Par M. Aït Amara – Une conversation parfois suffit à révéler la servilité d’un temps, l’inclination d’un esprit ou la fidélité d’une soumission. L’échange téléphonique mis en scène entre Kamel Daoud et Boualem Sansal, et aussitôt brandi par Le Point comme un trophée journalistique, appartient précisément à cette catégorie de dialogues dérisoires que la presse parisienne érige en oracles dès lors qu’ils confirment ses mythologies algériennes.
Qu’en retenir, sinon cette déclaration ahurissante, prononcée par Boualem Sansal : «La France est l’amie de l’Algérie et c’est vous qui en avez fait un ennemi» ? En une phrase, le scribouillard de service réaffirme la posture qui le poursuit. Celle d’un esprit qui, dans son rapport à l’histoire, penche toujours du côté de l’ordre établi, comme si la victoire sur la colonisation n’avait été qu’un malentendu. Une telle sentence n’éclaire pas tant la France ou l’Algérie qu’elle ne révèle une infâme inclination : la nostalgie d’une tutelle culturellement rassurante, politiquement commode, moralement discutable.
Mais c’est lorsqu’il enjoint son interlocuteur à prévenir Paris de son arrivée – «j’arrive», suivi d’un prophétique «on va gagner» – que l’échange bascule franchement dans le grotesque. Gagner quoi ? Contre qui ? Ce pluriel martial, dépourvu de combat comme de champ de bataille, prête à sourire. On imagine mal quelle victoire se tramerait dans les couloirs feutrés où deux supplétifs, croyant guerroyer, ne font que quémander l’adoubement du sérail médiatique français.
Car c’est bien là le cœur de ce spectacle hideux. Une course effrénée vers une reconnaissance parisienne supposée octroyer légitimité, clairvoyance et noblesse. Cette quête, on la retrouve depuis longtemps chez certains «auteurs» maghrébins fascinés par la scène éditoriale française, prêts à se plier aux attentes de leurs parrains littéraires pour obtenir le laissez-passer qu’on distribue, là-bas, en échange d’un renoncement explicite. C’est à ce prix, dit-on, qu’on franchit le seuil où trône Tahar Ben Jelloun, figure tutélaire de l’assimilation littéraire heureuse.
On comprend dès lors la satisfaction avec laquelle Le Point expose cet échange. Non pour sa profondeur – inexistante de toute façon –, mais pour ce qu’il représente symboliquement. Deux faux écrivains algériens s’y livrent à une sorte de confession d’allégeance assumée, qui conforte la grille de lecture attendue : une Algérie sombre et ingrate, et quelques «éclairés» hâtifs à trouver refuge dans l’ancien centre impérial. La presse française adore ce récit, miroir flatteur d’un passé qu’elle ne s’avoue jamais tout à fait.
Pourtant, derrière cette scène se dessine le drame plus grave d’une pseudo-intelligentsia algérienne ayant troqué la complexité de son histoire contre la facilité d’une reconnaissance consommée sur place, au pied du morceau de fer qu’est l’inélégante tour Eiffel, érigée cérémonieusement en merveille du monde. Ce qu’on entend dans cet échange n’est pas la voix de l’Algérie, mais l’écho affaibli de discours répétés pour plaire.
Et si cette conversation suscite l’ironie, elle inspire surtout une réflexion douloureuse. Lorsque les mots servent à s’incliner plutôt qu’à penser, ce ne sont pas seulement ces deux écrivassiers qui s’abaissent, mais la littérature elle-même qui se trouve trahie.
M. A.-A.




Du sansal en salade
?
Ou du sansal sauce mayonnaise.
Plutôt ce sera Sansal CNews, ou une autre chaîne rouillée.
Non !
Pas rouillée, mais avec de la rouille.
Enfin, bouffez le !!!
