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Voyou en col blanc

Par Anouar Macta – La France, cette vieille dame qui se gargarise de «valeurs républicaines», n’est plus qu’un théâtre de marionnettes où des affranchis en costume-cravate se pavanent sans vergogne. Au centre de la scène, Nicolas Sarkozy, l’ex-président ripou, condamné mais pleuré comme un saint par une élite aussi corrompue que déconnectée. Quelle farce abjecte !

Ces politicards, présentateurs télévisés à la botte et stars du showbiz décérébrés qui versent des larmes de crocodile pour ce voyou en col blanc, ne font que cracher au visage d’un peuple déjà écœuré. Sarkozy, ce matamore qui jurait de «nettoyer la racaille au Kärcher», s’est révélé être le parrain de cette racaille, celle qui prospère dans les salons dorés de l’Elysée, entre champagne et contrats véreux.

Ce n’est pas juste un homme qui tombe, c’est tout une mafia qui tremble. Ces élites, ces affranchis de la République, ont cru pouvoir danser sur le dos des Français pour l’éternité. Leur programme ? Des discours sécuritaires nauséabonds, des assignations ethniques et religieuses, des expulsions ciblées pour flatter les bas instincts d’une frange de l’électorat, tout ça pour mieux camoufler leurs magouilles. Le mythe de l’«ange blanc», cet Occidental autoproclamé porteur de civilisation, n’est qu’une mascarade puante, une fable pour masquer leur avidité et leur mépris. Sarkozy, avec ses peines planchers et ses postures de shérif, n’a fait que jouer la comédie, celle d’un système qui protège les siens tout en pointant du doigt les «autres» – Arabes, Noirs, banlieusards – pour détourner l’attention.

Mais les juges, enfin, ont dégainé. Fini le temps des quarts d’heure américains, des garden-parties où l’on se congratule entre escrocs. Chaque signature, chaque contrat, chaque dessous-de-table sera disséqué, exposé, jugé. Et pourtant, que voit-on ? Une caste de pleureuses, des politicards aux abois, des animateurs télé à la solde, et même des pseudo-célébrités qui organisent un bal costumé pour dire adieu à leur champion déchu. Quelle honte ! Quelle indécence crasse ! Ces gens n’ont plus une once d’honneur, pas un gramme de dignité. Ils s’affichent avec un bandit, un homme qui a pillé la République, et osent encore donner des leçons de morale. A côté, les politiciens algériens, qu’ils méprisent tant, passent pour des enfants de chœur.

Cette France des affranchis, c’est une pègre en costume trois-pièces, une oligarchie qui se croit au-dessus des lois, intouchable, éternelle. Ils couinent, ils pleurent, ils s’accrochent à leur Sarko comme à un totem d’impunité. Mais le peuple, lui, n’est pas dupe. Il voit clair dans leur jeu, dans cette hypocrisie qui suinte de leurs discours larmoyants. La justice doit frapper, encore et encore, jusqu’à ce que cette mafia d’élites soit mise à nu, dépouillée de ses privilèges et de ses illusions coloniales. Car cette France-là, celle des magouilleurs et des pleureurs de voyous, n’a plus rien à offrir, sinon sa honte. Et qu’elle crève, cette caste, sous le poids de ses propres mensonges.A. M.

5 Commentaires

  1. Sarkozy: l’homme qui n’aima jamais la France; Il a vendu son indépendance et sa puissance à l’OTAN, il a cédé une bonne partie de la réserve en or de la France, à Israël et au usa.

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  2. Dans la mise en scène ridicule qui entoure l’incarcération de nicolas sarkozy, l’ancien président de la ripoublique a fait preuve de petitesse. Petitesse d’esprit pour celui qui n’a aucune morale. Un caractère mesquin qui fait le meskine alors qu’il incarnait la fermeté quand il portait le costume de ‘premier flic de france’. Quelle ironie du sort ! Dans ce théâtre de marionnettes où tout n’est que confusion, le gendarme est en fait un guignol. La figure de l’autorité en a pris un bon coup. Il est mal barré celui qui voulait karcheriser les quartiers. À la Santé, derrière les barreaux, en quartier ‘vip’. Dans la mise en scène ridicule qui entoure l’incarcération de nicolas sarkozy, il y a des postures qui ne trompent pas. Un imposteur. Pas beaucoup de talent. Que des talonnettes.

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    • Il manque un autre voyou en col blanc à mettre derrière les barreaux. Il porte une chemise ouverte mais pas de chaîne qui brille pour celui qui a l’habitude de rechercher les lumières médiatiques. À coup de tartes dans sa gueule et l’envoyer croupir en taule à ce rat d’égout.

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  3. Ce juif ashkénaze avait horriblement faim durant son enfance car élevé aux poireaux et à la pomme de terre en Tchécoslovaquie, Hongrie pays de l’Est donc quand la France lui a ouvert les yeux avec Mr Balladur (la poire), il n’a plus jamais lâché la place voulant manger dans toutes les mangeoires comme un affamé.

    Résultat des courses, il était dans le moi je, moi je, moi je et l’état de la France a été dégradé sérieusement.

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