance, les puissances croient que la force pourra plier les peuples!
Comme Algérie, il faut tout de même prendre en compte ce vide sémantique et politique entretenu des décennies durant avec cette arabislamisme vide de sens, juste pour conserver le pouvoir , finit par offrir aux chancelleries la fissure nécessaire pour l’ exploiter. Algérie arabislamique, Une farce coûteuse!
J’ai enfin lu in commentaire lucide loin de la propagande habituelle. Quelque chose qui se trame dans les hautes sphères du pouvoir dont nous ne sommes pas au courant.
Le citoyen lambda peut comprendre que la Russie nest pas un allié stratégique.. il le voit sur le terrain..mais de la a faire des états unis notre nouvelle allié, peut devenir fatale, et le petit peuple le comprend presque instinctivement. L’Algérie a une histoire de résistance séculaire, et la révolution du 1 er novembre n’est la que pour confirmer notre attachement a notre indépendance.
Nous ne cherchons pas la guerre contre le peuple marocain, et pour ce faire nous devons nous y préparer, qui veut la paix prépare la guerre.
L’Algérie n’est pas qu’une terre. L’Algérie est un message universel, un message de liberté d’émancipation, la réduire a une territoire sans âme coupé de son passé de son idéologie fondatrice c’est la.vouer a la disparition.
Le pouvoir en place n’a pas le droit de subvertir l’idéologie nationale, son rôle cest de gouverner, et non pas de pervertir notre âme.
Je te remercie vraiment de ton commentaire. Je commençais vraiment a m’inquiéter de cette tendance a toujours verser dans la.propagande pro ou contre.
Mais ce jeu que nous constatons dernièrement peut pousser un nombre tres important de nos concitoyens et même de nos élite a tourner le dos a une algerie ou ils.ne se reconnaissent plus.
Je n’ai jamais été un nationaliste, mais la cest l’âme même de notre pays que certains veulent troquer contre des intérêts privées.
Gloire a nos martyrs!
الجزاير تحيا
الجزاير تحيا
الله يرحم الشهداء.
Ne soyons pas naïf. L’amérique de trump a annoncé la couleur en rebaptisant le ministère de la défense en ministère de la guerre.
Ne soyons pas naïf. L’amérique de trump a annoncé la couleur en rebaptisant le ministère de la défense ministère de la guerre.
Merci, Khaled Boulaziz, pour cet éclairage. En plus des pays arabes que vous avez cités, détruits par les impérialistes de l’OTAN, on peut ajouter la Somalie ou ce qu’il en reste, et surtout le Sud Soudan, dont la population est composée de plusieurs ethnies; mais la presse et les « experts » occidentaux ont agité, pendant des mois, l’argument religieux: les gens du sud sont des chrétiens maltraités par les musulmans du nord. Il fallait accorder « l’indépendance » à cette partie du Soudan. Aujourd’hui une partie de cette population a fui les guerres intestines pour se réfugier dans les pays limitrophes, notamment le Soudan, et une grande partie de ceux qui sont restés souffre de la famine. Le Soudan lui même est dévoré depuis des années par une guerre clanique attisée par des étrangers.
Les USA…ont Aussi leurs point Faible et LES AMERINDIENS SONT DES PEUPLES MIS DANS DES RESERVES OU DANS DES ZOOS…ONT DEVRAIS METTRE UNE PLAINTE AUX NATIONS UNIS…POUR GENOCIDES….
Tout comme les chaouis, les kabyles et les mozabites, les targuis appartiennent à la grande famille amazigh d’Algérie. Seuls les ignorants croiraient à une « question targuie » L’Algérie est indivisible.
Bizarre que la CIA n’ait pas songé au peuple marocain qui crie actuellement famine?
La jeunesse manifeste pacifiquement pour demander le droit à la santé et à l’éducation et le makhzen n’a pas trouvé mieux que d’emprisonner des centaines de personnes pour faire des exemples.
Il y a également le peuple sahraoui qui a été reconnu par l’ONU avec l’adoption d’un référendum d’autodétermination que refuse le Maroc et que les USA ne veulent pas contrarié.
D’une façon générale, il y a matière comme le trafic de drogue à grande échelle qui est expédié à travers le monde sachant que le Maroc est le premier producteur et « exportateur » de cannabis dans le monde
Après ça non seulement les USA et ses organisations comme la CIA ne sont plus légitimes pour faire des remarques sur l’Algérie parce qu’ils sont complices avec leur véto et leur absence de réaction pour Israel et le Maroc mais on sait qu’ils sont les premiers fauteurs de trouble dans le monde.