Je pense plutôt à une salade de fruits. 😉
Ta mère t’a donné comme surnom
sansal de fruits, ah quel nom bidon
Au nom de tes ancêtres marocains
Il faut reconnaître que tu le portes bien
sansal de fruits pourri pourri pourri
Tu plais à la haine, tu plais au rn
sansal de fruits pourri pourri pourri
Ça s’paie un jour donner son fion aux gaouris
Vendus aux papillotes ces deux salauds
Y a des ananas, y a des rails d’coco
Ils en ont déjà goûté, ils en veulent plus
Les toutous qui s’couchent sont les bienvenus
sansal de fruits pourri pourri pourri
Tu plais à la haine, tu plais au rn
sansal de fruits pourri pourri pourri
Ça s’paie un jour donner son fion aux gaouris
L’illusion, faux intellos, sortis du néant
Vendre son petit cul rien que pour l’argent
Avec des reniflages lumineux
Mais en échangistes, tu sais ce qu’il veut
sansal de fruits pourri pourri pourri
Tu plais à la haine, tu plais au rn
sansal de fruits pourri pourri pourri
Ça s’paie un jour donner son fion aux gaouris
Ils ont donné chacun de tout leur corps
Ce qu’il y avait en eux vraiment de plus porc
Vendus aux papillotes les deux salauds
Ce gazier qui bouge c’est un petit pourceau
sansal de fruits pourri pourri pourri
Tu plais à la haine tu plais au rn
sansal de fruits pourri pourri pourri
Ça s’paie un jour donner son fion aux gaouris
La, la-la, la-la la
La, la-la, la-la la
La-la, la-la la
J’ADORE.
J’ajouterai:
pendant que les grands esprits se rencontrent, les petits esprits se dressent comme des géants , faute de profondeur.
@souad, ces petits esprits pervers aux ordres se dressent tout en zèle car ils ne sont pas à la hauteur.
L’AUTHENTIQUE esprit de Ben M’hidi, de Taleb A. Rahman, de Zabana, de Zighoud, de Amirouche, de Lotfi, de Krim, de Chaâbani & co, reste éveillé et vigilant… pour se préparer aux événements qui sont à NOS PORTES !!! Et le simple ALGÉRIEN Patriote HÉRÉDITAIRE, LIBRE et un peu éclairé, condamne sans aucune hésitation et avec indignation extrême la libération de Boualem Sansal. انتهى
Pensez-vous réellement que nos sociétés ont besoin de ces individus déplaisants et de leurs absurdités et intrigues, qu’ils soient traîtres malveillants algériens ou nostalgiques racistes français anti-algériens? Je vous assure que si ces lâches énergumènes se soucient de nos opinions, ils devraient changer leur apparence pour passer inaperçus sans que personne ne crache sur leurs visages répugnants!
Des individus tels que daoud, sang-sale, amira-Pick-Up et d’autres traîtres nous maintiennent dans un état de désespoirs et de rancœur inutiles et déchirants, à travers ce passé pénible des relations franco-algériennes et les façons dont nous percevons les uns les autres
Il est crucial que la france se sépare des traîtres algériens présents sur son territoire, un endroit où ils n’ont pas leur place ni leur raison d’être. L’émancipation de l’Algérie n’a pas été offerte sur un plateau d’argent, mais a été conquise intrinsèquement grâce à la détermination de notre communauté. Cela ne pouvait provenir que de ce groupe, de ces véritables libérateurs, nos humbles délivreurs, et non des personnes les plus abjectes, les plus détestables, voleuses, menteuses et traîtresses comme tu parais l’être, daoud, en compagnie de ton ami indélicat sang sale et les autres flatteurs.
Notre pays souverain a concrétisé son objectif de saisir le principe d’organisation d’élections démocratiques, souhaité par notre communauté, pour élire ses propres représentants et responsables politiques, dont les rôles ont été définis par un cadre juridique spécifique. On ne peut pas défendre l’Algérie, son pays, en se soustrayant à la justice nationale et en se soumettant aux exigences de l’ex-colonisateur tout en dénigrant, dévalorisant et vilipendant sa propre nation.
