Une contribution de Khider Mesloub – Pour ceux qui doutent encore des intentions toujours hostiles et malveillantes de Boualem Sansal à l’égard de l’Algérie, il suffit qu’ils lisent la petite interview accordée à son acolyte Kamel Daoud, publiée dans le périodique Le Point.
Preuve que nous n’avons aucunement affaire à un écrivain soucieux de la littérature, mais à un agent provocateur déterminé à exécuter son plan d’anéantissement de l’Algérie.
Dans son interview accordée à Kamel Daoud, à la question de son acolyte qui s’est entretenu au téléphone avec lui dès son atterrissage à Berlin – «comment vas-tu ?» – Boualem Sansal lui répond du tac au tac, spontanément, trahissant ses desseins politiques et son agenda avorté de déstabilisation de l’Algérie : «Plutôt bien, je suis costaud, tu sais. Ecoute, mon agenda n’est pas consolidé, car il y a le côté politique qui passe avant».
Desseins politiques hostiles et agenda funeste corroborés par cette réplique cinglante et sanglante qu’il a fournis à son acolyte Kamel Daoud.
«Mon agenda n’est pas consolidé», confesse-t-il. Autrement dit, il avoue qu’il avait un agenda de déstabilisation et de dislocation de l’Algérie, contrarié par son arrestation et son incarcération.
Boualem Sansal révèle également sa véritable vocation, celle d’un politique et non d’un écrivain, ou plutôt celle de barbouze : «Il y a le côté politique qui passe avant». Boualem Sansal a toujours été un homme de paille du sionisme, un agent du sérail barbouzien parisien.
Plus loin, à la fin de l’interview, à la question de Daoud, «de tout ce que tu m’as raconté, est-ce que tu veux que j’écrive une phrase précise ?», Boualem Sansal lui rétorque : «Tu dis : “Bonjour la France, Boualem revient. On va gagner !”».
«On va gagner» quoi ? La guerre, d’abord idéologique et médiatique, puis politique, diplomatique et militaire contre l’Algérie ?
Dans tous les cas, en France, l’arrestation de Boualem Sansal aura déchaîné une virulente campagne d’animosité contre l’Algérie. Un déversement de haine teintée de racisme. Au-delà d’être ignoble, ce déchaînement d’hostilité contre l’Algérie était infondé. Tous les médias français criaient au scandale. «Un écrivain pris pour cible par un régime où l’arbitraire le dispute à la tyrannie», voilà, en résumé, les gros titres des médias français. A lire les journaux français, Boualem Sansal aurait été arrêté pour ses œuvres littéraires dérangeantes, ses ouvrages critiques du pouvoir algérien.
Or, jamais, depuis le début de sa carrière d’écrivain, Boualem Sansal n’a été inquiété, fait l’objet d’arrestation pour ses publications.
En effet, durant plus de trente ans, Boualem Sansal a exercé librement son activité de romancier et d’essayiste «critique du régime et de l’islam» en Algérie, sans avoir jamais subi d’arrestation. Ses livres, édités en France, étaient vendus librement en Algérie. Tous ses romans et essais, Le Serment des barbares, charge contre l’Algérie du FLN et des islamistes, jusqu’à son dernier Le Français, parlons-en, en passant par Rue Darwin, étaient disponibles dans les librairies algériennes.
En réalité, si Boualem Sansal, ce fasciste apologiste du génocide israélien contre le peuple palestinien, a été arrêté et incarcéré en Algérie, ce n’est absolument pas pour ses écrits littéraires, c’est-à-dire pour sa qualité d’écrivain et d’essayiste.
Si ce fasciste a été arrêté et incarcéré en Algérie, c’est pour ses engagements et ses prises de position pro-sionistes et pro-marocaines, c’est-à-dire en tant qu’agent avéré et invétéré du sionisme et du Makhzen. Et, surtout, pour sa scandaleuse sortie médiatique où, dans une interview accordée à un média français, il a déclaré que les villes de l’ouest de l’Algérie, comme Tlemcen et Oran, appartiennent au Maroc.