Le Changement Climatique est 1,5 fois plus Rapide au SAHEL.
La raréfaction des ressources en terres et en eau a entraîné des affrontements de plus en plus fréquents entre communautés d’éleveurs, d’agriculteurs et de pêcheurs.
Les organisations extrémistes violentes ont non seulement contribué à aggraver la situation humanitaire, notamment en ciblant les travailleurs humanitaires, mais ont également exploité l’insécurité pour recruter et contrôler les populations du Sahel.
De plus, la fragilisation des économies et la prolifération des extrémistes violents ont accru les activités illicites et les organisations criminelles dans la région, contribuant ainsi à l’instabilité.
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Mars 2023
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a annoncé jeudi une aide directe de 150 millions de dollars à la région africaine du Sahel lors de sa visite au Niger, cherchant à renforcer les liens avec un pays qui a jusqu’à présent évité la récente vague de coups d’État militaires et de mercenaires russes déstabilisant ses voisins.
Août 2024
Les États-Unis ont fermé leur dernière base au Niger, laissant un vide dans la lutte américaine contre le terrorisme en Afrique, a annoncé le Pentagone le 5 août. Pendant des années, le Niger et ses bases aériennes ont servi de plaque tournante essentielle aux missions ciblant les groupes extrémistes dans la région du Sahel.
Anthony Blinken est donc revenu aux affaires en catimini? Je ne sais pas si cela va faire plaisir à Marco Rubio
Encore un champion qui croit que la Politique Étrangère des USA est décidée par Marco Rubio et change en fonction du nom du Secrétaire du Dépt d’Etat US..
Je ne suis pas d’ accord avec cette analyse concernant les kurdes en Syrie et en Irak.
Les kurdes, en collaborant avec les USA, Israel et l’ Otan ont participé à la destruction de l’ Irak et de la Syrie.
Les kurdes controlent des riches régions autonomes petrolifères en Irak et en Syrie.
Aucune manifestation kurde soutenant le peuple palestinien…
Ces intentions ne sont pas nouvelles. Il faut constamment revoir sa géopolitique et des fois le choix n’est pas entre bon et mauvais mais où est le moindre mal. Ne pas perdre de vue que les pays « du nord » , au delà de la péninsule ibérique ont un codex entre eux, ne pas piétiner sur le « terrain » de l’autre et si l’un le veut, il irait alors à saboter la relation de son « allier » avec celui qu’il veut mettre dous sa coupe, il aura même son support en guise de revanche probablement. Sait-on jamais, même un vieux singe peut tomber d’un arbre.
Il y a le mal et il y a le pire à mon avis. Devise importante « ne jamais se lancer dans les bras de l’un pour punir l’autre ». Laisser toujours la porte ouverte aux réconciliations. Cette intention impérialiste est du signe une pierre plusieures coups.
L’énergie renouvelable peut s’avérer très utils à côté de toutes les vigilances! فسّر يا الّي تفهم
Après la création par l ‘onu d un état des sions espions aux moyens orients déstabiliser ,maintenant ils vont utilisaient le bousbirlands a défunt de foutre la merde aux sahel voyaient ce qu ils ont fait a là Palestine.
N’ai je pas le droit de contredire K. B. et d’avancer que l’Algérie ne compte pas réellement au niveau de l’échiquier mondial dont le centre de gravité se déplace en Asie et que la vraie confrontation aura lieu entre les USA et la Chine?
permettez moi donc de présenter mon argumentation aux lecteurs qui trancheront.
« Note d’un think tank sur les Touareg : la CIA prépare-t-elle un complot contre l’Algérie ? » s’interroge K. B..
soyons réalistes et évitons d’imiter la grenouille qui voulait se faire aussi grosse qu’un boeuf.
En effet, les impérialistes yankees ont, au moment présent, une obsession et une seule: La Chine et sa montée en puissance.
En termes clairs, les évènements qui ont lieu en Europe (la guerre russo-ukrainienne, notamment), au Moyen-Orient (la guerre palestino-sioniste, notamment) et en Afrique (la lutte anti-coloniale que mènent les Sahraouis) sont perçus par le complexe militaro-industriel yankee comme secondaires par rapport à la menace chinoise qui ne cesse de croître et de remettre en cause le leadership des USA sur le monde dans son entièreté.