Il est primordial que vous arrêtiez de discuter et fermiez vos gueules si, par votre lâcheté, vous sembleriez lié à votre nation. C’est à vous de revenir, de vous établir et d’œuvrer selon vos aspirations,… Chech!.
Juste une petite correction : cette vermine n a jamais eu de Patrie Algérie . En bon « juif » sioniste marocain ( c est lui qui le déclame avec ferveur ) , il a profité de l Algerie comme le Rabbin qui l a « dorloté » du côté de Belcourt , tout en exécutant les ordres de ses commanditaires Nazisionistes pour entraver les efforts de la SNS notamment puis au ministère de l industrie où il a trouvé un terrain prêt pour ses Trahisons en série .
Ces deux bouches d’égout ont tant et tant à cracher que le « LE POINT », en souffrance d’audience, ne pouvait rater la primeur de leurs « ébats » intellectuels, de ces « étreintes » siamoises entre ces deux néo-harkis que les plateaux de télé vont s’arracher, de Chie News à BFM WC…
@Sprinkler
Excellent commentaire et quel phrasé comme toujours !
« Première copulation téléphonique entre Daoud et Sansal : quand deux harkis se font courtisans » titre M. A.-A..
je pense que ces deux harkis ont choisi leur camp et ils ont le droit de choisir le camp qu’ils veulent, n’est ce pas?
En termes crus, au lieu de perdre leur temps à vociférer contre les postures des harkis, les patriotes algériens devraient plutôt s’intéresser à ceux qui hissent le drapeau algérien pour dissimuler leur desseins pernicieux et leur trahison de l’Algérie, en tant qu’Etat et Nation*.
* les membres de la issaba qui sont actuellement en prison n’étaient ils pas considérés comme des grands patriotes au temps où ils s’adonnaient à leurs « affaires »?
Et,
que penser des membres de la issaba qui ne sont pas encore en prison, qui se présentent comme « plus nationaliste que moi, tu meurs », et qui continuent à vaquer à leurs « affaires »?
Rien a rajouter après ce commentaire
Opinion :
Un « harki » on le libère pas, un traître mérite la peine de mort et par fusillade. N’est-ce pas mon COLONEL Amirouche ?
Laissons ces deux rodomonts profiter des derniers orgasmes de leurs saillies médiatiques , tant qu’ils occupent encore le devant de la scène.
Dans très peu de temps, les projecteurs de l’actualité se porteront sur des sujets plus rentables -genre Glèze – parce que ces deux olibrius ne seront plus « vendables » médiatiquement dès lors qu’ils seront coupés de la réalité algérienne , du fait de leur exil forcé. Ils deviendront lassants et inintéressants pour leurs sponsors qui seront les premiers à les jeter dans les oubliettes, étant devenus de véritables boulets.
Le baroud d’honneur viendra très certainement du Sansel dont on connaît déjà le titre de sa prochaine déjection: « Mémoires dans les « geôles » d’Alger » qui ameutera certainement les derniers hystériques nazi -sionistes anti-algériens. Le crépuscule des félons !
Patience , c’est juste une question de temps, » le captif d’Alger »étant déjà à l’article de la Mort et de la rédaction de son épitaphe.
Alors perso, je ZAPPE !
Le Harki Supplétif doit changer tous les Miroirs médiatiques
.
Les Nouveaux Miroirs Médiatiques apaisent et cachent :
– La Haine de Soi
– L’Alienation servile
– L’image reflet du Traître
– Le Déshonneur et la Honte
.
Le Harki Supplétif s’adresse a un autre Public.… tout va bien.. “On va gagner”
Il ne faut ecrire beaucoup sur ces 2 batards…..seulement revoquer leur nationalite algerienne sera le meilleur pas …et interdir de visiter le pays…..
