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Le Premier ministre Sifi Ghrieb préside une réunion du gouvernement consacrée à la relance de l’investissement

Le Premier ministre, Sifi Ghrieb, a présidé ce mercredi une réunion du gouvernement dédiée à l’examen de plusieurs projets d’exécution, dont le plus important concerne la réduction du taux d’intérêt appliqué aux prêts bancaires destinés au financement des projets d’investissement.

Selon un communiqué des services du Premier ministre, le gouvernement a étudié un projet de décret exécutif visant à abaisser à la fois le taux d’intérêt et la marge bénéficiaire sur les crédits accordés par les banques et les institutions financières pour soutenir les investissements.

«Ce texte a pour objectif d’assurer une équité entre les différents instruments de financement, en élargissant le dispositif de soutien public à l’investissement aux opérations relevant de la finance islamique», précise le communiqué.

«Parallèlement, le projet de décret établit un régime préférentiel pour les projets d’investissement stratégiques et structurants, afin d’encourager le financement des grands projets et d’accompagner leur impact sur la croissance et le développement économique national», poursuit le communiqué.

Lors de la même séance, le gouvernement a également examiné un projet de décret exécutif fixant les modalités de gratuité ou de réduction tarifaire des transports au profit des personnes en situation de handicap et de leurs accompagnateurs.

Ce texte s’inscrit dans la mise en œuvre de la loi n°25-01 du 20 février 2025 relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées. Il vise à faciliter leur mobilité quotidienne, renforcer leur autonomie et leur inclusion sociale et économique. Il prévoit la gratuité du transport public urbain ainsi qu’une réduction pouvant atteindre 80% sur les autres moyens de transport intérieur, selon le degré d’incapacité.

Enfin, dans le cadre du suivi des grands pôles urbains, le gouvernement a entendu une présentation sur l’état d’avancement du projet de la nouvelle ville de Sidi Abdallah, un chantier stratégique pour le développement urbain et technologique du pays.

R. N.

5 Commentaires

  1. Tahya El Djazair, Tahya les s12 descendants des chouhada et des moujahidines et Tahya notre vaillante Armée Nationale Populaire digne héritière de notre glorieuse Armée de Libération Nationale.
    Gloire et Éternité à nos Valeureux CHOUHADA Rabi Yerhamhoum !!

    عسكرية، و عسكرية، و ثم عسكرية، و أيضا عسكرية و ستبقى عسكرية الي يوم الدين. آمين يا ربي.

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  2. « Le Premier ministre, Sifi Ghrieb, a présidé ce mercredi une réunion du gouvernement dédiée à l’examen de plusieurs projets d’exécution, dont le plus important concerne la réduction du taux d’intérêt appliqué aux prêts bancaires destinés au financement des projets d’investissement. » avance R. N..

    Question à un doro d’un néophyte:

    La décision de réduire le « taux d’intérêt appliqué aux prêts bancaires destinés au financement des projets d’investissement », a t elle été prise après consultation d’experts reconnus comme tels, concernant, son impact sur les équilibres macro et micro-économiques ou est ce une décision volontariste qui ne repose sur aucune étude d’impact?

    Réponse gratuite: j’attends que des experts confirmés présentent leurs appréciations sur le sujet.

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  3. Pour que l’Algérie, prytanée de talents, s’émancipe du travail de Sisyphe : c’est-à-dire du bricolage permanent qui obère tout développement d’un Etat fort qui respectera les biens sacrés que sont les droits inaliénables de l’homme et du citoyen, d’une république qui prospère sur le plan économique et qui est juste sur le plan social, d’une Algérie puissante qui dispose d’une voix propre sur le plan international et qui défende à l’intérieur le principe de laïcité – l’Algérie musulmane n’est pas une république islamique -, il importe de changer le système politique de notre pays, devenu complètement obsolète, vers une structure nouvelle permettant d’y réaliser rapidement et démocratiquement les réformes nécessaires au maintien de la cohésion nationale et de sa crédibilité internationale.

    Comment ?

    En faisant appel à la nouvelle génération de cadres et de responsables attachée à l’unité nationale, ayant le sens de l’intérêt public et animée d’une volonté profonde de redresser puis de moderniser et de développer l’appareil productif ; en faisant appel aussi à tous les intellectuels emblématiques des lumières ; ces élites modernisatrices qui s’identifient au progrès, à la science, aux forces productives et à la rationalité.

    
Pourquoi ?

    Parce que des transformations – politiques et économiques, sociales et culturelles – répondant non seulement aux besoins des citoyennes et des citoyens mais aussi aux intérêts les plus élevés de la nation, sont nécessaires afin que le pays d’un million et demi de martyrs ne soit plus source de critiques, de soubresauts chroniques et in fine de chaos.

    
Pour des raisons de réalisme et d’élargissement de la solidarité afin de concilier justice sociale et efficacité économique, ceux qui administrent le pays doivent s’affranchir de l’esbroufe politique qui rentre dans le cadre du jeu de miroir de la société spectacle et épouser la conscience révolutionnaire qui, seule, alliée à l’efficacité du monde moderne, peut mettre un terme aux erreurs et aux errements d’une gouvernance qui considère l’intelligence comme une menace et la compétence comme un danger.

    
L’opinion publique, de façon majoritaire, et au nom de la  nation indivisible et de l’intérêt général, souhaite, dans la pratique algérienne, un Périclès qui ne trahit pas le trust qui lui est confié (trust voulant dire à la fois : mandat, confiance et finalité du bien commun) et plus profondément encore, un réformateur qui limite les conséquences du système algérien d’inspiration soviétique qui empêche la jeune nation algérienne de connaitre exactement les maux dont le pays souffre encore au jour d’aujourd’hui.

    (…)
    Fraternellement lhadi

    ([email protected])







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  4. Francemontre toute sa haine envers l Algérie avec ces lois anti- immigration, son intolérance au vivre ensemble, l Algérie peut couper avec la filière française : Totale , afin de se faire entendre mais s en abstient, ce qui n a pas de sens ..
    pourtant France ne s en Prive pas à se déchaîner sur l Algérie …

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