En termes crus, l’ennemi principal du moment des impérialistes yankees est la Chine et le reste du monde, y compris la Russie, ……………… n’a aucune importance.
Moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que je continue à penser que nos ennemis externes, ne peuvent être que des tigres en papier à une condition et une seule. Il faut qu’il y ait une osmose totale entre le peuple et ses dirigeants. Il faut que les dirigeants algériens soient dignes de confiance, intègres, patriotes et totalement désintéressés pour que les algériens se sacrifient, se coupent en quatre, déplacent des montagnes, assèchent des mers et anéantissent tous leurs ennemis.
En termes crus, pour que les impérialistes yankees et leurs alliés sionistes, entre autres, ne soient rien d’autre que des tigres en papier, il faut et il suffit que les patriotes algériens neutralisent les alliés indigènes (dont la vermine islamiste) des premiers nommés et exigent de leurs augustes diriger de cesser, une bonne fois pour toutes, de raconter leurs histoires de frères par ci et de frères par là alors que ces soi disant frères sont, objectivement et subjectivement des alliés, pour ne pas dire des vassaux des puissances impérialo-sionistes.
Wa el fahem yefhem.
La Chine commence en Afrique pour les USA, ou même commence partout où les Usa n ont pas encore pieds.
Tous ces remous que connait l Afrique du Nord sont un prélude à un changement radical dans notre région!Les maitres du monde sont en train de frictionner et frotter pour faire apparaitre la nature du vrai métal!!Notre région a longtemps porté un masque!
Bonjour. Ils commencent à nous fatiguer ces Samat d’Americans. Pour faire la paix, il déjà être en guerre ? A vous juifs ou sionistes américain ou autre. Vous êtes dépassé. Vous ne savez que semer le désordre. Attention au retour de bâton !!!
La réponse est trés simple , si la cia-mossad préparent un complot contre l’Algerie , hé bien l’Algerie appliquera des mesures de réciprocités , expulsion de toutes les entreprises américaines liés à la Sonatrach , et ne plus utiliser le dollar us dans tous nos échanges internationaux , cela fera certainement refleurir les fouteurs de merde dans le monde !
faut pas chercher loin y a de la fourberie des naty macron et momo
trump n aime qu’on achète chinois et tous ils n aiment les insoumis a l occident ainsi est mon analyse ,peut être que je me trompe mais dans la logique ,ils s en foute de Sahara ils gardait ça sous coude pour prétexte
Alger avait les moyens et la capacité de faire de Tamanrasset une ville africaine majeure, dotée d’une attractivité économique, culturelle et sanitaire. La capitale avait le pouvoir d’inverser le flux migratoire du Nord vers le Sud, permettant aux Algériens de se déplacer vers les régions méridionales pour y bâtir un avenir et repenser l’aménagement du territoire.
Pourtant, les dirigeants ont choisi l’immobilisme, préférant laisser les choses se dégrader tant que les problèmes ne se manifestaient pas de façon criante.
Qui vous dit que la question touarèg ne s’est pas posée ? D’autant que, depuis quelques années, même les Himaratis, venus du fin fond de la péninsule arabique, circulent dans le sahel avec leurs valises pleines de billets pour soudoyer les groupes armés et attiser les tensions ethniques.
S’il est vrai que les Touaregs algériens sont patriotes et ne remettent jamais en cause l’unité territoriale, pourquoi en Algérie n’accepte-t-on que le « Plan A » ? Pourquoi personne n’élabore-t-il une politique de très longue durée pour anticiper les différents scénarios possibles ?
Il n’est pas trop tard pour lancer un plan Marshall pour l’extrême sud algérien, afin d’y bâtir un véritable hub économique, scientifique et culturel. Un pôle qui permettrait des échanges interafricains, où des universités accueilleraient des étudiants de tout le continent et où le tourisme serait développé. L’objectif : faire de Tamanrasset une ville rayonnante, garante de la stabilité pour tous les pays limitrophes.
Cette vision est d’autant plus cruciale que, dans le but de déstabiliser, les pays occidentaux ont toujours soudoyé les ethnies et les minorités, usant de financements et de promesses d’autonomie élargie. Les exemples à travers le continent africain ne manquent pas. Face à cette menace, nous avons la possibilité de répartir équitablement les richesses du pays et de permettre à tous les Algériens de connaître l’étendue de leur territoire. Il s’agit de bâtir une nation qui s’étende de manière équilibrée sur toutes ses régions, créant ainsi une unité nationale plus forte que toutes les manœuvres étrangères.