On nous dit que cette merde de bousbirien sansal est mourrant avec un cancer du rectum, blablabla et tout le monde verra de ses yeux qu’il sera en pleine forme sur les plateaux tv francais enjuivé
Les prostituées morales
Soumises à leurs maîtres
Se sont donc mises en scène
Scène prévisible et risible
Deux mauvais acteurs
Histoire de faire un scoop
En ligne pour les ventes
Faire du chiffre
Et même sa « une »
Trophée de chiasse
La chasse aux trophées
Deux têtes de cons
Qui s’font inviter
Les ‘putes journalistiques’
À la rédaction du Point
Ça couine gruiik gruiik
Ça se sait et ça se suit
Les gueules enfarinées
Du Point à la ligne
Et à la commande
Une communication arrangée
Et sansal a rajeuni de 5 ans
En mission commandée
Point Final.
Ceux qui font tourner le monde APPLE, NVIDIA avec plus de 5000 milliards de dollars de capitalisation.
Lire un livre ou la littérature de ces deux écrivains n’apportera rien au moulin si ce n’est à passer sur la chaine CNEWS a casser du sucre sur le dos de l’Algérie et de
son régime.
En France, les prélèvements fiscaux sont de 57.5 % donc sur 100 € de gagnés, vous donnez 57.5 € à l’Etat français mais à leur âge ces deux écrivains n’ont jamais payés
1 dinar d’impôt en Algérie donc la critique est facile surtout quand tout a été gratuit pour eux de l’école à l’université jusqu’au poste de travail.
Etre formé par un pays comme l’Algérie sans rien donné en retour, quelle ingratitude
Le serment de novembre 1954 reste et restera pour ceux qui aiment leur pays et ma foi, qu’ils aillent voir en France si l’herbe est plus verte, la prétendue liberté en France se paie au prix fort en taxes et en impôts dans la vie de tous les jours et même lors du décès, la France leur prendra 40 % de leurs biens financiers et immobiliers.
Tout se paye, rien n’est gratuit.
Bon vent sur la Chaine CNEWS avec Pascal Praud qui aime rire des imbéciles en montrant ses petites canines (tic).
Il faut déchoir ce makhnazi Algérien de papier de la nationalité ALGÉRIENNE puisque la France le considère comme citoyen french à part entière.
Idem pour KD.
Une chose est sûr ils ne remettront plus jamais les pieds en Algérie et c’est tant mieux.
Depuis un petit moment @Abou machin truc est monté d’un cran ou deux dans sa haine de l’Algérie .
En effet, cette évangile du net se montre de plus en plus insistant et agressif comme s’il devait avoir toujours raison sur tous les sujets et dans tous les domaines .
La moralité des insignifiants est de vouloir toujours être au dessus des autres.
MR Amara merci pour cette Leçon de Dignité à laquelle les deux COPROPHAGES ne peuvent en aucune façon accéder , mais que , peut être , les prétendants à la …………. « Soupe » tapis encore dans les Plis de notre société , éternels bougnoules heureux , pourront digérer , même avec quelque souffrance , avant de sauter le Pas .
take they’re citizenship from them they don’t deserve to be Algerian anymore
Traduction du texte de sidlal
Retirez-leur leur citoyenneté, ils ne méritent plus d’être Algériens.
Amar Saadani avait la nationalité française,
Abdeslam Bouchouareb avait la nationalité française,
Boualem Sansal avait la nationalité française,
Chakib Khellil avait une nationalité étrangère
Ould Kaddour même chose, nationalité étrangère.
Le point commun, ils écument le pays de l’intérieur puis se sauvent en France qui va ensuite les protéger car l’Etat Français n’extradie pas ses concitoyens, le sésame c’est la nationalité française pour commettre des délits et méfaits en Algérie = impunité.