En effet, Boualem Sansal a soutenu dans un entretien au média d’extrême-droite, Frontière, dont il fait partie du comité stratégique, qu’une partie de l’Algérie était rattachée au Maroc avant l’indépendance, reprenant à son compte les thèses marocaines expansionnistes du parti Al-Istiqlal.
Aussi la condamnation et l’incarcération de Boualem Sansal sont-elles liées à ses déclarations faites à ce média français sur «l’appartenance de certaines villes de l’Ouest algérien, comme Oran et Tlemcen, au Maroc». Par ce dérapage politique et non littéraire, Boualem Sansal a franchi la ligne rouge. Avec une infâme traîtrise, il a tenté de disloquer, sans jeu de mots, la frontière de l’unité nationale, désagréger l’intégrité territoriale de l’Algérie.
Un agenda de déstabilisation et de dislocation qu’il compte poursuivre, ainsi qu’il le confesse à son acolyte Kamel Daoud.
Boualem Sansal aura été un faussaire littéraire. Un agent triple (DGSE, DGED, Mossad) déguisé en écrivain. Sa carrière politico-littéraire, il la doit à son obsession antimusulmane et à sa haine pathologique de l’islam, qui auront inspiré sa nauséabonde œuvre politique bâtie sur la même et unique thématique islamophobe.
L’immonde Boualem Sansal aura été le VRP du sionisme. Des années durant, en mercenaire intellectuel stipendié, il aura délibérément focalisé l’attention publique internationale sur l’islamisme, érigé en principal danger universel menaçant l’humanité, pour mieux occulter le péril mondial du sionisme impérialiste et génocidaire. Pour mieux exonérer le capitalisme pourvoyeur de famines et de guerres. Avec le plumitif Sansal, l’ennemi à combattre et abattre n’est plus le capitalisme, l’impérialisme et le sionisme, mais l’islamisme, pourtant enfant bâtard engendré par ces puissances dominantes.
L’imposture intellectuelle de Boualem Sansal aura été sans limite. Cet agent de l’impérialisme atlantiste dénonce avec virulence la fantasmagorique islamisation du monde occidental au moment où ce monde subit une sionisation radicale, est soumis au totalitarisme sioniste.
Tout porte à croire que le dhimmi d’Israël (*), Sansal, est chargé, depuis le début de sa carrière de mercenaire politico-littéraire d’une mission de dévoiement politique par ses commanditaires sionistes. Et, surtout, de déstabilisation de l’Algérie.
N’a-t-il pas accusé l’Algérie de pourvoyeuse du terrorisme ? Dans une interview accordée au magazine Valeurs actuelles le 21 novembre 2023, Boualem Sansal avait porté des accusations gravissimes contre l’Algérie. Non seulement il avait livré l’Algérie à la vindicte internationale en affirmant que le pouvoir algérien «soutient et finance le Hamas», mais il avait avancé que le pouvoir algérien exportait «son» terrorisme en France. Comment ? En passant un «deal» avec les islamistes terroristes algériens. «A travers la loi dite de réconciliation nationale qui disait aux uns : oublions nos malheurs et enrichissons-nous ensemble, et aux autres allez faire le djihad ailleurs, en France où les frères ont tant besoin de vous». «Je ne sais pas si, en France, on a noté la coïncidence, la violence islamiste a décuplé dans l’Hexagone au moment où la réconciliation pouvoir-islamistes est entrée en vigueur en Algérie. Le front a changé de camp du jour au lendemain», alléguait-il.
K. M.
(*) Dhimmi : sujet non-musulman d’un Etat sous gouvernance musulmane. Ici, au sens figuré.



Voilà pourquoi il ne fallait pas le gracier, il va s’en donner à coeur joie pour cracher le « maux » est faible sur l’Algérie et donc le Peuple Algérien.
J’attends sa déchéance de nationalité ALGÉRIENNE.