L’avenir de l’Algérie est dans son Sud.
» Pourquoi personne n’élabore-t-il une politique de très longue durée pour anticiper les différents scénarios possibles ? » vous interrogez vous!
L’analyse concrète de la situation concrète montre que la grande majorité de nos augustes dirigeants n’ont qu’un scénario et un seul en tête:
chauffer le koursi ad vitam æternam ou faire chauffer le koursi, ad vitam æternam, par un « prestataire de service* ».
Wa el fahem yefhem.
* Voir la récente intervention d’un certain belkhadem.
S’ils ont réussi à se faufiler pendant la décennie noire, c’est qu’ils sont capables de diviser n’importe qui, n’importe où dans le monde et sans arme de dissuasion nucléaire. Si un jour ils décidaient de vous envahir ou de vous fragmenter, vous seriez réduits en miettes en une bouchée de pain. Alors, acheter des armes sans même savoir les produire soi‑même accélérera votre chute. Il aurait été plus judicieux d’être une puissance nucléaire que d’acheter de la quincaillerie : un bateau qui coule, un avion qui s’écrase, ce sont des dépenses supplémentaires que vous devrez racheter au constructeur.
d »accord avec vous,l’armement conventionel ne vous permet pas ‘affirmer votre politique ni de vous faire respecter,qui ose demander des comptes a la corée du nord? et encore moins a la russie de poutine? les pays qui se sont faits ratatiner comme la libye,l’irak seraient debout aujourd’hui s’ ils avaient l’arme nucleaire ! c’est pourquoi ceux qui dirigent le pays,devaient y réfléchjrent !
Bonjour AP. C’est la 3eme fois que j’essaie de publier un commentaire sans réussite. Pouvez-vous svp me dire, quelle en est la raison?
Je ne pense pas, dans mes commentaires manquer de respect à quiconque, je suis surpris. C’est peut-etre un problème technique mais j’ai essayer avec mon téléphone et mon PC sans y parvenir. On me dit que le commentaire est en attente de revue mais a la fin, il n’apparait pas.
Je le repost ici pour voir. Rien de bien exeptionnel mais c’est mon petite histoire que je souhaitais partager. D’autant que je participe assez peu…
En vous remerciant.
Une question qui n’est pas abordé par le contributeur c’est in fine, la situation réelle des Touareg en Algérie.
Est-ce que les Touareg auraient des raisons de se sentir lésés et non considéré dans l’a
Algérie actuelle ? Si la réponse est non, il n’y a rien à craindre mais si c’est oui, il faut y réfléchir pour éviter que les US utilise donc ce problème.
Je n’ai pas la réponse à cette question mais en toute modestie, il y a quelques années, je eu une mission à l’ORGM du côté de Tamanrasset. 2 semaines ou j’ai été surpris voir choqué de voir que pratiquement tous les postes responsabilité étaient occupés par des Algériens du nord. Même dans la vie quotidienne, hôtel, restaurant etc, très souvent c’est un algérien du nord qui dirige.
J’ai souvenir d’avoir parlé avec un Touareg qui nous servait de guide, qui considérait les gens de l’Azawad comme ses frères…
L’avion, a l’aller comme au retour était blindé mais encore une fois surtout par des gens du nord.
(…)
Voilà, ce n’est qu’une expérience parmi d’autres, rien de scientifique mais selon moi il faut faire attention a cette situation…
C’est de l’arithmétique basique. Il y a presque 50 millions d’Algériens, dont 90 % sont originaires du Nord. Comme tous les Algériens sont libres de voyager, il est clair qu’à TAM on trouve beaucoup de gens du Nord. Donc rien d’étonnant.
L’Etat algérien devrait y investir pour faire de TAM une métropole économique en sauvgardant l’architecture locale. Zéro beton et que des matériaux à base d’argile, calcaire et pierre.
Attention ! Il n’y a pas que ce think tank (comme toujours actionné) par nla CIA, il y aussi des européens, qui se promène chez les Azawed et qui prône la séparation des Touaregs de L’Algérie. Ils sont partisans de ce séparatisme et ils infiltrent la communauté par des mariages avec les proches des chefs de tribus.