Je pense que ce qui attend ce « troufion » fraîchement « élargi », une fois remis sur pied par les allemands, va virer à la « tournante » médiatique (hachakoum)…Et sans doublure… L’un après l’autre, les plateaux de télé et de radio franchouillards et leurs enfileurs de ragots vont se le « passer » jusqu’à l’épuisement…
C’est le sort de tous ceux qui vouent corps et âme à la félonie : SANSAL, DAOUD, SIFAOUI, BOUKHOURS, SEMMAR, etc…Tous y sont passés, même en coulisses…Un bataillon de raclures « exotiques » en pagne, « hôtes » des orgies médiatico-politiques de la France profonde…
Le Point n’a rien inventé : il a simplement dépoussiéré la vieille vitrine coloniale. On y place Sansal et Daoud comme on exhibait jadis deux « indigènes civilisés », destinés à rassurer Paris sur sa supériorité morale. Ce n’est pas un débat littéraire : c’est un décor colonial recyclé, avec deux figurants soigneusement sélectionnés pour dire à la France ce qu’elle aime entendre sur l’Algérie.
Sansal fait l’exilé exemplaire, Daoud joue le confesseur obsédé par l’idée de disséquer son propre peuple devant un public ravi. Deux produits calibrés pour flatter l’ego français : des Algériens « compatibles », apprivoisés, qui tiennent exactement le discours que l’ancien colon rêve encore d’entendre.
Dans un autre temps, ces deux-là auraient été la fierté des bureaux arabes : zélés, dociles, obsédés par la validation du maître. Des supplétifs littéraires, rien de plus. Des hommes dont l’existence publique dépend du regard français et qui, dans un réflexe presque pavlovien, s’empressent d’offrir leur plume pour légitimer le récit colonial. Leur rôle est clair : servir d’alibi moral à une France incapable d’assumer ce qu’elle a laissé derrière elle.
Et, au fond, tout cela révèle une vérité crue : je comprends mieux pourquoi le Maroc est devenu, aux yeux de la France, un modèle idéal. Non pas pour sa stabilité imaginaire, mais parce qu’il reproduit ce que Paris préfère : un pouvoir soumis, un personnel politique en quête d’approbation, un État qui conforte le fantasme de la supériorité morale du colon sur l’indigène. Le Royaume fonctionne comme un miroir flatteur où la France contemple sa domination symbolique sans complexe. Rien d’étonnant, donc, à ce que Sansal et Daoud s’y intègrent parfaitement : ils relèvent de la même esthétique servile.
La guerre de libération a précisément empêché que l’Algérie soit peuplée de ces profils-là par millions. Le sacrifice des martyrs a brisé ce destin d’humiliation. Grâce à eux, l’Algérie n’a pas été façonnée par des scribes serviles, mais par des femmes et des hommes qui ont refusé la moindre courbure devant l’ordre colonial.
Que Le Point se console avec ses deux porte-paroles apprivoisés. C’est la seule Algérie qu’il peut supporter : une Algérie taillée à la mesure de sa nostalgie. Mais ce n’est pas la nôtre.
Excellente analyse du colonialisme français et de ses supplétifs, à laquelle je souscrit totalement. . .
Texte magistral
J’ai lu les mots Bidon de l’Agent expulse d’Algerie par une grâce du président Algérien.
C’est vraiment de la bouillie intellectuelle enrobée de confiture…
A l’oral c’est comme a l’écrit.…
.
B oualem S ansal = B ull S hit
Je ne comprends pas pourquoi la france nous à dit merci dans le sens qu’elle n’y ait pour rien dans cette affaire Algéro-Allemande?.
Cela va encore être « merveilleux » d’entendre deux ratés en langue française « philosophés » dans la langue de molière sur des plateaux t v .
Gagner un dentifrice et une savonette .
sansal , daoud and co doivent renoncer à la nationalité Algérienne signer le décret cremieux afin d’être en phase avec leurs idées .
