Par Anouar Macta – Le Maroc, sous le joug de sa monarchie, traverse une période de secousses internes et externes qui mettent en lumière les failles structurelles d’un système anachronique et profondément inégalitaire. Malgré les apparences d’une stabilité maintenue par le soutien de grandes puissances occidentales, la monarchie marocaine semble marcher inexorablement vers son déclin. Voici pourquoi ce régime, bâti sur l’oppression et l’exploitation, est condamné à s’effondrer sous le poids de ses contradictions internes et de ses pratiques inhumaines.
La monarchie marocaine, incarnée par le palais royal et son entourage, a toujours fonctionné comme une entité prédatrice, exploitant les richesses du pays au profit d’une élite restreinte. Les ressources naturelles, qu’il s’agisse des phosphates, des terres agricoles ou des zones de pêche, sont pillées au détriment du peuple marocain, maintenu dans une précarité abjecte. Les richesses du sol, bien qu’abondantes, ne profitent jamais aux citoyens ordinaires, humiliés et marginalisés par un régime qui les traite comme des sujets insignifiants. Dans quel autre pays musulman voit-on des enfants poussés à la prostitution sous le regard indifférent des autorités ? Dans quel autre pays des habitations insalubres, véritables «chiottes», selon l’expression crue, sont officiellement reconnues comme des adresses valides ? Ce mépris institutionnalisé envers le peuple est ancré dans l’ADN de la monarchie, un caractère forgé par des décennies de despotisme qui ne peut être réformé.
Le Maroc s’est transformé en une sorte de multinationale, où les grandes puissances étrangères et les élites locales se partagent les bénéfices au détriment de la population. Ce modèle, qui repose sur l’exploitation des ressources et des territoires contestés comme le Sahara Occidental, est fondamentalement instable. Les actionnaires de cette «entreprise Maroc» – qu’il s’agisse des partenaires internationaux ou des oligarques locaux – exigent des rendements toujours plus élevés, creusant un déficit social et économique que le peuple est forcé de combler. Les infrastructures vétustes, l’accès limité à l’éducation et à la santé et l’absence de perspectives pour la jeunesse marocaine témoignent de cette faillite. Avec une population projetée à plus de 50 millions d’habitants d’ici 2050, comment une monarchie aux pratiques dispendieuses et au train de vie digne d’une pétromonarchie pourrait-elle soutenir une telle charge démographique ? L’illusion d’un «miracle marocain» s’effrite face à la réalité d’un pays au bord de l’implosion.
Le Maroc, sous couvert de «normalisation» avec Israël, s’est compromis dans une complicité active avec les politiques oppressives menées contre le peuple palestinien. Ce choix stratégique, motivé par des intérêts économiques et géopolitiques, est une tache indélébile sur l’histoire du royaume. Dans une région où la cause palestinienne reste un symbole de justice et de résistance, cette trahison ne restera pas impunie. Comme le veut une certaine «tradition divine» invoquée dans les consciences collectives, les peuples et les nations qui s’alignent sur l’injustice finissent par payer un prix, tôt ou tard. Ce positionnement, ajouté aux tensions internes, fragilise davantage un régime déjà vacillant.
Face à ce tableau sombre, l’Algérie se trouve à un tournant décisif. Contrairement au Maroc, elle a l’opportunité de bâtir un avenir fondé sur la force brute de son économie et la résilience de ses réseaux. La jeunesse algérienne, bien plus éduquée que la moyenne régionale, représente un atout majeur. A cela s’ajoute une diaspora dynamique, capable de renforcer la crédibilité internationale du pays. Cependant, pour saisir cette chance, l’Algérie doit se défaire de certaines idéologies désuètes qui freinent son élan. Les cinquante prochaines années redessineront le monde, et l’Algérie doit se préparer à un ordre global où la puissance économique et la souveraineté seront les seules monnaies d’échange. Investir dans l’éducation, l’innovation et les partenariats stratégiques permettra à l’Algérie de s’imposer comme un acteur incontournable, loin des dérives autoproclamées d’une monarchie marocaine en perdition.
La monarchie marocaine, par son inhumanité, son exploitation éhontée et son alignement sur des causes injustes, creuse sa propre tombe. Aucun soutien extérieur, aussi puissant soit-il, ne pourra indéfiniment masquer les fissures d’un système qui méprise son peuple et pille des territoires qui ne lui appartiennent pas. Pendant ce temps, l’Algérie, avec sa jeunesse et ses ressources, a l’opportunité de tracer une voie différente, celle d’une nation forte et respectée. Le contraste entre ces deux trajectoires est saisissant : l’un s’effondre sous le poids de ses injustices, l’autre se prépare à écrire un nouveau chapitre pour le Maghreb, et au-delà.
