La Société nationale de commercialisation et de distribution de produits pétroliers (Naftal) a signé, lundi à Alger, un contrat commercial avec le fabricant allemand de pneumatiques Continental, portant sur l’importation de 1,5 million d’unités destinées aux véhicules légers et poids lourds.
Le contrat a été signé par Khaled Laimeche, directeur de la branche commercialisation de Naftal et le directeur de Continental pour l’Afrique du Nord, Bulent Erdogan.
Présidée par le P-dg de Naftal, Djamel Cherdoud, la cérémonie de signature a connu la participation du directeur exécutif de Continental pour l’Europe, l’Afrique le Moyen Orient, Hoyos Ferdinand, par visioconférence, ainsi que le secrétaire général du syndicat national de Naftal, Abdelhak Omrani et des cadres dirigeants de l’entreprise.
Lors d’un point de presse tenu en marge de la cérémonie de signature, Cherdoud a indiqué que cet accord «nous permettra de répondre rapidement aux besoins du marché et de rétablir les prix à leur juste niveau».
Pour lui, la mise en œuvre de ce partenariat offrira aux consommateurs «des pneumatiques de qualité premium à des tarifs compétitifs», avec des baisses de prix estimées entre 35% et 55% pour des produits de même catégorie. «Cela contribuera à une baisse significative des prix», a-t-il assuré.
Le contrat prévoit l’importation de 1 million de pneus pour véhicules légers et 500 000 pneus pour poids lourds.
La vente sera assurée à travers le réseau de distribution de Naftal, qui compte plus de 2 000 points de vente sur l’ensemble du territoire national.
Naftal a également annoncé qu’un deuxième marché, portant sur l’importation de 4,5 millions de pneumatiques, sera lancé avant la fin de l’année en cours. Il concernera 3 millions d’unités pour véhicules légers et 1,5 million pour poids lourds.
R. E.




moi je pensais qu’ils allaient créer une usine de pneumatiques en algérie digne de ce nom ! la chine, notamment le chinois Sentury, donne au maroc une très grande usine de pneumatiques, avec transfert de technologie, et BYD, leader mondial de batterie, des usines de batteries au maroc, et nous on importe des pneus pour des véhicules chinois, « montés » en algérie ! pfff
La fascination de notre interlocuteur pour les « usines » marocaines relève moins de l’analyse que du réflexe pavlovien. Il confond encore une fois assemblage sous perfusion étrangère et *souveraineté industrielle*. Le Maroc collectionne les zones franches comme on collectionne des vignettes : belles façades, exonérations fiscales à la chaîne, et derrière, un tissu productif sous tutelle de capitaux étrangers qui démontent leurs machines dès que les subventions s’assèchent.
Sentury ou BYD ne s’installent pas au Maroc par amour du royaume, mais parce qu’on leur déroule un tapis fiscal quasi gratuit, avec une main-d’œuvre sous-payée et une législation taillée pour le dumping social. Aucun transfert réel de technologie, aucun contrôle national, aucune montée en gamme : juste une plateforme offshore destinée à réexporter vers l’Europe avant la grande fermeture normative qui arrive.
L’Algérie, elle, n’a plus vocation à jouer les terrains de jeu pour industries kleenex. Elle ne quémande pas des « usines vitrines » destinées à flatter une communication monarchique. Elle cherche la maîtrise : pas une chaîne de montage, mais un écosystème. Pas une photo d’inauguration, mais de la valeur ajoutée nationale. C’est plus long, plus exigeant, moins clinquant — mais c’est la seule voie pour éviter précisément le destin de sous-traitant dépendant que certains prennent pour un trophée.
Quant aux pneus importés pour véhicules chinois « montés » en Algérie, l’argument est d’une naïveté désarmante. On construit un secteur automobile en plusieurs étapes : intégration locale progressive, développement de fournisseurs, normalisation des composants, montée en cadence. Ce que le Maroc n’a jamais réussi à faire vraiment, car sa dépendance structurelle à l’extérieur verrouille toute ambition industrielle réelle.
L’Algérie n’a pas à imiter un modèle fragile, adossé à un régime qui compense ses failles internes par le tape-à-l’œil économique. Comparer l’Algérie à la vitrine marocaine, c’est confondre l’apparence avec la profondeur, la communication avec la souveraineté, l’effervescence fiscale avec la stratégie industrielle.
En définitive, les usines qui appartiennent à d’autres ne vous appartiendront jamais. L’Algérie préfère construire ce qui durera, plutôt que célébrer ce qui ne lui appartient pas.
des commentaires pathétiques! le maroc avance à grands pas et au maroc et au sahara occidental et monsieur nous dit circulez il n’y a rien à voir !!! mais sur quelle planète tu vis ??? donc même les drones israéliens fabriqués au maroc avec transfert de techonologie c’est rien ? la chine investit au maroc massivement et même au sahara occidental avec transfert de technologie et toi tu viens nous raconter tes bobards !!! quant au salaire au maroc, je vois que tu n’en a aucune idée, ILS SONT SUPÉRIEURS A CEUX DES ALGERIENS!!! ne confonds pas le bergers du rif avec les diplômés des villes et de grandes écoles françaises et internationales !! pourquoi tu veux faire croire aux algériens une fausse réalité ? au lieu d’un sursaut des algériens tu nous propose l’anesthésie. pfff lamentable wallah el adim que c’est lamentable
LE MAROC COPIE EXACTEMENT LE MODÈLE ÉCONOMIQUE CHINOIS DES ANNEES 70 ET 80, REGARDE OU EST LA CHINE AUJOURD’HUI. WALLAH EL ADIM RANI NAHLEF QUE TON POST EST PATHÉTIQUE
Les diplômés marocains à l’étranger rentrent travailler au maroc, tellement que c’est meilleur, nos diplômés ne rêvent que de quitter l’Algérie, si tu nies cette réalité (…)
La sécurité routière, c’est très important ?
Il manque des pneus 04 saisons en Algérie. Les plaquettes de freins, disques et les pneus sont primordiaux pour la sécurité et ainsi éviter de très nombreux accidents de la route. Le coût d’entretien a augmenté considérablement.
Dernièrement, j’ai réparé ma 407 coupé (embrayage, répétiteur sur le côté gauche du clignotant, vidange huile de qualité 0 – 30 W – Courroie d’alternateur) chez Peugeot, montant 1250 € en Hors Taxes + main d’oeuvre et Tva = 1658 € TTC.
– 04 Pneus à changer de la 407 coupé de 163 CV = coût 600 € en 4 saisons.
En vérité, j’arrive à 2 258 € soit 587 000 dinars algériens. C’est énorme, la voiture coute très chère en entretien en France, à défaut, la dégradation arrivera très vite.