La vie c’est des choix qu’il faut assumer car la majorité des Algériens ne sont pas de leurs avis n’en déplaise à la france
C’est clairement le chaos total dans leurs cervelles de peanuts. C’est récurent chez les intelltotoz.
le pervers en chef benjelloun a aussie déclaré son allégeance, minable scribouillard
Un papy de 81 ans qui pense être toujours jeune,
Tu vas bientôt casser la pipe papy, regarde tes cheveux blancs, tu veux la lumière en critiquant celui qui t’a façonné, construit. Il fallait rester en France ou au Maroc, ta vie serait deveu un enfer. En France, tu serais devenu un délinquant de cités et au Maroc, tu aurais fait parti de la meute d’affamés qui mange une galette de pain, un oeuf et une tomate avec une soupe et ensuite, au dodo.
Par contre, l’Algérie vous a fait devenir un écrivain. Il faut le reconnaitre.
Ça il faut le dire et le redire.
Oui c’est vrai, l’Algérie elle lui a donné plusieurs statut, celui d’un cadre haut fonctionnaire de l’État et l’a fait habiter dans une jolie maison sur la banlieue d’Alger, puis ses études gratuites lui ont permis de devenir écrivain et par ailleurs jamais satisfait ce clébard, il a continué à aboyer contre l’état algérien comme l’autre (Dib khlaoui) au regard porte-malheur, son pote Daoud Kamel l’Algérie lui a permis d’écrire sur ses journaux pour insulter l’état algérien, Je suis très contente que ce Khabith a dégagé de ma ville natale, Oran ..
Deux Bourreaux ont quitté l’Algérie à jamais avec la Malédiction de tout un peuple qui exige que vous quittez notre nationalité algérienne, Jenssiya el watania el djazairia, prenez celle Papon ou celle de Netanyahou de Hitler vous retrouverez votre véritable personnalité celle deux vieux tyrans délateurs qui vendent leurs ex pays
On y presque dans l’accoutrement vestimentaire. Ne manque que les chapeaux à plumes comme le porte du côté de strasbourg ou en bavière pour les deux coqs en pâtes .
La tarlouze daoud j’usqu à renier ses rejetons pour faire plaisir à son maître français.
Ou allons nous ?
Je rappelle qu’un livre qui plus est écrit par des nazes ne se mange pas et que le souci premier de la france est beaucoup plus loin que ce que les deux clowns en photo du début de page veulent nous faire voir . Son souci sont et que l’Algérie doit dégager comme elle à fait avec le blé français : Des contrats commerciaux, un caïd comme président et comme du temps de la colonisation voir la momie précédente dont son « règne » à durer plus de vingt ans. afin de pomper les richesses Algérienne.
Conclusion : Se remettre au travail en dégageant cette france minable , recouvrer une indépndance économique comme l’ont exausés les valeureux chouhadas bien loin de la tutelle des pédérastes français.
Qui sont ces personnes ? Vous nous prenez trop la tête pour des petites merdes hachakoum. Y en a marre de rendre célèbres des pantins qui devraient même pas sortir de leur gourbi
D’ici 2 à 3 jours un lointain souvenir .
Sansal + Daoud = insignifiants = ont été Gonflés comme des grenouilles par leur nourriciers et finiront par exploser dans le vide.
Quand deux insignifiants se parlent = ils produisent de la bassesse et de la lâcheté
L’essentiel, la vermine est sortie du territoire algérien, bledi habiba
Chwatine Kharjou men bladi, Hamdoullah Ya Rabi.
Allah La roudeh wlid hram..
Deux pigeons à la cervelle de moineaux.
C’est pas gentil pour les pigeons et les moineaux. 🤣
Bien entendu.
Devais je vous préciser qu’il s’agit d’une métaphore ?
‘Ho capito’. Je n’ai besoin ni d’un dessin ni d’une image.
Deux Abrutis avides de reconnaissance, sans les chouadas, ils seraient encre probablement de simples cireurs de godasses, comme ils le font si bien actuellement devant leurs maîtres d’une autre manière.