A. M.




Système des poupées Russe au Maroc ?
Pour rappel, une poupée russe est une figurine creuse en bois et façonnée au tour, coupée horizontalement à mi-hauteur et permettant d’en retirer le haut, révélant ainsi à l’intérieur une figurine similaire de taille plus petite. Cette deuxième figurine renferme elle-même une autre figurine, et ainsi de suite.
En clair, ce Roi d’opérette suit la feuille de route de la France et d’israël et apparait comme une poupée Russe à son peuple leur faisant croire qu’il gouverne le Maroc alors que la France contrôle le Maroc depuis 1880.
Il serait temps que les marocains boivent du café et se réveillent car leur pays a été vendu à la France et à Israël qui viennent y faire leur marché prenant et faisant ce qu’ils veulent sur tout le territoire.
Si dans un pays, vous êtes toujours pauvre après 25 ans d’activité ça signifie qu’il y a plein de souris dans le pays qui pillent et que donc il faut mettre des souricières.
A défaut, ça continuera toujours.
J ai beaucoup d empathie pour ceux peuples musulmans maintenant leurs avenir et entre leurs mains si dieu ke veux inchallah
@Az,
En retour, vous êtes marocain et je comprends votre désarroi mais personnellement, je n’ai jamais fait confiance à un marocain (femme ou homme). C’est ma mère qui m’a transmis cet état d’esprit. Pour info,
Lalla Hasna est propriétaire d’un hôtel particulier dans le 16e arrondissement et d’un appartement quai d’Orsay (7e arrondissement) qu’elle a acheté 5 millions d’euros en 2023 et d’un autre vers l’avenue Foch (16e) acquis en 2024 pour un peu moins de 7 millions d’euros.
Vous voyez de l’argent, il y en a mais comme vous avez plein de souris au Maroc, vous resterez toujours pauvre, c’est signé.
C’est un Roi d’opérette (prédateur), un feignant mis en place par la France pour exploiter les marocains comme les Français le font avec leurs gilets jaunes en France.
C’est la même face d’une même pièce qui consiste à voler et à exploiter les citoyens.
Ainsi, le marocain se contentera d’un oeuf, d’une tomate et d’une galette de pain avec un verre de thé pendant que le Roi feignant s’achètera des Mercedes, montre de luxe, ira se saouler à Paris à coup de litrons de Whisky et de bière.
Jetez votre nationalité marocaine sinon vous serez des esclaves de ce Roi d’opérette.
Le bousbiristan en voie d’effondrement et le roi de la pédale en passe de bouffer des pissenlits par la racine.
Quoiqu’ils s’épanchent en larmes de crocodile, les Algériens n’oublieront jamais la bévue stratégique commise par les autorités marocaines qui ont terni l’image de nos martyrs de la révolution sur les réseaux sociaux. Une faute irréparable!
Selon un adage: indépendamment des dépenses encourues pour la vente de biens appartenant à l’infracteur « mim6 », ce dernier reste invariablement le bénéficiaire.
Le recours, ou même l’exploitation sans limites, des ressources naturelles d’une communauté marginalisée et opprimée, en l’occurrence ici Sahraouis, pour appuyer un régime autoritaire basé sur le business du hashich ou dissimuler un vol, n’apporte ni gloire ni dignité à ce roi vicieux Mimi6.
La monarchie moyenâgeuse est une erreur historique qui se doit d’être corrigée. À sa tête une famille qui dit appartenir à une prétendue noblesse. Pure mensonge. Le grand bordelier de marrakech, thami el glaoui, a placé son pion sur le trône en la personne de hassan toz. La bâtardise telle est donc la réalité d’une dynastie créée de toutes pièces. Une monarchie en carton pâte. Le royaume des songes et des mensonges n’est qu’une illusion. Et certains prétendent avoir vu l’image de leur sultan numéro 5 sur la lune. Hallucination d’optique. À trop forcer sur le chichon voilà ce qui arrive. Vraiment ça ose tout. Les cons se reconnaîtront …
Le régime de rabat est donc officiellement entre les mains d’une famille prédatrice qui a usurpé le pouvoir. Officieusement, c’est azoulay 6 qui détient le pouvoir décisionnaire. Et le makhzen marocain, un système inique et répressif. C’est pour ça que le royaume de la perdition et de toutes les trahisons est vouée à l’effondrement. Incha Allah.
Les prémices de la fin de la féodale Narco-Monarchie absolue allaouite et donc l’Algérie doit renforcer le blindage de ses frontières de l’Ouest pour juguler le déferlement de clandestins marocains sur nos villes.