Et maintenant que notre parlement entérine la loi sur la destitution et la déchéance de nationalité de tous les traîtres à la nation . Et il me semble que ces deux individus plus le momo sifaoui et le très cher pilier de comptoir fanatique de 1664 bebert mehenni seraient de parfaits candidats pour tester cette loi .
Leurs prochaines cibles maintenant que l’effet domino n’a pas pris en Algérie sera la communauté Algérienne établie en france qui sera ciblée ou ces deux sans dignités esclaves analphabètes seront cités en exemple pour une « intégration réussie », s’en donner à coeur joie pour freiner notre ascension.
À méditer.
Ils ont fait leurs choix individuelles comme des grands garçons. Commence le long chemin d’assumer ses responsabilités.
Bonjour
C’est pour quand..? La déchéance de nationalité pour tout les déchets harkis installé en Fronce. Ils ne faut plus que ses porcs souillée la terre des chouhadas.. nous supplions notre président, c est une demande du peuple comme l’expulsion du 1.5 mlalkas makhzenien clandestins…
Ça arrive mr @Mohamed ,
patience .
Sincèrement cette copulation téléphonique a manqué de cérémonial approprié ………..il aurait fallu que la Chiure Chalghoumi Imam Rabinowitz protégé de La Vermine criminelle Marek Halter donne l onction à cet Acte fondateur des Ébats Merdiatiques qu offriront ces Péripatéticiennes aux Pieds Nickelés Impuissants et ………..foncièrement Cocus comme il se doit ….
Reprendre la maison de sansal au dinar symbolique .
Sansal et Daoud sont a la Littérature ce que la Girouette est au Vent 💨
.
Kamel , Boualem
Une Girouette ne produira jamais le vent
Pourquoi driencourt ou lenoir ne font pas de sortie médiatique ? pour dans un premier temps remercier l’Allemagne et l’Algérie et dans un second temps acceuillir leur petit chéri d’amour à la maison avec une bonne soupe et des vêtements neufs au chaud ou comptent ils le jeter dans un de ces foyzes centre sonacotra ou bien partager la chambre de boniche avec le pd daoud??.
On peut vaincre une colonisation physique mais pas celle des esprits! Sansal , Daoud, Sifaoui , leur magma visqueux qui fait office de cerveaux est colonisé jusqu’ à la dernière dendrite ! Donc , il faut que l’Algérie leur applique la déchéance de la nationalité algérienne et quand ces énergumènes auront bouffé leur pain blanc ( islam, Algérie) , l’intelligentsia parisienne les jettera comme un sale Klenx bien servi dans la poubelle de l’histoire car cette intelligentsia est cruel envers ceux qui se ne renouvellent ,elle raffole de nouveautés.
L’on se demande encore qui et comment sont fixer les prix ou comment une petite merde qui ne vaut pas un pète de clou ait été à ce point surestimé?.
Cela doit être la théorie de murphy quelque chose comme ça et tant qu’on y est , vous pouvez aussi venir récupérer nos latrines dans des jerricans.
Ces types sont a la littérature ce que la Girouette est au Vent..
Franchement, ces Minables larbins ne méritent même pas 10 minutes de notre temps.
.
Ce sont des DIVERSIONS MENTALES
Ces gens ne vivent que par le DÉGOÛT qu’ils suscitent et ne méritent même pas notre MÉPRIS
NON !
Ils méritent qu’on les IGNORE
.
Il est temps de passer a des Sujets plus Sérieux
Sur Sansal et Daoud , dans le contexte actuel , j’aime bien la Citation de Chateaubriand
“Il faut être économe de son mépris, étant donné le grand nombre de nécessiteux.”
Le sayan écrivaillon et son compère l’imposteur « goncourisé » peuvent pérorer tout leur soul, ce n’est pas pour autant que leurs pieds, même devant, pollueront de nouveau la terre sacralisée par des millions de martyrs, ayant versé leur sang pour chaque M² d’Al Djazaïr, contrairement aux lèche-babouches du $ionissime et normalisé makhnez, croyant encore, comme en 1963, que les filles et fils de la Toussaint rouge aient tiré les marrons du feu à leur place. . .
L’ALGÉRIE BRÛLE !!
Plus d1,2 millions de BOUSBIRIENS CLANDESTINS sur le territoire Algérien !!
Plus d1,2 millions de PYROMANES BOUSBIRIENS sur le territoire Algérien !!
QU’ATTENDENT les autorités Algériennes pour y faire face efficacement et résoudre ce problème de manière durable ??
Le véritable chiffre est de 200 millions(…)
Les haineux sont très heureux de la liberation de l’ordure Franco harko ,maintenant ils veulent recuperer l’autre pouriture ,leur journaliste envoyer pour crée une fitna entre la majorité musulmane kabyle , les MAKistes pour divisé le peuple Algerien comme ils l’ont fais en libye, les pays du sahel ,le Sahara occidental et dans certains pays. Un message au président de la Republique et les hauts responsables du pays,il faut qu’ils cessent de recevoir les chefs d’etats non ami et haineux avec les honneurs du tbel et la zernadjia et de leur donner de l’importance. Il faut aussi donner plus de liberté a nos journalistes de s’exprimer librement et rendre la gifle aux salauds qui aboient matin,midi et soir contre nôtre communauté des vrais Francos Algériens et non les Boutross Messiha jean,les faux Antoines et Antoinettes,les Erics etc etc.
Excellent commentaire!,
acceuillir macrouille et sa clique sur la terre des martyrs à été une perte de temps . Il ne faut plus jamais acceuillir un président français (des misérables).
Rien de bon la dedans.
Quelqu’un peut-il me renseigner ?
Sansal est allé se livrer à la police algérienne (il n’y a pas d’autre mot, vu ce qu’il avait déclaré dans la presse) le jour où la rumeur de l’escroquerie Daoud, qui avait volé l’histoire de l’un de ses bouquins à la patiente de sa femme, a été confirmée dans la presse française. Aujourd’hui, avec cette interview qui les réunit, la boucle est bouclée. Pourquoi personne n’en parle ? Pourquoi le cinéma du 16 novembre 2024 est-il passé sous silence ?
Quelques citations suffiront ?
1°) « Nul n’est prophète en son pays. » – Ce proverbe pourrait être interprété comme une manière de dire que les gens qui aident ou soutiennent une personne peuvent être rejetés par celle-ci, même si c’est dans leur propre environnement. Parfois, la personne aidée ne reconnaît pas ou ne respecte pas celui qui lui a tendu la main.
2°) « Celui qui mange avec le loup doit s’attendre à en sentir l’haleine. » – Cela exprime l’idée que, quand on aide quelqu’un qui vit dans un monde de chaos ou de dégradation (comme l’image du « loup »), on peut se retrouver entraîné dans les mêmes dangers ou les mêmes travers.
3°) « On n’apprend pas à un chien vieux de nouveaux tours. » – Parfois, ce proverbe est utilisé pour exprimer que certaines personnes, même quand elles sont aidées, ne changent pas vraiment ou ne reconnaissent pas les efforts faits pour elles. Cela renvoie à l’idée que la nature humaine est difficile à changer, même avec de la bienveillance.
4°) « C’est en voulant guérir un mal qu’on en crée un autre. » – Cela peut se rapporter à la notion qu’aider quelqu’un dans une situation difficile peut parfois créer des complications imprévues, voire se retourner contre soi.
5°) « Le chien qu’on nourrit finit par mordre la main qui l’a nourri. » – C’est une formule plus proche de ce que tu sembles décrire, une idée de trahison ou de retournement de situation par une personne qui a été aidée.